« Je suis Charlie » : trois mots et un logo

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Comme une trainée de poudre, les trois mots et le logo se sont répandus sur la toile. A l’origine, le directeur artistique d’une revue qui poste son image sur twitter moins d’une heure après l’attaque de Charlie Hebdo. « J’ai fait cette image parce que je n’ai pas de mots », explique Joachim Roncin.  « Ce que je voulais dire, c’est que c’est comme si on m’avait touché moi, je me sens personnellement visé, ça me tue, quoi », a précisé le directeur artistique qui a eu l’idée de reprendre la typographie de Charlie Hebdo pour son visuel.

Les trois mots et le logo ont fait le tour du monde, image simple et consensuelle pour manifester un témoignage de soutien aux victimes.

L’Express indiquait vendredi que le hashtag #JeSuisCharlie avait été utilisé plus de 3,5 millions de fois.

Un article de Rue89 rapportent que le hashtag #JeNeSuisPasCharlie est également apparu sur twitter. Les auteurs argumentent avec des raisons très diverses : certaines ne se reconnaissant pas dans la ligne éditoriale de Charlie Hebdo – trop provocatrice à leur goût – d’autres souhaitent mettre de la distance avec l’émotion collective générée par l’événement. Quelques uns souhaitent qu’aucune victime ne soit oubliée par le slogan : « , mais le policier tué en faisant son travail, innocent. »

Lire l’article sur le site Huffingtonpost :

http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/07/je-suis-charlie-origine-createur-joachim-roncin-slogan-logo-solidarite-charlie-hebdo_n_6431084.html

Lire l’article de l’Express : http://www.lexpress.fr/actualite/medias/non-jesuischarlie-n-est-pas-le-hashtag-le-plus-populaire-de-l-histoire_1639239.html

Lire l’article de Rue89 : http://rue89.nouvelobs.com/2015/01/08/jenesuispascharlie-a-rebours-lemotion-collective-twitter-256969

L’émission de France Culture « Softpower », dans sa rubrique « Alphabet numérique » analyse la viralité du hashtag avec cette interview de Joachim Roncin.  Quelle était son intention ? Comment le slogan lui a-t-il échappé ? Plus de 120 demandes de dépôts de marque ont été déposées auprès de l’Institut nationale de la propriété industrielle (INPI), toutes refusées.

http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4987457

Zoom sur le web

On peut voir sur cette photographie de nombreux « 1 » et « 0 » qui sont des données écrites en binaire. C’est le langage utilisé par les informaticiens pour créer des programmes informatiques. Sur l’image, ces chiffres représentent le nombre d’utilisateurs des programmes et d’internet. Au milieu de l’image est écrit « mot de passe » en rouge pour attirer le regard. Ce « mot de passe » est grossi par une loupe tenue par une main. La main représente Photo fil de julesun hacker et la loupe son œil. Il vient de trouver un mot de passe et aura donc accès à des données personnelles, et confidentielles. Cette photographie montre qu’il y a des personnes mal intentionnées sur le web. Comme l’image le représente, il est difficile, voir impossible de connaître ou de reconnaître l’identité de ces hackers, qui sont souvent des spécialistes de l’informatique. Ils savent donc comment effacer les traces de leur délit.

Internet et presse people

J’ai réalisé cette photo dans OLYMPUS DIGITAL CAMERAle cadre du Tecad, afin de l’utiliser dans le bandeau du site au file de Jules. La réalisation traite de la célébrité sur internet. J’ai utilisé des magazines people, associés avec l’ordinateur, la souris et le tapis de souris. J’ai utilisé les couleurs noir et rouge qui symbolisent de façon  générale la célébrité.
Les élément sont placés de manières à pouvoir réaliser un bandeau.
Il y a un jeu de mot avec le tapis de souris. C’est un tapis rouge comme celui du festival de Cannes. Le tapis de souris semble être prolongé par le tapis rouge à l’écran. La touche « Entrée » du clavier est encadrée par les magazines, un peu comme si pour devenir célèbre, il suffisait d’appuyer sur « Entrée ».

Facebook et ses défis

Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, se lance chaque année un nouveau défi. Cette année, il doit lire un livre chaque semaine : sa priorité, ce sont les livres sur la culture, les croyances, l’histoire mais aussi des livres sur internet. Pourquoi se lance-t-il ces défis ? «Je trouve que lire des livres est intellectuellement enrichissant. Les livres permettent d’explorer un sujet à fond et de s’immerger par soi-même, de manière plus intense que la plupart des médias aujourd’hui.» D’autres défis lui ont été lancés comme apprendre le mandarin, être végétarien mais Mark Zuckerberg en a refusé quelques uns comme lire la Bible ou apprendre tout d’un pays chaque semaine.

Cette nouvelle résolution pour l’année 2015, la création d’une communauté sur Facebook, surnommée  » A Year in Books », une communauté qui compte plus de 121 000 likes. Ce défi permet à Facebook de se faire de la publicité car aujourd’hui le réseau social compte 30 millions d’abonnés.

http://www.20minutes.fr/web/1509691-20150105-mark-zuckerberg-fondateur-facebook-lance-club-litteraire-ligne

Les effets d’internet sur le cerveau.

LEBORGNE

Cette photographie a été retouché grâce au logiciel Gimp, (le connaissant peu, le rendu n’est pas à la hauteur de mes espérances, ainsi  je vous prie d’être indulgent).  L’objectif de cette photographie est de représenter les effets physiques et mentaux négatifs qu’internet peut avoir sur le cerveau humain. Ainsi, les courbes noires allant de l’écran d’ordinateur, symbolisant internet, vers le cerveau visible en rouge permettent de mettre en évidence les effets physiques sur le cerveau via les ondes Wi-Fi par exemple. Mais aussi les effets mentaux ou plutôt psychiques, qui changent le fonctionnement du cerveau humain.

 

Pouvoir être un autre

Cette image évoque la possibilité pour les joueurs de Second Life de choisir leur avatar qu’il soit féminin ou masculin. Il y a ici un choix qui s’offre à eux. Ils peuvent ensuite choisir le style vestimentaire, la couleur des yeux …

Cette image montre aussi que les gens se créent leur vie de toutes pièces sur internet, autant sur la forme que sur le fond. La main sur le clavier illustre donc bien ce choix de se créer une vie virtuelle.  Les joueurs peuvent se comporter différemment que dans la vraie P1000750vie.P1000750

Les dangers d’internet

J’ai souhaité montrer à travers cette photographie que malgré le fait  que l’on soit derrière un ordinateur, nous ne sommes pas en sécurité et qu’internet était un des facteurs principaux au développement du terrorisme actuel. L’ordinateur présent sur la photo va évidemment représenter internet et la tête-de-mort va représente le piratage. J’ai voulu accentuer le ressenti de la situation par le noir et  blanc. Pour ce qui est du cadrage, j’ai essayé de centrer au mieux ma photo malheureusement, elle s’est légèrement allongée, mais j’ai tenté de laisser apparaître la partie principale de la photographie.

 

Addiction à internet

Ma photo d’illustration représente des mains attachées par le fil d’une souris. Le message que je voulais faire passer dans ce bandeau est que internet est un danger, si l’on utilise trop longtemps et souvent il se peut que la personne ne puisse plus s’en détacher. Elle tombe alors dans une cyberaddiction. Elle peut être très dangereuse physiquement comme psychologiquement.  La photographie d’illustration est en noir et blanc car le noir et banc représente le danger, l’addiction et le mal. Pour finir le bandeau a été construit pour que l’on puisse voir les mains, le fil et la souris sur une même bande.