Archives par mot-clé : internet

Comment faisaient les gens avant Google?

Papier de question

Rue89 a publié en décembre 2014 un article intitulé  » Quand on n’avait pas Google pour répondre à nos questions tordues ».

On a  découvert, à la New York Public Library, un carton rempli de papiers sur lesquels sont notées des questions diverses, datant des années 40 aux années 80. En effet, avant la naissance de Google, en 1998, les gens se posaient déjà de drôles de questions. Mais au lieu de les poser à leur ordinateur, ils interrogeaient les bibliothécaires. Ceux-ci retranscrivaient sur un bout de papier certaines de ces questions.

En voici un exemple :

« Papier peint. 9 décembre 45.

Comment je pose mon papier peint ? J’ai le papier peint, j’ai la colle. Qu’est-ce que je fais maintenant ? Est-ce que la colle se met sur le mur ou sur le papier peint ? J’ai essayé les deux mais ça n’a pas l’air de marcher. »

La pratique fut en partie abandonnée avec l’arrivé de Google. Néanmoins la  New York Public Library déclare recevoir encore 1700 questions par an.

Le fait de ne plus passer par un intermédiaire humain, la bibliothécaire, mais par la machine dénote d’une nouvelle pratique culturelle.

Les gens ont pris l’habitude de taper leur recherche sur internet plutôt que de se déplacer à la bibliothèque ou de consulter les encyclopédies.

Cette nouvelle pratique offre un accès plus rapide et plus large à la culture. Avec toutefois un soucis, le programme ne comprend pas toujours toute la subtilité d’une demande, et nous présente souvent une grande quantité de réponses non adaptées à notre questionnement.

Sur internet, l’enjeu n’est plus d’avoir accès à la connaissance mais de savoir faire le tri et d’organiser ces connaissances en fonction de leur intérêt par rapport au sujet.

 

Pour plus d’informations :

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/12/29/quand-navait-google-repondre-a-questions-tordues-256800

 

« Tous les internets » ou comment Internet change la vie dans le monde

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Chaque mercredi, Arte diffuse un entretien vidéo qui témoigne de des usages d’internet dans le monde.

Cette semaine, un Ougandais raconte son engagement. Depuis Londres où il vit depuis 2001, il milite activement dans le parti d’opposition au président Museveni “Forum for Democratic change” : Le président Museveni est au pouvoir en Ouganda depuis 1986. Les internautes font assaut d’imagination pour inverser la vapeur lors des élections du 18 février 2016.

Lien vers l’interview :

http://touslesinternets.arte.tv/1986pictures-30-ans-au-pouvoir-ca-suffit/

Les semaines précédentes, c’était Taïwan et l’Arabie Saoudite qui étaient à l’honneur avec ses militants de la démocratie.

Internet apparaît comme un moyen de s’emparer de la politique et d’échapper – au moins en partie – au contrôle des Etats.

Les semaines précédentes, vous pouvez retrouver Anatole qui témoigne de sa première conférence sur internet en 1983 ou l’organisation Sound and Pictures, un collectif syrien qui a organisé un réseau d’informations pour lutter contre Daesh.

Des entretiens à ne pas manquer.

Lien vers le site :

http://touslesinternets.arte.tv/

 

Internet de demain

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Aujourd’hui, avec nos smartphones, nous avons  accès à une multitude d’informations. En quelques clics nous savons tout sur tout. Plus besoin d’ouvrir des livres.

Programme d’intelligence artificiel

Aujourd’hui, Snapchat, Instagram, Selfies, les mobinautes ont pris l’habitude de prendre leur quotidien en photo. La Start-up ne va en rester là. Cette mode va s’accroître. Nous pourrons bientôt nous envoyer n’importe quels objets en 3D grâce à notre smartphone. Certains seront même rémunérés pour cela. Cette méthode va révolutionner le monde marketing et le monde de la médecine : des greffons imprimé en 3D serons implanté dans les patients.

