Quitter le domicile familial, un enjeu mené différemment en France et en Italie

Exemple de Fiche de lecture

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Références

Alessandro Cavalli, Vincenzo Cicchelli, Olivier Galland , Deux pays, deux jeunesses ? La condition juvénile en France et en Italie, PUR, 2008, 273 p.

Fiche de lecture

exemple de fiche de lecture (jeunesse)

Résumé

(« chap 1 : Comment quitter ses parents ? ») :

L’âge de départ du foyer familial se situe en France vers 23 ans et 27-28 ans en Italie. Il existe plusieurs ordres de raisons à ce décalage. Des raisons économiques : en Italie il y a peu d’aides publiques (4-5 % des jeunes bénéficient des transferts sociaux contre 60 % au Danemark, 30 % en moyenne au niveau de l’Union Européenne), le taux de chômage des jeunes y est plus important, il y a peu d’étudiants salariés, le logement est cher et en nombre insuffisant. Des raisons sociologiques : en Italie du nord 60 % des jeunes qui résident chez leurs parents travaillent indiquant ainsi le poids de la famille « verticale », avec autorité paternelle forte, la séparation forte des sexes et l’attachement à la mère très fort jusqu’à la puberté (« proximité émotionnelle et symbiose affective entre mère te fils »), et au final une autonomie moins grande qu’ailleurs.

En France la décohabitation est d’autant plus fréquente qu’on monte dans l’échelle sociale et que les enfants deviennent étudiants. Mais on observe une période de transition durant laquelle les enfants restent dépendants matériellement, et proches affectivement.

Un film sur l’adolescence !!

Un film fait par un jeune adulte sur la crise d’adolescence !

J’ai tué ma mère.

Ce film fait en Juillet 2009 réalisé par Xavier Dolan.

Parle d’Hubert Minel, seize ans qui déteste sa mère, Chantal. Les goûts et la personnalité de cette dernière l’horripilent. Le film retrace l’adolescence de ce jeune homme montre la violence entre un ado et ses parents et jusqu’où les conflits peuvent aller.

Liens:
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=145951.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/J%27ai_tu%C3%A9_ma_m%C3%A8re

 

On n’a pas tous la même jeunesse !!!!

Malala Yousafzai

On parle souvent de jeunesse occidentale, cette jeunesse ci nous la connaissons bien autant pour ses points positifs et que pour ses points négatifs.
Mais avez vous réfléchi aux autres jeunesses ? De celles dont personne ne parle, cachées par notre société de consommation et de confort.
Voici une émission sur les discours de Malala Yousafzai et Aung San Suu Kyi pour l’obtention du prix Nobel de la Paix en 2015.
Il permet de comprendre ce que c’est la jeunesse d’enfant en souffrance et que’il est temps de faire changer les choses!!!
« Faites votre part » quelque soit votre taille…

 

https://www.franceinter.fr/emissions/sur-les-epaules-de-darwin/sur-les-epaules-de-darwin-21-novembre-2015

« Et la jeunesse, bordel ! »

Ils s’appellent Léa, Martin, Ana, Benjamin, Gladys, Hamza. Ils ont entre 20 et 26 ans, et malgré leur bac + 5 ou leur bac pro, leur avenir est tout tracé : chômage, petits boulots et précarité. Une génération Y ni laxiste ni paresseuse, mais déboussolée et sans perspectives. Une jeunesse sacrifiée sur l’autel de la mauvaise santé de l’éco­nomie par les générations précédentes, celle des « trente glorieuses » notamment, qui, après en avoir bien profité, ne s’est pas souciée de celle qui allait lui succéder.

Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

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Pendant un an, le réalisateur Jean-Charles Doria a filmé au plus près les galères de ces jeunes gens dans plusieurs villes de France. A travers leurs histoires, il nous livre un documentaire en deux volets (Qu’allons-nous faire de nos enfants ? et L’Espoir chevillé au corps), filmés avec recul et délicatesse, qui permet de comprendre un peu mieux ce qui ne fonctionne pas entre le travail et la jeunesse. Tous sont à la recherche d’un emploi, certains tentent de créer leur propre entreprise, d’autres cravachent dur pour ­décrocher un diplôme tout en ­accomplissant des petits boulots qui leur permettent à peine de se loger ou de manger correctement. Pour eux, les loisirs n’existent pas.

