Un supporter de football est une personne qui apprécie un club de football et appuie ce club lors de ses performances.
On distingue plusieurs niveaux d’implication chez les supporters:
- Les supporters occasionnels se rendent ponctuellement au stade de leur équipe favorite.
- Certains supporters s’abonnent au stade de leur équipe favorite, afin d’assister à tous ses matches à domicile.
- Les supporters les plus passionnés s’organisent en groupes de supporters officiels ou non officiels.
- Parmi ces groupes de supporters, les groupes plus influents sont ceux des supporters Ultras.
Moi, Je suis un supporter du FC Nantes et ma première compétition à laquelle j’ai assisté est FC NANTES – AUXERRE de 2005-2006. Depuis cet événement, j’ai vraiment apprécié la ferveur des supporters durant une rencontre, la joie de chanter au nom du club qu’on aime, l’amour du maillot pour les joueurs, les cries lors des buts, pour un enfant comme moi, c’était le rêve..
Et le bonheur continua quelques années après mais différemment..
A présent on se retrouve à chaque compétition avec des amis en Tribune Loire (la tribune la plus « chanteuse », avec des supporters aussi motivés que les joueurs à tout donner pour gagner le match du jour et « mouiller le maillot ». Venant régulièrement au stade de la Beaujoire ( stade du FC NANTES ) je fais donc partis de la catégorie « supporter abonnés » et en tant que passionné, je consacre beaucoup de temps et d’argent à cette passion mais je peux assurer que « c’est conciliable avec la vie de famille » car à présent, je viens au stade avec mes cousins. Ce genre de moment est donc un bonheur familial et de passion partagés avec sa famille et les autres supporters.
Il faut savoir que l’émotion des supporters n’est jamais aussi forte qu’au stade et est supérieure dans tous les cas à l’indice du bonheur moyen. Prenons ensuite l’exemple des Jeux Olympiques à Londres avec Claudia Senik, auteure de «L’Economie du Bonheur» qui s’est intéressée récemment à l’impact des grands événements sportifs sur le bien-être des populations….
Elle montre avec ses co-auteurs qu’entre l’ouverture des Jeux de Londres et leur fermeture, le bonheur mesuré sur une échelle de 0 à 10, est significativement plus élevé (en tenant compte de tous les autres effets), à Londres bien sûr, mais aussi à Paris et à Berlin : alors qu’il plafonne partout à 6,5 en moyenne avant les Jeux, il atteint 6,8 à Paris et à Berlin, et culmine à 7 à Londres. Cet effet est cependant éphémère puisqu’au mois de septembre, le bonheur redescend à 6,6, une valeur néanmoins supérieure au bien-être d’avant la quinzaine olympique. A partir de ces arguments, nous pouvons jugés que pour un supporter, son comportement du supporteur s’inscrit à la fois individuel et à la fois collectifs (mal dit, je ne comprends pas votre phrase?). Il partage l’émotion de l’événement sportif, la joie du champion au regard de sa performance ou de l’équipe qui a gagné. Dans le stade, son comportement est aussi influencé par le collectif générant une émotion et un bonheur et augmenter les sensations de plaisir.
PS du prof: J’ai mis votre première image à la une, ajouté des étiquettes, et affecté votre article à la bonne catégorie!
PT