Cependant, beaucoup d’interrogation persistent.

Le risque du burn-out est très présent. D’après M. Lévy, le niveau de stress collectif va encore augmenter et une utilisation profane peut poser problème. « La révolution numérique transforme le monde en données qui permettent de modéliser les espaces, le corps et même nos comportements, » dit M. Lévy

La multiplication des données, leur traitement et leur diffusion rends la société transparente et sous surveillance.

Lien vers l’article : http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/03/25/l-internet-de-demain-entre-enthousiasme-et-inquietudes_4389255_3234.html

 

L’embauche se médiatise

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Les entreprises s’intéressent de plus en plus à l’image virtuelle des demandeurs d’emplois. Par exemple en 2014, le groupe l’Oréal a effectué un quar tdu recrutement par les réseaux sociaux.

Selon une enquête du RegionJob, environ 56% des recruteurs se servent des réseaux sociaux tels que VIADEO ou LINKEDIN pour recruter leur employés dans tous les secteurs différents. Ces réseaux peuvent aussi vous ouvrir des portes sur d’autres entreprises que vous ne recherchiez pas mais pour qui vous êtes une recrue potentiellement intéressante. D’après Pascal Baumeister « Il s’agit de se connaître pour se faire connaître afin de se faire reconnaître ». Au-delà de la formule, cela revient à appliquer les outils du marketing et de la communication à la personne et à ses compétences.

Aujourd’hui on peut s’inscrire dans des réseaux sociaux pour professionnels. Plus notre profil sera complet et sérieux, plus on aura de chances de trouver du travail. Pour se faire remarquer, le demandeur d’emploi peut apparaître dans des forums sérieux. Selon Hervé Bouche, responsable du recrutement chez Poclain Hydraulics : « Avant, on sélectionnait passivement des candidats en recherche active. Aujourd’hui, on sélectionne activement des candidats en recherche passive ».

Comme le suggère l’article, pour être plus susceptible de trouver du travail dans une entreprise, on peut la suivre via le réseau social qu’elle utilise.

Tiré de l’article de Christophe BYS dans « l’usine digitale »

Lien vers l’article :

http://www.usine-digitale.fr/article/recrutement-les-reseaux-sociaux-meilleurs-amis-des-drh.N305903

Réalité virtuelle : La forêt a des yeux !

Aujourd’hui les technologies font partie de notre quotidien, c’est pour cela que l’évolution numérique est toujours plus grande. On a pu en avoir la preuve en apprenant l’existence d’un casque qui vous permet de voir la nature sous toutes ses formes.

Début 2015, dans la forêt de Grizedale, a été organisé un festival d’art numérique : « Abandon Normal Devices ». C’est une activité qui a retenu l’attention du plus grand nombre, il s’agit de « In The Eyes Of The Animales ». L’intérêt est de pouvoir voir la nature à travers le regard de trois animaux différents, la chouette, la grenouille, et la libellule.

Cette œuvre d’art a été réalisée par un groupe de jeunes londoniens les Marshmallow Laser Fest.

On commence par s’affubler d’un casque qui vous permet de voir le paysage en 3D en ayant l’impression d’y être immergé. Pour favoriser cette situation d’immersion, les personnes portent aussi une sorte de sac à dos qui vrombit, cela donne l’impression d’être l’animal lui même.

Cette exposition est un bon exemple de réalité virtuelle car elle met en relation le monde qui nous entoure (la nature) et les nouvelles technologies qui deviennent une nécessité dans la plupart des régions du monde. C’est pour cela que nous pouvons parler de l’apparition d’une nouvelle culture car le monde virtuel en trois dimensions fait déjà partie de notre quotidien (le cinéma ou les attractions de grands parcs connus). C’est aussi une nouvelle forme d’art et d’expression.

Retrouver l’article sur : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/09/23/frontieres-reel-vivre-foret-a-travers-les-yeux-dun-animal-261325

Fanny Jouan et Etienne Billard

Le rendez-vous à ne pas manquer : journée sur les enjeux du numérique sur France Culture avec Rue 89

Le numérique apporte des solutions nouvelles et bouleversent les usages, les lois et des frontières.

