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Comment la créativité alimente le processus d’innovation ?

Quelle est la différence entre la créativité et l’innovation ?L’innovation et la créativité sont souvent utilisées de manière interchangeable. Cependant, ce sont les organisations ou les grandes firmes trans-nationales qui peuvent faire la différence entre les deux et comprendre réellement leur fonctionnement.

On décrit la créativité comme une idée nouvelle et utile, et l’innovation comme le processus qui fait de cette idée une réalité sur un marché qui la valorise. Comment les nouvelles idées sont générées, partagées et acceptées pour créer des innovations réussies ?

Les quatre étapes de l’innovation sont :
1 : Une personne utilise ce qu’elle sait pour générer des idées.
2 : Ces idées sont partagées avec d’autres.
3 : D’autres déterminent si les nouvelles idées sont « nouvelles » et utiles.
4 : Si les idées sont utiles, l’équipe les concrétise ensemble sous la forme de nouveaux produits physiques ou de nouvelles façons de faire.

Encourager l’innovation
Comment nous pouvons encourager la créativité individuelle en utilisant quatre processus de création de sens ? La préparation (la collecte d’informations), l’incubation (informations intégrées dans ce que nous savons), l’intuition (reconnaître de nouvelles façons d’utiliser les informations) et la vérification (évaluer et développer une idée créative) sont les réponses clés. Ces solutions peuvent être aussi appliquées à l’innovation de groupe.

Sur la base de ce processus, l’innovation nécessite une réflexion à la fois individuelle et collaborative pour réussir.  L’environnement et l’espace fournis doivent refléter ce type de travail pour récolter les pensées créatives et catalyser l’innovation. Si les espaces de collaboration sont importants pour le partage des connaissances, un bureau doit offrir une variété d’espaces qui peuvent favoriser différentes étapes du processus.

Etat, solidarité et revenu de base

Dans la revue « Alternatives économiques » de mars 2019, à la page 38, vous apprendrez que la Finlande expérimente auprès de 2000 finlandais le revenu universel (pour eux c’est le revenu de base). L’expérience ne semble par remplir les espoirs de l’état finlandais. Ceci dit, et c’est la raison de cet article, à la page 39 du même magasine, je vois un encadré qui nous invite à voir une série documentaire interactive sur notre relation au travail et à l’argent!

Le lien est derrière l’image;)

Vous savez maintenant ce qu’est un web documentaire interactif

  • Web car sur la toile
  • Documentaire car film présentant des faits authentiques
  • Interactif car en fonction de vos réponses aux questions, vous enchaînez les films selon un parcours qui vous est propre…

Bon, reste à lire aussi la page 38 au CDI, et pour ceux qui tentent l’aventure, je fais partie des 13%…

Solidarité et société, un regard décalé – A Musée Vous, A Musée Moi Les raboteurs de parquet

Je ne sais pas si vous aimerez… mais qui sait? Vous pouvez commenter…

A Musée Vous, A Musée Moi Les raboteurs de parquet, Gustave Caillebotte
3 min – Source : Arte
En trente épisodes, cette nouvelle série courte revisite avec humour dix tableaux célèbres du monde entier. Aujourd’hui : trois raboteurs de parquet découvrent que le droit du travail a bien évolué depuis le XIXe siècle.

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Les jeunes plus aptes au volontariat par « Chantiers jeunesse »

Depuis 1980, Chantiers jeunesse invite les jeunes canadiens et d’ailleurs à s’engager avec le monde en participant à des projets de volontariat nationaux ou internationaux. Chantiers jeunesse, c’est une communauté rassemblée autour d’un OBNL visant à la fois le développement personnel des jeunes et l’amélioration du milieu de vie des communautés locales canadiennes et étrangères. La communauté des chantiers est fondée sur le respect des différences, le partage interculturel, la solidarité et l’engagement.

Cet organisme, à but non lucratif permet le plus souvent d’aider la population présente sur le lieu du chantier. C’est accessible à tous et ne nécessite pas d’expérience! Prêt ! A vos marteaux!

https://www.cj.qc.ca/

Témoignage: Les Jeunes Français sont désabusés par leur situation !

