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Vivre sous la mer, une possibilité ?

Alors que certains cherchent une place sur terre, d’autres imaginent des espaces sous la mer. C’est le pari que c’est fixé l’architecte malaisien Sarly Adre Bin Sarkum :  créer « un gratte mer » comme il y a des grattes ciels.

maquette du projet

Un projet futuriste de 400 m de haut sur 125 m de large, sur lequel on trouverait tout pour vivre, habitation, travail, nourriture… Aujourd’hui beaucoup d’habitations se construisent, et pourtant les logements manquent. A travers cet article, le projet de construire des grattes mers (ou en anglais waterscraper) montrera si oui ou non il peut être réalisable, et si l’on peut y vivre.

Reportage de Emilie Cler le 7 octobre 2010

lien vers l’article: http://www.quebecscience.qc.ca/Des-cites-sous-la-mer

 

Des fermes verticales, projets fous ou concrets?

La ville ne cesse de grandir au détriment de la campagne, qui elle tend à disparaître du territoire.  Ces parasites mondiaux devront relever un défi alimentaire important car avec 7 millions de personnes à nourrir, l’agriculture n’aura d’autre choix que de s’implanter en ville.

En démarrant d’un jardin sur les toits pour arriver à une culture sous LED, en passant par des légumes produits hors-sol, ce documentaire donne une vision de l’évolution de la pensée agricole au sein de la ville.

Documentaire appartenant au thème Les villes du futur, diffusé le 20 janvier 2015.

http://future.arte.tv/fr/les-villes-du-futur#article-anchor-23486

 

 

Le Skytran, le transport du futur ?

Le Skytran serait-il le futur mode de transport tendance pour l’avenir?capsule du futur

Si vous voulez être à l’heure au travail et ne pas être dans les bouchons le matin comme le soir, il faudra utiliser ce nouveau mode de transport appelé le Skytran. C’est quoi ? C’est une capsule magnétique suspendue à un monorail de 10 m qui lévite magnétiquement dans les airs. C’est étrange n’est-ce pas? Cependant, cette capsule pourra vous faire gagner un temps énorme dans les transports en commun. En effet, elle pourra atteindre une vitesse de 100 km/h, cette capsule imaginée par le centre de recherche de la NASA pourrait voir le jour en 2015 à Tel-Aviv.

Je pense que ce nouveau type de tramway serait une révolution pour faciliter le déplacement en ville. De plus, il paraîtrait que ce mode de transport serait presque 10 fois moins cher qu’un tramway d’aujourd’hui. Les villes de Bordeaux et Toulouse envisageraient déjà cette possibilité !

lien vers l’article: http://www.citazine.fr/article/quels-transports-pour-ville-de-demain

La ville face aux crises

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Le maire de New York a levé ce matin l’interdiction de circuler dans la ville. La « tempête historique » annoncée n’a pas eu lieu : 20 cm de neige sont tombés dans la nuit. Alors, beaucoup de bruit pour rien ? s’interroge  la presse. C’est sans compter sur les événements qui ont frappé New York City ces dernières années.  En octobre 2012, la tempête Sandy avait inondé et paralysé la ville, faisant entre 7 et 15 milliards d’euros de dégâts. En février 2006, pas loin de 70 cm de neige avaient recouvert Central Park. En 2003, une panne d’électricité plongea la ville dans le noir, donnant lieu, ici et là, à des apéros géants à la lueur des bougies.

Les mégapoles, même riches, restent particulièrement vulnérables face aux catastrophes.

Le numéro #2 de la revue « Urbanisme » de novembre 2013 était consacré à la « Ville en crise » sous toutes ses formes : catastrophe naturelle, crise économique, ville en guerre.

