Le théâtre : un genre littéraire fédérateur

Le théâtre, un genre littéraire particulier qui concilie à la fois littérature et spectacle, permet-il ou non d’unir différentes personnes afin de former un peuple ? Cette problématique est à l’origine de la naissance de deux pensées distinctes. D’un côté Rousseau qui s’oppose à cette idée, de l’autre côté Diderot qui pense que le théâtre permet une unification au sein d’un peuple.

                                                      Expliquer pour mieux comprendre 

Pour commencer, nous devons nous interroger sur les termes de cette problématique : qu’est-ce qu’un peuple ? « C’est un ensemble d’humains vivant en société sur un territoire déterminé et que présentent une homogénéité. Ces humains sont liés par des coutumes de des traditions « .

                                                       Un peuple en unisson

Tout d’bords, si nous suivons cette définition, le peuple est lié par des traditions. Or dans l’Antiquité, des cérémonies étaient organisées en l’honneur de Dionysos, des concours de tétralogies étaient organisés ce qui rassemblait des individus et donc formait un peuple. Les personnes sont donc liées par des traditions.

De plus, les spectateurs vont au théâtre et partagent les mêmes sentiments lors des représentations. En effet, lorsqu’ils vont assister à une comédie, leur état d’esprit est positif. A l’inverse, si la pièce est une tragédie, leur état d’esprit sera moins jovial. Cependant, ils présenteront une certaine homogénéité ce qui favorise l’unification pour former un peuple.

Pour conclure, la pensée de Diderot est donc facilement défendable puisque le théâtre répond aux différentes caractéristiques d’un peuple. Enfin, nous devons être objectif et prendre en compte que l’idée défendue par Rousseau n’est pas absurde et serait intéressante à voir pour équilibrer le débat…

Une réflexion sur « Le théâtre : un genre littéraire fédérateur »

  1. Titre simple et efficace. Mais l’amorce est imprécise : « particulier » ??? On peut définir le théâtre soit comme un texte destiné à être joué, soit comme révélateur des mécanismes sociaux (qui domine qui est pourquoi ?), des relations humaines.
    Style à simplifier : non sujet + qui + verbe (= relative demandant une principale) mais sujet + verbe.
    Vous ne pouvez pas faire toute une partie juste sur une définition non expliquée. Il faut mettre cette définition au service de la question posée : en quoi pose-t-elle problème, par rapport au théâtre ? Puisque vous êtes du camp Diderot, qu’est-ce qui, dans cette définition, rejoint le théâtre ?

    Relisez-vous : des mots bizarres. Et des idées à expliquer, à détailler. Article trop court. Si les idées de Rousseau ne sont « pas absurdes », il faut les prendre en compte dans des concessions : « même si », « certes », « il est vrai » etc…
    De même, il faut donner des exemples de pièces, et notamment quand vous évoquez de façon très juste la tradition transmise par le théâtre.

    Au travail, pour un écrit solide et approfondi !

Les commentaires sont fermés.