Des psychologues de l’université de Bolton, au Royaume-Uni, ont ressorti une étude, sur le bonheur des gens, qui avait été faite dans leur ville en 1938. Après avoir analysé les réponses de chaque participant, les gens croyaient que la sécurité, la connaissance et la religion étaient des facteurs cruciaux pour être heureux. Au jour d’aujourd’hui, la sécurité fait toujours parti du top 3 de ce qui rend les gens heureux de nos jour, alors que la religion, elle, est bien descendu dans la liste. Une chose n’a pourtant pas changé, le facteur chance. 40% des personnes d’aujourd’hui et d’hier pensent qu’avoir un peu de chance est essentiel pour atteindre le bonheur.
On peut voir aussi que la différence entre les 2 époques réside dans le fait qu’avant, « le bonheur était enraciné dans la vie quotidienne à la maison »
Je ne suis pas d’accord avec l’idée que la chance rend heureux. En effet pour moi la chance n’existe pas, tout à une destinée et les choses arrivent pour une raison précise. Si l’on pense que l’on a un moment de chance dans notre vie, c’est peut-être le fruit du hasard mais cela reste un moment de joie éphémère
maiset ne rend en aucun cas heureux à long terme.En ce qui concerne la religion, les gens se sont peut-être renduS compte de la désillusion que peut procurer une croyance ? C’est un sujet délicat qui a perdu de sa « magie » je pense.
Le bonheur dépend de chacun et surtout de notre capacité à s’accepter nous même
ainsi queet à surmonter les aléas de notre vie.Article intéressant, on voit que la notion de bonheur est un chose très variable et qu’elle dépend de la société dans laquelle on se trouve : ici la sécurité reste dans les premières positions car l’état se pose de plus en plus comme le garant de celle-ci, la religion quand à elle est descendue en bas des priorités depuis que la laïcité est mise en vigueur (
de plus en plus également?).