Lien vers l’édito : http://www.revue-urbanites.fr/2-villes-en-crise-crises-en-ville-edito/

 

Une ville sans wifi

Créée à l’origine par le gouvernement américain pour écouter tout signal spatial, Green Bank est une ville où les ondes wifi sont proscrites. Un eldorado pour les technophobes qui sont de plus en plus nombreux à y aller : 36 personnes supplémentaires en 2013. Au delà du phénomène technophobe se pose une question « sociale et juridique » autour de l’omniprésence d’internet dans nos vies. « A-t-on réellement envie de communiquer tout le temps ?  Est-ce que nos libertés individuelles sont protégées ? Nous faisons reposer les conséquences du déploiement de la technologie sur l’individu, qui subit cela de manière néfaste » Un phénomène qui s’exporte aussi ,à l’opposé de villes comme Nice qui est devenue la première ville « sans contact » de France. 

http://www.lesinrocks.com/2015/01/13/actualite/green-bank-ville-sans-wifi-et-paradis-des-technophobes-11545856/

Un village nature !

Le Groupe Euro Disney S.C.A. (« Euro Disney ») et le Groupe Pierre & Vacances Center Parcs (« Pierre & Vacances ») dévoilent aujourd’hui (2010) leur nouveau concept de destination touristique fondée sur la quête d’harmonie entre l’Homme et la Nature. Celle‐ci constituera, dans son concept comme dans son exploitation, un modèle de développement durable inédit en matière de tourisme à cette échelle :
Les Villages Nature de Val d’Europe (« Villages Nature »).

  • La recherche d’harmonie entre l’Homme et la Nature
  • Un projet partagé
  • Un engagement en matière de développement durable
  • Investissement pour les institutionnels et les particuliers
  • Un projet économique impliquant les acteurs locaux

Vous retrouverez un explication sommaire du but du projet grâce à ce lien (fichier pdf) :

http://corporate.disneylandparis.fr/CORP/FR/Neutral/Images/fr-2010-11-24-villages-nature.pdf

Mais aussi sur le site de « Village Nature » :

http://www.villagesnature.com/

Et une petite vidéo you tube présentant le projet avec des très bon graphisme :

Est ce que vous allez répondre à l’appel d’offre lancé par « village nature » ? A vous de voir …

 

Le jihadisme français met en question la politique de la ville

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Cette semaine, dans les médias, la question de la politique de la ville a été évoquée. Si certains jeunes Français se laissent séduire par les discours extrémistes, ce serait le fait de l’échec de leur  intégration et au moins autant de la persistance d’inégalités dramatiques dans les quartiers défavorisés. François Loncle, ministre de la ville en 1992, est revenu sur vingt ans de politique de la ville. Selon lui, la rénovation urbaine du bâti a été faite au détriment du social.

Interview de François Loncle sur France Culture samedi 17 janvier (en podcast, à partir de la mn 5) : http://www.franceculture.fr/emission-journal-de-12h30-journal-de-12h30-2015-01-17

Une vidéo publiée par le journal Le Monde revient sur 30 ans de politique de la ville et raconte l’histoire des différentes mesures (ZEP, ZUS, ZFU, PNRU). La cour des comptes a fait un rapport en 2012 pour souligner que « la plupart des objectifs de la politique de la ville n’ont pas été atteints ».

Voir la vidéo « 30 ans de politique de la ville en 2 minutes », extrait du webdocumentaire La marche d’après, trente ans de combat pour l’égalité : http://www.lemonde.fr/videos/video/2013/12/18/trente-ans-de-politique-de-la-ville-en-deux-minutes_4336187_1669088.html#LVoA5lMo5VMKfvof.99

Les attentats, Fox News et… le petit journal…

Cela commence comme un conte, mais ça inquiète un peu… Voir la vidéo du dessous.

