Les choses simples de la vie sont comme des étoiles qui brillent lors des nuits claires et dégagées ; elles sont toujours là, nous entourent, nous offrent leur magie subtile.
Cependant, on ne s’arrête pas tous les jours pour les regarder, et on a parfois tendance à oublier qu’elles existent.
Il n’y a que quand elles nous manquent ou que l’on se trouve dans une plus ou moins mauvaise passe qu’on apprécie tout à coup ce qui constitue notre coeur et toutes ces cordes internes qui font la musique de notre existence et qui lui donnent un sens.
Les choses simples, aimables et discrètes forment jour après jour la lisière de notre vie, cet endroit où on peut s’allonger dans nos jours de tourmente et où toutes nos joies ont du sens.
A travers une conférence se déroulant a Strasbourg ; Daniel Frey Maître de conférences en philosophie de la religion et anthropologie , Franck Fischbach Professeur de philosophie , Sarah Schimchowitch Docteur en neurosciences et Élian Cuvillier Directeur des études à l’Institut Protestant de Théologie vont essayer de répondre a la problématique : Faut-il être heureux ?
Aristote déjà, dans sa célèbre « Éthique à Nicomaque », définissait le bonheur comme la finalité de nos actions : il est la seule chose que l’on recherche pour elle-même.
Rémi Schimel, passionné par l’informatique et le développement personnel nous propose ici un article sur le bonheur. Pour lui il se caractérise par trois sources distinctes qui sont :
la congruence intérieure
la réalisation personnelle
l’amour harmonieux
Sa réflexion bien construite est inspirée d’un psychologue et psychothérapeute, Antoni Bolinches (Barcelone).