un publique moins passif que suggérer

 

Le débat oppose deux visions , mais pour moi nul doutes les deux  peuvent avoir des arguments interférents  .  Car le théâtre aborde de nombreuse formes et variances entre pays et dramaturges .

Une l’évolution des pensées  à travers les siècle ?

Dans le débat qui oppose Diderot à Rousseau, Il faut comprendre que les mœurs ont évolué de façon non négligeable entre le XVIII et le XXI siècle, passant d’une France chrétienne et monarchique à une France républicaine accueillant plusieurs religions. Avec ce changement, la France va intégrer en son sein de multiples peuples et cultures. Par conséquent, le peuple Français est divisé en de nombreuses communautés, c’est-à-dire que les individus ne sont pas unis.

Personnage si loin du publique ?

Malgré cela, les spectateurs peuvent être liés de différentes manières. Si le dramaturge écrit une pièce qui prend pour exemple des personnages réels ayant des convictions, un passé, il est possible que les spectateurs voient en eux une facette d’eux même.  Il est alors envisageable de les unir en leur montrant que même si tout les opposent, ils peuvent se rapprocher.

La culture dans notre vie nous formate 

Pourtant, chaque spectateur vient avec sa propre culture, sa propre éducation, sa propre expérience. De ce fait, certains vont se restreindre inconsciemment dans leur choix de la pièce de théâtre qu’ils souhaitent voir. C’est pourquoi, elles ne peuvent pas attirer tous les publics puisqu’elles ne permettent pas le mélange de différents types d’individus.  Comment est-il possible que le théâtre forme un peuple avec des individus aussi opposés.

Distant mais si proche 

Mais le théâtre peut-il unir un peuple alors que le spectateur n’est pas acteur de la pièce. Si le dramaturge souhaite intégrer des valeurs ou une morale, il n’est pas concevable que tous adhèrent. La culture des habitants ayant augmenté depuis le XVIIIème il est plus compliqué de nos jours d’attirer des partisans.

Un plaisir pas pour tous au XVIII

De plus, le théâtre du XVIIIème doit plaire à une catégorie sociable aisée. Le peuple étant constitué de paysans, de nobles et d’ecclésiastiques sous la gouverne d’un roi qui possède tous les pouvoirs. A savoir que le roi est la représentation de Dieu sur terre et que la France est encore à cette époque très croyante. En somme, les pièces sont là pour plaire à la noblesse qui finance les dramaturges pour faire leurs éloges. De ce fait, il divise la population plus qui les unis.

Un pouvoir capable d’influencer les foules 

Mais il est possible de faire passer des idées dans une pièce .La propagande peut être instructive mais aussi idéologique  . Des pensée politique peuvent être inséré dans les textes et dans le jeu des acteurs . Le théâtre devient pervers dans le sens  ou même un passe temps devient un endroit politique . Ou les acteurs ce transforme en loup qui chasse , est le publique devient l’agneau .

Une union non sans coût 

Si le théâtre d’après Diderot peut unir la population, alors pourquoi le rendre si coûteux. Effectivement, se rendre au théâtre n’est pas facile pour plusieurs raisons. Peu de petites villes, ou villages disposent d’une salle appropriée manquent de moyens pour financer les représentations et rémunérer les comédiens.  Cet art n’est donc pas accessible au plus grand nombre et ne facilite pas l’union de tous les citoyens.

 

Même si le théâtre est un espace de loisir ,il est impossible d’après tout les éléments si dessus qu’il est impossible que le théâtre nous unissent. Pour Diderot son idéal reste et restera un rêve impossible.

2 réflexions sur « un publique moins passif que suggérer »

  1. Le titre est trop explicatif. Employez une figure de style : oxymore, métaphore, antithèse…

    On a du mal à distinguer les différentes étapes d’un raisonnement en soi intéressant : chapeau avec problématique, annonce de la thèse ? Intertitres ?

    Revoir la grammaire. Des questions sans points d’interrogation, de la syntaxe hésitante… Votre propos est intéressant et pertinent, sur la multiplicité des groupes, la plus grande difficulté pour unir un peuple de nos jours, mais c’est à justifier davantage.
    Appuyez-vous aussi sur des exemples. Cette proposition de mise en scène du « Tartuffe » pourrait vous intéresser : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9002016s

    Dans l’ensemble, soignez les liens entre les idées. Le paragraphe décalé sur le cinéma vous fait perdre en force de propos, d’autant plus que le cinéma est souvent du théâtre filmé. Ne remplacez pas les connecteurs logiques par un saut de ligne.
    La fin est bizarrement écrite…

    De nombreuses révisions de forme à faire, donc. Allez-y ! Vous avez jusqu’au 20 mai.

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