Archives par mot-clé : écologie

L’innovation des nouveaux capuchons des bouteilles d’eau en plastique :

Depuis quelques temps les capuchons des bouteilles en plastique ont changés de format, de dévisser, ils sont à clapet, ce nouveau bouchon ne s’enlève plus de la bouteille. C’est un aspect innovant qui vise a protéger l’environnement, du fait que le capuchon ne s’enlève plus, il n’est plus laissé comme déchet dans la nature.

Ce sont des capuchons sûrement moins pratique mais de nos jours il faut développer des nouvelles innovations afin de penser à la planète et l’empreinte écologique.

La marque Cristalline a passée le cap du changement de capuchon sur tout ses formats de bouteilles. Ce n’est pas le cas de toutes les bouteilles d’eau en plastique mais le changement devrait se faire très prochainement.

La solidarité contre Coca-Cola

Le tribunal du commerce a condamné Coca-Cola à reprendre ses livraisons pour le groupement Intermaché, livraisons qu’il refusait d’effectuer depuis le début du mois de janvier. Mais quelle est l’origine de cette affaire ?

A l’origine, une volonté de consommer mieux

Depuis mars 2017, avec son nouveau genre de campagne de pub : L’Amour ( visionnable ici ), Intermarché s’est placé en faveur du manger mieux et plus local. Depuis, ces publicités se sont développées et sont aujourd’hui imitées, mais rarement égalées.

Depuis, le groupement affiche ouvertement sa volonté de changer les modes de consommation. C’est dans le courant de cette démarche que s’inscrit leur volonté de proposer des sodas moins sucrés et plus locaux dans ses rayons. A la fois dans un intérêt de santé publique, mais aussi pour une solidarité avec les producteurs locaux et les PME. Ce qui n’est pas pour plaire à Coca-Cola.

Coca-Cola, un gigantesque monopole

Aujourd’hui, l’enseigne détient entre 75% et 90% du marché des sodas dans le monde ( liste des marques ici ). Il s’agit d’un monopole hallucinant; a lui tout seul, Coca-Cola occupe pas moins de 4 produits sur 5 dans les rayons de vos grandes surfaces. Avec, on le sait, des problèmes de bouteilles peu recyclables et des produits discutables, point sur lequel ils assurent effectuer des progrès. Il reste cependant parfois concurrencé par des marques locales, Breizh-cola par exemple, à forcé la firme à réaliser une campagne seulement pour une région au lieu d’un pays entier. C’est sans précédent ! ( article source ici )

Mais suite à l’annonce de retirer certains produits de ses rayons, notamment les références redondantes. Coca-Cola a menacé d’arrêter de livrer tous les Intermarché et Netto, menaces qu’il a mises à exécution début janvier. Durant 10 jours, les antennes du groupement n’ont plus reçu aucune livraison de produits appartenant à Coca-Cola.

Intermarché saisit le tribunal

Suite à cela, le groupement Intermarché demande gain de cause et demande justice, qu’il obtiendra le 14 janvier. Le groupe Coca-cola est obligé de livrer l’enseigne française pour cause de « d’une rupture abusive et d’un abus de position dominante ». C’est un événement rare de voir un grand groupe international forcé à plier face à une enseigne nationale.

Si les menaces entraînent un retard du retour à la normale, Coca-Cola sera condamnée à payer 460 000€ par jour de non-livraison… pour une entreprise dotée d »un capital de 200 milliards de dollars, des pénalités donc ridicules mais réelles. Les deux partis ont jusqu’au 1 mars 2020 pour parvenir à un accord. De son côté, Coca-Cola annonce l’investissement d’un million d’euros en 5 ans en France pour améliorer la recyclabilité de leurs bouteilles et lancer de nouvelles boisons.

Chris T.

La forêt, une société à part entière

Les forêts couvrent environ 31 % de la surface de la Terre, soit près de 4 milliards d’hectares, et contiennent plus de deux tiers des espèces vivantes terrestres. Les forêts disparaissent parce que leur valeur est sous estimée. Nous avons tous déjà étés dans une forêt mais la connaissons nous vraiment ?Afin de mettre fin à leur destruction, il faut comprendre et connaître tous les services qu’elles nous rendent. Qu’est-ce-qu’une société solidaire ? Une société qui s’appuie sur l’entraide, le partage, les services, à l’image de la forêt.

Une forme d’intelligence chez les arbres ?

En effet, beaucoup d’arbres sont liés les uns aux autres et poussent de façon à ne pas gêner l’autre ; les branches de l’un croissent à l’opposé de l’autre pour ne pas l’empêcher de s’épanouir. Au niveau des racines, elles sont entremêlées. Nous trouvons aussi des « arbres mères » qui nourrissent leurs enfants à travers leurs racines, au bout des racines il y a des terminaisons nerveuses qui permettent de reconnaître les leurs. Ils peuvent même toujours grâce à leurs racines, nourrir les rejets d’un autre.

Les arbres communiques entre eux

Par le biais des filaments blancs que l’on trouve au dos des feuilles mortes, ils échangent des informations, ils sont capables de suivre des stratégies : l’arbre attaqué envoie un signal, grâce aux racines, le message se diffuse aux autres arbres qui fabriquent un tanin amer qui rend les feuilles immangeables. La capacité à communiquer n’est pas inhérente aux Hommes.

L’arbre a aussi un sens de l’adaptation

Les arbres sont dotés d’une sensibilité à commencer par le toucher qui lui permet de savoir si il y a du vent, l’arbre perçoit analyse, calcule et s’adapte. Pour survivre en ville, ils font preuve d’une adaptation hors norme face à la pollution, aux poutres qui les entravent… Dans les profondeurs de la ville les arbres cherchent la moindre goutte d’eau.Les racines sont en connexion avec le voisin qui permettent même à certaines souches de survivre, d’absorber de l’eau, en contrepartie elle livre l’eau qu’elle a absorbée à ses bienfaiteurs. On peut donc parler d’une société de partage. Des scientifiques disent que ces systèmes d’échange sont basés sur des amitiés, des convergences de besoins, de complémentarité.

On peut donc dire qu’il y a davantage d’entraide que de concurrence au sein de la forêt. Dans cette dernière, tout est en communication, même le son des oiseaux ont une incidence sur la croissance des plantes.

