Et si l’homme avait des racines ?

Qui dit symbiose, dit « vivre ensemble » ; mais visiblement, cette harmonie n’est évidente que pour le cosmos floristique. Le terme de symbiose traduit une association biologique durable et réciproquement profitable entre des organismes. Cependant, quand on évoque le sujet de la société humaine, il est difficile d’en extraire que du positif quand on distingue sans difficulté les deux faces de l’homme : l’altruisme, mais aussi l’égoïsme. Aujourd’hui, ce dernier en ressort davantage, d’autant plus qu’il fait l’objet d’une problématique existentielle. De la sorte, au vu du manque de cohésion chez les hommes, devrions-nous conformer notre attitude à celle des arbres afin d’apaiser les tensions ? Nous allons démontrer ici que les exceptions subsistent malgré tout et que cette solidarité verdoyante devrait être plus considérée. 

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Ici, la société humaine…

Avant toute chose, parlons de la compétition. Cette dernière nous est instaurée sans le vouloir dès notre plus jeune âge. L’envie de réussir, telle que scolairement, professionnellement, financièrement ou encore socialement, semble finalement nuisible, au vu des conséquences de nos actes ( scélératesse, autolâtrie ). On peut comparer cela à un combat entre les plus forts contre les plus faibles. Thomas Hobbes l’a dit : « Nous trouvons dans la nature humaine, les principales causes de discorde : tout d’abord la Compétition, en second lieu, la Défiance, et en troisième lieu, la Gloire« . Ici, la compétition force les hommes à se faire la guerre en vue du gain. Elle fait de l’homme quelqu’un de violent, pour se montrer plus fort que les autres. Quant à la défiance, celle-ci se fait pour la sécurité, pour se défendre. Tandis que la gloire se fait pour la réputation. Elle est là pour se donner bonne conscience, pour un sourire.

Cette compétition nous est tant ancrée, qu’elle va même jusqu’à être associée à l’économie, en provoquant ainsi des guerres économiques. Cette compétition économique cherche à produire pour avoir ou vendre plus que les autres. La guerre, quant à elle, sert à dominer, tant les gens que les territoires en vue d’une autorité durable. La guerre se fait pour avoir la paix, mais comment l’avoir vraiment puisqu’il faudra constamment se développer, faire des profits et gagner des marchés ? Cependant, la compétition a malgré tout, des aspects positifs, car sans elle, pourrait-on imaginer une société évoluée et progressive ? Néanmoins, c’est cette société compétitrice qui a suscité l’égoïsme.

On traite souvent d’égoïste celui qui n’a pas pensé à nous, et donc celui qui n’a pensé qu’à lui. « L’égoïste est celui qui n’emploie pas toutes les minutes de sa vie à assurer le bonheur de tous les autres égoïstes », d’après Lucien Guitry. En effet, il, veut dire que tous les hommes sont égoïstes, et qu’ils ne perdent pas leur temps pour aider les autres, qui, eux aussi, sont égoïstes. Cela serait source de conflits. Cet état d’esprit hyperindividualiste, est très majoritaire dans notre société actuelle. Bien sûr, ce trait de caractère ne concerne pas tout le monde. Seulement, quand on parle d’égoïsme, ce n’est qu’une globalité.  Mais derrière ces actes égoïstes, n’y aurait-il pas un soupçon de générosité ?   

Individuellement, l’homme n’est pas forcément égoïste, il y a toujours du bon et du mauvais. Précédemment, nous parlions d’exception, plus particulièrement de la société en elle-même qui pose problème. Par exemple, les conflits d’intérêts ne découlent pas que de l’attitude des personnes. Ils résultent également des circonstances : la faim n’est source de conflits que s’il n’y a pas assez de nourriture pour tout le monde. L’homme est capable d’amour, d’amitié et de bienveillance. Contrairement à ce que tout le monde pense, l’homme ne serait pas fondamentalement égoïste, ne pouvant être rendu sociable que par la culture et les institutions.  L’homme est pourvu de générosité. Comme par exemple : garder les animaux de notre famille ou de nos amis lorsqu’ils partent en vacances, rendre service à un ami, aider à rentrer le bois pour l’hiver, accompagner une personne perdue jusqu’à tel endroit, ou encore pardonner à l’autre pour une phrase maladroite…Toutes ces choses futiles qui font l’objet de services rendus, résument cette solidarité.

Mais pourtant, si nous parlons de nos ancêtres préhistoriques, il y avait cette notion d’équipe, d’entraide. En effet, ils n’avaient pas cette notion d’existence humaine à l’échelle planétaire. Alors que nous, nous l’avons, et ce qui en résulte, est notre destruction mutuelle. Dès lors, si l’homme avait des racines aujourd’hui, on le saurait…

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…alors que la société forestière…

D’un autre côté, il y a les forêts, une société pleine de solidarité encore aujourd’hui trop méconnue. Même si les arbres peuvent s’avérer compétiteurs entre eux, pour capter les rayons lumineux par exemple, ils sont surtout partageurs. Des botanistes de l’université de Bâle, ont découvert que les arbres s’échangent du carbone, y compris entre différentes espèces. C’est ce que l’on appelle la symbiose du type mutualiste.  Les arbres prélèvent le CO2 non pas seulement pour eux, mais aussi pour les arbres voisins. Jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Ce sont les réseaux de champignons souterrains qui permettent cet échange de carbone.

