Archives par mot-clé : écologie

Bien trier, c’est mieux respirer !

Présentation

L’innovation dans le traitement des déchets est aujourd’hui au cœur de l’activité du Syctom, pour relever les défis d’un monde plus soutenable. Développer le tri et optimiser le recyclage des déchets, accroître l’efficacité énergétique des installations, expérimenter de nouvelles voies de valorisation : c’est le travail quotidien des équipes et partenaires du Syctom.

  • Des centres de tri à la pointe : des capacités en hausse, des process modernisés en continu et progressivement adaptés à l’extension des consignes de tri à l’ensemble des emballages plastiques et des emballages métalliques.
    Innovation technique
  • Des expérimentations de collecte séparative des biodéchets avec les collectivités du territoire, pour inventer ensemble les organisations de demain.
    Soutien aux dispositifs de collecte
  • Un partenariat d’innovation SIAAP/Syctom signé en 2016 : deux grands services publics urbains réunis autour d’un projet de traitement conjoint des boues d’épuration et de la fraction organique résiduelle des déchets.
    Mutualisation des moyens
  • Un appel à manifestation d’intérêt pour la logistique urbaine des déchets pour optimiser l’approvisionnement et la production énergétique des unités d’incinération.
    Innovation technique
  • Un projet de captation du CO2 inédit en Europe ou comment valoriser les fumées d’incinération en bioplastique, via un programme international de R&D sur 4 ans.
    Innovation technique

Lien vers sources de l’article : https://www.syctom-paris.fr/pour-un-traitement-des-dechets-responsable/innovation.html

La bouteille sans plastique et comestible

Ooho : une bouteille entièrement comestible constituée de plusieurs bulles d’eau de 4 cl chacune, soit l’équivalent d’une gorgée.

Ce qui est assez intéressant avec cette invention, c’est que n’importe qui peut créer des Ooho chez soi : ce n’est pas de la chimie lourde, les ingrédients sont simples à se procurer et les manipulations sont de l’ordre de la cuisine.

La procédure, déjà utilisée en cuisine moléculaire, est en effet à la portée de tous comme en témoignent bon nombre de tutoriels vidéos disponibles sur la Toile.

Approbation, stupéfaction, dégout parfois… les réactions des cobayes qui se sont essayés à Ooho sont nombreuses. Tous, en revanche, témoignent d’un véritable intérêt pour le projet et d’une envie de changer les modes de consommation actuels.

Lien vers la source:

http://planete.blogs.france24.com/article/2014/07/31/ooho-la-bouteille-d-eau-comestible-qui-veut-en-finir-avec-le-plastique.html

 

Planter des arbres pour sauver le monde…

Bon, Ecosia vous connaissez. Je ne sais pas si cela fait mieux respirer la planète, je ne connais pas le modèle économique de ce moteur de recherche. Par contre je me suis demandé un matin: « Mais qui plante les arbres…? »

Et j’ai trouvé ça:

https://www.geo.fr/environnement/canada-qui-sont-les-tree-planters-ces-heros-qui-plantent-jusqua-6000-arbres-par-jour-195371

Alors comme vous êtes jeunes, aventurier, devenez tree planter… Continuer la lecture de Planter des arbres pour sauver le monde…

Des mouvements solidaires pour notre chère Planète..

Nous avons ici une forme de solidarité qui concerne chaque individu de cette planète. En effet, qui arriverait à se mettre à l’abris de toutes les catastrophes écologiques commises par l’homme? Ici, le 8 septembre 2018, des milliers de personnes à travers le monde commencent à se lever pour défendre leur Mère.

Voici deux liens :  Le premier parle des pertes économiques liés au réchauffement climatique, et le second présente les manifestations en France de ce 8 septembre 2018.

 

Réchauffement climatique – Economie

Solidarité nationale / internationale contre le réchauffement climatique

Le rendez-vous à ne pas manquer : journée sur les enjeux du numérique sur France Culture avec Rue 89

Le numérique apporte des solutions nouvelles et bouleversent les usages, les lois et des frontières.

