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La solidarité d’aujourd’hui  : Remède d’une France confilibre

Depuis près d’un siècle, la France n’avait pas connu une crise sanitaire sans précédent. Le 24 Janvier 2020, le coronavirus est recensé en France, l’apparition de 3 cas du COVID-19 est confirmé sur notre territoire. Ce virus encore inconnu de tous et soi-disant moins dangereux qu’une grippe, n’aura pas tardé à faire changer l’avis de nombreuses personnes. En effet, le 14 Mars l’épidémie du virus passe au stade 3 et le 17 Mars, tous les habitants du territoire sont confinés à domicile. Depuis, de nombreuses formes de solidarité sont apparues comme l’aide aux personnes âgées ou fragile, le don de masque d’entreprise aux centres hospitaliers ou encore l’entraide entre personnes dans les grandes villes. Cette solidarité permet à chacun d’avoir un quotidien moins morose et pour d’autres à pouvoir combattre ce virus dans de meilleur conditions. Cependant, la solidarité d’aujourd’hui va t-elle perdurer une fois que tout cela sera fini ?

Agissons-nous par bienveillance ou juste pas ennui ? La solidarité pourra continuer si la vie reprend son cours ? Les différentes formes de solidarité mis en place aujourd’hui vont t-elle perdurer ? Sentez-vous capable d’être solidaire comme vous l’êtes aujourd’hui ?

Nous montrerons que la solidarité d’aujourd’hui s’effacera peu à peu puis que la solidarité actuelle perdura et, pour finir que la solidarité d’aujourd’hui devra être un souvenir fort et gravé

Une solidarité éphémère

« Vivre, c’est survivre » écrivait Andre Tannoy, voici sur quoi est fondé la solidarité aujourd’hui. D’habitude, les hommes exercent de la solidarité par simple intérêt ou pour une cause qu’il souhaite soutenir. Cependant, aujourd’hui la donne n’est pas la même car le monde est confrontés à un danger qu’il ne connaît pas entièrement. Lorsque l’on sait que le principal but de l’Homme, c’est de vivre, certains comportement et agissement changent. Actuellement, certaines personnes n’exercent aucune solidarité envers ces congénères, il préfère penser a eux-mêmes et a ce qui pourrait leur arriver. Pour autant, il voudrait bien que une solidarité soit exercée pour eux. Dans les circonstances actuelle, ils existent 2 formes de solidarité. La première est basée sur un devoir et qui provient des des médecins, des infirmièr(e)s, les soignant(e)s,des militaires ou encore des personnes qui travaillent pour le fonctionnement du pays ( cultivateurs, caissières,…) Toutefois, il existe une deuxième forme de solidarité axé sur l’instinct de survie. Ce sont toutes les personnes qui sont solidaire aujourd’hui car il le faut, ce sont les entreprises qui donnent leurs stocks ou ce sont les autres pays qui fournisse des équipements. Est-ce votre statut ? Chacune de ces formes de solidarité est différentes, pourtant à l’heure actuelle, nous les regroupons pour en formé qu’une seule. De toute évidence, c’est ici que se pose un problème, nous sommes en guerre ! On essaye de montrer qu’une réelle solidarité, qui est pourtant divisé et non unanime. Dans cette sens, il est impossible que la solidarité d’aujourd’hui perdurent si demain tout devait revenir à la normale. Chacun pourra reprendre sa vie comme avant et la solidarité présente ne sera plus qu’une page de notre histoire. Peut-on l’oublier une histoire vécues ?

Une solidarité, l’instant présent

La solidarité actuelle qui c’est installé, est une solidarité forte. Chaque rôle joué par chacun est un acte de solidarité qui peut aider à sauver des vies. Le confinement, qui est plus ou moins respecté, permet de sauver des vies, mais si pour autant on donne toujours le côté négatif des choses. La solidarité actuelle permet aujourd’hui a de nombreuses personnes de ne pas souffrir et d’avoir une meilleure qualité de vie. Cette solidarité est visible partout, dans les médias, sur réseaux sociaux, dans votre immeuble… Elle aide les personnes qui ont le plus besoin à soigner des patients mais aussi à leurs donner de l’espoir. Cette solidarité va rester graver dans les mémoires de chacun. Véritablement, nous vivons l’instant présent et les répercutions de chaque instant que nous vivons sont souvent plus fort que ceux que nous ou d’autres personnes ont vécues. Nous sommes les acteurs de la solidarité. Nous sommes des personnes concernés par ceux qu’il arrive. Nous sommes et nous serons des personnes qui auront vécues cette événement. Comment pourront nous oublier ce que chacun, consciemment ou inconsciemment aura fait pour nous ? Cette solidarité actuelle, ne sera peut-être pas la même que dans l’avenir, mais des séquelles de celle-ci feront surface un jour ou l’autre. La solidarité entre voisins, entre les différents corps de métier ou aussi entre notre propre famille ne s’effacera pas, car nous sommes des acteurs de la situation. Le temps efface des choses, mais il n’efface pas le souvenir.

