Internet est-il néfaste sur notre mémoire ?

Une équipe de psychologues américains a montré que les gens retenaient moins bien les informations qu’ils pouvaient retrouver facilement sur leur ordinateur. Internet a révolutionné notre façon de voir les choses. Aujourd’hui dès que l’on est en difficulté, que l’on ne sait pas quelque chose, on l’écrit sur notre ordinateur ou notre smartphone et nous avons la définition dans la seconde. Le développement des technologies posent de nombreuses questions. Internet change-t-il notre façon de penser? Nous rend-il idiot ? Plus intelligent ? Est-ce une chance ou une menace? Des psychologues américains ouvrent le débat sur le fait que notre mémoire serait déjà sous l’influence des nouvelles technologies.

Des cobayes sont confrontés à des questions difficiles et dès lors qu’il ne savent pas la réponse ils pensent à la « recherche Google ».
Ils retiennent souvent très bien l’endroit ou le fichier avec des informations enregistrées et stockées mais pas son contenu.
Les différentes expériences menées par les trois chercheurs des universités Columbia, Harvard et du Wisconsin, montrent bien qu’Internet change notre façon d’utiliser notre mémoire.

Après avoir lu les études faites sur les cobayes, Emmanuel Sander, responsable de l’équipe de recherche «Compréhension, Raisonnement et Acquisition de Connaissances» de l’université Paris 8, confirme ce qu’il pensait : «Plutôt que de retenir tous les numéros de téléphones par cœur, les gens préfèrent se rappeler où est rangé l’annuaire. Avec Internet, c’est un peu la même chose, mais à une échelle plus importante», explique-t-il. Cette démarche est appelée «mémoire transactive». Pour Besty Sparrox, auteur principale de l’étude, Internet a remplacé les livres et les amis.

Les découvertes restent quand même encore floues : «Nous n’avons encore aucun protocole qui nous permette de mesurer l’impact de ces changements sur le développement de notre esprit», relève Emmanuel Sander.
Le savoir n’est pas une simple accumulation de connaissances rangées dans des tiroirs à portée de main. L’intelligence tient à la capacité à lier les faits entre eux, à leur donner du sens. «Si vous avez acquis de grandes capacités d’analyse, Internet peut vous apporter énormément. Sinon, vous êtes simplement submergé de données», résume le chercheur.

Pour finir ces études nous apportent une question qui se posent beaucoup actuellement : les procédures d’apprentissage actuelles fournissent-elles aux élèves les meilleurs outils pour se servir intelligemment d’Internet ? Savoir « par cœur » a t-il toujours un sens aujourd’hui  ? Tous les scientifiques ne sont pas d’accord sur les mêmes points. Si l’utilisation des calculatrices nous on fait oublier les fastidieuses tables logarithmiques, il n’a cependant jamais remis en cause l’intérêt pédagogique des tables de multiplication.
A sa manière, Internet a déjà bouleversé notre rapport au savoir. Reste à déterminer comment nous allons pouvoir en tirer le meilleur parti dans l’éducation des nouvelles générations.

Lien vers l’article :

http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/07/15/01008-20110715ARTFIG00340-internet-change-notre-facon-d-utiliser-notre-memoire.php :  Article écrit par Tristan Vey  le 15/07/2011

Pour résumer, l’article nous raconte que des scientifiques ont fait des expériences sur des personnes pour savoir comme fonctionne notre mémoire aujourd’hui avec les nouvelles technologies. Elles nous posent la questions de savoir si pour l’éducation et le savoir, Internet peut enrichir nos connaissances ou au contraire nous faire oublier des choses essentiels.
J’ai choisi cette article car on est tous confronté aujourd’hui au développement des nouvelles technologies.  De nos jours, dès que l’on ne sait pas quelque chose, on va aller sur l’ordinateur au lieu du dictionnaire par exemple et en faisant cela, il est vrai que l’on retient beaucoup moins bien les informations que l’on va avoir. Cet article date de 2011 mais je trouve qu’il toujours d’actualité car on n’a toujours pas trouvé de réponse à la fameuse question qui est de savoir si  oui ou non Internet change t-il vraiment notre façon de mémoriser les informations ? Internet menace t-il  notre savoir ? Internet et les nouvelles technologies changent notre façon de faire et cela ne va pas s’arrêter aujourd’hui.