Le journal RUE 89 en partenariat avec France Culture propose une journée de débats samedi 24 octobre 2015, dont certains seront retransmis sur France Culture dans l’émission « Du grain à moudre » du 26 au 29 octobre 2015, de 18h20 à 19 heures.  Le programme aborde les questions de gouvernance du numérique (QUI FAIT LA LOI ?), la question écologique (LA PLANÈTE SERA-T-ELLE SAUVÉE PAR INTERNET ?), la question de la gestion des données (TOUS FICHÉS, TOUS SUSPECTS ?). La leçon de clôture sera prononcée par Dominique Cardon, sociologue au Laboratoire des usages d’Orange Labs et professeur associé à l’université de Marne-la-Vallée, dont nous avons lu plusieurs articles à propos des réseaux sociaux.

Le lien vers l’article :

http://rue89.nouvelobs.com/2015/10/19/participez-forum-france-culture-lannee-vue-numerique-261656

L’aquaponie, nos futures cultures

 

Aujourd’hui la population mondiale ne cesse d’augmenter, il y a toujours plus de personnes à nourrir. L’agriculture intensive a montré ses limites, et la chimie avec les OGM ne sont pas une solution alternative et durable. Les problèmes liés à ces pratiques sont nombreux (algues vertes, scandale sanitaire, …), c’est pourquoi, dans le cadre du PIC ( Projet Initiative et Communication) nous proposons de faire découvrir à des jeunes (qui  sont susceptibles de devenir exploitants agricoles ou en maraîchage) un nouveau mode de production.

L’aquaponie est  un système  très peu connu et qui mérite d’être développé partout dans le monde. Il est écologique, durable et très rentable pour les agriculteurs qui l’utilisent car il permet de produire des légumes et d’élever des poissons jusqu’à leur maturité. Il y a donc deux productions en une, ce qui avantage le producteur.  Dans les années à venir, ce système pourra intégrer nos foyers sans difficulté et de manière esthétique. 

Prenez le train en marche et venez en apprendre davantage sur la solution d’avenir qu’est l’aquaponie, lors d’une conférence en salle bleu le 26 Novembre de 14 h à 16 h !  

 

La suède veut combiner écologie et croissance !

La Suède un exemple à suivre :  depuis 2005 grâce à ses politiques volontaristes en matière d’écologie, la Suède devient une experte concernant l’écologie. Elle annonce pour 2020 que la part des énergies renouvelables sera à 50% de l’énergie consommée sans parler de sa totale neutralité carbone prévu pour 2050.

Cela peut paraître difficile à croire pour nous, mais détrompez-vous car il ne s’agit pas d’une ambition inatteignable. Aujourd’hui, 30% de l’énergie consommée par les Suédois est d’origine durable. Elle provient aussi bien des éoliennes que des déchets ou encore de la géothermie. Comparé à la France qui se trouve elle à seulement à 13%.

Mais l’ambition de ce pays est grande et la Suède souhaite encore aller plus loin notamment en voulant diminuer sa consommation en énergie fossile, avec une avance impressionnante concernant une augmentation massive d’écoquartiers.

En voyant de telles prouesses, on peut alors se demander « Et pourquoi pas nous ? »

Malgré les efforts effectués par les citoyens et la politique française, les gestes écologiques sont encore à travailler car ceux-ci restent encore insuffisants.

Si la Suède est aujourd’hui proclamée comme le pays le plus écologique d’Europe, c’est que ce pays n’a pas connu « de trente glorieuses à la française », c’est à dire un changement radical des comportements concernant l’utilisation des produits chimiques, l’agriculture intensive ou encore la consommation de masse.

De plus, l’IDH n’est pas révélateur de cet exploit car si l’on compare l’Australie à la Suède. Ces deux pays possèdent un niveau de bien être similaire, on ne retrouve pas de similitude concernant le respect de l’environnement. Et pour poursuivre avec les contre-exemples, il en va de même concernant la densité de population au kilomètre carré car le Québec prend moins à cœur le respect de la nature alors que ce pays compte moins d’habitants au kilomètre carré..

La politique en vigueur et la conscience de la population jouent beaucoup. Il y a eu en Suède ces dernières années de grands changements de mentalité concernant le respect et la préservation de la nature, ce qui n’est pas le cas dans les autres pays. Mais il n’est pas trop tard pour se mettre au vert et avec un esprit collectif, nous y arriverons peut être aussi.

