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L’innovation des nouveaux capuchons des bouteilles d’eau en plastique :

Depuis quelques temps les capuchons des bouteilles en plastique ont changés de format, de dévisser, ils sont à clapet, ce nouveau bouchon ne s’enlève plus de la bouteille. C’est un aspect innovant qui vise a protéger l’environnement, du fait que le capuchon ne s’enlève plus, il n’est plus laissé comme déchet dans la nature.

Ce sont des capuchons sûrement moins pratique mais de nos jours il faut développer des nouvelles innovations afin de penser à la planète et l’empreinte écologique.

La marque Cristalline a passée le cap du changement de capuchon sur tout ses formats de bouteilles. Ce n’est pas le cas de toutes les bouteilles d’eau en plastique mais le changement devrait se faire très prochainement.

Vous parlez d’arbres… écoutons les ;)

Des chênes bretons enracinés sur le toit d’un colombier, des tilleuls auvergnats âgés de quatre siècles aux troncs creux mais aux feuillages denses et vigoureux. Aujourd’hui, nous partons à la découverte des arbres de France : leurs stratégies de survie, leurs modes de communication et autres capacités insoupçonnées.

 

La forêt, une société à part entière

Les forêts couvrent environ 31 % de la surface de la Terre, soit près de 4 milliards d’hectares, et contiennent plus de deux tiers des espèces vivantes terrestres. Les forêts disparaissent parce que leur valeur est sous estimée. Nous avons tous déjà étés dans une forêt mais la connaissons nous vraiment ?Afin de mettre fin à leur destruction, il faut comprendre et connaître tous les services qu’elles nous rendent. Qu’est-ce-qu’une société solidaire ? Une société qui s’appuie sur l’entraide, le partage, les services, à l’image de la forêt.

Une forme d’intelligence chez les arbres ?

En effet, beaucoup d’arbres sont liés les uns aux autres et poussent de façon à ne pas gêner l’autre ; les branches de l’un croissent à l’opposé de l’autre pour ne pas l’empêcher de s’épanouir. Au niveau des racines, elles sont entremêlées. Nous trouvons aussi des « arbres mères » qui nourrissent leurs enfants à travers leurs racines, au bout des racines il y a des terminaisons nerveuses qui permettent de reconnaître les leurs. Ils peuvent même toujours grâce à leurs racines, nourrir les rejets d’un autre.

Les arbres communiques entre eux

Par le biais des filaments blancs que l’on trouve au dos des feuilles mortes, ils échangent des informations, ils sont capables de suivre des stratégies : l’arbre attaqué envoie un signal, grâce aux racines, le message se diffuse aux autres arbres qui fabriquent un tanin amer qui rend les feuilles immangeables. La capacité à communiquer n’est pas inhérente aux Hommes.

L’arbre a aussi un sens de l’adaptation

Les arbres sont dotés d’une sensibilité à commencer par le toucher qui lui permet de savoir si il y a du vent, l’arbre perçoit analyse, calcule et s’adapte. Pour survivre en ville, ils font preuve d’une adaptation hors norme face à la pollution, aux poutres qui les entravent… Dans les profondeurs de la ville les arbres cherchent la moindre goutte d’eau.Les racines sont en connexion avec le voisin qui permettent même à certaines souches de survivre, d’absorber de l’eau, en contrepartie elle livre l’eau qu’elle a absorbée à ses bienfaiteurs. On peut donc parler d’une société de partage. Des scientifiques disent que ces systèmes d’échange sont basés sur des amitiés, des convergences de besoins, de complémentarité.

On peut donc dire qu’il y a davantage d’entraide que de concurrence au sein de la forêt. Dans cette dernière, tout est en communication, même le son des oiseaux ont une incidence sur la croissance des plantes.

Un exemple pour la société

Dans nos sociétés modernes, on oublie trop souvent que l’Homme a vécu depuis des millénaires dans la nature. Vivre en ville demande beaucoup d’adaptation aux arbres mais aussi aux Hommes… Il existe à présent des thérapies forestières (randonnées) pour nous relier à la forêt. On sait aussi que les nerfs et le cerveau réagissent à la simple évocation visuelle ou auditive de la forêt. La forêt amène à nous retrouver nous même, à nous apaiser. L’Homme est aussi capable de redonner aux forêts leur importance. Au Japon par exemple, on est davantage à l’écoute des arbres et en Amazonie certaines communautés ont leur arbre protecteur sacré. Dans certaines forêts on parle d’arbres présidents , qui est le plus haut considéré comme le patriarche.

Pour conclure, les arbres ont encore beaucoup de choses à nous apprendre mais nous avons vu que la forêt a tout d’un modèle de société solidaire. L’arbre le plus vieux du monde a 5000 ans et est source d’un savoir plus grand que le notre.

La Forêt, une solidarité naturelle.

     La notion de solidarité est ancré dans notre société seulement depuis 1821, c’est à travers elle qu’est assuré la stabilité et l’équité. Aujourd’hui notre modèle de société semblerait résidé dans le modèle de la forêt pourquoi ? Tout d’abord au-delà de son extrême complexité dans son mode de fonctionnement, la forêt existe depuis des dizaines de milliers d’années et sera sûrement encore la bien après nous. Nous prenons aussi même exemple sur elle pour cultiver et bien d’autre dont nous traiterons dans cette article.

Si l’on prend la forêt dans ça globalité elle se trouve composée d’une part, d’une flore très importante mais aussi d’autre part d’une faune tout aussi importante.

