Réalité virtuelle : La forêt a des yeux !

Aujourd’hui les technologies font partie de notre quotidien, c’est pour cela que l’évolution numérique est toujours plus grande. On a pu en avoir la preuve en apprenant l’existence d’un casque qui vous permet de voir la nature sous toutes ses formes.

Début 2015, dans la forêt de Grizedale, a été organisé un festival d’art numérique : « Abandon Normal Devices ». C’est une activité qui a retenu l’attention du plus grand nombre, il s’agit de « In The Eyes Of The Animales ». L’intérêt est de pouvoir voir la nature à travers le regard de trois animaux différents, la chouette, la grenouille, et la libellule.

Cette œuvre d’art a été réalisée par un groupe de jeunes londoniens les Marshmallow Laser Fest.

On commence par s’affubler d’un casque qui vous permet de voir le paysage en 3D en ayant l’impression d’y être immergé. Pour favoriser cette situation d’immersion, les personnes portent aussi une sorte de sac à dos qui vrombit, cela donne l’impression d’être l’animal lui même.

Cette exposition est un bon exemple de réalité virtuelle car elle met en relation le monde qui nous entoure (la nature) et les nouvelles technologies qui deviennent une nécessité dans la plupart des régions du monde. C’est pour cela que nous pouvons parler de l’apparition d’une nouvelle culture car le monde virtuel en trois dimensions fait déjà partie de notre quotidien (le cinéma ou les attractions de grands parcs connus). C’est aussi une nouvelle forme d’art et d’expression.

Retrouver l’article sur : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/09/23/frontieres-reel-vivre-foret-a-travers-les-yeux-dun-animal-261325

Fanny Jouan et Etienne Billard

Google : une alternative aux bibliothécaires

Comment était-ce avant internet pour répondre à nos questions ? C’est aux bibliothécaires que l’on pouvait les poser. La plus grande bibliothèque de New York recevait beaucoup d’interrogations, allant des plus sérieuses aux plus déconcertantes comme : « Pourquoi trouve-t-on autant d’écureuils dans les peintures anglaises du 18éme siècle, et comment les apprivoisaient-ils pour qu’ils ne mordent pas les peintres ?  »

Au final les bibliothécaires ont vite été remplacés par les forums, les réseaux sociaux puis Wikipédia.

Mais la suite de l’article nous apprend que ce système de questions / réponses existe toujours. En effet, le New York Public Library a su s’adapter avec l’ouverture d’un bureau d’informations sur Instagram.

En quoi cet article a-t-il un rapport avec les nouvelles cultures liées à internet, nous direz-vous?

Tout d’abord, c’est un changement d’habitude de notre part mais également un changement du moyen de diffusion de l’information. Cependant, on ne trouve pas toujours des réponses précises et fiables à nos questions sur internet, l’internaute doit donc faire des choix sous ce flux de réponses. Le papier et l’être humain resteront des sources sûres de l’information, comparées à internet.

En lien l’article de rue 89 :

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/12/29/quand-navait-google-repondre-a-questions-tordues-256800

Arnoux Caroline – Michaud Quentin