Les déchets, point important dans l’écologie, représentent pour une multitude de pays un inconvénient voir un calvaire. La Suède a su palier ce handicap et les déchets sont devenus pour elle une importante richesse. Chez les Suédois seuls 4 % des déchets finissent en décharge et tout le reste est recyclé. Ainsi les précieux incinérateurs qui fournissent de l’électricité à plus 205 000 foyers sont sous utilisés. Mais la Suède a trouvé la parade en faisant importer des déchets qui sont au passage facturés au prix fort.

Lien vers l’article :

http://www.tantmieux.fr/la-suede-un-paradis-ecologie/

VILLES DU FUTUR, COMMENT VIVRONS-NOUS DEMAIN ?

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Le texte que nous avons sous les yeux, issu des Echos.fr met en relation la nécessite d’un partage entre densification urbanistique et développement durable grâce aux TIC. L’article s’organise autour de trois parties bien distinctes. La première souligne les nouvelles exigences urbanistiques. Ici l’accent est mis sur la fonctionnalité des ‘villes d’avant’ et ce qu’il en résulte aujourd’hui. Elle met aussi en évidence certains objectifs à atteindre en terme d’aménagement et d’écologie.

La deuxième partie est essentiellement écologique. Elle met en valeur la nécessité d’intégrer au mieux les différents modes de déplacements (que l’on soit cycliste, piéton…) aux structures des villes. Pour finir, la dernière partie nous donne des exemples concrets de différentes innovations écologiques actuellement utilisées dans le monde. Elle met en valeur la relation entre TIC et technologies écologiques. Cependant elle stipule bien que sans réelle volonté politique, cela restera impossible.

Aujourd’hui, avec une personne sur deux vivant en ville et d’ici à 2035, 75 voir 80% vivant dans des zones urbaines, les modes de vie et de consommation sont en changement radical. Cependant les structures et architectures des villes ne permettent pas encore un plein épanouissement. En effet, à l’heure actuelle, la réelle question à se poser est : ‘Pourrons-nous fonctionner de la sorte encore longtemps ?’ La réponse est clairement : non. Nos systèmes de production ne sont plus adaptés à nos modes de consommation. Il faut à présent innover dans les technologies liées au développement durable, favorisant les énergie propres. Les villes vont donc devoir s’adapter sous peine de voir leur chemin de la réussite se dérober sous leurs pieds. L’heure n’est donc plus à la réflexion mais à l’action. Les nouvelles villes prospères et durables sont pour moi celles qui sauront ‘écouter et observer’ avant d’agir, s’inspirant d’idées nouvelles venant des ‘quatre coins du monde’. Les relations entre les pays devront s’améliorer afin d’envisager des évolutions et des progressions collectives concrètes. Ils devront mettre en commun une partie de leurs savoirs scientifiques afin de favoriser l’émergence de nouvelles voies de développement. Mais tout ceci ne sera possible que par une réelle volonté politique, comme expliqué dans le texte.

Lien vers l’article :

http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-117778-la-ville-de-demain-cest-maintenant-1060724.php

Les villes des années à venir

Depuis quelque temps, de nouvelles réflexions de partage sont apparues entre la densification urbanistique et le développement durable aux vues des nouvelles technologies qui sont apparues.

Dans les années 40, l’architecte Le Corbusier avait affirmé que « les villes ne répondaient plus à leur destinée qui était de satisfaire aux besoins primordiaux biologiques et psychologiques de leur population« . Aujourd’hui, cette affirmation qui avait été constatée il y a 60 ans n’est plus un objectif primaire, car à notre époque, les villes doivent être capables de répondre aux défis urbanistiques en étant une ville qui soit labellisée écologiquement ainsi qu’en intégrant les technologies.

Les villes de demain, devront répondre à de nouvelles exigences urbanistiques afin de réorganiser la conception globale de l’urbanisme des villes, indispensable dans les années à venir.

Une aspiration écologique pour les Parisiens leur permettra de lutter contre la pollution urbaine, pour atteindre d’ici 2025 à l’objectif « carbon-free« . Cet objectif permettra à la ville de Paris de « préserver et encourager la végétalisation des espaces libres« .