En outre, les arbres se parlent, s’entraident, s’adaptent. Leur mode de vie est presque une ignorance totale. Ils font preuve de relation intime, de solidarité, et même d’intelligence. Les liens entre les arbres sont si surprenants, qu’on pourrait parler de personnes. Par exemple, deux arbres côte à côte prennent soin l’un de l’autre, ils poussent de façon à ne pas se gêner. Les branches les plus imposantes ne vont pas pousser vers le voisin, mais à l’opposé, comme s’il respectait l’espace vital de l’autre. À l’inverse, au niveau des racines, ils sont complètement entrelacés, comme s’ils ne formaient qu’un. Et si l’un des arbres venait à tomber, l’autre mourra à son tour. Les arbres forment un ensemble vivant, une petite société, avec ses couples, ses amis et ses familles. Nous savons depuis vingt ans environ qu’il y a des arbres « mères » et que ces derniers nourrissent carrément les plus jeunes, grâce à leurs racines qui leur donnent du sucre. Par ailleurs, les arbres « mères » ne nourrissent pas n’importe quels arbres, ils reconnaissent leurs petits grâce à leurs racines. De plus, les arbres communiquent également sur de grandes distances grâce à un vaste réseau. Ce réseau est constitué de champignons qui permettent de relier les arbres entre eux et grâce à cela, ils s’échangent des informations qui leur permettent de se préparer en cas d’attaque, et encore bien d’autres choses. « La forêt est plus que la somme de ses arbres ». De par sa citation, Christien Körner l’a dit : jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les fines racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Donc la somme des arbres importe peu, c’est l’ensemble des arbres qui constitue une forêt pleine de coopération !

Les arbres ne se font pas la guerre, ils s’entraident. 

Pourquoi ne pas y prendre exemple ?

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…devrait être une leçon

Pour conclure, si ce n’est qu’elle fait tout en silence, cette société ressemble étrangement à la nôtre, mais seulement sur quelques points : les hommes peuvent s’entraider; ils éduquent et nourrissent leurs enfants, ils protègent leur famille, leurs amis, et font preuve de bien d’autres actes solidaires. Tout comme les arbres.

Mais les arbres, eux, ne se font pas la guerre pour différentes choses comme le fait constamment la population humaine. Ils ne se détruisent pas entre eux. Au contraire, ils s’entraident, même entre différentes espèces, alors que chez nous, persiste le racisme, l’insensibilité aux conséquences de nos actes (comme le réchauffement climatique), ou encore notre esprit compétitif.

Chaque maillon des chaînes alimentaires est nécessaire au bon fonctionnement de tous les écosystèmes. Si un maillon disparaît, tout est perturbé. Mais si l’homme disparaît, la nature ne pourra que renaître de ses cendres.

 

L’esprit réel et l’au-delàs

Pratiquée  de base au cœur des religions et dans de nombreuses groupes de spiritualités. La méditation est devenu ultratendance, elle ne cesse de faire des adeptes et infiltre les clubs de gym, les hôpitaux, les entreprises et même les écoles. Cette pratique a pour but de se concentrer sur son corps et de son esprit sur un thème ou un symbole religieux. La méditation n’est-elle qu’un repli sur soi? Nous montrerons que dans un monde ordinaire elle est perçue comme un repli sur soi, par contre dans le haut de là elle a une ouverture dans le monde des lumières.

Un remède pour la souffrance psychique

Une respiration profonde, une posture immobile, un, deux, trois on se concentre… La méditation est une recherche spirituelle. Une pratique mentale qui consiste généralement en une attention portée sur un certain objet, un  niveau de la pensée et des émotions, du corps. Dans une approche spirituelle elle peut être un exercice, voire une voie de réalisation du Soi et d’éveil. Originaire de l’Inde, elle se pratique dans quasiment toutes les religions et depuis quelques années, une version laïque connaît un essor considérable en Occident.  La méditation peut se pratiquer seule ou en groupe. Elle peut se pratiquer dans les lieux de culte tel que les mosquées, les temples, les églises; dans des jardins comme « les jardins japonais »; chez soi… En faites dans un endroit ou l’esprit trouve son calme. Ce calme on retrouve plus souvent dans des endroits ou l’on est en contact direct avec la nature(l’eau, végétations, terre, pierres…), les lumières… Les êtres vivants ne peuvent survivre sans les ressources naturelles.

La méditation est une pratique égocentrique! une signification très négative

Le fait que la méditation a pour but que l’individu est en état de se prolonger dans le temps et dans ses pensées, afin de trouver la paix intérieure, est souvent perçu comme étant un repli égoïste sur soi, un isolement, un retrait au sein de la société. Durant la méditation l’individu coupe contact avec le monde extérieur, il ne communique plus avec les autres individus qui l’entourent. Certains comme par exemple le journal La Croix, les interprètes comme étant un « un dessaisissement du réel » . Il reste centré que sur lui-même et a tendance à ne considérer que son point de vue et ses intérêts propres. Mais encore, l’individu devient plus fragile psychologiquement. Si la personne n’a pas ou plus de repères fondateurs de sa vie réelle, elle n’aura plus la capacité à quoi se raccrocher intérieurement. Cela est un danger psychologique pour l’individu. « Un individu sans repères c’est un individu perdu ».