Le journal RUE 89 en partenariat avec France Culture propose une journée de débats samedi 24 octobre 2015, dont certains seront retransmis sur France Culture dans l’émission « Du grain à moudre » du 26 au 29 octobre 2015, de 18h20 à 19 heures.  Le programme aborde les questions de gouvernance du numérique (QUI FAIT LA LOI ?), la question écologique (LA PLANÈTE SERA-T-ELLE SAUVÉE PAR INTERNET ?), la question de la gestion des données (TOUS FICHÉS, TOUS SUSPECTS ?). La leçon de clôture sera prononcée par Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et professeur associé à l’université de Marne-la-Vallée, dont nous avons lu plusieurs articles à propos des réseaux sociaux.

Le lien vers l’article :

http://rue89.nouvelobs.com/2015/10/19/participez-forum-france-culture-lannee-vue-numerique-261656

Internet – du concept de la dématerialisation à la « cruelle » réalité

Cela commence par cette extrait audio de France Inter du vendredi 17 octobre 2015.

Extrait sonore: France Inter-Isabelle Sorente

Comme quoi, rien ne se perd, rien ne se crée mais tout se transforme…

Pour aller plus loin, une petite recherche – d’une valeur énergétique équivalente à 1/2 tasse de thé – me mène à l’article du Monde du 12 janvier 2009 (et je me dis que remonter le temps ne coûte pas beaucoup d’énergie). Par contre après avoir dépenser l’énergie de 2 cafetières à la recherche de la source et  n’ayant rien trouvé, je vous laisserai méditer sur ceci 😉

 

Serious games, vous connaissez?

Allez, go go go…

Bon vous connaissez bien quelques jeux sur la toile (où ailleurs). Mais une tendance se développe sur la mouvance de l’apprentissage par le plaisir.. les jeux sérieux. Pour vous donnez une idée vous pouvez parcourir ce site: http://www.serious-game.fr/.

Et pour voir ce que peut être un jeu sérieux, vous pouvez vous plonger dans l’univers de ce jeu essayant de vous sensibiliser sur les dangers des réseaux sociaux et des traces que nous y laissons…
http://www.2025exmachina.net/jeu

 

 

 

Quels réseaux sociaux pour ta classe sociale ?

 

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Une étude publié par un Think tank dans un article internet sur le Figaro.fr, menée auprès des 13-17ans prouve que les réseaux sociaux sont fréquentés plus par certaines classes sociales que par d’autres.

L’étude a d’abord voulu définir la fréquence d’utilisation des réseaux sociaux par les adolescents. Elle démontre que plus de 90% des jeunes se connectent au moins une fois par jour sur un réseau social. Dans ces 90%, on constate que Facebook est le plus utilisé , à l’opposé, Twitter remporte le moins de succès.

Cette étude démontre aussi que Instagram est le plus utilisé par des enfants de parents à hauts revenus, ce réseau social permettant d’étaler leur richesse au monde entier en envoyant de photos d’eux en voiture de luxe et en soirée arrosé de champagne …

Les Américains ont poussé leur étude et démontrent que la gente féminine préfère de loin des réseaux sociaux visuels, avec photo comme Snapchat, Instagram …  Alors que la gente masculine se contente de papillonner sur Facebook.

http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/les-adolescents-pauvres-sont-sur-facebook-les-riches-sur-instagram-13317/[huge_it_gallery id= »4″]

Les données personnelles des Européens sont mal protégées sur les réseaux sociaux

Dans une génération où pratiquement tout le monde se trouve sur les réseaux sociaux; comment être sur qu’on ne peut pas obtenir des données personnelles sur vous ?

