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Témoignage: Les Jeunes Français sont désabusés par leur situation !

«Il y a un an, j’étais pleine d’optimisme, maintenant je suis inquiète pour mon avenir. Non, pas inquiète, en fait, je suis désabusée.»

Ce discours te parle ?  Cet article met en évidence plusieurs témoignages de jeunes sortant de grandeS études et qui ont du mal à rentrer dans le monde du travail.

Le déclassement générationnel est l’idée que les enfants risquent de plus en plus de vivre moins convenablement que leurs parents.

Pour plus d’info voir ici

 

L’engagement des jeunes dans la société

Il y a dans le discours que tient notre société autour de l’engagement des jeunes un véritable paradoxe. D’un côté, le discours sur les jeunes qui ne veulent plus militer, qui ne s’engagent plus, qui refusent de prendre des responsabilités dans les associations. De l’autre, incontestablement une forte mobilisation des jeunes autour des sujets les plus variés, des JMJ, au mouvement altermondialiste pour ne retenir que les deux formes les plus spectaculaires ces dernières années.

Je vous propose cet article afin d’éclairer les idées que dégage la société sur l’engagement des jeunes.

http://www.injep.fr/article/lengagement-des-jeunes-aujourdhui-2505.html

En plus, petit teaser des JMJ ( Journées mondiales de la jeunesse), qui s’est récemment déroulé à Cracovie en 2016.

https://www.youtube.com/watch?v=oRFznhKDTlM

La mode chez les adolescents

« La mode vestimentaire est un phénomène qui touche énormément d’adolescents. En effet, la manière de se vêtir est conforme au goût de l’individu. Ce phénomène implique différentes origines sociales: la mode ne sera pas la même chez un adolescent appartenant à la classe aisée, et chez un adolescent appartenant à la classe populaire. On peut donc dire que la mode est un révélateur social. Elle permet de se distinguer de montrer d’où l’on vient et quelle identité on véhicule. »

https://modechezlesados.wordpress.com/

 

Forte hausse de l’engagement bénévole des jeunes

Une étude de France-Bénévolat nous montre l’augmentation de l’engagement associatif que chez les jeunes.  Cette progression est constaté chez les 15-35 ans ET CORRESPOND A  une hausse de 32% en trois ans. Ces jeunes sont à la recherche d’épanouissement personnel et de gain de compétences.

Lien du site de l’Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (INJEP)

Plus d’information sur le site de l’INJEP:

http://www.injep.fr/article/forte-hausse-de-lengagement-benevole-des-jeunes-5478.html

Les addictions chez les jeunes, zéro réaction.

Vous avez probablement déjà fumé une cigarette,  consommé de l’alcool, ou encore fumé un joint. Seulement ça ne vous semble pas grave, car tout le monde fait pareil. Le problème majeur est donc là. Cet article, très intéressant parle de certaines addictions chez les jeunes ; l’alcool, le tabac et les drogues dites « douces ». Il présente les dangers, mais aussi le faites que plus d’un jeune sur 2 à a déjà consommé une de ces « addictions », voir même les 3. Le plus affolant c’est que pour la plupart, cela commence dès 15 ans.

Alors Maintenant, les préventions, les interdictions sont bien réelles, mais les jeunes ne se rendent pas compte, on veut faire comme tout le monde. Aujourd’hui être une exception, c’est n’avoir touché à aucune de ces choses, seulement notre politique veut qu’on soit tous identique, sinon nous ne sommes pas « normal ». Pour terminer, je dirai que ce qui m’a le plus interpellée, c’est que dans l’article, à un moment il était écrit : un jeune sur deux qui fume à 17 ans mourra avant 60 ans. Cela m’a quand même secouée, mais pas dissuadéE pour autant, et c’est ça le problème. http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/02/06/21957-alcool-cannabis-jeunes-sont-plus-sensibles-addictions

La période de l’adolescence aurait évoluer ces dernières années.

Depuis la fin des années 1980 l’adolescence est désignée comme un passage, une période de la vie obligatoire.

La question est de savoir à quel moment cette période débute et quand se termine t-elle ?

Cet article de l’interview du sociologue Olivier Galland, explique et détermine selon lui, les évolutions de la jeunesse et les explications de  ses changements.

Lien de l’article : http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/10/27/la-jeunesse-debute-plus-tot-et-se-termine-plus-tard-qu-avant_5206969_4401467.html

« LA JEUNESSE DÉBUTE PLUS TÔT ET SE TERMINE PLUS TARD QU’AVANT »

On se pose beaucoup de questions sur les rites de passages de la jeunesse.

