La Forêt, une solidarité naturelle.

     La notion de solidarité est ancré dans notre société seulement depuis 1821, c’est à travers elle qu’est assuré la stabilité et l’équité. Aujourd’hui notre modèle de société semblerait résidé dans le modèle de la forêt pourquoi ? Tout d’abord au-delà de son extrême complexité dans son mode de fonctionnement, la forêt existe depuis des dizaines de milliers d’années et sera sûrement encore la bien après nous. Nous prenons aussi même exemple sur elle pour cultiver et bien d’autre dont nous traiterons dans cette article.

Si l’on prend la forêt dans ça globalité elle se trouve composée d’une part, d’une flore très importante mais aussi d’autre part d’une faune tout aussi importante.

 

Une flore solidaire entre elle mais aussi envers la faune:

     Au cours des siècles et des évolutions les différentes espèces et essences ont développées de multiples techniques afin de leurs permettre de mieux survivre dans ce milieu. Certaines de ces techniques vont soit venir aider seulement l’arbre concerné ou bien aider tout un groupe d’individus.

     Par exemple on peut qualifier la relation entre un champignon et une algue, comme une symbiose car l’association des deux va permettre au champignon d’avoir à sa disposition plus d’eau et sels minéraux. Tandis que l’algue elle va pouvoir puiser dans les réserves de glucose du champignon pour se développer. Ce type de rapport nous pouvons le retrouver dans nôtre société par exemple quand une personne se retrouve bloquées à cause de la neige sur la route, et que d’autres automobilistes viennent le pousser pour débloquer la voie et faire repartir tout le monde. Cette action va profiter à tout le monde.

     Il en est de même quand nous sommes en pleine hiver qui est ce moment assez triste de l’année, ou la plupart des arbres perdent leurs feuilles, ce phénomène bien que naturel permet aux espèces les plus petites d’être recouvert pour passer l’hiver « au chaud ». En effet en ce formant ce couvert végétal vient en quelque sorte protéger les plus faible et démuni, un peu à la façon de toutes ces personnes venant en aides aux sans abris en leurs offrant une couverture ou un toit.

     Enfin pour ce qui est de la faune, elle aussi va pouvoir profiter également de la forêt pour y trouver un refuge (comme pour la faune chassée par l’homme, elle va pouvoir passer par des endroits pas accessible pour son prédateur et lui échapper), une cache (comme les ronciers qui permet par exemple au lapin de protéger et dissimuler son terrier) ou encore de quoi se nourrir (avec les arbres portants des fruits).

 

Nous pouvons nous apercevoir de certaines similitudes entre notre modèle de société et celui de la forêt. Pour autant la forêt est-elle vraiment profitable à tous ? Encore plus pour les petits êtres et spécimens ? La loi du plus fort n’existerait elle pas aussi au sein de la forêt ?

 

Un manque d’équité malgré tout présent:

     Malgré beaucoup d’entraide présent en forêt ce lieux n’échappe pas à la loi du plus fort. En effet les plus faible ne survivent pas toujours et finissent aussi par se faire manger ou mourir. Comme par exemple quand il s’agit aux arbres de grandir celui qui ne réussira pas à suivre la cadence imposée par les autres arbres se retrouvera privé de lumière et finira par dépérir puis mourir.

  C’est le même cas pour les champignons et les arbres les champignons ne sont pas toujours favorable aux arbres et dans des cas extrême vont finir par tuer l’arbre.

    De même pour le côté nourricier de la forêt elle peut nourrir la faune et même l’Homme mais aussi tuer avec ces cadeaux empoisonner. Il existe beaucoup de fruits, champignons comestibles pour l’homme mais toxique pour certaines espèces et inversement.

 

   Pour autant tout ces défauts nous les retrouvons dans nôtre société actuelle, certaines personnes meurent de faim, ne trouve pas à manger ou n’ont pas les moyens. D’autre vont s’enrichir et en tirer tout les profits dans certaines situations. Et malgré tout beaucoup de personnes de nôtre monde meurent tandis que d’autre naissent. Un peu comme au rythme des saisons.

 

Il existe aucun modèle de société parfait :

     Pour conclure nous trouverons dans ce monde aucun modèle de société parfait pour autant il semblerait bien que celui de la forêt pourrait s’en approcher. Car même si il comporte quelques défauts, il possède malgré tout la plus grande équité. Et dans ce modèle de société chacun peut trouver sa place et avoir sa chance de survivre.

 

        Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ».

Une réflexion sur « La Forêt, une solidarité naturelle. »

  1. Titre tout simple et efficace : bravo !
    L’amorce en revanche est planplan. Cherchez quelque chose de plus percutant (et de plus juste, puisque nous avons bien vu que la notion de « solidarité » n’est employée qu’à partir de 1821). Qui prend la forêt comme modèle de nos jours ? A mieux problématiser.
    Point de vue du style, cherchez un style plus écrit. « Eh bien » est par exemple très oral, ce n’est pas un connecteur logique pour un article d’opinion. Attention aussi aux homonymes.

    Prendre à partie votre lectorat et annoncer avec clarté votre thèse.

    Le sujet est bien compris, et je trouve vos exemples pertinents. Vous faites le lien entre le forêt et la société, dans un système de comparaison efficace. Annoncez-le dès le chapô !
    Bien associer l’exemple à l’argument (dans le même paragraphe). Attention, à nouveau, à l’oralité : vous ne mettez pas assez de ponctuation. Revoir les accords sujets-verbes : SOS Monsieur Bescherelle !
    Pour le deuxième paragraphe, plutôt que « comme autre exemple », employez des connecteurs logiques : « Il en est de même quand… »

    La transition entre les deux parties est percutante. Prenez à partie votre lectorat, de nouveau.

    Employez les deux points pour expliquer. Rattachez davantage vos idées : les grands blancs font perdre en cohérence.
    Quand les idées sont un peu provocantes, posez-les avec une question, des modalisateurs… Le parallèle entre les inégalités sociales et les saisons doit être nuancé, car c’est polémique.

    Syntaxe : « ne… aucun… »

    Thèse convaincante, claire. Si vous voulez terminer par une citation (oui, Pindare, ça en jette !), il faut la rédiger. Par exemple : « Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ». De la forêt nous vient donc la solidarité. »

    Bon travail et bonnes fêtes 🙂

Les commentaires sont fermés.