Info transmise par un ami – Raphaël, via un téléphone…  autre vecteur d’information donc…

Je cherche l’email de FoxNews et je reviens mettre à jours…
et bien je n’ai trouvé que cela:
yourcomments@foxnews.com

Pour la suite du conte « NoGoZones », vous pouvez survoler la vidéo et faire <+> ce qui donne accès aux autres « Petit journal » de Canal+…

Pour approfondir la réflexion autour des attentats du mois de janvier

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« Quelle est la source de cette liberté d’expression et quelles en sont ses limites ?  Source : site eduscol

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce que :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Celles-ci sont relativement nombreuses du fait du nombre d’exceptions spécifiques touchant au statut particulier des personnes (devoir de réserve, par exemple) ou à la nature des informations concernées (secret médical, secret défense). On peut néanmoins citer quelques règles d’ordre général :

  • Limite 1 – Ne pas porter atteinte à la vie privée et au droit à l’image d’autrui.
  • Limite 2 – Ne pas tenir certains propos interdits par la loi : l’incitation à la haine raciale, ethnique ou religieuse, l’apologie de crimes de guerre, les propos discriminatoires à raison d’orientations sexuelles ou d’un handicap, l’incitation à l’usage de produits stupéfiants, le négationnisme.
  • Limite 3 – Ne pas tenir de propos diffamatoires : la diffamation se définit par toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne. Il est possible pour se défendre d’une accusation de diffamation d’invoquer l’exception de vérité[2], c’est-à-dire de rapporter la preuve de la vérité de ses propos.
  • Limite 4 – Ne pas tenir de propos injurieux : l’injure se définit comme toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait.
  • Limite 5 – Il existe également des limites spécifiques telles que le secret professionnel, le secret des affaires et le secret défense.
  • Limite 6 – Certaines personnes, en raison de la fonction qu’elles occupent, sont tenues à un « devoir de réserve ». C’est le cas des fonctionnaires qui doivent exprimer leurs opinions de façon prudente et mesurée, de manière à ce que l’extériorisation de leurs opinions, notamment politiques, soit conforme aux intérêts du service public et à la dignité des fonctions occupées. Plus le niveau hiérarchique du fonctionnaire est élevé, plus son obligation de réserve est sévère. « 

« L’islam interdit-il vraiment de représenter le prophète Mahomet ? » Pour répondre à la question d’une étudiante à propos de la sensibilité des étudiants à la représentation du prophète Mahomet, un article de FranceTVinfo démêle la question de l’interdit de la représentation, notamment dans le contexte français.  Non, l’interdit ne figure pas dans le Coran mais il est posé par la plupart des théologiens musulmans. Et certains représentants religieux rappellent que cet interdit ne s’applique qu’aux musulmans. Enfin, toutes les branches de la religion musulmane ne posent pas le même principe : les chiites – majoritaires en Iran  et l’une des trois branches de l’islam – sont plus souples sur la question.

Lien vers l’article : http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/attaque-au-siege-de-charlie-hebdo/l-islam-interdit-il-vraiment-de-representer-le-prophete-mahomet_796698.html

Charlie Hebdo a-t-il déjà fait l’objet de procès en France ?

Quarante-huit procès en vingt-deux ans avec neuf condamnations pour injure : le journal Le Monde revient sur l’histoire judiciaire du journal. Aucune association religieuse n’a remporté de procès.

Lien vers l’article du journal Le Monde : http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/08/charlie-hebdo-22-ans-de-proces-en-tous-genres_4551824_3224.html

Existe-t-il une radicalisation des musulmans en France ?

Pour continuer, le point de vue d’Olivier Roy, professeur à l’Institut universitaire européen, où il dirige le Programme méditerranéen.

« La peur d’une communauté musulmane qui n’existe pas » Dans cette tribune éditée par le journal Le Monde le 9 janvier 2015, Olivier Roy analyse les discours sur la communauté musulmane française pour mieux tordre le cou aux préjugés qui dominent dans les discours politiques. Selon lui, il n’y a pas de « communauté musulmane » unifiée au niveau national en France. Parler de « communauté musulmane » est une erreur. Les musulmans sont mieux intégrés qu’on ne le dit, il n’existe pas de représentation politique ni de véritable réseau d’écoles confessionnelles : « Bref, la « communauté » musulmane souffre d’un individualisme très gaulois (…) »

Lire la tribune : http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2015/01/12/la-peur-d-une-communaute-qui-n-existe-pas-par-olivier-roy-911953.html

Mais alors, pourquoi certains musulmans sont-ils tentés par la radicalisation ?

Olivier Roy a répondu à cette question dans un entretien accordé au journal Libération à l’automne.

