Bilan statistique de la fréquentation du site – 1 trimestre 2016-2017

Bilan rapide du 1er trimestre 2016

« 1er trimestre 2016-2017 » versus « année scolaire 2015-2016 »

bilan-1trim-2016

  • autant de connexion que pour toute l’année scolaire 2015-2016 (en fait légèrement plus 4,6%)
  • presque 7000 pages vues sur ces 3 mois alors que l’an dernier nous en avions un peu plus de 2000 sur l’ensemble de l’année scolaire

C’est mon image du bonheur 😉 vue par le prisme d’un prof d’info….

Le Bonheur en images.

Knacki sur son lit de pomme de terre finement écrasées

Photo en noir et blanc

Cela est pour moi une chose simple de la vie banale et quotidienne : manger.
On peut apprécier la nourriture, le goût, la chaleur des aliments. Savoir apprécier les petites choses simples de la vie et voir le côté positif de manger, se nourrir… Le bonheur!

Route pour allé au lycée avec levé de soleil.

Photo en couleur en format paysage avec un contraste avec la lumière.

Quand on se lève le matin pour aller en cours et que sur la route on aperçoit les rayons du soleil, que l’on sent la chaleur de ces rayons, on peut se dire que la journée commence bien… Le bonheur!

Promenade autour de l’Erdre

I- Composition de l’image lié à des choix

Éléments fixes : le paysage en zone urbaine, l’ambiance bruyante par la circulation mais agréable pour la vue.

Éléments mobiles : 2 personnes qui marche et une barque

Couleur dominante : noir et blanc

Le temps représenté : en sortie scolaire pour l’analyse de la lecture sensible du paysage un jeudi après midi d’octobre

II- Composition de l’image liée à la prise de vue

Lumière: pour l’éclairage comme c’est du noir et blanc on va distinguer au premier plan du noir, puis sur les choses naturellement sombres, opaques et compactes comme les arbres et arbustes mais aussi le renfoncement des balcons au niveau des logements.

Pour la lumière qui met en avant des éléments de couleur grise, ce sont des éléments soit qui ne forme pas une masse soit qui sont plutôt dans des tons clairs comme par exemple la toiture des bâtiments ou l’espace piétons au premier plan. Il y a aussi la péniche de restauration qui est grise de base.

Pour la lumière qui est plutôt blanche on la distingue par le ciel dans un premier temps car c’était en en journée, par le minéral qui est naturellement clair ainsi que le reflet de l’eau.

Perspective : point de fuite principal = les bâtiments

Angle de prise de vue : horizontalité

III- Le(s) temps dans l’image

L’instant figé : des personnes qui marchent + une barque

Temps : journée ensoleillé un jeudi après midi d’octobre

Date de réalisation : octobre 2016

IV- Le point de vue dans l’image

Le point de vue visuel : j’étais placé en haut d’un mur de pierre et j’avais vue sur le paysage en face de moi, derrière moi, en dessous de moi, à droite et à gauche.

Le point de vue identitaire : est le point d’où je me suis exprimée.

Ma vision du bonheur à travers cette photo :

Tout d’abord cette photo à été prise dans le cadre scolaire, en après midi, il faisait beau d’après mes souvenirs mais le fait que la photo soit en noir et blanc on ne le distingue pas. J’ai choisis cette photo car déjà il y a pleins d’informations à prendre en compte sur les différents niveau de plans, mais aussi car je l’est prise spontanément sans trop y faire attention au départ.

Puis, je me suis penchée sur cette photo et je me suis rappelée qu’a ce moment de la journée j’avais beaucoup analysée ce qui m’entourait, c’est à dire l’Erdre, le pont qu’on ne voit pas dans la photo mais qui se trouvait à gauche, les passants, la circulation… Et je m’étais comme renfermée dans une bulle pour observer l’activité d’une journée banale en ville.

De plus, comme on peut le voir sur la photo j’ai capturé un moment de cette journée car sur l’Erdre on peut apercevoir une barque sur l’eau, ainsi que deux personnes qui marchent et cela la rend encore plus belle et plus vivante. J’ai choisi de mettre cette photo en noir et blanc plutôt que l’autre parce qu’elle me fait penser à un de mes croquis que j’avais réalisée et je l’a trouve encore plus belle comme ça.