Appuyée par les éclairages de sociologues et de politologues, cette série documentaire pointe les paradoxes d’une France où l’Etat subventionne à coup de millions d’euros des plans emploi pour la plupart inefficaces alors que la jeunesse, souvent diplômée, n’arrive pas à s’insérer sur le marché du travail. « En France, il existe un “effet cicatrice” difficile à surmonter pour un jeune qui subit un premier échec pour s’insérer dans le monde du travail », explique le sociologue Louis Chauvel, auteur de La Spirale du déclassement. Essai sur la société des illusions (Seuil, 2016), qui dénonce « le racisme ­antijeunes » qui sévit chez la plupart des gros employeurs. Hamza, qui cherche à faire valider son stage dans une entreprise, en sait quelque chose : « Trop jeunes dans un monde de vieux. »

Un cri d’alarme

L’Etat a beau dépenser des fortunes pour la jeunesse – comme le rappelle Jean-Charles Doria dans son commentaire –, les statistiques restent catastrophiques : un jeune sur quatre est au chômage, un sur cinq vit sous le seuil de pauvreté, et un sur six est complètement exclu du système. « Jamais les jeunes générations n’ont été confrontées à autant de précarité dans l’emploi », souligne le réalisateur. « Il existe surtout une reproduction sociale. Un fils d’ouvrier reste souvent un ouvrier », appuie le politologue Thomas Guénolé, qui tient la chronique « Salauds de jeunes » dans le mensuel Neon.

Tout au long de ce documentaire, on s’attache aux différentes personnalités de ces jeunes, dont on souhaite vivement qu’ils s’en sortent. C’est le cas pour certains d’entre eux, que le réalisateur a retrouvés quelques mois plus tard. Ils sont métamorphosés. « Mon film est un plaidoyer pour cette génération, un cri d’alarme. Derrière la colère et la fatigue, il y a beaucoup d’optimisme et d’énergie », explique Jean-Charles Doria. En écho, Martin, cancre et rebelle à l’école mais qui, à 20 ans, a monté avec beaucoup de difficultés sa start-up, lui répond : « Pour moi, être heureux, c’est pas seulement avoir du pognon. »

« Etre Jeune » selon le Général Mac Arthur – 1945

Une vision du terme « jeune » en 1945, par le Général Mac Arthur.
Il s’inspira d’un texte de Samuel Ullman, « Youth ».

« La jeunesse n’est pas une période de la vie,
elle est un état d’esprit, un effet de la volonté,
une qualité de l’imagination, une intensité émotive,
une victoire du courage sur la timidité,
du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années:
on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal.
Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l’âme.
Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
et devenir poussière avant la mort… »

 

Plus d’informations:
https://www.iris-astrologie.ch/po%C3%A8me-%C3%AAtre-jeune/

Biographie du Général Mac Arthur:
http://www.linternaute.com/biographie/douglas-macarthur/

Biographie de Samuel Ullman:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Samuel_Ullman 

Une formation pour stopper les inégalités chez les jeunes

La jeunesse d’aujourd’hui, frappée par la crise actuelle, souffre de grandes inégalités. En effet de nombreux jeunes ne peuvent pas avoir accès à une orientation ou à une formation adaptée pour leurs projets professionnels.  Faute aux milieux sociaux ? Aux ressources urbaines ?  Aux politiques publiques ?

Pour répondre à ces questions, l’Observatoire des inégalités organise ce 21 novembre à Paris une journée de formation pour mettre en avant les moyens possibles pour résoudre ce problème.

Pour s’inscrire et pour plus d’informations: https://www.inegalites.fr/formation-jeunes-inegalites

L’entrée dans la vie active des jeunes

Nous vivons dans un monde où l’information et la communication sont de plus en plus facilités grâce à l’Internet. Paradoxalement, 58% des jeunes âgés de 18 à 30 ans pensent que « le système scolaire prépare mal au marché du travail« .

En plus d’être mal orientés dans le choix de leur parcours scolaire, les étudiants observent un manque d’accompagnement quant à la recherche de leur premier emploi. En effet, seulement 5% des jeunes trouvent leur premier poste grâce à Pôle Emploi, et 4% grâce à leur école.