Une solidarité à immortaliser

Certes, le terme « solidarité » à évoluer dans notre histoire, pourtant dans le fond son sens reste le même. Les exemples de solidarité qui existent dans notre histoire ont permis de faire évoluer ce terme, mais aussi de faire réagir les Hommes. Cependant, la solidarité actuelle n’est pas nouvelle. En 1918, la grippe espagnol a fait son apparition en Europe, souvent comparé au virus actuelle ( COVID-19) car elle aussi était virulente et contagieuse. La solidarité était présente à l’époque, peut-être moins importante qu’aujourd’hui, mais elle a aidé des personnes à combattre cette maladie entre 1918-1919. Actuellement, il y a très peu de récit de cette terrible maladie, ni de récit d’acte de solidarité. C’est donc aujourd’hui qui faut réagir et conserver ce qu’il se passe. Les nouvelles technologies nous le permettent. Il faut absolument pérennisé notre histoire afin d’en laisser une trace pour nous et pour les générations futures.

 

Pour conclure, la solidarité actuelle se base sur l’instinct de survie et sur la volonté. Il ne faut pas oublier les événements que nous vivons, car comme pour nous ou comme pour les prochaines générations, notre histoire reste primordiale. Tout ne peut pas être conservé, tout comme le souvenir.

Liberté, égalité, solidarité

L’État est l’autorité souveraine qui s’exerce sur un peuple et un territoire déterminé. Il doit assurer plusieurs missions et rôles  différents comme la défense de son territoire, la sécurité de son peuple ou encore la justice par exemple. Mais, est-ce son rôle de nous dire « soyez solidaire » ?

 

La mission première de l’État: l’exercice de la souveraineté

L’État n’est pas une personne morale de droit public comme une autre. En effet, c’est le dépositaire de la souveraineté. C’est pourquoi parmi ses missions, il doit établir les différentes règles au sein de son pays qui s’imposent au corps social (sa population) et à lui-même. En ce sens, il doit également instaurer une force publique dans le but de faire respecter ses règles et ainsi garantir les droits et libertés de chacun. Lorsque les règles ne sont pas respectées, l’État se doit également de mettre en place une justice. Enfin, parmi ces rôles primordiales,  l’État doit pouvoir défendre son pays et donc organiser une armée pour d’éventuelles opérations militaires. Aucun de ces rôles n’a pour but de de dire « soyez solidaire », cependant certain peuvent le faire et transmettre cette valeur. En effet, l’État peut  mettre en place des règles ponctuelles. Par exemple le confinement obligatoire pour chacun a pour but de limiter l’expansion du virus covid-19, mais c’est également une sorte de solidarité envers le personnel soignant qui œuvre chaque jour pour sauver des vies.

l’État: le porte-parole de l’intérêt général

En plus d’être le dépositaire de la souveraineté et instrument du pouvoir politique, l’État est également le porte-parole de l’intérêt général ou du bien commun. L’intérêt général correspondant à l’ensemble des individus qui forment le peuple, c’est donc la somme des intérêts particuliers de chacun. C’est dans ce cadre que l’État va pouvoir instaurer des nouvelles règles (voir exemple ci-dessus) et donc forcer son peuple à exercer une certaine forme de solidarité. Cependant, attention l’État ne doit pas abuser de ce rôle car il ne possède pas de caractère moral en effet, il laisse ouverte la question de savoir en quoi consiste l’intérêt particulier hors, à chacun de déterminer le sien.

 

Pour conclure, même si ce n’est pas son rôle premier, dans le cadre de l’intérêt public, c’est du droit de l’État de dire à son peuple « soyez solidaire ». Cependant l’État doit tout de même veiller à ne pas abuser de ce rôle afin de remplir ses missions premières.

Une avancer dans les routes ? Ferec fais son appel !