L’Homme se tourne vers la spiritualité pour trouver un sens à leur vie

Le stresse, l’angoissent, la peur, la dépression… Comment s’en débarrasser sans la pratique d’une méditation? La méditation c’est être à l’écoute de soi afin de mieux se connaitre et de s’accepter soi-même. Grâce au communications échangées entre l’individu et l’au-delà, il arrive à trouver la paix intérieure grâce à cette présence Divine qui est en lui. Le pratiquant ne coupe contact avec le monde ordinaire, il s’écoute soi-même afin d’être plus attentif à l’extérieur et aux autres individus qui l’entourent pour pouvoir vivre ensemble. En effet, il guide les autres à être sensibles à l’éveillent tout en progressant lui-même vers son propre éveil.

La méditation, est de plus en plus pratiquée pour ces bien faits, de relaxation, d’une augmentation de quantité du contrôle musculaire, de la vision, de l’ouïe, de la mémoire, des émotions et de la parole. Elle facilite également la concentration et la fluidité des sentiments complètement immergés et stimulés par quelque chose. Le fait de se prolonger dans ses pensées, l’individu est plus productif et créer ça propre vision des choses. Chaque individu est héritier d’une richesse et des valeurs qui lui ont été transmis. En se prolongeant dans ses pensé l’individu est en contact direct avec ses racines c’est ce qui lui permet de connaitre sa propre identité. C’est pourquoi il est primordial de savoir qui on est. 

La dignité de l’individu construit l’Homme

La méditation est une expérience à assimiler, communiquer avec sa présence Divine et l’Univers. C’est un pas vers une vie plus sereine pendant les difficultés de la vie et une transformation de sa qualité de vie. Nous sommes aujourd’hui en plein capitaliste et en promotion de l’individualité. Il serait temps de s’accorder du temps pour soi et savoir trouver sa place dans le monde qu’on se construit. Nous ne pouvons préserver un Univers seul sans la collaboration de la nature. 

 

Méthodes rappel

Articles d’opinion à publier pour les TC2 le 5 novembre : à partir de l’article d’opinion distribué, répondre à la question « La méditation n’est-elle qu’un repli sur soi ? » – Contexte : salon sur le bien-être (pensez à un salon de vente de produits de bien-être).

Pour les AP2 et TC2, quelques rappels de méthode : passer par un brouillon, pour déterminer la situation de communication (qui parle à qui ? etc. voir cours), la thèse défendue, les arguments pour / les contre-arguments. Chercher à varier les types d’arguments et obligez-vous à au moins 2 arguments d’autorité (Pascal ou Nietzsche ou Pascal ou Marx ou Pascal ou…). Choisir un plan : dialogique / dialectique / concessif et numéroter les arguments en fonction du plan choisi.

Forme de l’article d’opinion :

  • illustration en haut
  • titre qui laisse déjà percevoir la thèse (le titre-oxymore fonctionne bien)
  • chapô contenant : amorce / question du sujet / problématique (Certes…Pourtant… Dès lors…) / annonce de la thèse défendue (Nous montrerons que…)
  • argumentaire structuré au moyen de connecteurs logiques et de trois intertitres.
  • Conclusion qui récapitule de façon très claire la thèse défendue.

Faire un effort de style : respect des codes de grammaire, d’orthographe, vocabulaire précis et varié ; mais aussi emploi de figures de style d’argumentation : anaphore, gradation, dérivation, anadiplose 😉

Bon travail à tou.t.es !

S’opposer à l’évolutionnisme Darwinien par la compétition tout en s’appuyant sur la nature… une impasse ?

 

En plein dans l’extinction massive de la biodiversité le plus rapide depuis le crash de l’astéroïde ayant causé la disparition des dinosaures, Pablo Servigne, avec L’entraide, l’autre lois de la jungle nous enjoint à nous pencher sur la nature comme système solidaire. Dans cette société basée sur l’économie fossile, là où la concurrence des marchés fait rage, là ou la loi de la jungle est la plus forte, quel modèle voulons nous suivre ? Des recherches récentes nous ont fait découvrir une société résiliente, inter-dépendante et inspirante; La forêt. Nous verrons qu’en effet, les individus qui l’a compose nous ressemble plus que nous le croyons ainsi que leurs interactions, bien qu’elles déconstruisent en grande parti l’image que l’on s’en ai faite. Cependant, les politiques se basant sur une nature prescriptive ayant été souvent sinistre, serait-ce une bonne idée de continuer à s’appuyer sur la nature pour faire une société ?

La nature et l’Homme, une dichotomie ?