«Il y a un an, j’étais pleine d’optimisme, maintenant je suis inquiète pour mon avenir. Non, pas inquiète, en fait, je suis désabusée.»

Ce discours te parle ?  Cet article met en évidence plusieurs témoignages de jeunes sortant de grandeS études et qui ont du mal à rentrer dans le monde du travail.

Le déclassement générationnel est l’idée que les enfants risquent de plus en plus de vivre moins convenablement que leurs parents.

Pour plus d’info voir ici

 

« Et la jeunesse, bordel ! »

Ils s’appellent Léa, Martin, Ana, Benjamin, Gladys, Hamza. Ils ont entre 20 et 26 ans, et malgré leur bac + 5 ou leur bac pro, leur avenir est tout tracé : chômage, petits boulots et précarité. Une génération Y ni laxiste ni paresseuse, mais déboussolée et sans perspectives. Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de la mauvaise santé de l’éco­nomie par les générations précédentes, celle des « trente glorieuses » notamment, qui, après en avoir bien profité, ne s’est pas souciée de celle qui allait lui succéder.

Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

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Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

Appuyée par les éclairages de sociologues et de politologues, cette série documentaire pointe les paradoxes d’une France où l’Etat subventionne à coup de millions d’euros des plans emploi pour la plupart inefficaces alors que la jeunesse, souvent diplômée, n’arrive pas à s’insérer sur le marché du travail. « En France, il existe un “effet cicatrice” difficile à surmonter pour un jeune qui subit un premier échec pour s’insérer dans le monde du travail », explique le sociologue Louis Chauvel, auteur de La Spirale du déclassement. Essai sur la société des illusions (Seuil, 2016), qui dénonce « le racisme ­antijeunes » qui sévit chez la plupart des gros employeurs. Hamza, qui cherche à faire valider son stage dans une entreprise, en sait quelque chose : « Trop jeunes dans un monde de vieux. »

Un cri d’alarme

L’Etat a beau dépenser des fortunes pour la jeunesse – comme le rappelle Jean-Charles Doria dans son commentaire –, les statistiques restent catastrophiques : un jeune sur quatre est au chômage, un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté, et un sur six est complètement exclu du système. « Jamais les jeunes générations n’ont été confrontées à autant de précarité dans l’emploi », souligne le réalisateur. « Il existe surtout une reproduction sociale. Un fils d’ouvrier reste souvent un ouvrier », appuie le politologue Thomas Guénolé, qui tient la chronique « Salauds de jeunes » dans le mensuel Neon.

Tout au long de ce documentaire, on s’attache aux différentes personnalités de ces jeunes, dont on souhaite vivement qu’ils s’en sortent. C’est le cas pour certains d’entre eux, que le réalisateur a retrouvés quelques mois plus tard. Ils sont métamorphosés. « Mon film est un plaidoyer pour cette génération, un cri d’alarme. Derrière la colère et la fatigue, il y a beaucoup d’optimisme et d’énergie », explique Jean-Charles Doria. En écho, Martin, cancre et rebelle à l’école mais qui, à 20 ans, a monté avec beaucoup de difficultés sa start-up, lui répond : « Pour moi, être heureux, c’est pas seulement avoir du pognon. »

La jeunesse française frustrée de ne pas avoir sa place

D’après plusieurs études menées ces dernières années sur la jeunesse française, le diagnostic final est plutôt alarmant : notre génération se dit « frustrée » de ne pas avoir sa place et de n’avoir aucune reconnaissance sociale.

Et contrairement à ce que pensent les générations passées, les jeunes d’aujourd’hui sont plus engagés et prêts à se battre contre toutes les inégalités.

Pour plus d’informations : http://www.lemonde.fr/emploi/article/2014/02/25/frustree-la-jeunesse-francaise-reve-d-en-decoudre_4372879_1698637.html

L’entreprise de demain selon la jeunesse

 

Pour les jeunes l’entreprise de demain serai cosmopolite et avec d’avantage dentre aide  entraide et moins d’individualisme.