Présentation :

Ferec, un regroupement d’entreprise, a décidé de ce SE lancer dans le domaine des infrastructures de mobilité et des réseaux ! Sur l’aspect écologique, numériques et économique, nos futureS routeS risqueNT  d’êtres bien amélioréer ! Beaucoup d’enjeux  en sont avancer, que ce sois sur les changements climatiques, en faisant supers attention à l’impacte environnemental ou encore en rallongeant la durée de vie des infrastructures en prenant en compte le changement d’usager ou d’usage. Le projet à été lancer, mais il reste encore assez calme car cela reste un appel. Ils parlent aussi de faire facilement face au inondation et au eau pluviale urbaines.

Source

Transdev sort un nouveau Trambus !

Le nouveau Trambus

Ce mercredi 2 octobre, Nîmes Métropole a présenté le nouveau véhicule lors d’un salon à Nantes.

« Nous voulons faire du Trambus de Nîmes une référence. Et c’est un projet totalement en cohérence avec ce que fait Transdev. » Les mots sont de Thierry Mallet, le président directeur général de Transdev qui exploite, en délégation de service public, le réseau de transports urbains de Nîmes Métropole, Tango. Long de 24 m, d’un bleu profond relevé par les coups de pinceaux de Michel Tombereau, il en impose. Et va faire oublier le Trambus de la T1. Il faut dire qu’à l’heure actuelle, ce nouveau véhicule est quasiment unique.

Source

Seine et Marne, cinq innovations retenues.

L’innovation est présente en Seine et Marne à travers différents domaines  tel que la botanique, le sport et la détente. En effet, un hammam est enfin accessible pour les personnes à mobilité réduite, c’est le projet Abdelkader Tadjet. De plus, pour les sportives, les créateurs de textiles sportifs ont mis au point des soutiens-gorges adaptés aux différentes morphologies. La ville compte aussi d’autres innovations plus incroyables les unes que les autres.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/melun-77000/seine-et-marne-cinq-innovations-recompensees-27-03-2017-6800310.php

 

 

Une trentaine de musicien s’accordent pour les sinistrés

C’est ce vendredi 26 Octobre que se réuniront une trentaine de musicien afin de récolter des fonds pour les victimes des inondations du Lauquet et de l’Aude.

Dans une région où la musique a toujours été synonyme d’espoir, l’événement prend tout son sens.

      « Ce soir là nous allons nous tenir chaud, sinistrés, bénévoles, donateurs ou pas, artistes. La musique sera le joli prétexte pour nous dire que la vie continue et qu’ici, en Limouxin, la solidarité n’est pas un vain mot. Nous récolterons de l’argent, bien sûr, mais pas seulement »Souligne l’organisateur. 

        Plusieurs acteurs tels que : donateurs, comités ou encore entreprises se mobiliseront dans le but commun de redonner espoir aux sinistrés. 

Les Dons seront en toute transparence collectés par Aude-Solidarité. 

DEME claire, 25 Octobre 2018.

Source : ladepeche.fr 

Inondations de l’Aude : premier concert de la solidarité, vendredi soir, pour les sinistrés.

Photo : la ligue solidaire.org

Le Chômage chez les jeunes

Quels sont les pays européens les plus favorables aux jeunes ? L’École polytechnique de Zurich publie pour la quatrième fois son indice KOF du marché des jeunes. En Europe, près de 4 millions des 15/24 ans sont sans emploi mais les inégalités se creusent entre les pays.

Si le nombre de chômeurs a connu en septembre sa plus forte baisse depuis début 2001, les jeunes sont toujours impactés. L’indice du marché de l’emploi des jeunes a été publié il y a quelques semaine par l’École polytechnique de Zurich en Suisse. L’ indice KOF du marché de l’emploi des jeunes analyse la situation des jeunes sur le marché du travail. Les chercheurs comparent la situation des jeunes actifs en tenant compte des conditions de travail, de la formation et de la facilité d’accès au marché de l’emploi. L’indice observe qualité du travail, les systèmes de formation.

Pour plus d’info : https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/chomage-des-jeunes-la-france-toujours-en-retard-l-allemagne-devant-1508854640

Je trouve que  cet article  décrit bien la situation actuels des jeunes au sujet du chômage et l’on constate que la France est en retard au niveau du chômage des jeunes.

Quitter le domicile familial, un enjeu mené différemment en France et en Italie

Exemple de Fiche de lecture

Lien vers le tuto vidéo pour vous aider à la mise en ligne

Références

Alessandro Cavalli, Vincenzo Cicchelli, Olivier Galland , Deux pays, deux jeunesses ? La condition juvénile en France et en Italie, PUR, 2008, 273 p.