L’exploitation de la nature est souvent justifiée par une soi-disantes supériorité de l’Homme par rapport au reste du règne animal, ou encore par une conception, que l’on sait maintenant erroné, de la nature qui serait inerte. Peter Wollheben explique dans La vie secrète des arbres, que ces derniers perçoivent, communiquent et sont capables de se défendre. Lorsque un arbre est agressé, l’auteur prend comme exemple une chenille plantant ses mandibules dans une feuilles ; un signal électrique se propage dans le tissu végétal, de la même manière que le ferait un corps humain, en réaction à une blessure. L’arbre va synthétiser des anticorps, une substance adaptée à l’attaque en cours, qu’il est capable de reconnaître grâce à la salive spécifique à chaque espèces d’insectes. Les chênes envoient des tanins amers et toxiques dans leurs écorces et leurs feuilles. Les ormes et les pins peuvent émettre des substances attirantes pour de petites guêpes qui pondent leurs œufs dans le corps des chenilles qui les envahissent. S’il ne faut pas oublier que nous faisons parti du règne animal, nous devrions aussi éviter de déconsidérer le restes du vivants qui ne diffère pas tant que ça de nous.

Une entraide cachée

Suite aux nombreuses théories du darwinisme social, que ce soit celle de Galton, Spencer, Lipman ou encore Dewey, nous en sommes venue à considérer dans la doxa, la nature comme le vivier de comportements compétitifs, agressifs, où les individus sont hiérarchisé en fonction de leurs capacité à s’adapter à un milieux. Darwin lui même pourtant avait rapporté des comportements solidaires, entre individu et même inter- espèce. Les capacités d’observations de l’époque ont peut-être cependant participé à minorer cette découverte. En effet elle se passe souvent à une échelle microscopique, comme les bactéries du genre rhizobium qui ont la capacité d’entrer en symbiose avec les plantes de la familles des Fabacées (qui les attirent grâce à des substances chimiques). Ces bactéries s’installent dans des nodosités, qu’elles vont former au niveau des racines. En échanges d’un substrats carboné (un support en sommes) fournis par les plantes, elles vont fixer l’azote atmosphérique qui sera ensuite directement assimilable par leurs hôtes. De quoi nous amener a repensé la théorie de la jungle, ce qui était d’ailleurs un argument du prince anarchiste russe Pierre Alexeievitch Kropotkine: de ses observations en tant que zoologue lors de ses explorations, il contredira les théories darwinistes sociales et s’appuiera sur celle-ci pour ses théories communistes et libertaires.

Une ville, avec ses propres immeubles, routes, lieux d’échanges et… la fibre !

Cependant, la forêts n’est pas juste une addition d’arbres. C’est un  une collectivité, un système, on parle d’ailleurs d’écosystème. Ce qui est vrai pour tous les écosystèmes est vrai pour la forêts, le maintien de leurs « santé » passe par les nombreuses interactions des individus multiples le composant. On ne pourra pas faire une liste exhaustive de celle-ci mais prenons l’exemple des mycorhizes, qui sera sans doute le plus parlant. Depuis des millions d’années, les arbres se sont associés aux champignons. Ces derniers sont de curieux organismes qui échappent à notre division usuelle du monde vivant. Ainsi, les végétaux sont autotrophes, c’est à dire qu’ils génèrent leurs propres nourritures à partir de matière inerte grâce à l’énergie de la photosynthèse, ce qui induit une certaine autonomie par rapport aux hétérotrophes qui se nourrissent d’organismes vivants (comme les animaux). Le champignons ne sont ni l’un ni l’autre. Ils peuvent s’associer aux arbres et étendre la surface de leurs racines (les arbres observés peuvent donc pomper plus d’eau et de nutriments) en échanges de rétributions sous formes de sucre et glucides. Dans une forêts, on a donc un vaste réseaux de racines et de mycélium interconnecté, formant un organe symbiotique mixte ; servant de messager quant aux potentielles attaques des racines ainsi que de transport répartissant des nutriments d’un arbres à l’autre. Pourquoi y-aurait ils des échanges de nutriment d’arbres en arbres puisqu’ils sont tous autotrophes ? Parce qu’il vivent en communauté et si des individus faibles disparaissent, les autres sont alors plus exposés aux brûlures du soleil, ou aux vents violents. On est donc plus dans une vision collectiviste de la société que d’une vision de lutte permanente contre les autres et pour l’intégration à l’environnement.

 

Cette vision réfute totalement le darwinisme social, qu’il soit la vision collective que l’on a aujourd’hui sous forme d’injonction: La société n’a pas à s’adapter aux minorités, c’est à elles de s’y intégrer, qu’il soit celui autoritaire dans laquelle compétition oppose les races, les classe et les nations, validant ainsi la colonisation, l’impérialisme et l’eugénisme, qu’il soit néolibéral dans laquelle on adapte les concepts d’adaptation, de concurrence à l’économie et au marché et justifiant l’exploitation à outrances des ressources. L’importation de la biologie dans le politique peut elle donc être productrice de sens et pas seulement produire des effets dangereux ? Le risque à rendre la nature prescriptive est de la moralisé selon nos codes moraux. Hors si la nature peut nous fournir des arguments moralement juste, elle peut certainement en fournir d’autres qui ne le sont pas. D’une nature que l’on nomme accueillante et généreuse, d’une nature que l’on attend autonome puis résiliente, d’une nature que l’on craint, froide et compétitive, ou bien d’une nature que l’on symbolise féminine voir maternelle… peut-être serait-il temps que l’on coupe le cordon ombilicale et qu’on assume nos théories politiques ainsi que leurs conséquences!