Un exemple pour la société

Dans nos sociétés modernes, on oublie trop souvent que l’Homme a vécu depuis des millénaires dans la nature. Vivre en ville demande beaucoup d’adaptation aux arbres mais aussi aux Hommes… Il existe à présent des thérapies forestières (randonnées) pour nous relier à la forêt. On sait aussi que les nerfs et le cerveau réagissent à la simple évocation visuelle ou auditive de la forêt. La forêt amène à nous retrouver nous même, à nous apaiser. L’Homme est aussi capable de redonner aux forêts leur importance. Au Japon par exemple, on est davantage à l’écoute des arbres et en Amazonie certaines communautés ont leur arbre protecteur sacré. Dans certaines forêts on parle d’arbres présidents , qui est le plus haut considéré comme le patriarche.

Pour conclure, les arbres ont encore beaucoup de choses à nous apprendre mais nous avons vu que la forêt a tout d’un modèle de société solidaire. L’arbre le plus vieux du monde a 5000 ans et est source d’un savoir plus grand que le notre.

Une société verte, libre et connectée : La forêt

Il existe une société où vivent des êtres vivants solidaires tous les uns envers les autres. C’est une société très connectée, certes pas visible à l’œil nu, ou encore en surface, mais plutôt d’un point de vue souterrain. C’est à travers cette connexion, ce réseau, que ces êtres vivants communiquent, s’entraident ou encore développent leur société tout en restant solidaire: la forêt.

Premièrement, nous vivons dans un monde en pleine croissance. Un monde qui ne cesse d’évoluer. Un monde qui, de jour en jour, continu de s’agrandir. Le monde dans lequel nous vivons, existe des différents groupes de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent  en coopération pour former un groupe social ou une communauté. C’est ce qu’on appel : une société. Toutes les sociétés sont-elles solidaires? Qu’est-ce qu’une société solidaire? Peut-on être solidaire sans avoir de parole?                                                                                                         En effet, dans cette société, ne règne pas toujours l’entente entre tous; c’est-à-dire, la plus part des personnes ne pensent qu’à elles même, préfèrent avancer en fonction de leur intérêt, plutôt que d’aider son prochain. Pour ce groupe de personne, la loi du plus fort est au dessus de tout. D’autres personnes se servent du mot solidarité pour imposer ou encore accroître leur pouvoir. En outre, existent toujours dans cette même société, d’autres personnes agissant contrairement à ces comportements et qui pour eux, vivre en coopération, aider son prochain, unir nos forces, contribuera à la naissance d’une société meilleur ; c’est-à-dire une société plus soudée, plus forte ou encore plus résistante ; donc une société solidaire.                                                  Mais, Existe-t-il, quelque part dans le monde une société ou les individus s’entraident de façon instinctive ? Une société où aider son prochain ne signifie pas attendre quelque chose en retour ? Certaines personnes comparent notre société actuelle et le fonctionnement de la forêt en général car les espèces qui y vivent, vivent en harmonie.        Pourrait-on qualifier la forêt comme étant un excellent modèle de solidarité ?

Une solidarité pas totalement visuelle, mais existante : libre et connectée

Pour commencer, la forêt est un endroit où vivent des espèces en symbiose ; c’est-à-dire que plusieurs organismes de même espèces ou espèces différentes partagent une association durable et profitable à chacun d’eux. Prenons le cas des arbres. L’arbre fait parti des espèces les plus anciennes que la forêt abrite. On nous a toujours appris que les arbres vivent de compétitions entre eux ; c’est-à-dire  qu’ils poussent de telle sorte à capter le maximum de rayons de solaire qui pénètrent la forêt et aussi qu’ils ont besoin d’espace pour se développer. Mais ce que peu de gens savent, c’est que les arbres sont en réalité des espèces très solidaires entre eux. Partons du haut de l’arbre. Des scientifiques ont découvert que les arbres captaient du CO2 et se l’échangeaient entre eux. Mais pourquoi font-ils cela ? Tout simplement pour aider son voisin. Il peut arriver qu’un arbre ait du mal à se développer contrairement aux autres, donc une croissance ralentie. Les autres l’aiderons à se développer d’avantage afin qu’il puisse survivre. Deux arbres de la même espèce qui poussent cote à cote auront tendance à respecter l’espace de l’autre. Ils développeront leurs racines de telle sorte à ce qu’elles n’iront pas s’entremêler entre elles. Par ailleurs, nous avons le système racinaire des arbres, appelé le cerveau de la forêt par certains scientifiques. On a découvert que les racines des arbres s’entremêlent et connectent entre elles. Certaines souches qui vivent encore sont la preuve que leurs racines sont connectées aux autres arbres. Aussi, les arbres sont des êtres sociaux. Les arbres mère veillent sur leur progéniture. Elles les nourrissent par voie racinaires. Toujours au niveau souterrain, des scientifiques ont découvert qu’une association symbiotique entre champignons et les racines des arbres, formait l’internet de la forêt appelé : Mycorhize. C’est donc grâce à ce mycorhize que les arbres communiquent entre eux.

La forêt peut-être pris comme exemple, un modèle de société solidaire de part son côté instinctif à aider son prochain.

Une société non solidaire et déconnectée

De plus, nous avons les hommes et leur société. Contrairement à la vie forestière, les hommes ne cessent de se faire la guerre. L’homme en générale est assoiffé de pouvoir. Pour lui, aider son prochain n’est pas obligatoire. C’est un sujet qui est abordé dès notre plus jeune âge. Un proverbe Africain dit : « seul on va plus vite, mais à deux on va plus loin ». Mais dans notre société, l’homme en général ne retient qu’une seule partie de se proverbe : « Seul on va plus vite ». Ainsi est formaté le cerveau de l’homme. Il existe donc une sorte de compétitivité instinctive encrer au fond de chaque personne. C’est à ce moment que naît la loi du plus fort ou les plus faible rabaisser, ignorer et voir détruit. C’est le cas de certains pays ou seules les personnes possédant un important pouvoir économique règnent sur la population. Il y a alors un déséquilibre dans la société. On parle alors de différence entre les classes sociales que Karl Marx défendra : Luttes des classes.

 

Enfin, nous pouvons dire que contrairement à la société humaine, la forêt un endroit ou des espèces vivent en symbiose, elles s’entraident entre elles s’en rien attendre en retour. C’est un lieu où chaque espèce peut compter sur l’autre. Il existe alors une forme de solidarité elles. Nous pouvons alors dire que la forêt peut être un modèle de vie solidaire dont nous pouvons inspirer afin de renouer les liens dans notre société comme la vie racinaire.