Fiche de lecture

exemple de fiche de lecture (jeunesse)

Résumé

(« chap 1 : Comment quitter ses parents ? ») :

L’âge de départ du foyer familial se situe en France vers 23 ans et 27-28 ans en Italie. Il existe plusieurs ordres de raisons à ce décalage. Des raisons économiques : en Italie il y a peu d’aides publiques (4-5 % des jeunes bénéficient des transferts sociaux contre 60 % au Danemark, 30 % en moyenne au niveau de l’Union Européenne), le taux de chômage des jeunes y est plus important, il y a peu d’étudiants salariés, le logement est cher et en nombre insuffisant. Des raisons sociologiques : en Italie du nord 60 % des jeunes qui résident chez leurs parents travaillent indiquant ainsi le poids de la famille « verticale », avec autorité paternelle forte, la séparation forte des sexes et l’attachement à la mère très fort jusqu’à la puberté (« proximité émotionnelle et symbiose affective entre mère te fils »), et au final une autonomie moins grande qu’ailleurs.

En France la décohabitation est d’autant plus fréquente qu’on monte dans l’échelle sociale et que les enfants deviennent étudiants. Mais on observe une période de transition durant laquelle les enfants restent dépendants matériellement, et proches affectivement.

ESTELLE MOSSELY

« J’ai cherché le bonheur, et je l’ai trouvé »
4992268_6_59ad_estelle-mossely-a-rio-le-19-aout_c0dd38c04c181cfd9960ff81e3187ee6http://www.lemonde.fr/festival/article/2016/09/04/estelle-mossely-j-ai-cherche-le-bonheur-et-je-l-ai-trouve_4992236_4415198.html

On s’en souvient tous ! Ce fameux couple de boxeur qui a enflammé nos JO cet été pour la délégation française… Ils nous ont vendu du rêve : Le doublé en OR, le mariage, et la naissance du fils de l’entraîneur, tout était au rendez vous pour la victoire et les émotions. Cet article du monde nous raconte comment Estelle Mossely a trouvé le bonheur après l’avoir tant cherché.

Elle commence par évoquer le soutien, un aspect important, qu’elle a reçu tout au long de sa carrière de la part de ses proches, de ses fans, et de ses amis. Elle évoque le besoin d’être bien entourée pour aboutir à ses rêves. Et on veut bien la croire…

Estelle raconte que pour réussir ses objectifs elle a mis de coté tous les préjugés, elle a fait face à l’étonnement de sa famille du fait de son choix de devenir boxeuse. Comme elle le dit simplement « si certains l’ont fait pourquoi pas moi ? » Voila comment on arrive au bout, sans se poser de questions. A travers ses réponses dans l’interview, on arrive à ressentir le bien être qu’elle dégage sur un ring.

« Je prie – parce que je suis croyante et que j’en ai besoin – et après je pars au combat. Et puis prier, on ne peut pas l’oublier ! »

La religion est évoquée dans la vie et la carrière d’Estelle, celle ci l’accompagne pour son épanouissement, et lui sert de support de soutien, de chance, de motivation. C’est un plus pour sa force mentale, à mon sens.

« Une médaille olympique le jour de vos 24 ans et votre conjoint lui aussi médaillé d’or, c’est un peu un conte de fées que vous avez vécu ? Je ne me sens pas encore comme une princesse. Peut-être le jour de mon mariage ! C’est une belle histoire et je suis contente qu’elle ait touché tant de personnes. J’ai cherché le bonheur et je l’ai trouvé. J’invite tout le monde à le faire. »

Estelle Mossely fini donc par évoquer son compte de fée, et par le partager, en invitant tout le monde à faire de même, aller au bout de ses rêves et passions.

Les Français font la tête aux résaux sociaux

D’après une étude sur l’usage d’internet, la France a le taux d’utilisation des réseaux sociaux le moins élevé de l’Union Européenne. Seulement 46% des internautes les utilisent contrairement au Danemark avec 69%. Ce faible usage s’explique par le fait que nous sommes inquiets par un usage trop excessif. Mais il  peut s’expliquer aussi par une connectivité en dessous des moyennes observées dans les autres pays Européens.

Les taux vont sûrement augmenter grâce aux jeunes générations qui ont l’habitude des réseaux sociaux dès le plus jeune âge. La 4G et la fibre optique, récemment apparues, pourraient bien provoquer une augmentation des usages en France.

Lien : http://www.itele.fr/france/video/les-francais-boudent-les-reseaux-sociaux-contrairement-a-leurs-voisins-europeens-113440

Résaux sociaux