 

 

Toussaint 2019…

En ce jour mémorable votre statut vie de passer de modeste contributeur à honorable auteur.

Donc à partir de maintenant:

N’oubliez pas les étiquettes (créa-innov +…) la catégorie, les liens …

Pour les droits d’auteur… il n’y en a pas… et je vous rappelle que dans 2 ans vos comptes sont supprimés du site => Droit à l’anonymat

POC21 : 12 projets innovants pour préserver l’environnement !

La POC21 (en référence a la COP21) s’est déroulée en août 2015. Cette initiative a pour but de réunir 100 fabriquants, designers et innovateurs afin de développer de nouvelles innovations pour préserver l’environnement. Ce projet international est orchestré par l'association française Ouishare

Voici quelques innovations qui en sont ressorties :

-Wind Turbine : une éolienne domestique

-Des jardinières optimisées en kit : Aker

- Bicitractor : un vélo-tracteur

-Une combinaison de bonnes idées pour la cuisine : Biceps Cultivatus

-Connaître sa consommation pour mieux la réduire : Open Energy Monitor

« L’objectif premier de POC21 : partir de matériaux de récup’ ou recyclés pour construire les différents prototypes, afin de réduire au maximum les coûts et rendre accessible ces projets »

lien vers article

Cet homme a nettoyé son lac!

L’homme que vous voyez en photo ci-dessus se nomme Marino Morikawa, il s’efforce de résoudre un  problème parmi les plus difficiles du monde : La pollution de l’eau

En se basant sur les chiffres, c’est le cas pour 40% des lacs et rivières du monde entier!

Donc quand le lac d’enfance de Marino a aussi été contaminé il s’est dit qu’il fallait faire quelque chose.

Le scientifique, détenteur d’un PhD  d’une université Japonaise (ce qui équivaut à un doctorat)  a pris un congé de l’école, s’est rendu à la banque, a pris un prêt, et a dédié son temps à résoudre le problème de son lac.

Son travail aboutit par la création  d’une solution unique; on met cette solution dans l’eau sale du lac et la magie opère, la solution attire les particules contaminées à la surface et les fait flotter par la suite, cette solution est faite pour ne nuire en aucun cas à l’environnement , vous pouvez même la manger car c’est 100% organique.

Après 15 minutes vous pouvez voir la différence entre une eau propre et une eau polluée.

« si je peux nettoyer ce verre alors je peux nettoyer mon lac en entier! » Marino

Il retourna donc à son lac d’enfance et y déversa une tonne de sa solution , traitée avec des bio-filtres et la nanotechnologie. Après seulement quelques mois, il fut capable de transformer son lac.

A Man From Peru Has Found an Ingenious Way to Clean Lakes, and It’s a Breakthrough the Earth Was Crying For

Son prochain projet est de nettoyer le plus grand lac au Pérou, celui-ci débutera en 2020!

Voici les différents liens pour accéder à son travail.

https://brightside.me/wonder-people/a-man-from-peru-has-found-an-ingenious-way-to-clean-lakes-and-its-a-breakthrough-the-earth-was-crying-for-719560/

 https://www.instagram.com/marino.morikawa/

Replika, l’intelligence artificielle au service des morts!

Black Mirror, une série d’anticipation dont les épisodes sont totalement indépendants. Cette anthologie est en réalité une critique de l’utilisation que nous faisons des nouvelles technologies, à travers la présentation d’un futur dystopique proche, voire imminent.

Dans un des épisodes (2013), une jeune femme fait appel à une entreprise pour créer un double numérique de son mari à l’aide des traces qu’il à laisser sur internet (messages ; photos ; vidéos).

Alors quel est le rapport entre cette série et la réalité ? Comme dit dans la première phrase de cet article, Black Mirror est une série d’anticipation. Trois ans après la sortie de l’épisode, la première intelligence artificielle capable « de faire parler les morts » voit le jour. En 2016 puis en 2017, une femme et un homme mettent au point ce type d’intelligence.

Lien vers l’histoire de la jeune russe

Lien du site officiel de l’AI Replika

Lien vers un article traitant de ce sujet

Trailer de l’épisode « Be right back »

 

Le Red Tattler, premier train 100% solaire !

La cité balnéaire de Byron Bay, située à 600 kilomètres au nord de Sydney, possède depuis décembre 2017 un train électrique fonctionnant entièrement à l’énergie solaire.

Il parcourt seize fois par jour, en sept minutes, un trajet de trois kilomètres. Chacun peut y monter pour l’équivalent de 2 euros, tous les jours de la semaine.

Train solaire en gare, vue du dessus

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La ville du Futur ? Voici Masdar.

A quoi ressemblera la ville du futur ? Serait-il possible qu’elle soit verte, autosuffisante en eau et en énergie, qu’elle puisse même se trouver au milieu du désert ? Serait-il possible qu’elle existe déjà ? Oui, et cette ville se nomme Masdar.

