J’ai choisi le mot « Patrie », car c’est un mot que l’on peut employer, que l’on peut entendre mais dont on ne connaît pas vraiment la définition.
Étymologie et définitions :
Du latin patria qui signifie « terre des aïeux », dérivé de pater qui signifie « père ». Suivant les époques, les lieux, ce terme regroupe des notions différentes.
→ Pays où l’on est né ou auquel on appartient comme citoyen, et pour lequel on a un attachement affectif
→Province, ville où l’on est né
L’antipathie, ce sentiment d’aversion instinctive qui me saisit parfois face à certaines personnes ou situations, ce sentiment m’accompagne depuis maintenant de nombreuses années . Enfant déjà, je ressentais cette vague de malaise inexplicable devant certains individus, cette sensation de rejet viscéral impossible à ignorer.
Au fil des années, j’ai appris à identifier les déclencheurs de mon antipathie : un ton de voix, une expression faciale, un comportement particulier. Parfois, il s’agit d’une intuition pure, d’un sentiment de malaise inexpliqué qui me pousse à fuir la situation.
Pourquoi peut-on avoir besoin de connaître ce terme là ?
La compréhension du terme “émigrer” permet d’aborder de manière informée les débats sur les politiques migratoires et les droits des migrants, des sujets importants dans de nombreux pays. De plus, la migration contribue à l’économie, tant par le travail des migrants dans les pays d’accueil que par les envois de fonds vers leurs pays d’origine.
Etymologie:
Le terme “émigrer” trouve son origine dans le latin “emigrare”, qui est composé du préfixe “e-” signifiant “hors de” et du verbe “migrare” signifiant “se déplacer” ou “migrer”. Littéralement, “emigrare” signifie donc “se déplacer hors de” ou “quitter un endroit pour aller ailleurs”.
Justification
Il m’arrive de me dire que parfois les hommes manquent cruellement d’humanité. Le premier exemple qui me vient est la Shoah pendant la Seconde Guerre Mondiale. En effet, cet évènement est qualifié de crime contre l’humanité. Pourtant l’humanité n’est elle pas une qualité propre aux hommes ? Chaque être humain n’est-il pas sensé faire preuve d’humanité ? L’humanité évoque pour moi l’entraide, la sensibilité et la compassion pour autrui. Mais à la fois l’humanité est l’ensemble des hommes qui sont paradoxalement capables de crime contre l’humanité. Si l’on considère l’humanité comme l’ensemble des être humains alors on remarque que l’humanité est en perpétuelle évolution et que nous: Hommes, agissons de manière plus ou moins morale dans les actions que nous entreprenons. Par exemple, l’humanité est sans cesse confrontée à des défis, des changements et doit trouver des solutions mais pour qui ? Et à quel prix ?
Pourquoi avoir choisi le mot gloire?
La gloire, cette quête ultime de reconnaissance et d’admiration, a toujours fasciné les hommes et les femmes de tous les temps. Depuis toujours, les humains ont cherché à laisser leur empreinte sur le monde et à être admirés. Que ce soit pour l’art, la politique, la science, le sport ou tout autre domaine, la gloire est souvent considérée comme un symbole de succès. Cependant, la quête de la gloire peut également être source de danger et de destruction. Elle peut conduire à la vanité, à la jalousie et à la rivalité. Malgré cela, la gloire reste un objectif commun pour de nombreuses personnes. Mais qu’est-ce que la gloire attribuée ? Est-ce une question de renommée et de reconnaissance publique, ou bien est-ce quelque chose de plus profond, lié à notre estime de soi et à notre sens de l’exécution du personnel ?
La nostalgie
C’est une émotion ou un sentiment à double tranchant, qui peut nous mener à la déprime si on ressasse que des évènements triste de notre vie mais il peut aussi nous rendre joyeux quand on ressasse des évènements de joie de notre passé. J’ai choisi ce terme car la nostalgie désigne un sentiment que l’on ressent souvent dans notre vie . Ce sentiment nous permet de prendre conscience d’un besoin. Elle nous fait penser au souvenir heureux que l’on a eu avec notre entourage mais cela peut être aussi des souvenirs tristes et douloureux. Ce terme prend donc une grande place dans notre vie et je pense utile de le définir et savoir d’où il vient. Alors on est partis!