Mais qu’en ait-il du passage à l’âge adulte en France et à l’étranger ?

Le sociologue Olivier Galland, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de la jeunesse, nous défini et explique la perception de cette jeunesse évolutive.

Plus d’info :

http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/10/27/la-jeunesse-debute-plus-tot-et-se-termine-plus-tard-qu-avant_5206969_4401467.html

 

Argent de poche – Lutte contre la délinquance

Argent de poche contre service : un outil de lutte contre la délinquance à Nancy

L’opération « Argent de poche », lancée il y a 20 ans dans le Grand Nancy, intègre depuis ce lundi 13 novembre la ville de Laxou. Son principe ? Prévenir la délinquance des jeunes en leur proposant de gagner un peu d’argent en contrepartie de chantiers d’entretien à l’Office métropolitain de l’habitat

C’est le principe de l’opération « Argent de poche » lancée il y a tout juste 20 ans à Nancy et Maxéville dans les quartiers du Haut du Lièvre, de Beauregard, d’Haussonville et de Saint-Nicolas. Un dispositif conduit par les villes et la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). La ville de Laxou l’a rejoint officiellement ce lundi 13 novembre.

L’opération « Argent de poche » propose à des jeunes volontaires de 16 à 21 ans de participer à deux chantiers maximum par mois. Quelques heures consacrées à l’entretien d’espaces verts, au nettoyage de cages d’escaliers ou encore au ramassage de feuilles pour le compte de l’Office métropolitain de l’habitat du Grand Nancy (OMh) en échange de 15€ par chantier.

Gagner sa vie légalement

De l’argent gagné dignement et un service rendu à la collectivité : pour Bruno Manière, directeur territorial de la Protection judiciaire de la jeunesse (qui couvre les départements de Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges), l’opération est un « outil de prévention de la primo-délinquance en montrant que l’accès à un petit peu d’argent peut passer par une autre réponse que la délinquance. Et puis, c’est mettre ces jeunes en relation avec les acteurs de la société sur ce territoire, d’autres habitants. Leur permettre d’accéder à d’autres logiques de vivre-ensemble, c’est par nature faire prévention à la délinquance. »

« C’est vraiment par les jeunes, pour les gens du quartier et avec tout le monde, le bailleur, la PJJ. C’est de la prévention et de la vie quotidienne », renchérit la maire de Laxou, Laurence Wieser. L’an dernier, 318 jeunes – autant de filles que de garçons – ont participé à 491 chantiers. Ils ont gagné au total 53.760€ d’argent de poche.

Pour plus d’information : https://www.francebleu.fr/infos/societe/argent-de-poche-contre-service-un-outil-de-lutte-contre-la-delinquance-a-nancy-1510594245

Je trouve ce dispositif très intéressant et réfléchi. Nombreux sont les jeunes qui ne peuvent pas avoir d’argent de poche dû aux faibles ressources de leurs parents. Cependant avec ce projet les jeunes peuvent avoir leur argent de poche légalement par le biais de leur travail.

Quand l’économie traite de la jeunesse.

Le Printemps de l’Économie est une conférence qui se déroule chaque année à Paris et qui traite d’économie dans les débats de société actuels. L’année 2017 avait pour thème : « 20 défis pour la France ». Cette conférence étant animée par des économistes et des sociologues, le thème de la JEUNESSE a été abordé de nombreuses fois.

Le Bondy Blog a choisi de couvrir sur ces 4 jours de conférences les discussions liées à la jeunesse, aux discriminations sur le marché du travail et à la mixité scolaire.

Voici son compte-rendu :http://www.bondyblog.fr/201703271553/jeunesse-discriminations-et-mixite-au-programme-du-printemps-de-leconomie/#.WhRYjUriY2w

Les réseaux sociaux un véritable fléau pour la jeunesse

Internet est une formidable niche d’informations à laquelle ont recours les jeunes de nos jours, leurs sources sont souvent tournées vers les réseaux sociaux: Facebook; Tweeter; Instagrame; Snapchat Youtube…etc.

Aujourd’hui les réseaux sociaux ont quasiment épousé (?) notre société et l’intègrent parfaitement. De plus avec le pouvoir d’achat et le progrès impressionnante des outils informatiques, quasiment tout  le monde possède un outil avec lequelle il peut accéder en un seul clic à internet et donc aux réseaux sociaux. Le smartphone est l’outil principalement utilisée des jeunes, a à lui seul il regroupe et combine toutES les fonctionnalités high-tech.