Enfin, cette photo m’évoque le bonheur de part mon analyse personnelle du lieu lors de la sortie, l’angle de prise et l’apaisement qu’elle procure. C’est toujours un bonheur et un plaisir de découvrir des paysages et endroit qu’on avait jamais vue auparavant.

le bonheur était-il le même il y a 80 ans ?

Des psychologues de l’université de Bolton, au Royaume-Uni, ont ressorti une étude, sur le bonheur des gens, qui avait été faite dans leur ville en 1938. Après avoir analysé les réponses de chaque participant, les gens croyaient que la sécurité, la connaissance et la religion étaient des facteurs cruciaux pour être heureux. Au jour d’aujourd’hui, la sécurité fait toujours parti du top 3 de ce qui rend les gens heureux de nos jour, alors que la religion, elle, est bien descendu dans la liste.  Une chose n’a pourtant pas changé, le facteur chance. 40% des personnes d’aujourd’hui et d’hier pensent qu’avoir un peu de chance est essentiel pour atteindre le bonheur.

On peut voir aussi que la différence entre les 2 époques réside dans le fait qu’avant, « le bonheur était enraciné dans la vie quotidienne à la maison »

http://www.levif.be/actualite/sciences/voici-ce-qui-rendait-les-gens-heureux-il-y-a-80-ans/article-normal-393527.html

A quel age sommes nous le plus heureux ?

L’enfance… Quand on est bébé, on ne se soucie de rien, on découvre la vie, on est heureux, on rigole, on s’amuse, tout est source de bonheur. On sautille, on chantonne, on s’étonne à tout ce qu’on découvre de nouveau.

Puis un peu après on commence à comprendre certaine chose, on est triste parfois, car on n’est pas content, on n’a pas ce qu’on veut, mais là encore, le bonheur est au rendez vous.

L’adolescence… Quand vient l’adolescence, tout se complique. On recherche des bonheur extrêmes, dangereux, interdits. On découvre sous un tout autre angle, les déceptions, petites ou grandes, les chagrins d’amour, le changement de notre corps, les décès, tout vas mal. Pas de panique, cela ne dure qu’une période…

L’age adulte… Une fois la maturité passée, on a encore une autre vision sur le monde, un monde plus dangereux, plus réel, on recherche des bonheurs à longue durée. Comme rencontré l’amour de sa vie, se marier, fonder une famille, avoir un travail épanouissant. On est plus conscient de la vie, le bonheur n’est pas le même, c’est là tout une autre vision du bonheur, bien plus réfléchie, bien plus sérieuse, moins exigeante, un peu comme quand on était petit, on se contente de peu.

La retraite… Comme un retour du début à la fin, la retraite annonce la fin d’une belle et longue vie, la nostalgie s’installe quand on repense à notre vie, nos souvenirs, nos bonheurs. Là encore, les bonheurs ne sont pas les mêmes, on à a la joie de faire ce qu’on veut, de ne pas se lever le matin, de ne pas travailler ? Mais en contre partie nos bonheurs, à cet age là, sont de ne pas perdre la personne qui partage notre vie depuis des années, de ne pas finir seul, d’être en bonne santé… Les bonheurs sont moins exigeants, ils sont limite vital en majorité.

En résumé, pour moi il n’y a pas d’age ou nous sommes le plus heureux, nous sommes heureux à différent moment de notre vie. Conclusion, soyez heureux quoi qu’il arrive, le bonheur dois toujours primer sur le reste.

D’après l’article :
http://www.psychologies.com/Moi/Se-connaitre/Bonheur/Interviews/Bonheur-de-l-emotion-a-la-construction/Notre-vision-du-bonheur-evolue-t-elle-avec-l-age

Bonheur partagé …

Photo originale
Hervouet Léo – Bonheur

Sur cette photo, on voit en premier lieu et également au premier plan un corps d’immeuble désaffecté. Ce qui peut installer une ambiance lugubre au premier abord. Mais lorsqu’on regarde au travers des ouverture, une observe une flore dominante et omniprésente.

L’intérieur de l’immeuble apparaît sombre même si les ouvertures laissent pénétrer de minces rayons de soleil ce qui amplifie le ressentie. On a donc un espace vide et sombre mais qui est entouré d’une nature verdoyante. Nous avons donc un jolie contraste de couleur entre intérieur et extérieur.