Les peuples aborigène de l’île de Vancouver disent : tout n’est qu’un.

 

 

Aux arbres citoyens !

Nous vivons dans un monde chaque jour un peu plus en danger. Sous des menaces gigantesques qui nous feraient regretter que la terre ne compte pas plus de David. La Solidarité humaine semble être notre dernier recours et seule porte de sortie. Pas seulement pour nous, mais aussi pour l’ensemble de la vie sur terre. Mais le générations actuelles sont elle vraiment un modèle à suivre que ça ?

Un système vivant séculaire …

Il y a 3,5 milliards d’années, la vie est apparue sur terre. Depuis elle s’est développée, organisée. Le cycle de la vie est apparu. Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous. La protection des espaces naturels sensibles peut telle être considérée comme une solidarité avec la nature ou la simple volonté de survivre ? Les fermes à oxygène n’existant pas encore cette question est condamnée a rester sans réponse. Mais la nature possède déjà un système d’entraide mutuelle et différentes symbioses. Certains arbres ont la capacité de signaler un prédateur à leurs voisins. D’autres ont développé des cohabitations et d’entraide avec d’autres espèces, des champignons, des fourmis; où chacun tire une contrepartie de la symbiose. Dans un de ses essais*, Ralph Waldo Emerson décrit la nature comme le lieu privilégié où la conscience de chaque individu entre en communication avec les  »grandes lois universelles ». Il ajoute que cela est rendu possible par la vie au milieu de la nature et en harmonie avec elle. Il décrit ensuite l’homme comme Goliath profitant de cet état et non pas comme un membre de ce milieu harmonieux. Plus de David se reposant leur fonctionnement sur l’intelligence face a la force et à la domination brute nous permettrais d’imiter notre environnement.

… Dont nous ferions mieux de nous inspirer

Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous, et se perpétuera après nous. Les systèmes d’entraides des arbres est admirable. on peut citer en exemple les symbioses existantes dans la nature. Les arbres et la nature sont bien plus solidaires entre que nous ne pourrions jamais l’être. Leur capacité à s’adapter aux bouleversements se pose en exemple. On peut retrouver après un feu de forêt, une flore spécifique (les pyrophytes). Viendrons par la suite, le retour des mousses, herbes, bosquet puis les arbres ferons leur grand retour donnant eux même abris à d’autres plantes. Certes ces  »séries évolutives » sonnent parfois lez glas de certaines plantes, mais ces dernières étaient appelées à disparaître, leur rôle étant rempli. De ce point de vue il parait évident que si les plantes étaient un jour aptes à construire une société, elle nous serait supérieure en bien des points. Si nous, les générations a venir, réussissons à nous inspirer de la nature pour bâtir un modèle de société, un grand pas aura déjà été fait dans la bonne direction.

*Nature parue en 1836

Chris. T

La solidarité forestière, un modèle impossible pour notre société

Le terme de solidarité, (du latin « solidus » qui signifie : entier, consistant, lien unissant entre eux les débiteurs d’une somme) est souvent utilisée pour décrire une société modèle, en effet pour beaucoup d’hommes une société parfaite serait une société dans laquelle tous les individus ne feraient qu’un et où chacun serait uni afin de promouvoir l’entraide. Dans les forêts, il existe surement une certaine forme de solidarité mais laquelle ? Et est-elle compatible avec notre société, afin de s’en servir comme un modèle ? 

 

La symbiose :

Dans les forêts, il existe une forme de solidarité notamment entre les différents végétaux c’est ce qu’on appelle une symbiose. Cette symbiose permet à différentes espèces de vivre ensemble.

Dans les forêts, il existe par exemple des symbioses mycorhiziennes, c’est-à-dire une symbiose entre des plantes et des champignons. En effet, les plantes coopèrent avec les champignons en s’échangeant des éléments nutritifs nécessaires pour leurs croissances. La plante propose des sucres aux champignons en échange de nutriments comme le phosphore ou l’azote de la part de ce dernier. Ce type de coopération est donc bénéfique à chacun.

La symbiose est donc un type de solidarité car elle permet d’aider d’autres êtres vivants cependant, elle a lieu seulement car chacun en tire un profit. Dans notre société, il est évidemment souhaitable que ce type d’entraide est lieu car il n’y a aucun perdant. Mais c’est malheureusement presque impossible, en effet il y a aura toujours des personnes plus favorisés que d’autres.

 

 Des relations parfois égoïstes entre végétaux :

Cependant, il faut nuancer en effet certain végétaux ne fonctionnent pas en symbiose mais au contraire en compétition. En effet, dans une forêt chaque arbre va chercher à être plus haut que les autres afin de capter un maximum de lumière ce qui est totalement contraire à une idée de solidarité.

Un autre exemple contraire à la solidarité est par exemple le lierre grimpant. Très présent en forêt, il s’agrippe et grimpe aux arbres ce qui au bout d’un certain temps les étouffe et va donc les condamner.

Attention tout de même, il faut nuancer cette notion d’égoïsme chez les végétaux. En effet contrairement à l’homme, les végétaux agissent de telle manière afin de survivre contrairement aux hommes qui sont généralement égoïste par mépris des autres.

 

Pour conclure…

Il existe donc bien une forme de solidarité dans les forêts avec les symbioses existantes entre différentes espèces, cependant c’est une sorte de solidarité particulière et différente de la solidarité humaine. Les 2 partis sont gagnants et donc cela peut être comparé à une solidarité hypocrite comme dans notre société. De plus il y a également des relations très égoïstes entre les végétaux et notamment entre les grands arbres. Pour ces différentes raisons, la société forestière n’est pas compatible avec notre société, l’homme est en effet trop différent du végétal.

La forêt : société idéale ou écran de fumée

On observe aujourd’hui dans notre société un écart de plus en plus grand du niveau de vie dans le monde entier. Et si nous prenions exemple sur le mode de fonctionnement de la forêt ? Après tout quoi de mieux que ce milieu de plus en plus précieux dans notre monde, un milieu qui s’auto-régule, est en constante évolution de quoi en faire un idéal d’où ma question : La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Nous verrons, vous jeunes gens et moi,  que en effet celle-ci possède de nombreuses interactions apparentées à de la solidarité telle que le mutualisme mais que, à l’inverse, y règne aussi un système de loi du plus fort.