En France 97 % de la population âgée de plus de 16 ans, possède un téléphone portable. 31% des sondés utilisent quotidiennement leur smartphone pour surfer sur le net, un chiffre atteignant 57 % pour les 16-24 ans.
lien vers la source

Au delà de ces chiffres  que savons-nous des  risques et conséquences?
pour plus d’informations voir ici

 

 

Un livre pour enfants ??

Le petit prince un livre que surement on a tous lu étant enfant.

Mais es est-ce un livre pour enfants ?

Personnellement je pense qu’il ne faut n’y a pas d’âge pour lire le Petit Prince.

autant Il convient a tout les enfants, car il raconte une histoire douce et remplit de gentillesse.

Mais il convient aussi aux adultes car derrière cette image enfantine ce se cache un livre très philosophique, qui va décrire la vie d’un enfant qui est dans le monde de l’innocence entouré d’adultes  .

L’auteur Saint-Exupéry dénonce dans son livre tout ce que perd l’enfant en grandissant et ce qui empêche les adultes d’être tout simplement heureux avec ce qu’ils ont.

https://imsc.uni-graz.at/tringali/documents/st_exupery_le_petit_prince.pdf

https://www.youtube.com/watch?v=JGUMmOwp3dY

Le Chômage chez les jeunes

Quels sont les pays européens les plus favorables aux jeunes ? L’École polytechnique de Zurich publie pour la quatrième fois son indice KOF du marché des jeunes. En Europe, près de 4 millions des 15/24 ans sont sans emploi mais les inégalités se creusent entre les pays.

Si le nombre de chômeurs a connu en septembre sa plus forte baisse depuis début 2001, les jeunes sont toujours impactés. L’indice du marché de l’emploi des jeunes a été publié il y a quelques semaine par l’École polytechnique de Zurich en Suisse. L’ indice KOF du marché de l’emploi des jeunes analyse la situation des jeunes sur le marché du travail. Les chercheurs comparent la situation des jeunes actifs en tenant compte des conditions de travail, de la formation et de la facilité d’accès au marché de l’emploi. L’indice observe qualité du travail, les systèmes de formation.

Pour plus d’info : https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/chomage-des-jeunes-la-france-toujours-en-retard-l-allemagne-devant-1508854640

Je trouve que  cet article  décrit bien la situation actuels des jeunes au sujet du chômage et l’on constate que la France est en retard au niveau du chômage des jeunes.

LES JEUNES ET LE VIRUS DU VIH

Cet article, m’a probablement ouvert les yeux. Je ne me rendais pas compte à quel point beaucoup trop de jeunes ne se sentaient pas concernés par ce virus. Voir même pas informés, sur les dangers, comment se protéger, le dépistage, etc… Cet article annonce la couleur en disant qu’un homme est jugé pour avoir transmis le sida en cachant sa séropositivité. Puis l’article dérive sur des sondages parlant des jeunes et de leur connaissance sur le SIDA. Je vous présente alors cet article pour vous poser la question suivante ;

ET VOUS? QUE SAVEZ VOUS DU SIDA?http://www.santenews.eu/2017/11/14/homme-juge-pour-avoir-transmis-le-sida-cachant-seropositivite/

« L’image du jeune fait peur aux adultes »

Quand on parle de jeunes aujourd’hui on parle de quoi ? De délinquance, d’alcool, de drogues en tout genres, de travail, nous sommes jugés sur nos actes et pas notre personne, ne tenant pas  compte de nos origines. Avec l’arrivée des téléphones n’en parlons même pas tout est amplifié, la pub, les réseaux, les rencontres de bonnes ou mauvaises personnes, les études sont faites bien-sur mais les mesures ne sont pas prises pour que la jeunesse soit intégrée dans notre société.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/07/25/l-image-du-jeune-fait-peur-aux-adultes_1391202_3224.html

A Contrario peut-être que les adultes nous intimident aussi ?

http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Comportement/Articles-et-Dossiers/Je-refuse-d-etre-adulte

« Ne m’abandonne pas » – Téléfilm français 2016

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19560341&cfilm=241311.html

Dans le cadre de mes recherches pour mon hors-serie sur le thème de la jeunesse et la radicalisation je suis tombée sur ce téléfilm, « ne m’abandonne pas ».

