Paris en 2050, asphalte ou chlorophylle ?

L’agence de l’écologie urbaine de Paris a demandé au cabinet d’architecture VCA de réaliser des propositions d’urbanisme pour le ville de Paris en 2050. Les enjeux sont surtout écologiques et sociaux, le but étant d’allier les attentes des habitants avec le dérèglement climatique. De plus, la ville souhaite réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 75% en 2050. Vincent Callebaut a fait huit propositions d’aménagements ou de constructions afin de répondre à ces attentes. On trouve par exemple, des « antismogs towers », des tours anti-pollution. Un reverdissement d’une ancienne voie de chemin de fer, ou encore des « honeycombs towers », plus précisément, des HBM (Habitations Bon Marché) qui accroîtraient le nombre de logements sociaux.

On peut alors se demander : Ces propositions sont-elles réalisables ou sont-elles pure science fiction ? Continuer la lecture de Paris en 2050, asphalte ou chlorophylle ?

La smart city : la ville intelligente de demain

D’ ici 2050, les villes accueilleront 70 % de la population mondiale et seront à l’origine de 80 % de la production de CO2. Face à cette démographie croissante, les villes se voient confrontées à des problèmes de ressources de  plus en plus nombreux ( espace de vie, mobilité, financements… ) . Elle devront être en mesure de les palier, de façon à rester attractive aux yeux de leurs éventuels futurs habitants.

Or, un nouveau concept émerge progressivement depuis quelques temps : les  » smart cities  » ou les villes dites  » intelligentes  »

Ces villes du futur seront capables de proposer des infrastructures améliorant le confort de leurs citoyens, tout en prenant en compte et valorisant le respect du développement durable. Le documentaire suivant nous permet de constater que certaines villes, comme le Grand Angoulême, commencent déjà à appliquer cette mentalité.

BRU Valentin

Vivre sous la mer, une possibilité ?

Alors que certains cherchent une place sur terre, d’autres imaginent des espaces sous la mer. C’est le pari que c’est fixé l’architecte malaisien Sarly Adre Bin Sarkum :  créer « un gratte mer » comme il y a des grattes ciels.

maquette du projet

Un projet futuriste de 400 m de haut sur 125 m de large, sur lequel on trouverait tout pour vivre, habitation, travail, nourriture… Aujourd’hui beaucoup d’habitations se construisent, et pourtant les logements manquent. A travers cet article, le projet de construire des grattes mers (ou en anglais waterscraper) montrera si oui ou non il peut être réalisable, et si l’on peut y vivre.

Reportage de Emilie Cler le 7 octobre 2010

lien vers l’article: http://www.quebecscience.qc.ca/Des-cites-sous-la-mer