« Le jihad est la seule cause sur le marché ».  Je cite directement ses propos : « Ce sont des jeunes qui cherchent leur guérilla, comme nous dans les années 60. A l’époque, notre cause était la révolution, maintenant, c’est le jihad mondial. Dans son essai The Terrorist in Search of Humanity (2), l’historien Faisal Devji explique que, mis à part le fait que les terroristes tuent, il n’y a pas de différence fondamentale entre un humanitaire et un gars d’Al-Qaeda. Ce sont des militants d’un monde global, des nomades, souvent déracinés. Mais si on veut vraiment comprendre l’enrôlement des jihadistes, il faut regarder du côté de la fusillade du lycée de Columbine, en 1999, et des jeunes gens qui se perdent dans une même violence autodestructrice. En Orient comme en Occident, il existe une jeunesse fascinée par ce nihilisme suicidaire. L’islam donne une dimension globale, peut-être aussi mystique, un nom à une cause. »

Lire l’interview d’Olivier Roy dans son intégralité : http://www.liberation.fr/monde/2014/10/03/le-jihad-est-aujourd-hui-la-seule-cause-sur-le-marche_1114269

Vous pouvez aussi consulter le dernier numéro de Charlie HebdoCharlie Hebdo_janv15

(lien suppr – une demande est en cours auprès de Charlie Hebdo – Pierre Troulet.
Par contre lien vers le site de Charlie Hebdo et le blog de Charlie Hebdo 😉 )

 Ces quelques éclairages sont là pour poursuivre les échanges du mercredi 14 janvier 2015 avec les étudiants d’AP1. Bien sûr, il reste encore bien des questionnements à ouvrir.

Le street art pour soutenir Charlie Hebdo

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4553488_6_16ff_ill-4553488-0618-charliesf_75cd34c7e0f2bebcbf2a15a709a8b4d0 Gris1 à Lyon – (cc Flickr Street Press) Sans Fancisco (cc taste of USA/Twitter)

La rue, c’est pour marcher mais aussi pour exprimer l’émotion suscitée par l’attaque de Charlie Hebdo.  Plusieurs journaux nationaux ont diffusé les clichés des graffitis  en hommage au journal. Jef Aérosol a proposé un kit pour réaliser un pochoir « Je suis Charlie ».  A Paris, l’Institut du monde arabe a installé sur le mur du bâtiment des lettres adhésives, réalisées par l’équipe de la galerie de street art Itinerrance, qui reprennent la formule « Nous sommes tous Charlie Hebdo » en français et en arabe. Au  Palais de Tokyo , les artistes  André, Lek & Sowat, Cokney, Alëxone, Legz, Arnaud Liard, Hugo Vitrani, Jean Charles  de Castelbajac et Felipe Oliveira Baptista ont réalisé une fresque collective à l’intérieur du bâtiment. Dans la rue, sur les rames de train et de RER, dans de nombreuses grandes villes du monde, artistes et anonymes ont pris leurs bombes pour réagir.

Sur le site du journal Le Monde :
Sur le site du journal Le Figaro :

Une cyberaddiction croissante en Inde

En Inde, de plus en plus d’adolescents deviennent dépendants d’internet. Avec l’utilisation des smartphones, le nombre d’adolescents touchés par cette addiction a fortement augmenté. Personne ne semble réagir, pourtant cette addiction représente un réel danger pour ces jeunes. Certains ne vivent plus qu’au travers de leur téléphone. Une jeune fille s’est même suicidée lorsque ses parents lui ont interdis l’accès à internet en laissant ce mot derrière elle : »Je ne veux pas vivre dans une maison avec de telles restrictions. Utiliser Facebook n’est pas un crime. C’est une chose normale. Mais mes parents pensent que c’est grave, et c’est leur problème. C’est pour cela que je me suicide.” 1261-FALCO-B

http://www.courrierinternational.com/article/2015/01/07/en-inde-le-boom-des-cyberaddictions

