je n’ai pas pu m’empêcher…
Pour situer « l’action » – groupe du repas du soir – Sortie Pédagogique Externe – BTSa TC du lycée – 8 novembre 2017.
La question est:
« Qu’allons nous manger??? »
je n’ai pas pu m’empêcher…
Pour situer « l’action » – groupe du repas du soir – Sortie Pédagogique Externe – BTSa TC du lycée – 8 novembre 2017.
La question est:
« Qu’allons nous manger??? »
On parle souvent de jeunesse occidentale, cette jeunesse ci nous la connaissons bien autant pour ses points positifs et que pour ses points négatifs.
Mais avez vous réfléchi aux autres jeunesses ? De celles dont personne ne parle, cachées par notre société de consommation et de confort.
Voici une émission sur les discours de Malala Yousafzai et Aung San Suu Kyi pour l’obtention du prix Nobel de la Paix en 2015.
Il permet de comprendre ce que c’est la jeunesse d’enfant en souffrance et que’il est temps de faire changer les choses!!!
« Faites votre part » quelque soit votre taille…
Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour décrocher un diplôme tout en accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.
Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour décrocher un diplôme tout en accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.
Appuyée par les éclairages de sociologues et de politologues, cette série documentaire pointe les paradoxes d’une France où l’Etat subventionne à coup de millions d’euros des plans emploi pour la plupart inefficaces alors que la jeunesse, souvent diplômée, n’arrive pas à s’insérer sur le marché du travail. « En France, il existe un “effet cicatrice” difficile à surmonter pour un jeune qui subit un premier échec pour s’insérer dans le monde du travail », explique le sociologue Louis Chauvel, auteur de La Spirale du déclassement. Essai sur la société des illusions (Seuil, 2016), qui dénonce « le racisme antijeunes » qui sévit chez la plupart des gros employeurs. Hamza, qui cherche à faire valider son stage dans une entreprise, en sait quelque chose : « Trop jeunes dans un monde de vieux. »
L’Etat a beau dépenser des fortunes pour la jeunesse – comme le rappelle Jean-Charles Doria dans son commentaire –, les statistiques restent catastrophiques : un jeune sur quatre est au chômage, un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté, et un sur six est complètement exclu du système. « Jamais les jeunes générations n’ont été confrontées à autant de précarité dans l’emploi », souligne le réalisateur. « Il existe surtout une reproduction sociale. Un fils d’ouvrier reste souvent un ouvrier », appuie le politologue Thomas Guénolé, qui tient la chronique « Salauds de jeunes » dans le mensuel Neon.
Tout au long de ce documentaire, on s’attache aux différentes personnalités de ces jeunes, dont on souhaite vivement qu’ils s’en sortent. C’est le cas pour certains d’entre eux, que le réalisateur a retrouvés quelques mois plus tard. Ils sont métamorphosés. « Mon film est un plaidoyer pour cette génération, un cri d’alarme. Derrière la colère et la fatigue, il y a beaucoup d’optimisme et d’énergie », explique Jean-Charles Doria. En écho, Martin, cancre et rebelle à l’école mais qui, à 20 ans, a monté avec beaucoup de difficultés sa start-up, lui répond : « Pour moi, être heureux, c’est pas seulement avoir du pognon. »
Une vision du terme « jeune » en 1945, par le Général Mac Arthur.
Il s’inspira d’un texte de Samuel Ullman, « Youth ».
« La jeunesse n’est pas une période de la vie,
elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années:
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant la mort… »
Plus d’informations:
https://www.iris-astrologie.ch/po%C3%A8me-%C3%AAtre-jeune/
Biographie du Général Mac Arthur:
http://www.linternaute.com/biographie/douglas-macarthur/
Biographie de Samuel Ullman:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Samuel_Ullman