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C’est ce que l’Autrichien Max Schrems a voulu vérifier… Et il s’est aperçu que le réseau social Facebook contenait une quantité faramineuse d’informations personnelles sur lui ! C’est pourquoi il leur a fait un procès qui dure depuis plusieurs années. Cette plainte est « un test grandeur nature » pour le Safe Harbour, qui se doit de protéger les données des citoyens européens.

Facebook n’a pas souhaité réagir à cette audience, bizarrement… Le géant des réseaux sociaux aurait-il des choses à cacher ?

Affaire à suivre.

Source : http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/03/27/reseaux-sociaux-les-donnees-personnelles-des-europeens-sont-mal-protegees_4602537_4408996.htm

Charlène Godin et Léa Antoine.

Les jeunes utilisent de plus en plus les réseaux sociaux

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Pew Research Center, un think thank américain indépendant et non partisan, vient de mettre en ligne une étude très documentée sur le sujet. L’étude porte sur plus de 1000 jeunes âgés de 13 à 17 ans aux États-Unis.

Les personnes qui sont les plus connectées représentent 56% pour ceux qui sont en ligne plusieurs fois par jour. Et, 12% y vont seulement 1 fois par jour . Cependant, 6% des internautes y vont seulement quelques fois par semaine . Les réseaux sociaux les plus utilisés par les jeunes de 13-17 ans sont Facebook, à 71%, loin devant Instagram à 52%, Snapchat à 41 % et Twitter à 33% .
Majoritairement, ce sont les jeunes issues de familles ayant des revenus aisées ou très aisées qui sont connectés sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter, etc…

Cependant, si l’on se penche de plus près sur le sujet, on peut s’apercevoir, que sur certain réseaux sociaux, les filles sont plus présentes que les garçons.
Deux exemples flagrants peuvent être cités, Instagram avec une fréquentation de 61% et seulement de 44% pour les hommes ou encore Snapchat dont 51 % des utilisateurs sont des filles et seulement 31% des hommes.
Mais, on peut constater l’inverse sur d’autres types de réseaux sociaux, notamment sur les jeux vidéo en ligne, es hommes sont bien plus présents que les filles.
Source : http://www.blogdumoderateur.com/etude-13-17-ans-reseaux-sociaux/

 

Nouveauté Facebook : le transfert d’argent

Mark Zuckerberg ne cesse de perfectionner les fonctionnalités de son réseau et de créer des nouveautés. Après « Facebook credit », «  Facebook gifts » et «  Facebook Store », le créateur du réseau a récemment lancé une nouvelle application permettant aux utilisateurs de Facebook Messenger de s’envoyer de l’argent.
Ce service gratuit est, pour l’instant, réservé aux utilisateurs américains, de plus de 18 ans, de Facebook Messenger. Cependant, ce service simple et rapide pose la question de la sécurité puisqu’il suffit simplement de renseigner le numéro de carte bancaire pour procéder au transfert. Cette nouvelle application est donc encore à améliorer.

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Lien vers l’article : http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0204236491560-pourquoi-le-transfert-dargent-seduit-les-reseaux-sociaux-1103327.php

Steven Heliere et Adélie Picaud

Téléphone mobile – une extension de soi…

Nomophobie…

Voici un nouveau nom propre à mettre dans vos dictionnaires. Il correspondrait à la contraction de « no mobile phobia » et traduirait notre sensibilité à l’éloignement de nos chers mobiles (pour certains d’entre-nous).

Article sur Sciences Humaines ici (mais aussi au CDI!!!)
http://www.scienceshumaines.com/telephone-portable-une-extension-de-soi_fr_34265.html

La génération d’avant, c’était probablement « procrastination » ;))))

 

Internet – De la diffusion d’idées par capillarité… à la fin de la propriété intellectuelle.

Ce que sur la toile tu déposes, jamais plus tu ne disposes

citation de moi 😉
Goolge analytics A titre d’exemple, nous allons pouvoir ici suivre et analyser la diffusion de ce site et donc la diffusion de son contenu sur la toile via l’interface Google Analytics. Tous les mois une mise à jour de cet article sera faite avec ajout d’une analyse et d’un pdf du tableau de bord de G.A.