Politique de la ville : quarante ans d’échecs

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Depuis la mise en place de la politique de la ville en 1970,  et après des milliards d’euros dépensés,  les inégalités subsistent toujours. Comment expliquer cet échec ?

En quarante ans, la politique de la ville s’est institutionnalisée. Entre collectivités territoriales, associations, ministères,  il y a de quoi s’y perdre.  Et ces institutions ont un coût. Si l’on prend uniquement en compte le budget consacré à la politique de la ville décrit dans le projet de loi de finances, il s’élèvera en 2015 à 450 millions d’euros. Mais cette politique urbaine regroupe tellement de thèmes qu’il est très complexe de suivre son budget. Ce dernier évolue également en fonction de l’actualité. En effet, suite aux émeutes de 2005, les crédits du programme « politique de la ville » ont augmenté de façon significative.

Le maillage des territoires visé par ces politiques est également flou :  jusqu’en 2014, près de 2500 quartiers bénéficiaient de contrats de cohésions sociales. Depuis 1300 quartiers ont été ciblé en fonction du revenu par habitant. Cette baisse significative est justifiée par une simplification des relations entre l’État et les collectivités chargées d’appliquer les politiques de la ville.

Depuis la loi Borloo en 2003, pour la rénovation urbaine, les écarts se sont considérablement accrus en terme de développement entre les quartiers sensibles et le reste du territoire. En moins de 10 ans, le taux de chômage a augmenté de 17 à 21 % avec près d’un tiers des habitants vivant avec moins de 954 euros par mois en 2009.

Lien vers l’article :

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/02/05/politique-de-la-ville-quarante-ans-d-echecs_4569855_4355770.html

L’éco-quartier Vauban, un exemple européen qui se discute

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L’éco-quartier allemand est depuis 1995 un exemple positif pour toute l’Europe.  Tout fonctionne parfaitement et les voitures ont laissé place aux enfants dans les rues. Les logement produisent leur propre énergie qu’ils consomment et certains sont même devenus positifs et produisent plus qu’ils ne consomment. Le quartier idéal ! Crée en  concertation avec des habitants de la ville, ce quartier avait tout pour réussir et pourtant il n’y règne aucune mixité sociale.

Mais une ville peut-elle être durable sans mixité sociale? La mixité sociale ne serait-elle un idéal irréalisable ?
Lien vers l’article :
http://www.bastamag.net/Vauban-l-ecoquartier-du-futur

 

 

La suède veut combiner écologie et croissance !

La Suède un exemple à suivre :  depuis 2005 grâce à ses politiques volontaristes en matière d’écologie, la Suède devient une experte concernant l’écologie. Elle annonce pour 2020 que la part des énergies renouvelables sera à 50% de l’énergie consommée sans parler de sa totale neutralité carbone prévu pour 2050.

Cela peut paraître difficile à croire pour nous, mais détrompez-vous car il ne s’agit pas d’une ambition inatteignable. Aujourd’hui, 30% de l’énergie consommée par les Suédois est d’origine durable. Elle provient aussi bien des éoliennes que des déchets ou encore de la géothermie. Comparé à la France qui se trouve elle à seulement à 13%.

Mais l’ambition de ce pays est grande et la Suède souhaite encore aller plus loin notamment en voulant diminuer sa consommation en énergie fossile, avec une avance impressionnante concernant une augmentation massive d’écoquartiers.

En voyant de telles prouesses, on peut alors se demander « Et pourquoi pas nous ? »

Malgré les efforts effectués par les citoyens et la politique française, les gestes écologiques sont encore à travailler car ceux-ci restent encore insuffisants.

