Acteurs et spectateurs, une connexion entre tous

Les premières pièces de théâtre furent jouées pendant l’antiquité, en Grèce au Vème siècle avant J-.C, lors des fêtes de Dionysos. Se sont alors des sortes de divertissement ayant un enjeu religieux, social et éducatif.  Le Théâtre est une forme littéraire bien précise : il est ce que l’on appelle un genre et se distingue des deux autres grands genres, le roman et la poésie. Le théâtre est aussi un art. Mais comparé aux autres arts qui existent, il est un art vivant et se différencie ainsi d’autres disciplines artistiques telle que : la littérature, la musique, la danse, l’architecture, la peinture… De nos jours, la majorité des pièces de théâtre sont jouées dans de grande salle, pouvant ainsi rassembler un grand nombre de personne. C’est le théâtre moderne. Est-il alors possible d’unir différents individus afin de créer un peuple ?

 

Le divertissement, la clé de la connaissance

 

Effectivement, Le théâtre a toujours été perçu comme ne forme de divertissement. En effet cette vision du théâtre est dû à ses nombreuses représentations servant à faire rire principalement le public. Rousseau, disait que le théâtre n’est pas un endroit pour unir les peuples, mais plutôt pour le divertir. Pour appuyer la thèse de Rousseau, plusieurs pièces de théâtre prouvent que c’est un lieu de divertissement et non un lieu servant à unir un peuple. Nous avons les précieuses ridicules (1664) écrites par Molière de sont vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, qui est un auteur de comédies françaises qui sont la peinture de son époque. Dans cette pièce de théâtre comique, Molière met bien avant le ridicule ; ce que dénonce Rousseau. Mais il n’existe pas que des pièces comiques. Nous avons aussi des pièces éprouvant de la tristesse dans la lesquelles certains spectateurs se retrouvent en ce mettant dans la peau des personnages. On parle de Drame, qui est genre théâtral comportant des pièces dont l’action généralement tragique, pathétique, s’accompagne d’éléments réalistes : Les Misérables, de Victor Hugo (1862). Mais pour Diderot, le fait de divertir le public permet de captiver au mieux leur intention. Le théâtre pour lui est un très bon moyen de transmettre un message à travers plusieurs situations. En effet, plus la pièce est intéressante, plus est elle est captivante. Pour Diderot alors, le divertissement attire l’attention du public et peut-être instructif.

 

Un lieu d’union

 

Cependant, on constate que les pièces de théâtres ressemblent de plus en plus à la réalité. En d’autre therme, elles reflètent la société d’aujourd’hui. Ainsi, le fait de reproduire certaines pièces à travers société actuelle et le fait de se reconnaître dans la peau d’un personnage jouant une pièce ne crée-t-elle pas une sorte de complicité entre le public et les acteurs ? Soulignant que les lieux où se déroulent ces pièces de théâtre sont des lieux pouvant accueillir un grand nombre de personne. Les gens ne viennent-ils pas regarder les pièces de théâtre ensemble ? Ne s’apprécient-ils pas tous ensemble en se divertissant ? Ne découvrent-ils pas de nouvelles personnes en ces lieux ? Le fait de rassembler un grand nombre de personne en un seul lieu, cela ne forme-t-il pas un seul et même public et solidaire ? Et dans cette vision, ne sont-ils pas tous unie ?

 

Enfin, le théâtre est donc un lieu de partage, de connexion, de divertissement, où l’on peut s’instruire : c’est un donc un lieu d’union. Il permet d’unir les différents individus afin de former un seul et même peuple ?

2 réflexions sur « Acteurs et spectateurs, une connexion entre tous »

  1. Revoir le sens de « divertissement » : si le théâtre a un enjeu religieux, ce n’est plus un divertissement (voir ma publication de la semaine dernière)Même remarque pour le sous-titre.
    Pour le reste, le chapeau est assez juste, mais les idées ne sont pas suffisamment reliées les unes aux autres. Problématiser de façon plus précise. Annoncer la thèse défendue : Nous montrerons que…
    Que nous montre la 1ère partie ? Que la fonction du théâtre est juste de nous détendre ? Bon exemple avec la pièce de Molière : souligner le titre. Molière est à l’origine de la comédie-ballet.
    Attention à votre exemple hugolien : si Hugo écrit du théâtre, ce n’est cependant pas du divertissement. Hugo est le seul auteur romantique à considérer que la littérature doit changer le monde (abolie le travail des enfants avec le poème « Melancholia », abolir la peine de mort avec le roman « Le dernier jour d’un condamné », etc.). Et « Les Misérables », c’est un roman, non du théâtre ! Comme vous avez été plusieurs à confondre les oeuvres de Victor Hugo, je fais un post ce soir avec une lycéenne qui parle d’Hernani.
    J’aime bien les questions rhétoriques de votre deuxième partie.
    Conclure de façon affirmée. Ne pas hésiter à recourir à une anaphore pour donner plus de force à la conclusion.
    La thèse verte est claire.

    Grammaire : Attention aux homonymes : ce/se, termes / thermes… Le style est souvent un peu lourd : allégez, notamment en évitant les doubles « qui ». Sujet + verbe + COD.

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