La camaraderie manque selon moi en ces temps où tout le monde se fuit du regard, où un simple “bonjour” courtois donne l’impression d’être une épreuve draconienne. Ces actions du quotidien, bien qu’éloignées de la camaraderie, participent selon moi à la fraternité si chère à notre patrie, elle même étant ce que je juge comme composante essentielle de cette dite camaraderie. Aussi, j’estime indispensables les relations de camaraderie dans les cadres où l’on côtoie les mêmes personnes régulièrement comme l’école, le travail ou des clubs et cette fiche peut servir à introduire les gens à cette notion.
Le mot « camaraderie » est formé du radical « camarade » emprunté de l’espagnol “camarada” et du suffixe « -erie », ici utilisé afin de rendre le radical vivant, lui donner l’impression d’une action ou d’un sentiment. Il est utilisé de la même manière avec le suffixe « âne » pour former le mot « ânerie ». Le terme de camaraderie apparaît en l’an 1671 selon Larousse.
• Familiarité, union qui existe entre camarades. Il se dit aussi d’une Sorte d’entente qui existe entre diverses personnes unies par des rapports d’âge, d’amitié, de profession ou d’intérêts pour se soutenir et se prôner mutuellement.
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
• exprime la relation de familiarité qui existe entre camarades. Par extension, il s’applique aux types d’entente existant entre des personnes ayant des intérêts communs.
Le Robert, dictionnaire historique de la langue française, 1992
• Lien existant entre camarades, fondé sur un esprit de solidarité et d’entraide plus ou moins profond, et qui se manifeste par des relations empreintes d’une certaine familiarité.
Site du CNRTL, 2022
On observe donc une certaine similitude entre les définitions de ces dictionnaires malgré les âges qui les séparent. Le mot à toujours gardé la même définition et peut être interprété différemment par chacun. Le terme ne fut que peu utilisé de sa création jusqu’à la deuxième révolution française et les Trois Glorieuses. Il fut ensuite utilisé de plus en plus fréquemment jusqu’à exploser durant la Deuxième Guerre Mondiale (voir graphique sur la page “camaraderie” du site lalanguefrançaise.com)
“La plupart des liaisons de société, la camaraderie, etc., tout cela est à l’amitié ce que le sigisbéisme est à l’amour .”
Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes, 1795, Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort, poète français du XVIIIe siècle.
Ici, l’auteur nous explique sa vision assez manichéenne des relations sociales, selon lui l’amitié et l’amour sont les seuls sentiments, les seules relations sincères, le reste des relations comme la camaraderie n’étant qu’hypocrisies et superficialités. Dans un sens, c’est une vérité; il n’y a qu’à voir les relations entre collègues de travail par exemple, on maintient de bonnes relations car c’est essentiel au bon déroulement du travail mais on ne s’apprécie pas pour autant, on fait semblant et cette situation est mauvaise en comparaison à l’amitié qui est une relation vitale pour nous.
Synonymes
• Fraternité: lien existant entre personnes considérées comme membres de la famille humaine ; sentiment profond de ce lien.
• Amitié: sentiment réciproque d’affection ou de sympathie qui ne se fonde ni sur la parenté ni sur l’attrait sexuel.
L’amitié peut exister entre chaque individus, d’origine sociale complètement différentes. Ce sont des individus quelconques qui créent des amitiés tandis que la fraternité laisse entendre une dimension très chrétienne, c’est d’ailleurs de là que nous vient le mot avant d’avoir dérivé vers des personnes se considérant frères sans l’être, simplement par énorme affection. La camaraderie concerne quant à elle des personnes du même milieu comme des collègues de travail des écoliers, des agents des forces de l’ordre ou des militaires. Chacun de ces trois termes est plus fort que son prédécesseur, camaraderie étant le plus faible et fraternité le plus fort d’après moi et mon appréciation des termes.
Antonymes
• Mésintelligence: La mésintelligence correspond à une situation de mésentente ou de désaccord entre deux ou plusieurs personnes.