Bien plus qu’une solidarité, une symbiose

Tout d’abords, on nous dit souvent que la forêt est un lieu paisible où l’on va pour se reconnecter avec soi, avec le monde; que c’est un milieu sain. On nous dit moins souvent qu’il y règne des interactions spécifiques telles que le mutualisme qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui s’échangent des nutriments par exemple ou bien la symbiose qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui sont indispensables l’un pour l’autre afin de pouvoir vivre. Cette dernière est bien plus fort que ce qu’est pour nous la solidarité, en effet si l’on prend pour exemple les champignons qui se trouvent sur les racines des arbres ( mycorhizes ) et bien sans eux les arbres auraient des carences nutritives et donc mourir; cela est une question de survie plus que d’une simple aide.

L’anarchie animale et végétale

En suite, tout en étant un milieu de vie qui peut sembler des plus calmes et paisibles, la forêt est le lieu d’un parasitisme. En effet, en marchant dans les hautes herbes se trouvant aux abords des forêts on peux avoir la mauvaise surprise de repartir avec plus de monde que ce qu’on est arrivé. En retrouvant par exemple des petites tiques qui en plus de se nourrir de notre sang pourraient nous offrir en cadeau la maladie de Lyme rien que ça. On retrouve aussi la prédation en forêt avec le pauvre petit lièvre qui se fait dévorer par le vicieux renard, ou encore la compétition pour un même milieu entre deux individus comme par exemple entre deux végétaux : pour la lumière, l’eau ou les nutriments du sol, elle existe aussi chez les animaux.

Donc, la forêt n’est pas le modèle d’une société solidaire car même si certaines relations peuvent être bénéfiques pour chaque partie d’autres ne le sont pas. La forêt est comme le disait Foucault « Là où le désordre fait scintiller les fragments d’un grand nombre d’ordres possibles » une composition hétéroclite. Michel Foucault ayant connu la seconde guerre mondiale. De ce fait la forêt peut nous paraître un désordre où le pouvoir est déconcentré.

Société : Écosystème de demain !

Beaucoup le disent et pensent, nous vivons dans un monde individualiste où les liens sociaux et les liens liés aux solidarités de classes et d’appartenance religieuse et sociale semblent disparaître. Alors pourquoi ne pas prendre exemple sur des sujets tels que les arbres ainsi que les organismes formant une forêt car, nous le savons tous, ils communiquent entre eux, mais sont aussi solidaires les uns envers les autres en s’entraidant.  Alors la question serait, la forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ?

Je vais tenter d’y répondre en expliquant, les similitudes de la société et du système forestier en passant par la théorie de Darwin et de ses controverses. Mais  avant toutes choses, par quel facteur et comment les organismes se maintiennent en vie ensemble .

 

Du vivant grâce aux coopérations !

La forêt est un écosystème complexe mais qui fonctionne avec le principe de la symbiose. C’est-à-dire qu’il existe un lien qui réunit tous les organismes entre eux et qui leur permet de vivre indépendamment des autres mais avec leurs aides. Chaque organisme va survivre en puisant la faiblesse d’un autre organisme pour un faire une force. À travers ce principe symbiotique, d’autres interactions prennent place en parallèle, telles que le mutualisme dans laquelle les deux organismes retirent un avantage à l’association ; le commensalisme, dans lequel un des deux organismes retire un avantage l’autre organisme n’a aucun avantage ni désavantage.

Toutes ces relations montrent que la forêt n’est pas juste une succession d’individus, mais un seul et immense organisme, en effet le système forestier implique une entraide des organismes entre eux et la survie de chacun dépend indépendamment des autres organismes qui l’entourent en utilisant la faiblesse de chacun pour l’optimiser en force.

 

Société : Calque du système forestier ?

La société actuelle tend à nous rendre solidaires les uns envers les autres avec de nouveaux principes de partage bilatéral tel que le covoiturage qui permet à plusieurs personnes tierces de voyager ensemble le temps d’un trajet afin de contrer le prix des transports conventionnels comme le train par exemple ; ou encore les mutuelles de santé, basé sur la solidarité des cotisations, le financement de la couverture sociale complémentaire.

Ce sont des exemples parmi tant d’autres qui laissent penser que la société veut créer des liens entre les Hommes semblables à ceux qui existent entre les organismes du système forestier où chacun va utiliser la faiblesse d’un autre pour en faire une force afin de former un seul groupe et d’avancer ensemble, thèse qui se rapproche de l’idée défendue dans l’ouvrage « du contrat social» de ROUSSEAU ou il met en avant que les individus se rapprochent pour s’assurer une vie pérenne. Les individus s’arrangent entre eux pour vivre en toute sécurité et c’est ce rapprochement qui permet de former une société.

 

Illusion face aux relations ?

Malgré le fait qu’on aurait tendance à croire que la société ait toujours fonctionné avec le principe de solidarité entre individus, que ce sont ces relations qui ont permis l’existence de l’espèce humaine, la théorie du darwinisme vient corrompre cette idée ; la survie de l’espèce humaine serait dû à la compétition entre les individus. Selon la théorie de Darwin la survie des Hommes est principalement liée à la « loi du plus fort ».   En effet Lamarque et Darwin défendent l’idée que la lutte pour la vie entre les Hommes représente la sélection naturelle et qu’elle serait la source fondamentale du progrès et de l’amélioration de l’espèce humaine qui a permis d’aboutir à l’élimination des moins aptes à la survie des plus aptes.

 

Théorie démentie !

La théorie du darwinisme social, bien que fondée, est source de nombreuses contestations. Plusieurs philosophes viennent réfuter l’idée selon laquelle la survie de l’espèce humaine serait due à la compétition entre les individus. André-Comte Sponville est l’un d’eux, et il met en avant dans sa chronique égoïsme et altruisme dans les médias Le Monde, le fait que ce sont les relations d’entraide solidaire qui sont nécessaires à la survie de l’espèce humaine et non, des relations conflictuelles ; « dans la lutte pour la vie, une certaine proportion d’altruisme, de la part des individus, est un avantage sélectif, pour l’espèce : au sein d’un groupe capable de solidarité, d’entraide, de compassion, chaque individu a davantage des chances de survivre, donc de transmettre ses gènes, que dans une horde qui ne connaîtrait que l’égoïsme, la violence et la rivalité. »

 

La forêt peut être considérée comme un modèle de société solidaire, et la société actuelle s’aligne sur certains grands principes du système forestier, cependant malgré le fait qu’il peut servir de modèle, il ne peut être calqué. Les relations entre les organismes de la forêt sont à l’échelle du système forestier et que s’il venait à être reproduit à échelle humaine, c’est tout le système politique qu’il faudrait revoir et changer.