Si la Suède est aujourd’hui proclamée comme le pays le plus écologique d’Europe, c’est que ce pays n’a pas connu « de trente glorieuses à la française », c’est à dire un changement radical des comportements concernant l’utilisation des produits chimiques, l’agriculture intensive ou encore la consommation de masse.

De plus, l’IDH n’est pas révélateur de cet exploit car si l’on compare l’Australie à la Suède. Ces deux pays possèdent un niveau de bien être similaire, on ne retrouve pas de similitude concernant le respect de l’environnement. Et pour poursuivre avec les contre-exemples, il en va de même concernant la densité de population au kilomètre carré car le Québec prend moins à cœur le respect de la nature alors que ce pays compte moins d’habitants au kilomètre carré..

La politique en vigueur et la conscience de la population jouent beaucoup. Il y a eu en Suède ces dernières années de grands changements de mentalité concernant le respect et la préservation de la nature, ce qui n’est pas le cas dans les autres pays. Mais il n’est pas trop tard pour se mettre au vert et avec un esprit collectif, nous y arriverons peut être aussi.

Les déchets, point important dans l’écologie, représentent pour une multitude de pays un inconvénient voir un calvaire. La Suède a su palier ce handicap et les déchets sont devenus pour elle une importante richesse. Chez les Suédois seuls 4 % des déchets finissent en décharge et tout le reste est recyclé. Ainsi les précieux incinérateurs qui fournissent de l’électricité à plus 205 000 foyers sont sous utilisés. Mais la Suède a trouvé la parade en faisant importer des déchets qui sont au passage facturés au prix fort.

Lien vers l’article :

http://www.tantmieux.fr/la-suede-un-paradis-ecologie/

L’équité sociale encore trop absente des plans d’aménagement urbain

Au fil des années, les villes ont commencé à se préoccuper davantage des problématiques environnementales concernant leurs plans d’aménagement urbain. La ville s’est donc efforcée de mettre en place des plans de développement durable en s’appuyant sur trois piliers fondamentaux : l’économie, l’environnement et l’égalité.

Néanmoins le développement durable ne repose pas seulement sur des questions d’environnement. Il n’est pas négligeable de prendre en compte les termes « d’égalité sociale » et « d’équité ». On parle aussi de «justice sociale» caractérisée par une volonté de répartir équitablement les investissements en matière de transport urbain.

Promouvoir un meilleur aménagement urbain dans les villes n’est donc pas aisé. Certaines mesures sont indispensables comme évaluer les différences de durée de trajet vers le travail et les écarts de budget consacré au transport pour l’ensemble des foyers. L’objectif étant de mieux comprendre les inégalités face au transport.

Finalement, l’aménagement des villes plus intelligent et durable (Smart City) dépend de problématiques sociétales (considérer les utilisateurs touchés).

Lien vers l’article : http://www.atelier.net/trends/articles/equite-sociale-absente-plans-amenagement-urbain_433269

Vers la cité végétale de Schuiten

Le végétal, l’avenir de l’urbanisme

Luc Schuiten est un architecte designer futuriste qui a présenté à plusieurs reprises au cours de conférence, de livres ou d’évènements comme les Utopiales à Nantes, son projet de cité végétale. En effet avec ses conceptions futuristes détachées de toutes contraintes techniques, il nous projette dans sa vision de la ville en 2100, ou plutôt dans l’une de ses visions du futur la plus optimiste de toutes, comme cela est présenté dans une illustration de l’architecte avec son « Arbre de tout les possibles à venir « . L'arbre de tous les possibles

 

La ville végétale de Shuiten repose sur des principes durables, basés en grande partie sur le biomimétisme. Il s’agit de repenser complètement la façon de vivre ensemble en réconciliant l’homme avec la nature.

Lien vers l’article

http://www.vegetalcity.net/topics/vision-de-la-ville-soutenable-de-demain/

VILLES DU FUTUR, COMMENT VIVRONS-NOUS DEMAIN ?