• Conflit: Rencontre d’éléments, de sentiments contraires, qui s’opposent.
Quand je pense à la camaraderie je pense d’abord aux relations entre les personnes qui mettent leurs vies entre les mains de leurs camarades comme nos militaires et nos policiers, je pense que c’est pour cela qu’il me fascine autant. Chacun de ces hommes est en danger constant et doit pouvoir compter sur son camarade, ce qui a mon sens crée de puissantes relations et peut contredire la citation de Sébastien-Roch Nicolas Chamfort, bien qu’il ait raison lorsque l’on parle de relations de camaraderie au travail ou à l’école. Dans ces cas-ci, il existe effectivement une immense hypocrisie et les gens sont souvent mauvais, nocifs pour nous. Cela est bien normal puisque le but premier dans ces milieux est la réussite: obtention d’un diplôme ou d’un salaire élevé ce qui pousse les gens à faire valoir leurs intérêts avant tout. Les forces de l’ordre et militaires ont des valeurs de patriotisme et de protection des populations, ce qui fait qu’aucun ne ressent le besoin d’exceller et permet de tisser des liens forts.
En somme, je suis assez d’accord avec Georges Hyvernaud qui dit dans La peau et les Os: “C’est aussi fort que l’amitié, la camaraderie. Et c’est plus viril, plus sobre. L’amitié ne va qu’à un être. La camaraderie va à une cause, à une œuvre, à une exigence passionnée. Elle nous lie à des hommes non par ce qu’ils sont, mais par ce qu’ils font. On construit ensemble une certaine chose: un pont ou une route, ou un monde ».
J’ai choisi cette illustration car elle représente très bien ce que je disais dans la partie précédente (interprétation personnelle), elle me correspond et j’y vois tout ce que ce mot représente pour moi. Je voue un profond respect pour ce que font ces hommes et ces femmes, unis par les liens de la camaraderie, unis par leur cause commune. En effet, malgré que ce soit un entraînement, en extrayant leur camarade, ces soldats font preuve d’un esprit de cohésion, engendré par des valeurs, celle que sont le patriotisme et la protection des populations. On a réellement ici affaire à une situation de camaraderie.
HURTEBISE Arthur
De nos jours, le patriotisme est une valeur qui se perd, nous sommes de moins en moins patriotes et j’aime à croire que définir ce terme lui ôtera sa connotation péjorative et redorera le blason de l’une des plus importante valeur de nos aïeux. Aussi, ce mot peut être très utile lors d’argumentations politiques ou éthiques.
Mariage du radical “patrie“, venant du latin “patria”, “pater”, désignant la terre de nos ancêtres, celle chère à notre cœur et des suffixes -ote et -isme, servant respectivement à désigner un groupe de personnes, une population et une doctrine, un courant de pensée philosophique ou politique.
• Amour de la patrie, désir ardent de servir son pays, qui porte à défendre son intégrité, ses institutions et les valeurs qui les fondent.
9ème éditon du dictionnaire de l’académie française, débuté en 1992
• Attitude du patriote, confondue avec le civisme.
Dictionnaire de la langue française, Jean Girodet, 1976
• Amour de la patrie; désir, volonté de se dévouer et au besoin de se sacrifier pour la défendre, en particulier contre les attaques armées. (serait apparu en 1749)
Dictionnaire culturel en langue francaise Alain Rey, 2005
J’ai choisi la première et la dernière définition pour leur sens assez fort du mot, qui peut sembler exagéré de nos jours. Ce mot est effectivement apparu en 1749, dérivé de “patriote” mais je n’en trouve pas de raison particulière en m’informant sur cette année. Si j’ai choisi la seconde définition, c’est parce que je trouve intéressant de différencier ces deux termes pouvant paraître semblables mais étant si différents. Laissez moi le faire dans la partie “synonyme”
“Si la guerre est une chose horrible, le patriotisme ne serait-il pas l’idée-mère qui l’entretient” Belle France (1900), Guy de Maupassant
Guy de Maupassant considère ici que c’est le patriotisme de chaque peuple qui les monte les uns contre les autres, chaque pays et sa population veut prouver sa grandeur et c’est bien évidemment un phénomène menant inéluctablement à des hostilités. Selon moi, Guy de Maupassant fait ici l’erreur de confondre “patriotisme” et “nationalisme”.