Le film raconte l’histoire d’une mère prête à touTs pour sauver sa  fille de l’endoctrinement de dDaesh.                                                                                      Je vous conseil de le regarder car il aborde un thème qui est plus que d’actualité, ce film aborde un sujet très sensible mais avec beaucoup de justesse et de pédagogie.

 

 

Un film sur l’adolescence !!

Un film fait par un jeune adulte sur la crise d’adolescence !

J’ai tué ma mère.

Ce film fait en Juillet 2009 réalisé par Xavier Dolan.

Parle d’Hubert Minel, seize ans qui déteste sa mère, Chantal. Les goûts et la personnalité de cette dernière l’horripilent. Le film retrace l’adolescence de ce jeune homme montre la violence entre un ado et ses parents et jusqu’où les conflits peuvent aller.

Liens:
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=145951.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/J%27ai_tu%C3%A9_ma_m%C3%A8re

 

On n’a pas tous la même jeunesse !!!!

Malala Yousafzai

On parle souvent de jeunesse occidentale, cette jeunesse ci nous la connaissons bien autant pour ses points positifs et que pour ses points négatifs.
Mais avez vous réfléchi aux autres jeunesses ? De celles dont personne ne parle, cachées par notre société de consommation et de confort.
Voici une émission sur les discours de Malala Yousafzai et Aung San Suu Kyi pour l’obtention du prix Nobel de la Paix en 2015.
Il permet de comprendre ce que c’est la jeunesse d’enfant en souffrance et que’il est temps de faire changer les choses!!!
« Faites votre part » quelque soit votre taille…

 

https://www.franceinter.fr/emissions/sur-les-epaules-de-darwin/sur-les-epaules-de-darwin-21-novembre-2015

« Et la jeunesse, bordel ! »

Ils s’appellent Léa, Martin, Ana, Benjamin, Gladys, Hamza. Ils ont entre 20 et 26 ans, et malgré leur bac + 5 ou leur bac pro, leur avenir est tout tracé : chômage, petits boulots et précarité. Une génération Y ni laxiste ni paresseuse, mais déboussolée et sans perspectives. Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de la mauvaise santé de l’éco­nomie par les générations précédentes, celle des « trente glorieuses » notamment, qui, après en avoir bien profité, ne s’est pas souciée de celle qui allait lui succéder.

Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

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Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

Appuyée par les éclairages de sociologues et de politologues, cette série documentaire pointe les paradoxes d’une France où l’Etat subventionne à coup de millions d’euros des plans emploi pour la plupart inefficaces alors que la jeunesse, souvent diplômée, n’arrive pas à s’insérer sur le marché du travail. « En France, il existe un “effet cicatrice” difficile à surmonter pour un jeune qui subit un premier échec pour s’insérer dans le monde du travail », explique le sociologue Louis Chauvel, auteur de La Spirale du déclassement. Essai sur la société des illusions (Seuil, 2016), qui dénonce « le racisme ­antijeunes » qui sévit chez la plupart des gros employeurs. Hamza, qui cherche à faire valider son stage dans une entreprise, en sait quelque chose : « Trop jeunes dans un monde de vieux. »

Un cri d’alarme

L’Etat a beau dépenser des fortunes pour la jeunesse – comme le rappelle Jean-Charles Doria dans son commentaire –, les statistiques restent catastrophiques : un jeune sur quatre est au chômage, un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté, et un sur six est complètement exclu du système. « Jamais les jeunes générations n’ont été confrontées à autant de précarité dans l’emploi », souligne le réalisateur. « Il existe surtout une reproduction sociale. Un fils d’ouvrier reste souvent un ouvrier », appuie le politologue Thomas Guénolé, qui tient la chronique « Salauds de jeunes » dans le mensuel Neon.

Tout au long de ce documentaire, on s’attache aux différentes personnalités de ces jeunes, dont on souhaite vivement qu’ils s’en sortent. C’est le cas pour certains d’entre eux, que le réalisateur a retrouvés quelques mois plus tard. Ils sont métamorphosés. « Mon film est un plaidoyer pour cette génération, un cri d’alarme. Derrière la colère et la fatigue, il y a beaucoup d’optimisme et d’énergie », explique Jean-Charles Doria. En écho, Martin, cancre et rebelle à l’école mais qui, à 20 ans, a monté avec beaucoup de difficultés sa start-up, lui répond : « Pour moi, être heureux, c’est pas seulement avoir du pognon. »