La fascination absurde de l’humain envers la faune forestière

La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Ou… Qu’est ce qu’une société solidaire ? Est-ce possible qu’une telle société existe réellement sans nuances ? Que savons-nous de la forêt ? Voilà donc, chers lecteurs, un bon nombre de question qui peuvent apparaître comme pertinentes lorsque l’on lit la première.

Suite à cette question des plus absurdes, qui pourtant n’en est pas moins intéressante, il convient certainement de définir plusieurs choses indispensables à la compréhension du sujet. Tout d’abord, qu’est ce qu’une société comme on l’entend chez nous (êtres humains) ? Il semblerait qu’une société soit « un ensemble de personnes entre lesquelles, existent des rapports durables et organisés (avec des institutions, etc.) ». Ensuite, prenons la première définition que nous pouvons trouver pour la forêt, c’est à dire : « Vaste étendue de terrain couverte d’arbres ; ensemble de ces arbres. ». Oublions donc ce lien quelque peu inexistant entre ces deux termes et gardons, dans la définition de société, ce qui peut nous intéresser. En reformulant la définition de société dans le but de s’adapter au système de cohabitation faunistique et floristique d’une forêt, cela donnerait : « un ensemble d’être vivant entre lesquelles existent des rapports parfois organisés (sans institutions bien évidemment). ». Cela nous amène donc à imaginer une comparaison entre une société humaine et la possible société forestière que l’on pourrait imaginer.

DEUX MODELES DE SOCIETE

En effet, plusieurs comparaisons peuvent apparaître chez ces deux modèles de société.

Premièrement, il y a l’entraide. Chez l’humain, l’entraide est quelque chose d’assez naturel comme chez certains animaux. Cependant, lorsque l’on amène ce sujet dans notre modèle de société, on peut voir l’entraide comme un fonctionnement de « dominant-dominé ». En effet, imaginons l’action d’un premier homme (« dominant »), approchant un deuxième homme qui, lui, est dans le besoin (« dominé »). Le premier aura deux choix dans sa position de dominant, aider ou ne rien faire. Si celui-ci aide, cela aura certainement pour but, malgré la bonne action, de flatter son ego, tandis que s’il ne fait rien, il ne sera effectivement pas décrété comme solidaire (dans la situation présente). Ce qui nous amène aux animaux, et là, beaucoup offriront à débattre lorsqu’ils liront ce qui va suivre : « les fourmis ». L’entraide chez les fourmis. Existe-il quelque chose de plus fascinant ? Ce à quoi je répondrai : « Oui très certainement ». Dans ce cas-ci, comme dans le cas de l’humain, il existe la situation de dominant-dominé. Ce n’est cependant pas ce qui gène le plus dans l’idée d’une société solidaire basée sur le fonctionnement de celle des fourmis. En effet, celles-ci collaborent sans cesse. Mais dans quel but ? La survie. Pourtant, cette utopie qu’est la société solidaire est très certainement apportée par une population qui ne se préoccupe certainement pas de sa survie. C’est pourquoi on pourrait dire qu’il est plus qu’absurde de baser son raisonnement sur une société qui ne correspond absolument pas à celle que nous voulons faire évoluer. Nous cherchons une vie agréable lorsque nous parlons de société solidaire. Les fourmis n’agissent que pour la survie. Ce qui nous amène à la deuxième comparaison possible entre humains et animaux. 

Le fonctionnement psychologique entre différents individus, chez l’homme ou chez les animaux, n’est effectivement pas comparable ; en tout cas, selon nos connaissances. Chez l’humain, nous appelons cela la communication (directe ou indirecte). Celle-ci prend en compte plusieurs indicateurs. Tout d’abord, il semble qu’elle soit dirigée par l’émotion. Nous agissons selon nos besoins d’émotions ou celles déjà présentes. Ensuite, chez l’Homme, existe la présence de jugements, d’envies matérielles et plus ou moins réfléchies qui ne sont pas présentes chez les animaux. En effet, ceux ci agissent à notre connaissance à l’instinct dans le but de se nourrir, de se protéger ou même dans un but de séduction. Ce qui crée une interdépendance des animaux par la chaîne alimentaire, métaphoriquement ennemie du concept de solidarité. En effet ce système d’interdépendance ne peut s’appliquer aux êtres doués de raison ou de conscience. 

UNE FASCINATION ABSURDE

La nature est certainement un fonctionnement mathématique probablement basé sur un équilibre nécessaire à la survie de la planète. L’humain, lui, serait un animal à l’ego sur-dimensionné se croyant capable de s’identifier aux autres animaux car il n’a pas compris qu’il était, comme chaque espèce, différent du reste du règne animal, comme le veut la nature pour son équilibre. Comment l’humain voit la nature ? Comme un idéal.

En effet, la nature possède un équilibre indispensable à sa survie. L’humain ne l’a pas compris, il cherche constamment à évoluer, à s’adapter et en l’occurence à s’identifier. Cependant chaque espèce à son propre rôle et son propre fonctionnement. La logique mathématique de la nature viserait à dire que les animaux agissent selon leur capacité à survivre dans notre monde. C’est pourquoi l’humain ne peut s’identifier à une espèce qui agit pour sa survie. Chercher à adapter son mode de vie en calquant ses actions sur celles de la faune et de la flore est probablement une erreur. Le fonctionnement biologique de chaque espèce influence les actions de celles-ci, l’humain ne peut s’imaginer parfaire sa façon de vivre en imitant les relations internes aux espèces. Par exemple, la symbiose des arbres, symbole indirecte de la solidarité floristique, serait parfait pour démontrer que l’humain ne peut s’en inspirer. Effectivement, la communication entre chaque arbre est biologiquement inimitable pour l’humain. La symbiose fonctionne sur l’idée d’une communication par les racines entre chaque arbre. 