Devenir journaliste grâce à un blog

Jérémy Goldyn est un blogueur entrepreneur originaire de Belgique. Il est aussi l’auteur de blog Road To. Il y inscrit des conseils et des méthodes permettant à qui le veut de « créer, développer et gérer un bisness ». Dans cet article, Jérémy Goldyn nous explique par quels moyens il est devenu journaliste par l’intermédiaire de son blogs.

http://www.webentrepreneurdebutant.fr/comment-devenir-journaliste-blog/

« Je suis Charlie » : trois mots et un logo

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Comme une trainée de poudre, les trois mots et le logo se sont répandus sur la toile. A l’origine, le directeur artistique d’une revue qui poste son image sur twitter moins d’une heure après l’attaque de Charlie Hebdo. « J’ai fait cette image parce que je n’ai pas de mots », explique Joachim Roncin.  « Ce que je voulais dire, c’est que c’est comme si on m’avait touché moi, je me sens personnellement visé, ça me tue, quoi », a précisé le directeur artistique qui a eu l’idée de reprendre la typographie de Charlie Hebdo pour son visuel.

Les trois mots et le logo ont fait le tour du monde, image simple et consensuelle pour manifester un témoignage de soutien aux victimes.

L’Express indiquait vendredi que le hashtag #JeSuisCharlie avait été utilisé plus de 3,5 millions de fois.

Un article de Rue89 rapportent que le hashtag #JeNeSuisPasCharlie est également apparu sur twitter. Les auteurs argumentent avec des raisons très diverses : certaines ne se reconnaissant pas dans la ligne éditoriale de Charlie Hebdo – trop provocatrice à leur goût – d’autres souhaitent mettre de la distance avec l’émotion collective générée par l’événement. Quelques uns souhaitent qu’aucune victime ne soit oubliée par le slogan : « , mais le policier tué en faisant son travail, innocent. »

Lire l’article sur le site Huffingtonpost :

http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/07/je-suis-charlie-origine-createur-joachim-roncin-slogan-logo-solidarite-charlie-hebdo_n_6431084.html

Lire l’article de l’Express : http://www.lexpress.fr/actualite/medias/non-jesuischarlie-n-est-pas-le-hashtag-le-plus-populaire-de-l-histoire_1639239.html

Lire l’article de Rue89 : http://rue89.nouvelobs.com/2015/01/08/jenesuispascharlie-a-rebours-lemotion-collective-twitter-256969

L’émission de France Culture « Softpower », dans sa rubrique « Alphabet numérique » analyse la viralité du hashtag avec cette interview de Joachim Roncin.  Quelle était son intention ? Comment le slogan lui a-t-il échappé ? Plus de 120 demandes de dépôts de marque ont été déposées auprès de l’Institut nationale de la propriété industrielle (INPI), toutes refusées.

http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4987457

Zoom sur le web

On peut voir sur cette photographie de nombreux « 1 » et « 0 » qui sont des données écrites en binaire. C’est le langage utilisé par les informaticiens pour créer des programmes informatiques. Sur l’image, ces chiffres représentent le nombre d’utilisateurs des programmes et d’internet. Au milieu de l’image est écrit « mot de passe » en rouge pour attirer le regard. Ce « mot de passe » est grossi par une loupe tenue par une main. La main représente Photo fil de julesun hacker et la loupe son œil. Il vient de trouver un mot de passe et aura donc accès à des données personnelles, et confidentielles. Cette photographie montre qu’il y a des personnes mal intentionnées sur le web. Comme l’image le représente, il est difficile, voir impossible de connaître ou de reconnaître l’identité de ces hackers, qui sont souvent des spécialistes de l’informatique. Ils savent donc comment effacer les traces de leur délit.

