Le bonheur, un sentiment concret ou bien une idée abstraite ?

Autrement dit, qu’est-ce qui permet de valider le fait que l’on soit heureux ou non ? L’argent ? L’amour ? La chance ? La bonne santé ? La famille ? L’aisance matérielle?

Il semblerait que l’homme aspire au bonheur.

Le bonheur, qu’il soit considéré en soi ou par opposition au malheur, est un but à atteindre, une finalité. Le Bonheur est un jugement visant à estimer si nous avons été bien ou mal « lotis », si nous pouvons ou non nous « estimer heureux », c’est-à-dire si nous avons eu ou non de la chance. Cela rappelle d’ailleurs l’étymologie du mot « bonheur » (bon heur, bonne chance : « heur » veut dire « chance » en vieux français.) Le bonheur est un état de satisfaction durable et complet. Il ne se réduit donc pas au plaisir qui est toujours bref et partiel. Mais si chacun connaît des moments de plaisir, tous n’atteignent pas le bonheur.

Cependant  le bonheur est un idéal de l’imagination et non un concept de l’entendement.

Article: http://philosophie.initiation.cours.over-blog.com/article-le-bonheur-est-il-inaccessible-a-l-homme-une-proposition-de-dissertation-de-philosophie-62548956.html

Présentation d’un article sur « le bonheur ».

« Le bonheur, un travail de chaque instant » – Le Monde

Le lien ci-dessous renvoie à un article extrait du journal « Le Monde », qui lui,  nous parle de la place du bonheur dans la société actuelle.

Par trois raisons différentes, il nous explique que le bonheur influe sur nos performances quotidienne et donc influe aussi au niveau du travail.

Plusieurs solutions sont donc mises en œuvres pour rendre  le salarié le plus heureux possible pour qu’il fournisse un bon rendement à l’entreprise.

http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/06/16/le-bonheur-un-travail-de-chaque-instant_4951710_3232.html