Plusieurs villes du monde comme Luxembourg,  Dubaï et bien d’autres, ont intégré l’énergie solaire, les toitures végétalisées ainsi que des innovations technologiques afin de créer de nouveaux espaces urbains adaptés.

Lien vers l’article : http://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-117778-la-ville-de-demain-cest-maintenant-1060724.php#

 

Les algues : une biomasse maîtrisée pour le bien-être de tous

Cet article montre une technologie de demain, la culture d’algues pour créer de l’électricité, du carburant et épurer l’air. Cette technologie est encore en phase de test mais en bonne voie puisqu’elle a obtenu des aides du gouvernement, de la région Pays-de-la-Loire mais aussi Ile-de-France, signe d’une volonté politique.tour-nanterre-icade-microalgue

Dans notre société, le bâtiment est l’un des plus gros consommateurs d’énergie. Ce secteur est très règlementé et normalisé d’un point de vue esthétique. Les façades sont peu utilisée pour produire de l’énergie. Les micro-algues répondent à plusieurs objectifs des plus intéressants. En effet, en servant de “deuxième peau”, cette technologie permettrait d’économiser jusqu’à 50% d’énergie pour le chauffage et le refroidissement du bâtiment. Cela permet de créer un revêtement de face multi-fonctions. Outre l’aspect décoratif, il joue plusieurs rôles fonctionnels.

C’est un des atouts qui peut rendre cette innovation indispensable car elle permettrait d’allier l’utile au décoratif.

Un autre atout de cette innovation concerne la création de matière, de la biomasse. Grâce à cette culture d’algues, nous pourrons créer du carburant (grâce à l’huile extraite) ou encore de l’électricité (grâce à la combustion de la matière sèche). Nous pouvons déjà nous imaginer des façades servant uniquement à la production de micro-algues. Il y a tant de façade qui s’y prêteraient, par exemple toutes celles des bâtiments industriels. Au lieu d’avoir un aspect de “boîte”, ces façades permettraient d’être perçues comme productrices d’énergie et donc utile. De véritables serres verticales multi-fonctions.

En plus de protéger l’intérieur du bâtiment contre le réchauffement et de produire de la matière, les chercheurs pensent pouvoirs traiter certaines eaux grâces aux algues. Alors si on récapitule, les micro-algues pourraient apporter un confort thermique, épurer l’air et l’eau et produire de la matière servant à la création d’énergie. Une façade ne pourrait certainement pas remplir toutes ces fonctions mais on peut voir dans cette innovation une porte supplémentaire vers la transition énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique.

http://projets-architecte-urbanisme.fr/symbio-2-x-tu-facade-ecologique-micro-algue/

La course à la ville verte

La green attitude est devenue aujourd’hui une préoccupation essentielle pour toutes les grandes villes du monde. Elles redoublent d’efforts et ne cessent de mettre en place des mesures pour devenir des villes durables où il fait bon y vivre.

Les pays nordiques sont connus pour leur éco-responsabilité ainsi nous retrouvons Reykjavik, capitale de l’Islande à la première place. L’Islande, en règle générale, est le pays le plus vert du monde. En effet, le gouvernement fait beaucoup d’efforts et consacre une grosse partie de son budget pour conserver cette première place. Il compte aller jusqu’à devenir la ville la plus propre d’Europe. Aujourd’hui, la géothermie et l’hydroélectricité suffisent à produire la totalité de l’énergie utilisée par la capitale. Les vélos sont largement encouragés en tant que moyen de transport.

De plus en plus de grandes métropoles s’engagent dans cette course à l’écologie. Beaucoup d’initiatives voient le jour et suscitent l’engouement des habitants : the Earth Hour, par exemple, est une manifestation organisée une fois par an à Sydney. Elle consiste à couper les lumières et débrancher les appareils électriques pendant une heure afin de promouvoir l’économie d’électricité. Autre exemple à Curitiba au Brésil, où 70% de la population utilise les transports en commun. Ces initiatives prouvent que même les plus grandes villes sont capables de devenir éco-responsables et de participer efficacement à la réduction des émissions de CO2.

http://lifestyle.boursorama.com/article/top-10-des-villes-les-plus-vertes-du-monde

Vivre sous la mer, une possibilité ?

