L’amour du risque

Faut-il prendre des risques pour rester amoureux ? C’est une question existentielle pour monsieur Heinz. Sa femme, atteint d’une grave maladie, est entre la vie et la mort. Son mari, Monsieur Heinz fait donc face à un dilemme, voler un médicament d’une valeur inestimable pour sauver sa femme mais courir le risque d’être arrêté. Ou bien rester passif et regarder son épouse mourir. Le choix est donc vite fait : l’amour du risque.

Les faits :

Le 20 janvier 2018, au Clos Taureau, à Nantes, à 22 heures et 48 minutes, Monsieur Heinz est rentré par infraction dans une pharmacie et a dérobé un médicament d’une valeur de 5600 euros. C’est donc pourquoi ce dernier est passé devant le tribunal le 6 janvier 2019.

L’accusation :

Plusieurs accusations ont été portées contre lui : cambriolage d’un bien privé ainsi que vole d’objet précieux. Ces deux plaintes ont été posé par le propriétaire de la pharmacie. Il a donc assisté au jugement et il a pu témoigné. La question est : A-t-il défendu ou non monsieur Heinz ?

Le débat :

Malgré les arguments convaincants du propriétaire de la pharmacien faveur de Monsieur Heinz : celui-ci fut à l’origine d’un débat interminable. En effet, les jurés ont dû faire face à un choix des plus difficile : suivre les lois qui dirigent notre pays mais ne pas prendre en compte le contexte. Ou alors faire une exception et n’infliger qu’une minime sanction à monsieur Heinz, mais enfreindre les lois. Ces deux possibilités ont engendré 7 heures de discussion entre jurés, accusé et avocat pour trouver la meilleure solution possible. A la fin du débat, Monsieur Heinz a donc été sanctionné de 6 mois de prisons avec sursis, du dédommagement du médicament ainsi qu’une amende de 5000 euros.

CLOATRE Martin

2 réflexions sur « L’amour du risque »

  1. J’ajoute le mot clef qui va bien…
    Car je suis solidaire 😉
    Et pour info il n’est pas nécessaire de signer l’article car votre nom apparaît en haut de ce dernier…
    Mais le réflexe est à garder si un jours vous êtes pigistes 😉

  2. Bravo pour le lien entre le titre et l’amorce. Mais n’oubliez pas d’illustrer votre édito comme Monsieur Troulet vous l’a appris : c’est plus agréable pour le lecteur.
    Votre plan n’est pas convaincant. Il faut argumenter. Vous avez annoncé une thèse intéressante : l’amour du risque. Justifiez-la !

    Bon travail !

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