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Le texte que nous avons sous les yeux, issu des Echos.fr met en relation la nécessite d’un partage entre densification urbanistique et développement durable grâce aux TIC. L’article s’organise autour de trois parties bien distinctes. La première souligne les nouvelles exigences urbanistiques. Ici l’accent est mis sur la fonctionnalité des ‘villes d’avant’ et ce qu’il en résulte aujourd’hui. Elle met aussi en évidence certains objectifs à atteindre en terme d’aménagement et d’écologie.

La deuxième partie est essentiellement écologique. Elle met en valeur la nécessité d’intégrer au mieux les différents modes de déplacements (que l’on soit cycliste, piéton…) aux structures des villes. Pour finir, la dernière partie nous donne des exemples concrets de différentes innovations écologiques actuellement utilisées dans le monde. Elle met en valeur la relation entre TIC et technologies écologiques. Cependant elle stipule bien que sans réelle volonté politique, cela restera impossible.

Aujourd’hui, avec une personne sur deux vivant en ville et d’ici à 2035, 75 voir 80% vivant dans des zones urbaines, les modes de vie et de consommation sont en changement radical. Cependant les structures et architectures des villes ne permettent pas encore un plein épanouissement. En effet, à l’heure actuelle, la réelle question à se poser est : ‘Pourrons-nous fonctionner de la sorte encore longtemps ?’ La réponse est clairement : non. Nos systèmes de production ne sont plus adaptés à nos modes de consommation. Il faut à présent innover dans les technologies liées au développement durable, favorisant les énergie propres. Les villes vont donc devoir s’adapter sous peine de voir leur chemin de la réussite se dérober sous leurs pieds. L’heure n’est donc plus à la réflexion mais à l’action. Les nouvelles villes prospères et durables sont pour moi celles qui sauront ‘écouter et observer’ avant d’agir, s’inspirant d’idées nouvelles venant des ‘quatre coins du monde’. Les relations entre les pays devront s’améliorer afin d’envisager des évolutions et des progressions collectives concrètes. Ils devront mettre en commun une partie de leurs savoirs scientifiques afin de favoriser l’émergence de nouvelles voies de développement. Mais tout ceci ne sera possible que par une réelle volonté politique, comme expliqué dans le texte.

Lien vers l’article :

http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-117778-la-ville-de-demain-cest-maintenant-1060724.php

Le déclin de facebook

Facebook est le réseau social le plus connu et le plus utilisé dans le monde. Pourtant il connait une baisse de régime depuis le début de l’année.  Le réseau créé par Mark Zuckerberg a perdu près de 9% d’utilisateurs actifs. C’est un coup d’arrêt pour l’entreprise qui a fait son entrée en bourse il y a peu. Les autres réseaux sociaux enregistrent une hausse significative (Instagram +47% ; Twitter +7% ; Trumbl +95%).
Ce déclin de Facebook se ressent surtout en Asie, où l’entreprise à perdu près de 12% de ses utilisateurs actifs. Cela est dû à la création de réseaux sociaux asiatiques qui sont plus adaptés à la culture de ce continent.
Cela fait plusieurs années que l’on parle du déclin de Facebook mais jamais il n’avait été prononcé de cette manière. Cette perte d’utilisateurs actifs est logique car à force d’utiliser des réseaux sociaux, les gens se lassent et veulent du changement. Ils vont alors à la découverte de nouveaux réseaux tel que Twitter ou Trumbl.
Il reste à Facebook de l’espoir de conquérir encore des nouveaux utilisateurs notamment en Afrique, où internet se développe à une très grande vitesse.

