Stefen Zweig – Le joueur d’échecs

Problématique : Comment le jeu peut il lorsqu’il est pratiqué à outrance détruire un homme que ce soit sur le point physique ou mental ?

Dans l’ouvrage de Stefen Zweig ou l’on peut suivre l’histoire d’un homme,M.B séquestré et isolé seul pendant plusieurs mois seul sans communication possible sauf des intérrogatoire de la gestapo se réfugiait dans le jeu par chance, et ici nous parlons du roi des jeux le jeu d’échec.

Lors de son incarcération M.B se plonge dans le jeu d’échec pour échapper à la folie mais cela aura à terme un effet tout à fait différent ou le personnage utilisant un dédoublement de personalité pour jouer effleur la skysophrénie et de plus se plonge dans une trans physique qui à terme aurons des conséquences sur son corps, amégrissement, désydratation. La maladie de ce jeu conduira M.B au final à une crise de démence violente qui lui permettra néanmoins de puvoir échapper a ce calvaire.

On peut donc dire que malgrés des effets néfastes sur ca personnes le jeu d’échecs auront fni par sauvé M.B de l’enprisonement et d’une mort potentiel.

Le passage du texte illustrant le mieux cette problématique est le suivant :

« Tout mon être, toute ma sensibilité se concentraient sur les cases d’un échiquier imaginaire. La joie que j’avais à jouer était devenue un désir violent, le désir une contrainte, une manie, une fureur frénétique qui envahissait mes jours et mes nuits. Je ne pensais plus qu’échecs, problèmes d’échecs, déplacement des pièces. Souvent, m’éveillant le front en sueur, je m’apercevais que j’avais continué à jouer en dormant. Si des figures humaines paraissaient dans mes rêves, elles se mouvaient uniquement à la manière de la tour, du cavalier, du fou. À l’audience aussi, je ne parvenais plus à me concentrer sur ce qui engageait ma responsabilité : j’ai l’impression de m’être exprimé assez obscurément les dernières fois que je comparus, car les juges se jetaient des regards étonnés. En réalité, tandis qu’ils menaient leur enquête et leurs délibérations, je n’attendais dans ma passion avide que le moment d’être reconduit dans ma cellule pour y reprendre mon jeu, mon jeu de fou. Une autre partie, et encore une… «