Historique et analyse antéchronologique

3ème Trimestre scolaire 2014-2015 

Avril 2015
  • Avril, mois des vacances de printemps.
  • 90 sessions et 136 pages vues… ça baisse encore, effet vacances et fin d’année. Bientôt un bilan de cette expérimentation sera à faire.
  • Provenance des sessions: 80% google.fr puis Bing puis Yahoo
  • 11 pays étrangers ce mois-ci, sur l’année nous  en avons donc 24 (Belgique, Suisse, et Allemagne étant les 3 premiers)
  • 70 nouveaux visiteurs et 20 anciens, mais que font nos étudiants 😉

Google Analytics  de Avril 2015:

Analytics Données ET1 WordPress 1-Vue générale 20150401-20150430
Analytics Données ET1 WordPress 2-Vues avec exculsion 20150401-20150430

La fin des pseudos sur facebook ?

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Le témoignage édifiant d’un jeune homme que la politique de Facebook a obligé à exister sur le réseau social sous son vrai nom. Jusqu’à récemment, Dzibz était libre d’écrire sans la censure du bon goût et sans le regard de potentiels employeurs.  C’était avant qu’il ne reçoive un message du réseau social le sommant de mettre fin à son identité virtuelle pour redevenir Jean-baptiste : « Merci à toi, Facebook, d’avoir ruiné ma vie. Désormais, sous mon vrai nom apparaissent des statuts idiots, des récits affligeants, comme le fameux épisode du « à 100 “J’aime”, je mange le saucisson destiné à ma belle-mère », ou encore la célèbre recette de la « banane à la pomme ». Dzibz assumait, Jean-Baptiste moins.  »

Le témoignage de Jean-Baptiste sur Rue 89 : http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/20/avant-jofficiais-masque-facebook-puis-mark-zuckerberg-a-ruine-vie-257811

La politique de facebook interdit l’usage de pseudo, chacun devant utiliser son identité réelle. Mais comment facebook réussit-il à démasquer les utilisateurs déviants ?

Rue 89 a enquêté auprès de son réseau facebook en France : « Le signalement spontané est le seul moyen utilisé par Facebook pour empêcher l’utilisation de faux noms ou l’usurpation d’identité. Une équipe de modérateurs contacte ensuite les utilisateurs de ces comptes pour leur signaler leur suspension. Ils doivent prouver leur état civil en envoyant une pièce d’identité, un permis de conduire ou tout autre document permettant de les identifier formellement suite à quoi Facebook pourra réactiver leur compte. » Mais d’autres sources montrent que le réseau social encourage les utilisateurs à dénoncer leurs amis. Ce que facebook refuse de confirmer.

L’enquête de Rue 89 : http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/04/facebook-veut-a-tout-prix-etat-civil-257508

Qui sont vraiment nos amis facebook ?

Rue 89 diffuse le reportage photo de Tanja Hollander qui a contacté ses 626 « amis » sur facebook pour tirer leur portrait. L’occasion pour elle de rencontrer ses amis virtuels et … de découvrir de vrais amis.

Elle a décidé de supprimer tous les amis, virtuels ou non, qui ont refusé de participer à son travail photographique.

La démarche artistique interroge une nouvelle fois les relations engagées via les réseaux sociaux. Que signifie une « amitié facebook » ? En relatant cette expérience, la photographe a été surprise des heureuses rencontres occasionnées par le reportage.

Le reportage de Rue 89 : http://rue89.nouvelobs.com/2015/03/31/vaut-vraiment-ami-facebook-257879

Internet est-il néfaste sur notre mémoire ?