Pour plus d’infos: http://www.courrierinternational.com/article/2015/02/02/moins-d-internautes-ont-utilise-facebook-l-an-dernier

Quentin Arnaud – Bourigan Julien

Critique des propositions contre  » les discours de haine sur Internet « 

terrorisme sur internet…. Le 22/02/15 dans « Le monde » à Paris…

La majorité des spécialistes du terrorisme et de l’antiterrorisme estiment que le nombre d’organisations et de groupes subversifs sur internet a augmenté et continue de croître à un rythme alarmant.
En France, la Commission consultative des droits de l’homme a récemment critiqué deux des principales mesures prises  par le gouvernement pour lutter contre la propagande djihadiste sur Internet :  le basculement de l’apologie du terrorisme de la loi de 1881 sur la liberté de la presse vers le droit pénal ainsi que la série importante de comparutions immédiates pour apologie du terrorisme.
Lien vers l’article :

http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/02/22/des-propositions-contre-les-discours-de-haine-sur-internet_4580743_4408996.html?xtmc=reseau_sociaux&xtcr=1

Lucie Rivalin, Etienne Roba AP1

 

Les réseaux sociaux, un moyen de recrutement peu exploité

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En lisant l’article du site Internet « Le Blog du modérateur » au sujet des recrutements sur les réseaux sociaux, on remarque que 53 % des employeurs vont s’aider de ces derniers. Un phénomène qui aura même tendance à s’accentuer. La majorité d’entre eux vont plutôt consulter les sites d’offres d’emplois (87%).

Pour les professionnels, le réseau social le plus utilisé n’est pas comme on pourrait le penser Facebook, qui est à la 3ème place tout de même,  mais plutôt Viadeo d’abord, puis LinkedIn ensuite.

Parmi les 53% des employeurs s’aidant des réseaux sociaux, seulement 29% vont retenir un candidat.

Ces réseaux pour les professionnels servent avant tout à « chasser des candidats » pour le poste à promouvoir, c’est aussi une communication des recrutements, mettre en avant la marque de l’entreprise et enfin se renseigner sur les profils des personnes afin de les connaître déjà un peu sans les avoir vus.

Bien que beaucoup plus utilisés qu’il y a quelques années, les réseaux sociaux restent complémentaires aux sites internet d’offres d’emplois et aux simples candidatures spontanées. Une augmentation de leur utilisation sera à prévoir…

Cet article montre bien la réalité des recrutements actuels, à travers un site internet fluide et bien présenté avec des éléments graphiques permettant de mieux comprendre le contexte.

Liens vers l’article: http://www.blogdumoderateur.com/enquete-recrutement-reseaux-sociaux/

 

Réseaux sociaux : quelle arme contre le djihadisme ?

Nous pensons que tout ce qui pourra freiner cette apologie est la bienvenue. Les internautes sont nombreux sur les réseaux sociaux, c’est donc à eux de signaler dès qu’un message ou une vidéo est trouvée.

Le Congo bloque internet pendant un mois

Pendant un mois, la République Démocratique du Congo a été privée de communication. L’État a décidé de bloquer l’accès à Internet suite à des manifestations considérées comme violentes. Cependant cette mesure a entrainé un déficit important pour Orange, une compagnie téléphonique. Pour la population, internet reste un moyen d’échange et de travail important, outil dont elle a besoin au quotidien.

Lien vers l’article : http://www.afrik.com/rdc-les-reseaux-sociaux-bloques-inquietude-des-operateurs

La satire de Google : l’arroseur arrosé

Une patate parmi les consoles de jeux

Le 21 février 2015, des utilisateurs de Reddit (un site de partage de liens) ont demandé aux internautes de partager l’image d’une patate, pour que celle-ci soit affiché par Google lors de lancement de recherches  »console de jeux » ou  »playstation ».

En moins d’une  journée et avec des milliers de partages, l’image de la patate s’est affichée avec des photos de consoles de jeux sur Google image.

Cela montre bien que Google n’est pas infaillible, et que même la plus grosse entreprise du web peut se faire embobiner.

Google n’avait pas la patate…

http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/23/quand-google-confond-patate-console-jeux-video-257855

 

 

Des Tweets Cardiaques

1422353701_Twitter-revelateur-de-crises-cardiaques-_article_top« Si vous êtes fumeur, diabétique, obèse et pauvre, il y a plus de risques que vous souffriez un jour d’une maladie cardiaque que si vous êtes riche et en bonne santé. Voilà qui est communément admis. »

Mais selon des recherches d’universitaires américains, l’émission de tweets à caractères négatifs (hostilité, ennui, haine, colère, anxiété…) favoriseraient les maladies cardiaques !