Internet et presse people

J’ai réalisé cette photo dans OLYMPUS DIGITAL CAMERAle cadre du Tecad, afin de l’utiliser dans le bandeau du site au file de Jules. La réalisation traite de la célébrité sur internet. J’ai utilisé des magazines people, associés avec l’ordinateur, la souris et le tapis de souris. J’ai utilisé les couleurs noir et rouge qui symbolisent de façon  générale la célébrité.
Les élément sont placés de manières à pouvoir réaliser un bandeau.
Il y a un jeu de mot avec le tapis de souris. C’est un tapis rouge comme celui du festival de Cannes. Le tapis de souris semble être prolongé par le tapis rouge à l’écran. La touche « Entrée » du clavier est encadrée par les magazines, un peu comme si pour devenir célèbre, il suffisait d’appuyer sur « Entrée ».

Facebook et ses défis

Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, se lance chaque année un nouveau défi. Cette année, il doit lire un livre chaque semaine : sa priorité, ce sont les livres sur la culture, les croyances, l’histoire mais aussi des livres sur internet. Pourquoi se lance-t-il ces défis ? «Je trouve que lire des livres est intellectuellement enrichissant. Les livres permettent d’explorer un sujet à fond et de s’immerger par soi-même, de manière plus intense que la plupart des médias aujourd’hui.» D’autres défis lui ont été lancés comme apprendre le mandarin, être végétarien mais Mark Zuckerberg en a refusé quelques uns comme lire la Bible ou apprendre tout d’un pays chaque semaine.

Cette nouvelle résolution pour l’année 2015, la création d’une communauté sur Facebook, surnommée  » A Year in Books », une communauté qui compte plus de 121 000 likes. Ce défi permet à Facebook de se faire de la publicité car aujourd’hui le réseau social compte 30 millions d’abonnés.

http://www.20minutes.fr/web/1509691-20150105-mark-zuckerberg-fondateur-facebook-lance-club-litteraire-ligne

Les effets d’internet sur le cerveau.

LEBORGNE

Cette photographie a été retouché grâce au logiciel Gimp, (le connaissant peu, le rendu n’est pas à la hauteur de mes espérances, ainsi  je vous prie d’être indulgent).  L’objectif de cette photographie est de représenter les effets physiques et mentaux négatifs qu’internet peut avoir sur le cerveau humain. Ainsi, les courbes noires allant de l’écran d’ordinateur, symbolisant internet, vers le cerveau visible en rouge permettent de mettre en évidence les effets physiques sur le cerveau via les ondes Wi-Fi par exemple. Mais aussi les effets mentaux ou plutôt psychiques, qui changent le fonctionnement du cerveau humain.

 

Pouvoir être un autre

Cette image évoque la possibilité pour les joueurs de Second Life de choisir leur avatar qu’il soit féminin ou masculin. Il y a ici un choix qui s’offre à eux. Ils peuvent ensuite choisir le style vestimentaire, la couleur des yeux …

Cette image montre aussi que les gens se créent leur vie de toutes pièces sur internet, autant sur la forme que sur le fond. La main sur le clavier illustre donc bien ce choix de se créer une vie virtuelle.  Les joueurs peuvent se comporter différemment que dans la vraie P1000750vie.P1000750

Les dangers d’internet

J’ai souhaité montrer à travers cette photographie que malgré le fait  que l’on soit derrière un ordinateur, nous ne sommes pas en sécurité et qu’internet était un des facteurs principaux au développement du terrorisme actuel. L’ordinateur présent sur la photo va évidemment représenter internet et la tête-de-mort va représente le piratage. J’ai voulu accentuer le ressenti de la situation par le noir et  blanc. Pour ce qui est du cadrage, j’ai essayé de centrer au mieux ma photo malheureusement, elle s’est légèrement allongée, mais j’ai tenté de laisser apparaître la partie principale de la photographie.

 

Addiction à internet

Ma photo d’illustration représente des mains attachées par le fil d’une souris. Le message que je voulais faire passer dans ce bandeau est que internet est un danger, si l’on utilise trop longtemps et souvent il se peut que la personne ne puisse plus s’en détacher. Elle tombe alors dans une cyberaddiction. Elle peut être très dangereuse physiquement comme psychologiquement.  La photographie d’illustration est en noir et blanc car le noir et banc représente le danger, l’addiction et le mal. Pour finir le bandeau a été construit pour que l’on puisse voir les mains, le fil et la souris sur une même bande.