Elle se situe aux Émirats Arabes Unis, à quelques kilomètres de Abu Dabi, et se désigne comme un modèle écologique urbain. Une ville pétrole comme Masdar, riche grâce à cette énergie fossile, voudrais développer les énergies vertes et renouvelables ?

Son objectif est de ne produire aucune émission de gaz à effet de serre tout en étant autosuffisante en énergie, mais également de ne pas produire de carbone et de faire aucun déchets.

Un projet risqué mais ambitieux, du fait de son coût chiffré à 15 milliards de dollars et du fait qu’elle soit une ville pionnière dans ce domaine. 

Cette ville n’est occupée actuellement que par des étudiants-chercheurs de Masdar, mais pourra à terme accueillir 50 000 personnes et 1500 entreprises d’ici sa finalisation, en 2030.

Lien de l’article

La Réalité Virtuelle pour vaincre les phobies

De plus en plus de professionnels de la santé commencent à investir dans un casque de réalité virtuel. À la manière d’un « Ready Player One », c’est une création innovante permettant à l’utilisateur de se projeter au travers d’un casque sur les yeux, dans un environnement, une situation ou encore un jeu. Ainsi, cette création de plus en plus perfectionnée peut aider certaines personnes à vaincre leurs phobies. C’est un véritable outil de soin pour les psychologues car ici, le patient va être mis dans une situation handicapante, gênante voire problématique, les confrontant à leurs phobies, mais de manière totalement virtuelle. Le psychologue va ainsi pouvoir traiter la phobie du patient en lui posant des questions et en lui proposant des méthodes de soins adaptés. Néanmoins, il ne faut pas oublier que l’acteur de cette guérison, c’est la personne elle même!

 

 

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/07/14/des-therapies-en-realite-virtuelle-pour-surmonter-ses-phobies_4969516_4408996.html

L’innovation technologique au cœur de la Mission Handicap de Sopra Steria

La Mission Handicap de Sopra Steria œuvre toute l’année pour l’inclusion de tous, notamment grâce à l’innovation technologique. Nous avons rencontré Philippe Baconnet, responsable de la Mission Handicap, et Florent Tous, ingénieur à Lyon et à l’origine de l’application HoloLearn. Ils nous expliquent les initiatives prises et les projets menés

La Mission Handicap de Sopra Steria est composée d’une équipe de 5 personnes dirigée par Philippe Baconnet. Son rôle est d’animer les accords handicap conclus depuis 2012 entre les partenaires sociaux et l’entreprise et de mettre en œuvre les engagements pris. Elle est donc garante de la politique volontariste de recrutement et de maintien dans l’emploi des personnes en situation de handicap au sein du Groupe.

La Mission Handicap s’appuie fortement sur l’innovation technologique, élément fort de l’ADN de Sopra Steria, pour mener à bien ses missions. Une démarche naturelle pour son responsable : « L’élément directeur de notre politique handicap est l’égalité des chances pour tous et la prise en compte du handicap pour permettre à chacun de s’intégrer dans l’entreprise. Le numérique est un secteur d’innovation grâce auquel nous pouvons proposer des solutions technologiques pour assurer la compensation du handicap et permettre aux collaborateurs qui en bénéficient de travailler autant que possible sur leur poste de travail. »

Un des axes du 3e accord handicap 2018-2020 ouvre la possibilité de soutenir des innovations technologiques. Cet accompagnement, financier ou via un transfert de compétences, vise des projets innovants qui proposent des solutions favorisant l’autonomie des personnes en situation de handicap, en environnement professionnel ou dans la vie quotidienne. De quoi replacer encore une fois l’innovation au centre des débats

source

L’enceinte Innovante

La start-up Française Devialet sort une enceinte Bluetooth innovante la « phantom ». C’est devenu l’objet iconique de la marque. Elle se dit l’enceinte «  la plus puissante du monde », elle est en forme de sphère et blanche. Grâce à des capteurs les basses sont modifiées, et rendent l’objet 10 à 100 fois plus préformant de tout se qui ce fait actuellement dans le même domaine.

Elle possède 4500 W de puissance, jusqu’à 108 dB ( plus puissant qu’une rave party), elle consomme entre 14 hz et 27 khz, elle pèse 12 kg, ce qui est peu vu la puissance qu’elle dégage. D’après le site officiel Devialet, ils disent que l’enceinte fait « 0 distorsion, 0 saturation, et 0 souffle ». Elle peut se connecter par plusieurs moyen, en wifi, Bluetooth, par câble, par airplay, avec spotify connect, et par UPNP.

Les prix varient ils vont de 1 590 euros à 2 890 euros, cette enceinte n’est pas accessible pour tout le monde. Elle est beaucoup critiquée à cause des prix. Il y a aussi des accessoires qui vont avec mais les prix sont aussi élevés.

Devialet l’enceinte Phantom

HYPERLOOP, le train du futur

De nos jours, les technologies de transport évoluent constamment, avec notamment l’essor de celles qui utilisent l’énergie électrique, parfois même solaire. Elles sont développées dans le souci de satisfaire au mieux les impératifs environnementaux, économiques et elles lancent toujours de nouveaux défis techniques.