Partant du principe que les sentiments négatifs provoquent la sécrétion d’hormones néfastes pour le cœur et que la mauvaise humeur est communicative, les tweets négatifs provoqueraient des épidémies cardiaques.

D’ailleurs le secteur de la santé cherche à se servir du web social pour prévoir les épidémies, ce qui fonctionnent mieux sur tweeter par les posts de plaintes sur la santé, que par les recherches de symptômes sur les moteurs de recherche.

Au final pour vivre mieux, tweetez heureux. Ne montrer que vos  meilleures pensées aux autres personnes de la toile qui vont sur internet. N’ajoutez pas du négatif dans un monde qui est déjà bien assez tourmenté,  mais des petits tweets positifs. Le net ne doit pas devenir un ring de box, où chacun envoie des coups à son voisin. Ce sentiment d’énervement se propage et devient dangereux pour ceux qui ne sont pas directement concernés, mais qui le deviennent par ce web social qui est planétaire.

Lien vers l’article de libération :

http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/01/22/twitter-revelateur-de-crises-cardiaques_1186478

Liens vers un autre article :

http://www.allo-medecins.fr/actualite/maladies/27012015,twitter-revelateur-de-crises-cardiaques-,855.html

Facebook, en route vers l’au delà !

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Facebook va désormais pouvoir faire parler les morts. En effet jusqu’ici,  la page Facebook d’une personne décédée n’était plus accessible. Ce temps là est révolu. Facebook vient de permettre à ses utilisateurs de désigner un « légataire » qui s’occupera de leur compte à leur mort. Ce « légataire » aura entre autres comme possibilités de poster des nouveaux messages, de changer la photo de couverture ainsi que d’accepter de nouveaux amis. Il ne pourra cependant pas avoir accès aux messages privés de la personne décédée. Et pour justifier cette nouvelle fonction, Facebook nous annonce qu’elle était demandée et utile pour les utilisateurs : « après avoir parlé avec des gens qui ont vécu la perte d’un proche, nous avons réalisé que nous pouvions en faire davantage pour les personnes endeuillées et pour ceux qui veulent garder le contrôle sur leur compte après leur mort ».

Facebook est déjà omniprésent dans nos vies, il va désormais s’immiscer dans notre mort. Est ce vraiment nécessaire de garder nos données après la vie ?

http://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/facebook-pense-a-votre-vie-apres-la-mort_1651127.html

Twitter n’a que faire de perdre 510 millions d’euros

Twitter perd 510 millions d’euros.

Twitter a perdu 578 millions de dollars (510 millions d’euros) en 2014. Cette plateforme ne fait aucun bénéfice et pourtant son action ne cesse de monter à Wall Street. Les investisseurs pensent que le réseau social finira par dégager des bénéfices. Avec un nombre d’utilisateurs qui stagne en 2014 (300 millions d’utilisateurs actifs), Twitter voit son chiffre d’affaire augmenter chaque année. En 2014, celui-ci était de 1,2 milliards de dollars. Twitter compte encore augmenter son chiffre d’affaires grâce au développement des tweets sponsorisés. Les dépenses sont plus importantes par rapport au chiffre d’affaire. Twitter ne réalise donc aucun bénéfice.

http://rue89.nouvelobs.com/2015/02/06/510-millions-deuros-pertes-twitter-sen-fout-257545

 

Les Français font la tête aux résaux sociaux

D’après une étude sur l’usage d’internet, la France a le taux d’utilisation des réseaux sociaux le moins élevé de l’Union Européenne. Seulement 46% des internautes les utilisent contrairement au Danemark avec 69%. Ce faible usage s’explique par le fait que nous sommes inquiets par un usage trop excessif. Mais il  peut s’expliquer aussi par une connectivité en dessous des moyennes observées dans les autres pays Européens.

