France Inter – dimanche 7 janvier 2018 – Interception
Sexting, cybersexisme, usurpation d’identité, bashing, likeharceler, sextape, …
Pour ne pas croire que l’on peut tout faire sur Internet…
Et voici un autre lien sur la condamnation d’un lycéen – Jugement datant de 2013
Pour aller plus loin, le site d’une association reconnue par le ministère de l’éducation (qu’ils disent, mais je n’ai pas plus vérifié que cela):
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Que ce soit sur ordinateur, smartphone, tablette, ou sur les réseaux sociaux, en utilisant un moteur de recherche ou en envoyant des courriels, chaque personne connectée à l’internet est constamment tracée, profilée, transformée en données marketing.
Au cours d’une étude réalisée en 2014, on a pu constater qu’environ 23% des Français craignent de communiquer leurs données personnelles sur l’internet et cela à cause d’une potentielle utilisation frauduleuse .
La majorité des internautes n’étant pas inquiétés par la protection de ces données, Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’état à l’économie numérique a donc eu l’idée d’un nouveau projet ayant pour objectif la rédaction d’une charte garantissant une meilleure protection des données personnelles des internautes à l’échelle nationale et internationale.
C’est donc le 30 septembre 2010 que la charte déontologique a été signée par les dix représentants d’associations professionnelles. Disponible sur le site internet (liens en bas de page), elle explique comment renforcer le contrôle des données personnelles et des droits des internautes.
Il existe cependant certaines solutions pour de se protéger :
– Se renseigner sur les sites avec lesquels nous communiquons nos informations personnelles
– Sauvegarder nos données
– Mettre en place un système lors de paiement sur internet afin de ne pas communiquer nos données bancaires
Avec l’avancée technologique actuelle, la question est de savoir ce qu’il adviendra de nos données personnelles transmises sur l’internet sans un minimum de règles et de sécurité.
http://www.ufmd.org/Charte-de-deontologie-Publicite-ciblee-et-protection-des-internautes_a23.html
Avec l’explosion des moyens de communication en ligne, une très grande partie de notre vie privée peut facilement se retrouver sur la toile. Des informations anodines, mais aussi notre état de santé à un instant « t », la prise de médicament régulière… il suffit de poster une photo sur facebook, twitter, etc .
Les médecins et chercheurs peuvent donc voir l’évolution d’une maladie ou d’épidémie en temps réel.
Lien vers l’article entier:
L’addiction à internet est une drogue discrète mais cependant redoutable.
Elle se manifeste à travers trois grands profils:
A l’hôpital Marmottan à Paris, les drogués d’internet sont soignés au même titre que les alcooliques et les fumeur de cannabis. Elizabeth Rossé, psychologue à l’hôpital, observe le dédoublement de personnalité chez ses patients, cette part d’ombre et de lumière, qui se retrouve dans toutes les formes d’addiction : « une double personnalité existe en chacun de nous, elle est issue de l’adolescence, de ce dialogue difficile entre le « moi » sexué et l’être social. Quand le passage à l’âge adulte est trop violent, le dédoublement se cristallise et le comportement addictif vient faire la soudure entre ces deux parties de l’être. » Concernant les jeux vidéo en ligne, le dédoublement de la personnalité est clairement visible grâce à un avatar.
Internet est l’un des facteurs d’addiction le plus populaire de notre époque et bien que récent, il ne cesse de s’accroître.
Si vos pas vous portent au CDI cette semaine, vous pouvez au rayon du fond trouver le 01.net de la semaine. Son n° d’identification est le n° 806-807.
Fin limier comme vous l’êtes, la piste vous mènera je n’en doute pas aux pages 90 et suivantes… où vous découvrirez quelques moyens simples qui vous feront prendre peut être conscience des traces que nous laissons sur la toile…
Pour aller plus loin, menez votre enquête personnelle sur le « big data », c’est très tendance cet hiver 😉
Un article publié sur le site Rue 89 explique comment le dispositif mis en place par des ONG et l’État nigérian a permis d’éradiquer l’épidémie d’EBOLA dans le pays le plus peuplé d’Afrique. Réseaux sociaux et applications mobiles ont informé la population en temps réel : prévention, pré-diagnotic, localisation des sites contaminés… Si les réseaux sociaux ont permis de vaincre une épidémie, c’est aussi du fait de l’équipement des habitants : plus de 70 millions et un taux de pénétration d’Internet au Nigeria qui est l’un des plus élevés d’Afrique.
Lien vers l’article : http://rue89.nouvelobs.com/2014/10/22/nigeria-telephones-reseaux-sociaux-ont-aide-a-endiguer-ebola-255634