Un sondage en ligne de l’entreprise conseil Delliotte à interroger 1065 étudiants qui ont répondue à un pêle-mêle de questions :

  • quelles valeurs d’entreprise sont les plus importantes?
  • quelle est la raison première d’une belle carrière?
  • comment voyez-vous le manager idéal?
Source: https://www.itg.fr/portage-salarial/les-actualites/chomagejeunesdiplomesdefieuropeen

Les premier chiffres de l’étude montre que 80%  des jeunes veulent une entreprise tournées vers l’internationale.

Si les étudiants veulent une entreprise internationale , Ils ne veulent pas travailler dans de grosses filiales  internationales, ni dans des petites sociétés en effet les plus prisées par les étudiants serai les moyennes entreprise avec 41% des avis.

 A la question quelle valeur d’entreprise est importantes?  28% ont voté pour l’esprit d’équipe et la communauté. 

Pour plus de détails:
http://www.observationsociete.fr/ages/jeunes/a-quel-age-est-on-jeune.html

 

 

Le rapport des jeunes au travail…

Vaste débat… Pour vous faire une idée de ce qu’en pense les vieux 😉 voir le pdf du dessous de Marc Loriol, chercheur au CNRS autour de la cinquantaine je pense 

Le rapport des jeunes aux travail – Marc Loriol ou suivre ce lien.

J’ai bien aimé les pages suivantes:

  • P19 – un débat ancien où on retrouve Platon
  • P20 – Le travail des jeunes dans la littérature,  ça peut donner des idées de lecture…
  • P34 – Etude sur l’emploi, la précarité, la mobilité, la notion de déclassement…

Pour la suite, à vous de jouer… vous pouvez commenter, aussi.

La retraite: le début du bonheur?

Pour beaucoup d’entre nous c’est une question que l’on se pose. Est ce que quand nous sommes à la retraite nous sommes enfin heureux?

(rq prof: Est-ce à la retraite que nous serons enfin heureux?)

Je pense que effectivement c’est le moment parfait pour être heureux car c’est la période où nous N’avons pratiquement plus de responsabilité ET Où on peut enfin profiter pleinement de la vie. Plus besoin d’aller travailler, on peut enfin faire ce que l’on veut par exemple partir en voyage, faire le tour du monde ou encore faire son jardin tranquillement sous le soleil d’un belle été sans penser que le lendemain il faut aller au travail.

On peut enfin prendre son temps profiter des plaisir que la vie nous offres. Profiter de sa famille, de ses petits enfants, sortir du lit à l’heure qu’on veut sans être déranger par un réveil qui nous a depuis tant d’année rendu fou des dès le matin. C’est aussi la période où l’on peut profiter de l’argent qu’on a pu mettre de côté depuis pendant toutes ces années de travail. Réaliser ses rêves, pour ainsi dire c’est la plus belle période que l’on puisse imaginer.

La retraite à été pour moi un découverte de la beauté. Je n’avais jamais eu le temps de remarquer la beauté de mes petits-enfants, de ma femme, de cet arbre juste à côté de ma porte d’entrée. Et la beauté du temps lui-même.
Hartman Jule

Active senior couple in the park

(Rq prof: Correction de la catégorie et de qq fautes. J’ai ajouté aussi d’autres mots clefs)

La science peut-elle mesurer le bonheur d’un individu ?

Lien de l’article

Les employeurs ont compris que lorsque leurs employés s’épanouissent dans leur environnement de travail, ils sont d’autant plus productif dans leurs tâches de travail.

D’après le site américain Quartz, des études scientifiques sont mises en place au sein de certaines entreprises pour essayer d’évaluer et de quantifier le bonheur d’un individu. Pour cela, il est nécessaire que les employés « cobayes » soit équipés de nombreux capteurs permettant de recueillir un panel d’information qui seront ensuite introduit dans un puissant algorithme .

L’entreprise à l’origine de ces petits boîtiers « intelligents » est Hitachi High Technology.