Elon Musk, connu pour avoir fondé les entreprises SpaceX et Tesla a imaginé un mode de transport futuriste. Son projet, l’Hyperloop, sera le cinquième mode de transport “terrestre”, après le bateau, le train, les transports routiers et l’avion. Il sera comme un train, qui voyage presque à la vitesse du son dans un tube qui reliera Paris – Limoges par exemple, dont on parle pour 2030, ne durerait que 40 minutes contre trois heures aujourd’hui..

Ce train fonctionne avec un système de propulsion et de sustentation magnétique et il sera maintenu dans un tube à basse pression.

Depuis, le projet ne fait qu’évoluer et grandir de jour en jour, avec un grand nombre d’entreprise en compétition pour réaliser le projet.

 

https://thegoodlife.thegoodhub.com/2018/05/07/le-premier-trajet-en-hyperloop-prevu-pour-2020/

 

Économie et innovation : les enjeux

Il s’agit de l’article de David Encaoua, Dominique Foray, Armand Hatuhuel et de Jacques Mairesse à propos des travaux du programme du CNRS. Ce programme a permis de stimuler les recherches sur l’innovation en France. L’objectif de ce programme est d’analyser la nature de l’innovation et ses effets sur les performances économiques et sociales.

Les économistes mettent en avant différentes représentations de l’innovation comme la représentation macroéconomique et microéconomique. Ils mettent aussi en avant les questions qui traitent de la recherche, le croissance et l’emploi en lien avec l’innovation. Les économistes parlent aussi de la gestion de l’innovation ainsi que la théorie de la firme innovante. Pour cela, ils font une relecture de la notion d’innovation avec ses variétés notamment dans le monde de l’entreprise avec les interrelations entre les innovations.

De plus, le sujet de l’économie et de la sociologie de la Science est traité ainsi que les politiques publiques en faveur de l’innovation.

 

https://www.cairn.info/revue-d-economie-politique-2004-2-page-133.htm#

L’innovation aux services de notre santé

Ce site répertorie les dernières Innovations en terme de médecine et comment des innovations pour d’autre milieux peuvent améliorer notre santé et nous aide à combattre certaine maladie ou tout du moins les prévenir ainsi que de permettre aux personnes les plus éloignés d’avoir accès à des consultations sans avoir bougé de chez eux ce qui combattra l’isolement et la pénurie de médecin dans les campagnes ce qui est un avantage. Ce site présente aussi les dernières nouveauté dans ce secteur en les décrivant (fonction, caractéristique, etc…) le Vocabulaire est adapté même pour des personnes qui ne sont pas dans le secteur de la médecine ou de la biologie humaine, Jeune ou moins jeune tout le monde peut comprendre a quoi sert telle ou telle innovation de plus tout le monde peut soumettre un article ou des informations complémentaires aux gestionnaires du site grâce a leur mail ces articles peuvent être des interviews comme des articles plus conventionnels ou même des vidéos de présentation de plus le site est mis à jour régulièrement et met en avant les nouveaux article

Lien du site : http://innovationesante.fr/

La forêt, les racines de la solidarité

« La solidité maximale d’une chaîne est celle de son maillon le plus faible », voilà un vieil adage qui s’applique bien au cas de la forêt, et c’est ce que nous allons étudier dans cet article. Dans une société ou le chacun pour soi est devenu le leitmotiv de notre quotidien, ne serait-il pas préférable de revenir aux fondamentaux de ce qui fait l’essence de la société : la solidarité ? Quelle solidarité me direz-vous ? Celle qui nous entoure, celle que tout le monde voit sans même la connaître : la solidarité de la forêt. Oui, les arbres communiquent entre eux et s’entraident. Alors, qu’attendez-vous, vous lycéens, étudiants, apprentis  pour prendre exemple sur ces êtres incroyables, pour enfin créer une véritable société solidaire?

La loi du plus fort, remise en cause ?

« Seuls les plus forts survivent », c’est ce que défend Darwin dans sa théorie de l’évolution. Selon lui, les individus faibles sont éliminés naturellement, car ils sont plus vulnérables face aux dangers et menaces. Ils se reproduisent donc moins entre eux, et les individus forts persistent dans le temps. Ceci permet alors aux espèces de se perfectionner de générations en générations. Ne serait-il pas dépassé de raisonner encore ainsi ?

En effet, il semblerait bien que la forêt remette en cause cette théorie désormais approuvée par l’ensemble de la communauté scientifique.  Dans le livre La vie secrète de arbres, Peter Wolleben nous apprend comment s’organise la société des arbres : comment ils communiquent, ce qu’ils ressentent, mais aussi la façon dont ils s’entraident en cas de danger. On découvre alors que la forêt est une véritable organisation basée sur la solidarité entre individus.