Une équipe de psychologues américains a montré que les gens retenaient moins bien les informations qu’ils pouvaient retrouver facilement sur leur ordinateur. Internet a révolutionné notre façon de voir les choses. Aujourd’hui dès que l’on est en difficulté, que l’on ne sait pas quelque chose, on l’écrit sur notre ordinateur ou notre smartphone et nous avons la définition dans la seconde. Le développement des technologies posent de nombreuses questions. Internet change-t-il notre façon de penser? Nous rend-il idiot ? Plus intelligent ? Est-ce une chance ou une menace? Des psychologues américains ouvrent le débat sur le fait que notre mémoire serait déjà sous l’influence des nouvelles technologies.

Des cobayes sont confrontés à des questions difficiles et dès lors qu’il ne savent pas la réponse ils pensent à la « recherche Google ».
Ils retiennent souvent très bien l’endroit ou le fichier avec des informations enregistrées et stockées mais pas son contenu.
Les différentes expériences menées par les trois chercheurs des universités Columbia, Harvard et du Wisconsin, montrent bien qu’Internet change notre façon d’utiliser notre mémoire.

Après avoir lu les études faites sur les cobayes, Emmanuel Sander, responsable de l’équipe de recherche «Compréhension, Raisonnement et Acquisition de Connaissances» de l’université Paris 8, confirme ce qu’il pensait : «Plutôt que de retenir tous les numéros de téléphones par cœur, les gens préfèrent se rappeler où est rangé l’annuaire. Avec Internet, c’est un peu la même chose, mais à une échelle plus importante», explique-t-il. Cette démarche est appelée «mémoire transactive». Pour Besty Sparrox, auteur principale de l’étude, Internet a remplacé les livres et les amis.

Les découvertes restent quand même encore floues : «Nous n’avons encore aucun protocole qui nous permette de mesurer l’impact de ces changements sur le développement de notre esprit», relève Emmanuel Sander.
Le savoir n’est pas une simple accumulation de connaissances rangées dans des tiroirs à portée de main. L’intelligence tient à la capacité à lier les faits entre eux, à leur donner du sens. «Si vous avez acquis de grandes capacités d’analyse, Internet peut vous apporter énormément. Sinon, vous êtes simplement submergé de données», résume le chercheur.

Pour finir ces études nous apportent une question qui se posent beaucoup actuellement : les procédures d’apprentissage actuelles fournissent-elles aux élèves les meilleurs outils pour se servir intelligemment d’Internet ? Savoir « par cœur » a t-il toujours un sens aujourd’hui  ? Tous les scientifiques ne sont pas d’accord sur les mêmes points. Si l’utilisation des calculatrices nous on fait oublier les fastidieuses tables logarithmiques, il n’a cependant jamais remis en cause l’intérêt pédagogique des tables de multiplication.
A sa manière, Internet a déjà bouleversé notre rapport au savoir. Reste à déterminer comment nous allons pouvoir en tirer le meilleur parti dans l’éducation des nouvelles générations.

Lien vers l’article :

http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/07/15/01008-20110715ARTFIG00340-internet-change-notre-facon-d-utiliser-notre-memoire.php :  Article écrit par Tristan Vey  le 15/07/2011

Pour résumer, l’article nous raconte que des scientifiques ont fait des expériences sur des personnes pour savoir comme fonctionne notre mémoire aujourd’hui avec les nouvelles technologies. Elles nous posent la questions de savoir si pour l’éducation et le savoir, Internet peut enrichir nos connaissances ou au contraire nous faire oublier des choses essentiels.
J’ai choisi cette article car on est tous confronté aujourd’hui au développement des nouvelles technologies.  De nos jours, dès que l’on ne sait pas quelque chose, on va aller sur l’ordinateur au lieu du dictionnaire par exemple et en faisant cela, il est vrai que l’on retient beaucoup moins bien les informations que l’on va avoir. Cet article date de 2011 mais je trouve qu’il toujours d’actualité car on n’a toujours pas trouvé de réponse à la fameuse question qui est de savoir si  oui ou non Internet change t-il vraiment notre façon de mémoriser les informations ? Internet menace t-il  notre savoir ? Internet et les nouvelles technologies changent notre façon de faire et cela ne va pas s’arrêter aujourd’hui.