Le premier synonyme de “patriotisme” auquel nous pourrions penser est “nationalisme”. Or le nationalisme se référence souvent à un courant politique et moins à une conviction, une valeur, comme le patriotisme. Le nationalisme à de nos jours une connotation péjorative car souvent accompagné de xénophobie comme le dit Régis Debray, ou même de désir d’ériger sa nation en la plus grande.
Un second synonyme serait le civisme: aussi un amour envers la patrie mais avec la connotation que lui apporte son radical, on comprend que l’on désigne ici les actions de citoyenneté et tout autre acte de dévouement au collectif dans le pays. L’adoration qu’à le patriote pour son pays fait souvent référence à son histoire et ses exploits.
Le cosmopolitisme désigne l’idéologie sous laquelle un individu se considère comme citoyen du monde.
L’antipatriotisme est la doctrine opposée au patriotisme. Les antipatriotes pensent que le patriotisme est une erreur individualiste et sont souvent cosmopolites.
Selon moi, le patriotisme est une valeur permettant l’unification d’un peuple, sa solidarité, et ne mettant absolument personne en danger. Guy de Maupassant disait que le patriotisme entretient les guerres mais en 1914, nous sommes nous battus pour montrer de quel bois nous nous chauffions ou plutôt pour défendre des alliés ? Je pense cependant que si nous avons, avec l’aide d’alliés, combattu l’invasion allemande en France c’était grâce à l’élan patriotique lancé par le général de Gaulle. Par son appel, il à réchauffé les cœurs des français et c’est le parfait exemple de ce que je cherche avec cette valeur: un but, un amour commun. Effectivement, je me retrouve complétement dans la définition du patriote prêt à donner sa vie pour son pays.
Si j’ai choisi d’illustrer cet article par une telle œuvre, c’est parce qu’à mon sens elle évoque tout ce qu’il y a de plus patriotique. On voit effectivement Rouget de Lisle composer La Marseillaise, chant demandé par le maire de Strasbourg, regrettant que la France ne possède pas d’hymne national. C’est alors que dans la nuit du 25 au 26 avril 1792, Rouget de Lisle compose ce chant qui sera adopté par les fédérés marseillais qui en montant à Paris vont le populariser et l’imposer comme chant patriotique et révolutionnaire. C’est en 1795 que ce chant devint notre hymne national. C’est donc pour l’histoire que raconte cette œuvre que je l’ai choisie, l’hymne national étant, comme le drapeau tenu par la France victorieuse, (référence à la sculpture d’Antoine-François Gérard) ce pour quoi le patriote se bat.
Hurtebise Arthur
On emploie souvent le mot courage dans le langage francophone mais savez vous qu’il existe d’autres mots qui veulent dire la même chose et en mieux. La bravoure ce n’est pas que gagner un combat physique c’est aussi un combat mental contre sois même.
Au début du XVIIe siècle, le mot bravoure provenait de l’italien “Bravura” qui signifie arrogance et est le dérivé de “Bravo” qui veut dire courageux. Le terme de bravoure est relié à l’adjectif brave.
nom féminin
– Dans un contexte de combat, c’est la qualité d’une personne brave.
– Dans un contexte artistique comme la musique, on emploie le terme d’un air de bravoure. Il est décrit comme un air brillant destiné à faire valoir le chanteur. Ce terme peut également être utilisé dans la littérature.
C’est un passage d’une œuvre littéraire particulièrement brillant.
En mathématiques, la méthode axiomatique est universellement utilisée. Ainsi, en filière scientifique, il est important de connaitre le mot “axiome”. Au début, cette méthode consiste à énoncer des “vérités vraies”, qu’on appellera des “axiomes” ou des “postulats”. Ces affirmations sont admises sans démonstration , puis ensuite, elle consiste à tirer les conséquences logiques de ces axiomes (qu’on appellera aussi méthode “hypothético-déductive”).