L’ego de l’humain le pousse à vouloir imiter ce qui lui parait le plus pertinent pour son confort. Or, il imagine une société solidaire en sachant pertinemment qu’il ne peut l’atteindre. Il sait que la société solidaire n’existe pas, car comme dans la nature, il y a un équilibre obligatoire, une histoire de nuances. C’est pourquoi, à travers cette idée d’équilibre, l’Homme a peut être déjà inconsciemment copié un certain modèle sociétal dans la nature. 

QUOD ERAT DEMONSTRANDUM

Pour résumer, imiter le modèle sociétal d’une forêt ou d’une ou plusieurs espèces animales ou végétales est selon moi assez absurde. L’humain n’a pas la capacité, ni biologique ni psychologique, à adapter son modèle de vie à celui d’une espèce qui ne lui ressemble que très peu.

 

Des algues dans nos maisons ?

Actuellement vous pensez que l’écologie et l’énergie sont deux secteurs opposés, mais saviez-vous que de plus en plus de projets énergétiques inspirés par la nature voient le jour.
L’une des pistes de réflexion les plus exploitée est celle des micro-algues.

Avec la nouvelle réglementation thermique 2020, elle imposera à cette date que tous les nouveaux bâtiments aient un bilan d’énergie positif, c’est-à-dire qu’ils doivent produire au moins autant d’énergie qu’ils en consomment. C’est pour cela que dès aujourd’hui, les professionnels du BTP réfléchissent à la façon de procéder.

Grâce à des photobioréacteurs, un système assurant la production de micro-organismes photosynthétiques en suspension dans l’eau, qui permettent de produire de l’énergie et améliorer le bilan carbone des bâtiments.

Par exemple des aquariums, installés sur les toits et les façades, peuvent rendre un bâtiment autosuffisant en énergie et même recycler l’eau.
Le principe est simple : conduire des eaux usées (celle des toilettes, par exemple) dans un bassin où croissent des micro-algues , qui se serviront de la matière organique comme nutriments.

Ce bloom (amas gluant) est valorisable de plusieurs manières. La fermentation de ces micro-algues permet de produire du biogaz utilisable comme carburant pour les véhicules verts. Une fois séchées, les micro-algues peuvent également être exploitées en biomasse.Tout au long de leur cycle de vie, les micro-algues peuvent être exploitées.
De plus ces micro-algues sont naturellement dépolluantes : elles aspirent et capturent le CO2 pour ensuite rejeter de l’oxygène.

L’univers des possibles de l’impression 3D

L’ entreprise XtreeE est une start-up innovante. Leur domaine d’activité est l’impression de structure 3D en béton et la recherche dans la mécanique des fluides afin d’optimisé la résistance et d’augmenter au maximum le champs des possibilités . Elle est située au sud de Paris, à Rungis dans un entrepôt et a été co – fondé par Alain Guillen et Charles Bouyssou. Architectes et ingénieurs travaillent en collaboration afin de créer et d’ innover constamment.

La start-up XtreeE, qui abrite une machine capable d’imprimer des façades et des cloisons avec une  grande précision. Le principe est qu’en superposant des couches de béton la structure voulu se forme petit à petit tout en se solidifiant à mesure que les couches s’accumulent. Il suffit de deux heures pour façonner une pièce de deux mètres de haut, avec des taux d’erreurs très faible. L’un des nombreux intérêts de cette technique est qu’elle peux réduire  jusqu’à 70% la consommation de ciment. Le ciment étant un liant très polluant du fait que ça vient de l’exploitation de carrière de calcaire, que ça demande une calcination à haute température, ce qui dégage évidemment beaucoup de gaz carbonique. Le prix de construction reste, lui, dans la moyenne du marché, soit 1500 euros le m².

La conception d’une telle machine a nécessité une équipe de quatorze experts : architectes, ingénieurs et autres chercheurs au sein de l’école d’architecture Paris Malaquais et de l’école des Arts et Métiers. À la fin 2015, ce projet initialement universitaire quitte les laboratoires pour être mis au service de l’industrie.

Présentation de la start up XtreeE et du concept

En Décembre 2017, XtreeE et Seaboost ont créé un récif corallien artificiel afin de tenter de recréer un écosystème qui offrira peut être un alternative permettant de lutter contre l’érosion des fonds marins et des récifs coralliens.

Le récif en impression 3D

 

Matthias Bouron

BTS AP1

Et si l’homme avait des racines ?

Qui dit symbiose, dit « vivre ensemble » ; mais visiblement, cette harmonie n’est évidente que pour le cosmos floristique. Le terme de symbiose traduit une association biologique durable et réciproquement profitable entre des organismes. Cependant, quand on évoque le sujet de la société humaine, il est difficile d’en extraire que du positif quand on distingue sans difficulté les deux faces de l’homme : l’altruisme, mais aussi l’égoïsme. Aujourd’hui, ce dernier en ressort davantage, d’autant plus qu’il fait l’objet d’une problématique existentielle. De la sorte, au vu du manque de cohésion chez les hommes, devrions-nous conformer notre attitude à celle des arbres afin d’apaiser les tensions ? Nous allons démontrer ici que les exceptions subsistent malgré tout et que cette solidarité verdoyante devrait être plus considérée. 

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Ici, la société humaine…

Avant toute chose, parlons de la compétition. Cette dernière nous est instaurée sans le vouloir dès notre plus jeune âge. L’envie de réussir, telle que scolairement, professionnellement, financièrement ou encore socialement, semble finalement nuisible, au vu des conséquences de nos actes ( scélératesse, autolâtrie ). On peut comparer cela à un combat entre les plus forts contre les plus faibles. Thomas Hobbes l’a dit : « Nous trouvons dans la nature humaine, les principales causes de discorde : tout d’abord la Compétition, en second lieu, la Défiance, et en troisième lieu, la Gloire« . Ici, la compétition force les hommes à se faire la guerre en vue du gain. Elle fait de l’homme quelqu’un de violent, pour se montrer plus fort que les autres. Quant à la défiance, celle-ci se fait pour la sécurité, pour se défendre. Tandis que la gloire se fait pour la réputation. Elle est là pour se donner bonne conscience, pour un sourire.

Cette compétition nous est tant ancrée, qu’elle va même jusqu’à être associée à l’économie, en provoquant ainsi des guerres économiques. Cette compétition économique cherche à produire pour avoir ou vendre plus que les autres. La guerre, quant à elle, sert à dominer, tant les gens que les territoires en vue d’une autorité durable. La guerre se fait pour avoir la paix, mais comment l’avoir vraiment puisqu’il faudra constamment se développer, faire des profits et gagner des marchés ? Cependant, la compétition a malgré tout, des aspects positifs, car sans elle, pourrait-on imaginer une société évoluée et progressive ? Néanmoins, c’est cette société compétitrice qui a suscité l’égoïsme.

