Ma vision sur : Les animaux et le bonheur.

Mon point de vue sur les animaux et le bonheur.

De mon regard sur les animaux que mes parents ont, j’ai l’impression qu’ils sont heureux. Les 2 chats ont le droit aux lits, canapé, fauteuils. Le chien a son tapis et son panier. Et bien sur en hiver la cheminéE, source de chaleur, qui les attirent bien plus tout autres choses.

Ils ont à mangé, et peuvent vaquer à leurs occupationS dans un grand jardin remplie de souris, de musaraignes ou encore d’oiseaux. Mes parents leurs donnent de l’affection et de l’attention.

A mes yeux ils ne manquent de rien. Ils dorment, mangent, jouent, sont chouchoutés, aimés… Le bonheur ?

On sait que les animaux ressentent l’angoisse, la peur, fuient la souffrance.

Quand mes parents partent faire des courses ou encore « oublient » de prêter attention à leurs animaux, les chats miaulent ou font des bêtises, le chien se montre très, mais très tactile, et cherche à se faire caresser.

Quelque part les animaux domestiques subissent les mêmes émotions que nous, allant du bien être, à la peur. Ils le vivent juste à des degrés différents.

Quand aux animaux sauvages alors ?

De mon point de vue c’est la presque la même chose. Ils ont l’innocence de la vie à leurs jeunes age (ils sont nourris, jouent) et après subissent les péripéties du monde animal à l’age adulte (la crainte des prédateurs, avoir du mal a trouver sa nourriture).

Donc au final si les animaux passent par tout ces états c’est normal que nous les subissons aussi.
Nous avons pas besoin de chercher à ne pas avoir de « malheur », puisque dans le monde animal c’est quelque chose de normal.
Après est-ce que la société actuelle n’accentue pas ce phénomène de péripéties. 

3 réflexions sur « Ma vision sur : Les animaux et le bonheur. »

  1. Merci Nathan pour ton article. Je suis d’accord avec toi quand tu dis que les peurs de l’animal sont dues à ses instincts naturels, comme manger ou encore se protéger qu’au contraire les hommes se créent plus d’angoisses suite à de petits riens de la vie.

  2. Je suis d’accords avec Nathan sur le fait que nos instincts, nos besoins primaires et aussi nos émotions nous rattachent aux animaux. La seule différence est peut être notre conscience de ces émotions et nos pensées qui nous coupeNT de l’instant présent dans lequel se trouvent constamment nos amis les bêtes.

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