Néanmoins, être surveillé en permanence par son patron ne serait-il pas source de stress et de mal-être ?

Pour plus d’information

Des chefs du bonheur pour rendre les employés heureux

Cet article traite du bonheur au travail. En France, certaines entreprises ont vu naître au sein de l’établissement un nouveau métier : Des chefs du bonheur

Pour ces entrepreneurs, le facteur «  Bien être au travail » est indispensable à la réussite et à la survie de l’entreprise.

Il y a 2 idées principales dans cet article.

D’une part, les entrepreneurs travaillent sur une politique de bien être au travail vis à vis de leurs employés. L’idée est d’offrir aux employés des avantages , des voyages, des récompenses … pour accroître leur satisfaction .

D’autre part, il ne faut pas négliger l’environnement de travail. Ce dernier doit être favorable à l’épanouissement des employés au travail. Pour cela, des horaires flexibles sont misent en place, les employés ont plus d’autonomie et obtiennent plus de liberté en terme d’organisation.

http://ici.radio-canada.ca/emissions/medium_large/2016-2017/chronique.asp?idChronique=416226

 

Le bonheur au travail

Beaucoup d’entreprises cherchent à satisfaire leurs salariés afin que ces derniers maintiennent un taux de motivation élevé, ce qui serait bénéfique pour l’entreprise car celle-ci pourrait noter un taux de productivité plus fort.

Le bonheur au travail se traduit différemment selon les salariés. Pour certains salariés, c’est la variété des tâches, l’autonomie et les responsabilités qui les rendent heureux. Pour d’autres, c’est le mode de management qui influence le bonheur au travail.

Le bonheur et plaisir au travail : tendance utopique ou réaliste ?

Présentation d’un article sur « le bonheur ».

« Le bonheur, un travail de chaque instant » – Le Monde

Le lien ci-dessous renvoie à un article extrait du journal « Le Monde », qui lui,  nous parle de la place du bonheur dans la société actuelle.

Par trois raisons différentes, il nous explique que le bonheur influe sur nos performances quotidienne et donc influe aussi au niveau du travail.

Plusieurs solutions sont donc mises en œuvres pour rendre  le salarié le plus heureux possible pour qu’il fournisse un bon rendement à l’entreprise.

http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/06/16/le-bonheur-un-travail-de-chaque-instant_4951710_3232.html

L’embauche se médiatise

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Les entreprises s’intéressent de plus en plus à l’image virtuelle des demandeurs d’emplois. Par exemple en 2014, le groupe l’Oréal a effectué un quar tdu recrutement par les réseaux sociaux.

Selon une enquête du RegionJob, environ 56% des recruteurs se servent des réseaux sociaux tels que VIADEO ou LINKEDIN pour recruter leur employés dans tous les secteurs différents. Ces réseaux peuvent aussi vous ouvrir des portes sur d’autres entreprises que vous ne recherchiez pas mais pour qui vous êtes une recrue potentiellement intéressante. D’après Pascal Baumeister « Il s’agit de se connaître pour se faire connaître afin de se faire reconnaître ». Au-delà de la formule, cela revient à appliquer les outils du marketing et de la communication à la personne et à ses compétences.

Aujourd’hui on peut s’inscrire dans des réseaux sociaux pour professionnels. Plus notre profil sera complet et sérieux, plus on aura de chances de trouver du travail. Pour se faire remarquer, le demandeur d’emploi peut apparaître dans des forums sérieux. Selon Hervé Bouche, responsable du recrutement chez Poclain Hydraulics : « Avant, on sélectionnait passivement des candidats en recherche active. Aujourd’hui, on sélectionne activement des candidats en recherche passive ».

Comme le suggère l’article, pour être plus susceptible de trouver du travail dans une entreprise, on peut la suivre via le réseau social qu’elle utilise.

Tiré de l’article de Christophe BYS dans « l’usine digitale »

Lien vers l’article :

http://www.usine-digitale.fr/article/recrutement-les-reseaux-sociaux-meilleurs-amis-des-drh.N305903