Alors que certains cherchent une place sur terre, d’autres imaginent des espaces sous la mer. C’est le pari que c’est fixé l’architecte malaisien Sarly Adre Bin Sarkum :  créer « un gratte mer » comme il y a des grattes ciels.

maquette du projet

Un projet futuriste de 400 m de haut sur 125 m de large, sur lequel on trouverait tout pour vivre, habitation, travail, nourriture… Aujourd’hui beaucoup d’habitations se construisent, et pourtant les logements manquent. A travers cet article, le projet de construire des grattes mers (ou en anglais waterscraper) montrera si oui ou non il peut être réalisable, et si l’on peut y vivre.

Reportage de Emilie Cler le 7 octobre 2010

lien vers l’article: http://www.quebecscience.qc.ca/Des-cites-sous-la-mer

 

Un village nature !

Le Groupe Euro Disney S.C.A. (« Euro Disney ») et le Groupe Pierre & Vacances Center Parcs (« Pierre & Vacances ») dévoilent aujourd’hui (2010) leur nouveau concept de destination touristique fondée sur la quête d’harmonie entre l’Homme et la Nature. Celle‐ci constituera, dans son concept comme dans son exploitation, un modèle de développement durable inédit en matière de tourisme à cette échelle :
Les Villages Nature de Val d’Europe (« Villages Nature »).

  • La recherche d’harmonie entre l’Homme et la Nature
  • Un projet partagé
  • Un engagement en matière de développement durable
  • Investissement pour les institutionnels et les particuliers
  • Un projet économique impliquant les acteurs locaux

Vous retrouverez un explication sommaire du but du projet grâce à ce lien (fichier pdf) :

http://corporate.disneylandparis.fr/CORP/FR/Neutral/Images/fr-2010-11-24-villages-nature.pdf

Mais aussi sur le site de « Village Nature » :

http://www.villagesnature.com/

Et une petite vidéo you tube présentant le projet avec des très bon graphisme :

Est ce que vous allez répondre à l’appel d’offre lancé par « village nature » ? A vous de voir …

 

Internet et l’écologie

Photographie Caroline ARNOUX

 

Le but était de trouver un objet qui rappelle internet et un autre en rapport avec l’écologie. J’ai donc choisi une souris pour rappeler le numérique mais le problème c’est que pour moi, lorsque l’on montre une souris, on ne pense pas automatiquement à internet, d’où le morceau de papier avec inscrit dessus « internet ». Il a été coupé au montage mais les lettres restantes permettent de faire le lien avec la souris . Le fil permet de mettre en lien la souris et mon troisième objet, qui est un pot avec une plante à l’intérieur et qui représente l’écologie.  L’écologie est représentée de deux manières :  par la plante verte, mais aussi par la couleur du fond.

J’espère avoir ainsi représenté au mieux mon thème.

Arnoux Caroline

L’envers du décor de nos smartphones

« Il y a plus de smartphones dans le monde que de brosses à dent »

dixit l’émission de Cash investigation, diffusée sur France 2, le mardi 4 novembre. Le smartphone, c’est génial c’est toute notre vie dans un si petit objet, et pourtant…

Elise Lucet enquêtrice en chef de Cash Investigation, s’est posée la question de savoir comment étaient fabriqués ces petits appareils si pratiques. Elle a commencé par poser la question à son smartphone, qui lui a répondu : « Je ne suis pas autorisé à te répondre ». Continuer la lecture de L’envers du décor de nos smartphones

« Construire la ville de demain » au Forum Libération de Mulhouse

Le forum Libération des 24 et 25 octobre 2014 vient de proposer une série de débats sur le thème de la ville de demain.

Corinne Lepage – députée européenne – répond rapidement dans cette courte vidéo : « A quoi ressemblera la ville du futur ? » De l’écologie aux nouvelles technologies, cette vidéo assure une transition synthétique entre nos deux thèmes, de la planète urbaine à la ville durable.

Lien vers la vidéo :

http://www.liberation.fr/video/2014/10/25/corinne-lepage-a-quoi-ressemblera-la-ville-du-futur_1129400

Lien vers l’article de Libération :

http://www.liberation.fr/evenements-libe/2014/10/24/la-ville-de-demain_1128454