« Un arbre n’est pas une forêt, il ne peut à lui seul créer des conditions climatiques équilibrées, […]. A plusieurs, en revanche, les arbres forment un écosystème qui modère les températures extrêmes, […]. Dans un tel environnement, les arbres peuvent vivre en sécurité et connaître une grande longévité. » 

Chaque arbre a donc besoin des autres, y compris des plus faibles, pour se protéger des conditions climatiques et affronter les dangers. Pour cela, les arbres ont mis en place divers systèmes de communication et d’échange afin de s’entraider. Il a notamment été prouvé qu’il existe des échanges de nutriments entre les les individus via les racines, ce qui permet une répartition équitable des ressources, et augmente ainsi leurs chances de survie.

La forêt : des arbres, une force

La société des arbres est donc plus proche d’une organisation ou chaque individu a un rôle a jouer dans la survie de l’ensemble de la forêt, que d’une organisation ou règne la loi du plus fort. Chaque arbre pourrait être le membre d’un corps mystique, comme le disait Pascal dans Pensées : chacun indispensable et indissosiable des autres. Les plus forts aident les plus faibles en leur apportant des ressources nutritives, et les plus faibles les protègent des intempéries.

 

Quand entraide rime avec survie

La solidarité permettrai donc à l’ensemble des individus de la communauté d’assurer sa propre survie. C’est d’ailleurs ce qu’avait observé Kropotkine chez certains insectes sociaux comme les abeilles ou les fourmis.

Alors pourquoi ce type d’organisation, qui fonctionne aussi bien pour les arbres que chez certaines espèces animales, ne pourrait-il pas s’appliquer à notre société humaine ? Ne vivrait-on pas mieux en étant plus solidaires ? Si on observe nos mode de vie, on peut avoir une réelle impression de chacun pour soi : chacun est en quête de son propre bonheur, assouvi ses propres désirs en ignorant ceux des personnes qui l’entourent.

On en est tout de même arrivés à un point où l’on ne connaît plus ces voisins, ce qui montre le peu d’empathie et de considération que l’on a pour les autres. Il faut donc recréer les liens et les échanges entre individus. Il ne faut pas se contenter de pseudo-actes de solidarité qui nous donnent soit disant bonne conscience. Ceux-ci mettent plus en évidence notre hypocrisie que notre altruisme. Il faut revenir aux racines de la solidarité : des actes qui aident, qui sauvent et qui nous rendent tous plus forts les uns, les autres.

 

Sport diététique les nouvelles innovations food écolo !

2019 et EST l’année de l’innovation sur l’alimentation. Qu’allons nous trouver dans nos assiettes futureS ?? bonne questions. « On veut des produits qui respectent la planète, les producteurs et notre santé « .Qu’ils soient végétariens, vegan, renforcés en protéines ou autres… les produits de demain se positionnent pour répondre à des régimes de plus en plus individualisés. De la gaufre sans gluten au charbon actif au jus de cornichons pour les sportifs, oui du jus de cornichon. Issus de produit 100% sans sucre et sans caféine, ce jus de cornichon est fait pour les grands sportifs. En effet, d’après les exposants, cette potion peu savourante évite les crampes musculaires pendant l’effort, et aussi du fromage biologique à la confiture de Kimchi. Petit tour d’horizon des produits les plus fous qui se trouveront demain dans nos assiettes.

 

https://www.ladn.eu/nouveaux-usages/usages-et-style-de-vie/innovations-tendances-food-2019-sial-2018/

 

Innovation : les salariés ont la solution !

[…] Car c’est bien l’innovation qui permet aux entreprises de maintenir leur compétitivité. Introduction de nouveaux produits, amélioration de l’expérience client, digitalisation, tout doit être revu et à un rythme de plus en plus rapide. On forme au design thinking, la direction de l’innovation multiplie les hackathons et les learning expéditions, après avoir communiqué sur l’accélérateur de startup, la direction met en avant l’incubateur interne, bref, tout le monde doit être mobilisé. […]

J’ai choisi cet article, car je le trouve très intéressant. Il montre clairement que les innovations ont des limites et sur le long terme peuvent devenir néfastes. La créations L’utilisation de nouvelles technologies fait perdre des emplois et en créer crée . Elles engendrent de nouveaux emplois « intelligents » mais on remarque également l’apparition d’emploi stérile. Plus il y a de nouvelles technologies plus il faut en créer. Voici le lien de l’articlehttps://www.journaldunet.com/management/expert/71596/innovation—les-salaries-ont-la-solution.shtml

Le miroir intelligent

Le miroir est-il capable de voir si tu est en bonne santé ?

Ce miroir permet de rassurer les patients ainsi QUE de les prévenir de quelconques maladies. Il permet aussi de savoir CONNAITRE le niveau de fatigue, le stress, l’anxiété, la taille, le poids, l’âge..

Ainsi ce miroir peut devenir indispensable à l’être humains, il suffit juste de s’observer dans le miroir, celui-ci grâce à des capteurs et des caméras ultrafines vous donne votre état global. Rien n’échappe à ses caméras : fraîcheur du teint, couleur des joues, ou des paupières..

Ce miroir résume l’état de votre corps entier. Vous ne rêviez pas de savoir votre rythme cardiaque, vos fonctions respiratoire, votre niveau de fatigue, de stress ou d’anxiété ?

Ce miroir le fait, un seul coup d’œil dans le miroir et vous serez tous !

Source : https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/miroir-miroir-suis-je-en-bonne-sante-21928