Le déclin de facebook

Facebook est le réseau social le plus connu et le plus utilisé dans le monde. Pourtant il connait une baisse de régime depuis le début de l’année.  Le réseau créé par Mark Zuckerberg a perdu près de 9% d’utilisateurs actifs. C’est un coup d’arrêt pour l’entreprise qui a fait son entrée en bourse il y a peu. Les autres réseaux sociaux enregistrent une hausse significative (Instagram +47% ; Twitter +7% ; Trumbl +95%).
Ce déclin de Facebook se ressent surtout en Asie, où l’entreprise à perdu près de 12% de ses utilisateurs actifs. Cela est dû à la création de réseaux sociaux asiatiques qui sont plus adaptés à la culture de ce continent.
Cela fait plusieurs années que l’on parle du déclin de Facebook mais jamais il n’avait été prononcé de cette manière. Cette perte d’utilisateurs actifs est logique car à force d’utiliser des réseaux sociaux, les gens se lassent et veulent du changement. Ils vont alors à la découverte de nouveaux réseaux tel que Twitter ou Trumbl.
Il reste à Facebook de l’espoir de conquérir encore des nouveaux utilisateurs notamment en Afrique, où internet se développe à une très grande vitesse.

Pour plus d’infos: http://www.courrierinternational.com/article/2015/02/02/moins-d-internautes-ont-utilise-facebook-l-an-dernier

Quentin Arnaud – Bourigan Julien

Critique des propositions contre  » les discours de haine sur Internet « 

terrorisme sur internet…. Le 22/02/15 dans « Le monde » à Paris…

La majorité des spécialistes du terrorisme et de l’antiterrorisme estiment que le nombre d’organisations et de groupes subversifs sur internet a augmenté et continue de croître à un rythme alarmant.
En France, la Commission consultative des droits de l’homme a récemment critiqué deux des principales mesures prises  par le gouvernement pour lutter contre la propagande djihadiste sur Internet :  le basculement de l’apologie du terrorisme de la loi de 1881 sur la liberté de la presse vers le droit pénal ainsi que la série importante de comparutions immédiates pour apologie du terrorisme.
Lien vers l’article :

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/02/22/des-propositions-contre-les-discours-de-haine-sur-internet_4580743_4408996.html?xtmc=reseau_sociaux&xtcr=1

Lucie Rivalin, Etienne Roba AP1

 

Les réseaux sociaux, un moyen de recrutement peu exploité

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En lisant l’article du site Internet « Le Blog du modérateur » au sujet des recrutements sur les réseaux sociaux, on remarque que 53 % des employeurs vont s’aider de ces derniers. Un phénomène qui aura même tendance à s’accentuer. La majorité d’entre eux vont plutôt consulter les sites d’offres d’emplois (87%).

Pour les professionnels, le réseau social le plus utilisé n’est pas comme on pourrait le penser Facebook, qui est à la 3ème place tout de même,  mais plutôt Viadeo d’abord, puis LinkedIn ensuite.

Parmi les 53% des employeurs s’aidant des réseaux sociaux, seulement 29% vont retenir un candidat.

Ces réseaux pour les professionnels servent avant tout à « chasser des candidats » pour le poste à promouvoir, c’est aussi une communication des recrutements, mettre en avant la marque de l’entreprise et enfin se renseigner sur les profils des personnes afin de les connaître déjà un peu sans les avoir vus.

Bien que beaucoup plus utilisés qu’il y a quelques années, les réseaux sociaux restent complémentaires aux sites internet d’offres d’emplois et aux simples candidatures spontanées. Une augmentation de leur utilisation sera à prévoir…

Cet article montre bien la réalité des recrutements actuels, à travers un site internet fluide et bien présenté avec des éléments graphiques permettant de mieux comprendre le contexte.

Liens vers l’article: http://www.blogdumoderateur.com/enquete-recrutement-reseaux-sociaux/