S’ajoute à cela la déception de ces derniers quant aux salaires et aux perspectives d’évolution dans l’entreprise. Ceci explique le fait qu’un jeune sur deux quitte son premier emploi au bout de seulement un an. Et pour cause, « ce n’est une fois insérés sur le marché du travail que les jeunes comprennent le décalage entre la formation scolaire et la réalité de la vie professionnelle, estimant que l’école ne les avait pas suffisamment préparés ».

 

Plus d’infos : https://www.blog-emploi.com/jeunes-preparation-travail/

Le Brio – Film

Synopsis : Neïla Salah a grandi à Créteil et rêve de devenir avocate. Inscrite à la grande université parisienne d’Assas, elle se confronte dès le premier jour à Pierre Mazard, professeur connu pour ses provocations et ses dérapages. Pour se racheter une conduite, ce dernier accepte de préparer Neïla au prestigieux concours d’éloquence. A la fois cynique et exigeant, Pierre pourrait devenir le mentor dont elle a besoin… Encore faut-il qu’ils parviennent tous les deux à dépasser leurs préjugés.

Pour ma part, je trouve que ce film est totalement rabaissant avec les clichés qu’il montre. L’universitaire « blanc » et cultivé qui va apprendre les bonnes manières à une maghrébine vulgaire des quartiers. Je trouve que ces rôles sont beaucoup caricaturés et assez humiliants. C’est dommage que Daniel Auteuil s’est mis dans un film de ce genre car c’est indigne d’un acteur à la si belle carrière.

Le film n’étant pas encore sortie, voilà ce que j’en pense. Reste plus qu’a aller le voir en salle le 22 novembre 2017.

Pour plus d’informations :

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=251711.html

Les Français c’est les autres – Infrarouge – Documentaire France 2

Infrarouge est une émission de télévision française de documentaire.

Un film de Mohamed Ulad et Isabelle Wekstein-Steg.

Tous se disent Français mais aucun ne se sent Français. Le rejet de cette appartenance identitaire est le constat dressé, par un vote à main levée, dans cette classe de lycéens dont la quasi-totalité est issue de l’immigration. Mohamed Ulad et Isabelle Wekstein–Steg sont allés à leur rencontre pour les laisser s’exprimer et comprendre la complexité de leurs sentiments identitaires.

Un dialogue qui donne à réfléchir sur le sentiment de rejet et les discriminations qu’ils subissent, tout en questionnant ce racisme dont ils ont intégré le vocabulaire.

Ce film donne la parole aux lycéens et décrit, dans sa complexité, une certaine réalité de la jeunesse issue de l’immigration, particulièrement d’actualité dans le contexte du débat sur la déchéance de la nationalité et les attentats commis en 2015.

Lien du documentaire :

https://www.france.tv/france-2/infrarouge/113059-les-francais-c-est-les-autres.html

Je suis tombée sur ce documentaire par hasard sur Youtube. Je l’ai trouvé très intéressant. Je pense que notre pays doit remettre l’éducation au centre de ses préoccupations et mettre les jeunes de TOUTES les classes sociales sur le même pied d’égalité. Certes on ne vit pas dans un monde de bisounours, mais cela n’empêche pas qu’on puisse vivre en harmonie.

Jeunesse d’Égypte, jeunesse désespérée

Depuis 2013, après le coup d’état du général Al-Sissi, la jeunesse n’a plus sa place en Égypte. En effet, celle-ci est réprimée et n’a plus sa place dans leur société : chômage, désir de s’enfuir du pays, misère sexuelle…
Le jeune homme mis en avant dans cet article n’a plus de rêve, il n’a pas de travail, pas de copine, et ne peut même pas partir.

Les infos sont par là –> Egypte : l’hiver d’une jeunesse «sacrifiée»  

Le gouvernement veut séduire les jeunes.

