Affaire HEINZ : Faites entrer l’accusé

Un choix vital par amour ou un choix de bon citoyen modèle ? Un médicament très cher et très difficile à trouver a été volé par Mr.Heinz à un pharmacien afin de sauver la vie de sa femme. Faut-il le condamné pour ce geste ?

La loi :

Dans la déclaration universelle des Droits de l’Homme, le droit à la vie est un principe universel. Tout être humain a le droit de vivre au même titre qu’un autre et chaque Homme naît et demeure libre et égal en droit.

Cependant, tout crime ou délit, comme un vol peux être réprimandé par la loi. En effet, l’article 311-3 du code pénal puni le vol de trois ans d’emprisonnement et jusqu’à 45 000 euros d’amende. Peu importe les raisons d’un vol, même pour sauver une vie. Une infraction reste une infraction et doit être punie par la loi peu importe les motivations de l’accusé.

Un pharmacien pas totalement irréprochable :

Le pharmacien aurait pu donner le médicament à Mr Heinz ou lui faire à crédit pour sauver la vie de sa femme. Il a donc en quelque sorte laisser mourir la femme de Mr Heinz et n’a pas donné assistance à une personne en danger. Pourtant il avait le droit de refuser de donner le médicament car le droit de propriété est un principe de base de la législation. Mais il est tout à fait normal de la part du pharmacien de demander un payement en échange d’un bien car sinon il devrait mettre la clé sous la porte.

Sanction pour l’accusé ?

Il est normal pour le vol que Mr.Heinz a commis qu’il soit condamné. Tous les délits, tous les crimes et toutes les infractions doivent être obligatoirement jugés.

Une peine de deux mois de prison ferme et un mois avec sursis ainsi qu’une amende de 5000€ serait une des solutions les plus envisageable.

 

 

2 réflexions sur « Affaire HEINZ : Faites entrer l’accusé »

  1. Tout d’abord, encore toutes mes excuses pour ce retard de commentaire…
    Mettez bien en valeur (italiques) le chapeau. L’amorce est percutante, le résumé de l’affaire clair, mais il manque une problématique (= alternative, avec « ou bien ») et l’annonce de votre thèse : « Nous montrerons que… »
    Citez entre guillemets l’article de la DDH que vous évoquez et étudiez-le. Que suppose ce droit à la vie par rapport à l’affaire dont nous nous occupons ?
    Le raisonnement concessif est bien maîtrisé.
    Votre « peu importe » peut être mis en anaphore, ce serait percutant. Pourquoi privilégiez-vous le respect de la loi par rapport au droit à la vie cité au début ? Justifiez. Voir l’universalité des lois.
    Citez la loi de « non-assistance ». Vous reportez la culpabilité sur le pharmacien, ou bien vous le disculpez : votre point de vue n’est pas assez clair. « Il est tout à fait normal » : cela ne relève pas des normes. Trouvez un terme plus précis.
    Terminez sur une phrase choc.
    Pour les intertitres : le 2ème me plaît, mais les autres sont trop imprécis.
    Pour la grammaire : revoir chaque verbe, en ouvrant un onglet Bescherelle comme nous l’avons fait lundi en cours.
    Bon travail à vous !
    Cet article d’opinion est bien au-dessus de la vision que vous avez de votre niveau en français ; en le peaufinant, il sera très satisfaisant. Ne lâchez rien !

  2. Dommage, de ne pas avoir corrigé l’article hier soir comme vous vous y étiez engagé. Il faut savoir prendre les perches qui nous sont tendues…

Les commentaires sont fermés.