On traite souvent d’égoïste celui qui n’a pas pensé à nous, et donc celui qui n’a pensé qu’à lui. « L’égoïste est celui qui n’emploie pas toutes les minutes de sa vie à assurer le bonheur de tous les autres égoïstes », d’après Lucien Guitry. En effet, il, veut dire que tous les hommes sont égoïstes, et qu’ils ne perdent pas leur temps pour aider les autres, qui, eux aussi, sont égoïstes. Cela serait source de conflits. Cet état d’esprit hyperindividualiste, est très majoritaire dans notre société actuelle. Bien sûr, ce trait de caractère ne concerne pas tout le monde. Seulement, quand on parle d’égoïsme, ce n’est qu’une globalité.  Mais derrière ces actes égoïstes, n’y aurait-il pas un soupçon de générosité ?   

Individuellement, l’homme n’est pas forcément égoïste, il y a toujours du bon et du mauvais. Précédemment, nous parlions d’exception, plus particulièrement de la société en elle-même qui pose problème. Par exemple, les conflits d’intérêts ne découlent pas que de l’attitude des personnes. Ils résultent également des circonstances : la faim n’est source de conflits que s’il n’y a pas assez de nourriture pour tout le monde. L’homme est capable d’amour, d’amitié et de bienveillance. Contrairement à ce que tout le monde pense, l’homme ne serait pas fondamentalement égoïste, ne pouvant être rendu sociable que par la culture et les institutions.  L’homme est pourvu de générosité. Comme par exemple : garder les animaux de notre famille ou de nos amis lorsqu’ils partent en vacances, rendre service à un ami, aider à rentrer le bois pour l’hiver, accompagner une personne perdue jusqu’à tel endroit, ou encore pardonner à l’autre pour une phrase maladroite…Toutes ces choses futiles qui font l’objet de services rendus, résument cette solidarité.

Mais pourtant, si nous parlons de nos ancêtres préhistoriques, il y avait cette notion d’équipe, d’entraide. En effet, ils n’avaient pas cette notion d’existence humaine à l’échelle planétaire. Alors que nous, nous l’avons, et ce qui en résulte, est notre destruction mutuelle. Dès lors, si l’homme avait des racines aujourd’hui, on le saurait…

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…alors que la société forestière…

D’un autre côté, il y a les forêts, une société pleine de solidarité encore aujourd’hui trop méconnue. Même si les arbres peuvent s’avérer compétiteurs entre eux, pour capter les rayons lumineux par exemple, ils sont surtout partageurs. Des botanistes de l’université de Bâle, ont découvert que les arbres s’échangent du carbone, y compris entre différentes espèces. C’est ce que l’on appelle la symbiose du type mutualiste.  Les arbres prélèvent le CO2 non pas seulement pour eux, mais aussi pour les arbres voisins. Jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Ce sont les réseaux de champignons souterrains qui permettent cet échange de carbone.

En outre, les arbres se parlent, s’entraident, s’adaptent. Leur mode de vie est presque une ignorance totale. Ils font preuve de relation intime, de solidarité, et même d’intelligence. Les liens entre les arbres sont si surprenants, qu’on pourrait parler de personnes. Par exemple, deux arbres côte à côte prennent soin l’un de l’autre, ils poussent de façon à ne pas se gêner. Les branches les plus imposantes ne vont pas pousser vers le voisin, mais à l’opposé, comme s’il respectait l’espace vital de l’autre. À l’inverse, au niveau des racines, ils sont complètement entrelacés, comme s’ils ne formaient qu’un. Et si l’un des arbres venait à tomber, l’autre mourra à son tour. Les arbres forment un ensemble vivant, une petite société, avec ses couples, ses amis et ses familles. Nous savons depuis vingt ans environ qu’il y a des arbres « mères » et que ces derniers nourrissent carrément les plus jeunes, grâce à leurs racines qui leur donnent du sucre. Par ailleurs, les arbres « mères » ne nourrissent pas n’importe quels arbres, ils reconnaissent leurs petits grâce à leurs racines. De plus, les arbres communiquent également sur de grandes distances grâce à un vaste réseau. Ce réseau est constitué de champignons qui permettent de relier les arbres entre eux et grâce à cela, ils s’échangent des informations qui leur permettent de se préparer en cas d’attaque, et encore bien d’autres choses. « La forêt est plus que la somme de ses arbres ». De par sa citation, Christien Körner l’a dit : jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les fines racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Donc la somme des arbres importe peu, c’est l’ensemble des arbres qui constitue une forêt pleine de coopération !

Les arbres ne se font pas la guerre, ils s’entraident. 

Pourquoi ne pas y prendre exemple ?

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…devrait être une leçon

Pour conclure, si ce n’est qu’elle fait tout en silence, cette société ressemble étrangement à la nôtre, mais seulement sur quelques points : les hommes peuvent s’entraider; ils éduquent et nourrissent leurs enfants, ils protègent leur famille, leurs amis, et font preuve de bien d’autres actes solidaires. Tout comme les arbres.

Mais les arbres, eux, ne se font pas la guerre pour différentes choses comme le fait constamment la population humaine. Ils ne se détruisent pas entre eux. Au contraire, ils s’entraident, même entre différentes espèces, alors que chez nous, persiste le racisme, l’insensibilité aux conséquences de nos actes (comme le réchauffement climatique), ou encore notre esprit compétitif.

Chaque maillon des chaînes alimentaires est nécessaire au bon fonctionnement de tous les écosystèmes. Si un maillon disparaît, tout est perturbé. Mais si l’homme disparaît, la nature ne pourra que renaître de ses cendres.

 

Cet homme a nettoyé son lac!

L’homme que vous voyez en photo ci-dessus se nomme Marino Morikawa, il s’efforce de résoudre un  problème parmi les plus difficiles du monde : La pollution de l’eau

En se basant sur les chiffres, c’est le cas pour 40% des lacs et rivières du monde entier!

Donc quand le lac d’enfance de Marino a aussi été contaminé il s’est dit qu’il fallait faire quelque chose.