Le gouvernement Macron essaye de séduire la jeunesse avec sa loi travail, après de très nombreuses manifestations, le premier ministre Édouard Philippe a reçu à Matignon les 2 principales organisations étudiantes françaises : la Fage et l’Unef.
Ces personnes ont donc une appréhension de la réaction des étudiants face à ces nouvelles réformes (baisse des APL, sélection pour l’université, changement APB…).
Notre jeunesse va donc, encore une fois, devoir exprimer son mécontentement dans les rues …

Les infos : Manif contre la loi travail: une jeunesse très courtisée.

Jeunesse versus Vieillesse au temps des Misérables!

Moi je trouve cela grandiose…

[…]

– Pitié de vous, monsieur ! C’est l’adolescent qui demande de la pitié au vieillard de quatre_vingt-onze ans ! Vous entrez dans la vie, j’en sors ; vous allez au spectacle, au bal, au café au billard, vous avez de l’esprit, vous plaisez aux femmes, vous êtes joli garçon ; moi je crache en plein été sur les tisons ; vous êtes riches des seules richesses qu’il y ait, moi j’ai toutes les pauvretés de la vieillesse, l’infirmité, l’isolement ! vous avez vos trente-deux dents, un bon estomac, l’oeil vif, la force, l’appétit, la santé, la gaîté, une forêt de cheveux noirs ; moi je n’ai même plus de cheveux blancs, j’ai perdu mes dents, je perds mes jambes, je perds la mémoire, il y a trois noms de rues que je confonds sans cesse, la rue Charlot, la rue du Chaume et la rue Saint-Claude, j’en suis là ; vous avez devant vous tout l’avenir plein de soleil, moi je commence à n’y plus voir goutte, tant j’avance dans la nuit ; vous êtes amoureux, ça va sans dire, moi je ne suis aimé de personne au monde, et vous me demandez de la pitié ! Parbleu, Molière a oublié ceci. Si c’est comme cela que vous plaisantez au palais, messieurs les avocats, je vous fais mon sincère compliment. Vous êtes drôles.

[…]

Les Misérables – Tome IV – L’Idylle rue Plumet et l’épopée rue Saint-Denis

PS: Pour ceux qui soumettent à la relecture en ces vacances de la Toussaint 2017, sachez que découvre la fracture numérique dans les Pyrénées orientales… alors patientez une petite semaine… D’autres penseraient que je suis vieux ;)))

Baisse de fréquentation des jeunes en boite de nuit, une tendance justifiée !

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les jeunes préfèrent la fête à la maison.

  • Il y a ceux qui trouvent que les boites de nuit sont ringardes, dangereuses, trop cher.
  • La daronne plutôt sereine de savoir que la troupe est à la maison et qu’elle n’aura pas à prendre la route après avoir trop bu.
  • D’autres curieux du résultat de l’éthylotests.

Aujourd’hui, on observe une baisse de fréquentation des boites de nuit, peut être aussi à cause d’une réglementation pointue dans les boites de nuit.

 

Pour plus d’information.

https://www.ouest-france.fr/societe/les-jeunes-preferent-la-fete-la-maison-plutot-quen-boite-de-nuit-3552124

L’incroyable modernité des dessins de jeunesse du sculpteur Bourdelle

La jeunesse n’est pas toujours synonyme de gaieté. Notamment,  l’entrée dans la vie active qui peut-être très difficile à vivre pour les artistes.

L’exposition « Le Broyeur de sombre » met en lumière  cette période de douloureuse que l’artiste a vécu au XIXème siècle.

Des émotions plutôt obscures…

Plus d’info :

http://culturebox.francetvinfo.fr/le-blog-de-thierry-hay/2013/03/07/l-incroyable-modernite-des-dessins-de-jeunesse-du-sculpteur-bourdelle.html

La télé-réalité quel impact pour la jeunesse ?

La télé-réalité est le premier programme regardé après les cours pour les 15-24…
La télévision n’a jamais fait de mal à personne certes, mais la télé-réalité peut avoir un réel impact néfaste sur notre jeunesse puisqu’elle engendre « l’effet miroir » -regarder des gens qui nous ressemblent, et utilisedes personnages avec des traits de caractères stéréotypés

En plus de cela, les jeunes ont de plus en plus de mal à différencier la fiction du réel.

Pour plus d’informations :http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20150119.OBS0283/tele-realite-le-peril-jeune.html

Site collaboratif des BTSa sur les thèmes culturels de l'épreuve ET1