On distingue tout à fait même si on ne le voit pas la position de la source de lumière lors de la photos avec le projeté lumineux des ouvertures contre les murs. C’est donc ici une lumière naturelle.

Le cadrage a été réalisé de façon à ce que l’on puisse se projeter aussi bien dans l’espace intérieur qu’à l’extérieur du bâtiment.

Cette image tente de se rapprocher des autre photos d’Urbex présentes sur le net.

Elle marque un temps révolue, un espace laissé à l’abandon et sans aucune vie humaine à part quelques visiteurs des locaux.

Cette image peut donc laisser paraître une ambiance lugubre, mais pourtant… Cela dépend également de celui qui la regarde. Ces locaux abandonnés ont une histoire, c’est cela qui intéressant, essayer de deviner l’utilité de chaque bâtiment, pièce, objet… Afin de les refaire vivre dans notre imagination.

De plus ici, la nature est très présente à extérieur. Elle apparaît même comme de véritables tableaux au niveau des ouvertures. Elle ne serait pas présente sur l’image, notre perception de la photo changerai totalement.

Ces éléments désaffectés ont un coté très mystérieux et encore plus lorsqu’ils sont camouflés en pleine nature. Et finalement on s’y sent bien, on s’y sent libre…

 

 

Photo recadrée
Hervouet Léo – Bonheur

Les différents objets n’ont pas été placés correctement avant de prendre la photo car elle a été prise sur le moment. N’ayant pas un but publicitaire, elle n’a pas besoin d’être organisée pour qu’elle devienne source de bonheur.

Même si l’image est en noir et blanc, les différentes nuances de gris permettent d’imaginer la multitude de couleurs que propose cette photo perçu lors de la prise.

On a ici un grand plan sans point d’attache particulier mais sur la quasi totalité de l’image. On observe également un défaut d’horizontalité de la ligne inférieur sur ce plan en plongée.

Cette photo offrira sa date à qui sait bien l’observer.

Le bonheur est ici traduit par la nourriture.

L’image du bonheur

Être producteur d’images

Photo 1 : Bord de mer

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La force de cette image repose sur l’immensité du paysage. L’image est composée de 3 plans distincts. En premier plan, nous apercevons une personne sur le sable, au pied des vagues. En second plan, nous pouvons observer une mer calme. Et enfin, en dernier plan, à l’horizon, nous remarquons la côte bretonne.

Le cadrage de la photo est important, il est fait de façon à ce que le public perçoivent sur quoi ce porte le regard de la personne. Le but étant de laisser de l’espace dans le champ visuel de la personne. D’autre part, la photo est cadrée de sorte que l’on puisse observer à la fois l’immensité et la beauté du ciel mais également celle de la mer.

La photo est en noir et blanc, ce qui apporte une certaine sérénité.

Ici, le bonheur est de se retrouver simplement face à la puissance de la nature. Puissance qui nous apporte du réconfort et nous permet de nous évader.

Photo 2 : Parc urbain

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Cette photo souhaite mettre en avant la beauté du paysage dans un parc urbain. En premier plan, nous observons deux personnes assissent sur un banc, celles-ci sont représentées de dos. En second plan, nous apercevons un paysage verdoyant, se composant d’arbres et d’arbustes aux couleurs automnales. Enfin, en dernier plan l’image nous laisse apercevoir une fontaine qui se trouve au cœur de la photo.

Les couleurs sont très présentes. En effet, la dominante des couleurs automnales (jaune, vert, marron) donnent de l’intensité à la photo. De plus, le manteau de couleur rouge de la jeune femme, attire le regard et donne de la puissance à la photo. On assiste ici à un mariage de couleur.

Les sujets représentent un point fort pour la photographie. En effet, ils sont au cœur de la photo. Les deux personnes sont représentées de dos, de façon à ce que le public imagine sur quoi se porte leur regard, sur un paysage riche et dense.

Sur cette photographie le bonheur se partage à deux, dans un espace naturel, calme et agréable, permettant ainsi de s’échapper d’une certaine pression urbaine. Les seuls bruits sont les chants des oiseaux, les feuilles qui s’envolent et l’eau qui ruisselle.