Les taux vont sûrement augmenter grâce aux jeunes générations qui ont l’habitude des réseaux sociaux dès le plus jeune âge. La 4G et la fibre optique, récemment apparues, pourraient bien provoquer une augmentation des usages en France.

Lien : http://www.itele.fr/france/video/les-francais-boudent-les-reseaux-sociaux-contrairement-a-leurs-voisins-europeens-113440

Résaux sociaux

La compétition des sites de stream gamer s’accentue : place à Dailymotion Games

Le mercredi 14 janvier 2015, le site de partage de vidéo Dailymotion a lancé son programme de live sur les jeux vidéo. Il fait donc concurrence à Twitch et Youtube qui ont mis en place ce programme depuis quelques temps déjà et qui ont une notoriété plus installée.

Les jeux qui sont globalement visés sont ceux du moment comme  : League of Legend, Minecraft, Hearthstone, GTA 5, …

Le but est de lancer le secteur des jeux vidéo sur les plates formes françaises.

L’idée de lancer une nouvelle plateforme qui permette de partager en live des parties ou des informations sur les jeux vidéo est risquée pour Dailymotion. En effet, le site web permet de partager des vidéos de tout genre et depuis ce jour, il lance un programme pour se spécialiser dans le live gamer. La plupart des viewers des plateformes sont fidèles à leurs streamers et n’ont pas forcément envie d’aller regarder les plateformes concurrentes.

Certains sites de stream gamer utilisent Dailymotion Games comme par exemple Millenium TV ou encore EclypsiaTV qui sont tous deux des  sites fans de League of Legend.

Ce qui peut cependant aider Dailymotion à percer dans ce projet est qu’il a été, et qu’il est encore parfois partenaire d’évènements de jeux vidéo. De ce fait, le site n’est  pas inconnu aux yeux des joueurs et des streamers qui peuvent être intéressés pour aller partager leurs contenus sur Dailymotion Games.

Nous verrons ce que va donner ce projet. Ses débuts ont été correctes. Espérons pour notre entreprise française que cela va marcher et que ce ne soit pas un bide.

Source : http://www.numerama.com/magazine/31874-dailymotion-games-du-streaming-pour-voir-des-jeux-video-en-direct.html

Capitalisme et internet : c’est nous le produit

Internet fait partie de la  »famille », il est sympathique, la majorité de son utilisation est  »gratuite » et conviviale. Cependant, sous la toile, se joue un enjeu capitaliste important.  En effet avec l’utilisation d’internet, les utilisateurs offrent beaucoup de données aux serveurs qui s’en servent ensuite pour leurs propres profits. En 2015 la planète compte plus de 3 milliards d’utilisateurs, cela représente un marché colossal.

Vous connaissez l’expression sur Internet ? « Quand on ne paye pas, nous sommes le produit ».

http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/03/02/internet-ou-l-inversion-du-capitalisme_4585982_3232.html

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La réalité de Tinder

Arrivant comme un nouveau mode de rencontre, Tinder est basé en premier temps sur l’apparence physique. Un peu considéré aujourd’hui comme un supermarché de « l’amour » plutôt basé sur des relations éphémères, ce réseau favorise les contacts physiques plus que relationnels.

Son principe est simple :  en utilisant son compte Facebook, on a le choix entre « nope » ou « like » et si la situation est réciproque ( appelé un « matche » ) et il est enfin possible d’engager une conversation.
Tinder tente de toucher un public différent, c’est-à-dire un public jeune, car il est vendu comme un terrain de jeux, d’ailleurs le nombre de matches représente pour certains leur « tableau de chasse », qui leur apporte un sentiment de confiance en eux.

C’est une application mobile, disponible sur tous nos smartphones, elle est donc accessible partout et à tous moment, ce qui, chez certaines personnes, va créer ce petit sentiment d’addiction.

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http://media.tumblr.com/

Article complet  :

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/08/09/avec-tinder-du-sexe-et-beaucoup-de-bla-bla_4469392_3224.html

Fanny JOUAN – Axel MIGNY