Le scientifique, détenteur d’un PhD  d’une université Japonaise (ce qui équivaut à un doctorat)  a pris un congé de l’école, s’est rendu à la banque, a pris un prêt, et a dédié son temps à résoudre le problème de son lac.

Son travail aboutit par la création  d’une solution unique; on met cette solution dans l’eau sale du lac et la magie opère, la solution attire les particules contaminées à la surface et les fait flotter par la suite, cette solution est faite pour ne nuire en aucun cas à l’environnement , vous pouvez même la manger car c’est 100% organique.

Après 15 minutes vous pouvez voir la différence entre une eau propre et une eau polluée.

« si je peux nettoyer ce verre alors je peux nettoyer mon lac en entier! » Marino

Il retourna donc à son lac d’enfance et y déversa une tonne de sa solution , traitée avec des bio-filtres et la nanotechnologie. Après seulement quelques mois, il fut capable de transformer son lac.

A Man From Peru Has Found an Ingenious Way to Clean Lakes, and It’s a Breakthrough the Earth Was Crying For

Son prochain projet est de nettoyer le plus grand lac au Pérou, celui-ci débutera en 2020!

Voici les différents liens pour accéder à son travail.

https://brightside.me/wonder-people/a-man-from-peru-has-found-an-ingenious-way-to-clean-lakes-and-its-a-breakthrough-the-earth-was-crying-for-719560/

 https://www.instagram.com/marino.morikawa/

Le Red Tattler, premier train 100% solaire !

La cité balnéaire de Byron Bay, située à 600 kilomètres au nord de Sydney, possède depuis décembre 2017 un train électrique fonctionnant entièrement à l’énergie solaire.

Il parcourt seize fois par jour, en sept minutes, un trajet de trois kilomètres. Chacun peut y monter pour l’équivalent de 2 euros, tous les jours de la semaine.

Train solaire en gare, vue du dessus

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La ville du Futur ? Voici Masdar.

A quoi ressemblera la ville du futur ? Serait-il possible qu’elle soit verte, autosuffisante en eau et en énergie, qu’elle puisse même se trouver au milieu du désert ? Serait-il possible qu’elle existe déjà ? Oui, et cette ville se nomme Masdar.

Elle se situe aux Émirats Arabes Unis, à quelques kilomètres de Abu Dabi, et se désigne comme un modèle écologique urbain. Une ville pétrole comme Masdar, riche grâce à cette énergie fossile, voudrais développer les énergies vertes et renouvelables ?

Son objectif est de ne produire aucune émission de gaz à effet de serre tout en étant autosuffisante en énergie, mais également de ne pas produire de carbone et de faire aucun déchets.

Un projet risqué mais ambitieux, du fait de son coût chiffré à 15 milliards de dollars et du fait qu’elle soit une ville pionnière dans ce domaine. 

Cette ville n’est occupée actuellement que par des étudiants-chercheurs de Masdar, mais pourra à terme accueillir 50 000 personnes et 1500 entreprises d’ici sa finalisation, en 2030.

Lien de l’article

Une avancer dans les routes ? Ferec fais son appel !

Présentation :

Ferec, un regroupement d’entreprise, a décidé de ce SE lancer dans le domaine des infrastructures de mobilité et des réseaux ! Sur l’aspect écologique, numériques et économique, nos futureS routeS risqueNT  d’êtres bien amélioréer ! Beaucoup d’enjeux  en sont avancer, que ce sois sur les changements climatiques, en faisant supers attention à l’impacte environnemental ou encore en rallongeant la durée de vie des infrastructures en prenant en compte le changement d’usager ou d’usage. Le projet à été lancer, mais il reste encore assez calme car cela reste un appel. Ils parlent aussi de faire facilement face au inondation et au eau pluviale urbaines.

Source

Une piste cyclable permet de produire de l’énergie solaire!

En 2016 a été inaugurer(é) une nouvelle piste cyclable un peu spéciale. En effet cette piste cyclable construite à Bobigny a remplacé le pavé par des dalles solaires ce qui permet d’intégrer des panneaux photovoltaïques dans le décor de façon plus discrète.

Le but de cette installation était de pouvoir éclairer un passage sous un pont non loin de là. Ils ont aussi pensé à mettre un panneau indiquant la production d’électricité en kilowatts/heure. Au total, c’est quasiment 3000 kilowatts produit(S) en une heure soit la consommation d’un foyer pour 440 jours. D’autres projets de ce type devraient voir le jour.

https://www.20minutes.fr/planete/2605667-20190917-bobigny-piste-cyclable-permet-aussi-produire-energie-solaire-eclairer

Les nouveaux pièges à carbone

Avec une quantité de dioxyde de carbone émise de plus en plus importante, les scientifiques tentent de trouver de nouvelles techniques pour le capturer. On voit alors naître de nombreux projets tous aussi différent les uns que les autres. Parmi les les idées les plus sérieuses on retrouve les bornes à algues, les usines qui transforment le dioxyde de carbone en engrais ou encore des procédés chimiques complexes. Toutes ces techniques semblent révolutionnaireS mais sont-elles vraiment efficaces ? A l’heure où la Terre suffoque, ne faudrait-il pas privilégier la réduction de ces émissions plutôt que de vouloir absorber ce qui est déjà émit ? Toutes ces interrogations sont évoquées et illustrer par le biais d’une usine qui transforme le CO2 en engrais dans cet article.

Lien de l’article : http://www.socialter.fr/es/module/99999672/685/les_puits_de_carbone_artificiels_sauveront_ils_la_plante_

Faisons de la route l’énergie de demain !

À l’heure de la transition énergétique, imaginez une route capable de capter l’énergie solaire et de produire de l’électricité localement.

Wattway est une innovation française brevetée au terme de 5 années de recherche menées par Colas, un leader mondial des infrastructures de transport, et l’INES, Institut National de l’Energie Solaire. En associant les techniques de la construction routière avec celles de la production photovoltaïque, la chaussée Wattway fournit de l’électricité, énergie propre et renouvelable, tout en permettant la circulation de tout type de véhicule.

Lien de l’article :

WattWay : zoom sur le premier revêtement routier photovoltaïque du monde

Vidéo explicative de l’innovation Wattway avec l’exemple d’une aire de covoiturage à Narbonne, disposant de cce concept:

Site officiel de l’innovation Wattway:

http://www.wattwaybycolas.com/