 

Une flore solidaire entre elle mais aussi envers la faune:

     Au cours des siècles et des évolutions les différentes espèces et essences ont développées de multiples techniques afin de leurs permettre de mieux survivre dans ce milieu. Certaines de ces techniques vont soit venir aider seulement l’arbre concerné ou bien aider tout un groupe d’individus.

     Par exemple on peut qualifier la relation entre un champignon et une algue, comme une symbiose car l’association des deux va permettre au champignon d’avoir à sa disposition plus d’eau et sels minéraux. Tandis que l’algue elle va pouvoir puiser dans les réserves de glucose du champignon pour se développer. Ce type de rapport nous pouvons le retrouver dans nôtre société par exemple quand une personne se retrouve bloquées à cause de la neige sur la route, et que d’autres automobilistes viennent le pousser pour débloquer la voie et faire repartir tout le monde. Cette action va profiter à tout le monde.

     Il en est de même quand nous sommes en pleine hiver qui est ce moment assez triste de l’année, ou la plupart des arbres perdent leurs feuilles, ce phénomène bien que naturel permet aux espèces les plus petites d’être recouvert pour passer l’hiver « au chaud ». En effet en ce formant ce couvert végétal vient en quelque sorte protéger les plus faible et démuni, un peu à la façon de toutes ces personnes venant en aides aux sans abris en leurs offrant une couverture ou un toit.

     Enfin pour ce qui est de la faune, elle aussi va pouvoir profiter également de la forêt pour y trouver un refuge (comme pour la faune chassée par l’homme, elle va pouvoir passer par des endroits pas accessible pour son prédateur et lui échapper), une cache (comme les ronciers qui permet par exemple au lapin de protéger et dissimuler son terrier) ou encore de quoi se nourrir (avec les arbres portants des fruits).

 

Nous pouvons nous apercevoir de certaines similitudes entre notre modèle de société et celui de la forêt. Pour autant la forêt est-elle vraiment profitable à tous ? Encore plus pour les petits êtres et spécimens ? La loi du plus fort n’existerait elle pas aussi au sein de la forêt ?

 

Un manque d’équité malgré tout présent:

     Malgré beaucoup d’entraide présent en forêt ce lieux n’échappe pas à la loi du plus fort. En effet les plus faible ne survivent pas toujours et finissent aussi par se faire manger ou mourir. Comme par exemple quand il s’agit aux arbres de grandir celui qui ne réussira pas à suivre la cadence imposée par les autres arbres se retrouvera privé de lumière et finira par dépérir puis mourir.

  C’est le même cas pour les champignons et les arbres les champignons ne sont pas toujours favorable aux arbres et dans des cas extrême vont finir par tuer l’arbre.

    De même pour le côté nourricier de la forêt elle peut nourrir la faune et même l’Homme mais aussi tuer avec ces cadeaux empoisonner. Il existe beaucoup de fruits, champignons comestibles pour l’homme mais toxique pour certaines espèces et inversement.

 

   Pour autant tout ces défauts nous les retrouvons dans nôtre société actuelle, certaines personnes meurent de faim, ne trouve pas à manger ou n’ont pas les moyens. D’autre vont s’enrichir et en tirer tout les profits dans certaines situations. Et malgré tout beaucoup de personnes de nôtre monde meurent tandis que d’autre naissent. Un peu comme au rythme des saisons.

 

Il existe aucun modèle de société parfait :

     Pour conclure nous trouverons dans ce monde aucun modèle de société parfait pour autant il semblerait bien que celui de la forêt pourrait s’en approcher. Car même si il comporte quelques défauts, il possède malgré tout la plus grande équité. Et dans ce modèle de société chacun peut trouver sa place et avoir sa chance de survivre.

 

        Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ».

Une société verte, libre et connectée : La forêt

Il existe une société où vivent des êtres vivants solidaires tous les uns envers les autres. C’est une société très connectée, certes pas visible à l’œil nu, ou encore en surface, mais plutôt d’un point de vue souterrain. C’est à travers cette connexion, ce réseau, que ces êtres vivants communiquent, s’entraident ou encore développent leur société tout en restant solidaire: la forêt.

Premièrement, nous vivons dans un monde en pleine croissance. Un monde qui ne cesse d’évoluer. Un monde qui, de jour en jour, continu de s’agrandir. Le monde dans lequel nous vivons, existe des différents groupes de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent  en coopération pour former un groupe social ou une communauté. C’est ce qu’on appel : une société. Toutes les sociétés sont-elles solidaires? Qu’est-ce qu’une société solidaire? Peut-on être solidaire sans avoir de parole?                                                                                                         En effet, dans cette société, ne règne pas toujours l’entente entre tous; c’est-à-dire, la plus part des personnes ne pensent qu’à elles même, préfèrent avancer en fonction de leur intérêt, plutôt que d’aider son prochain. Pour ce groupe de personne, la loi du plus fort est au dessus de tout. D’autres personnes se servent du mot solidarité pour imposer ou encore accroître leur pouvoir. En outre, existent toujours dans cette même société, d’autres personnes agissant contrairement à ces comportements et qui pour eux, vivre en coopération, aider son prochain, unir nos forces, contribuera à la naissance d’une société meilleur ; c’est-à-dire une société plus soudée, plus forte ou encore plus résistante ; donc une société solidaire.                                                  Mais, Existe-t-il, quelque part dans le monde une société ou les individus s’entraident de façon instinctive ? Une société où aider son prochain ne signifie pas attendre quelque chose en retour ? Certaines personnes comparent notre société actuelle et le fonctionnement de la forêt en général car les espèces qui y vivent, vivent en harmonie.        Pourrait-on qualifier la forêt comme étant un excellent modèle de solidarité ?

Une solidarité pas totalement visuelle, mais existante : libre et connectée

Pour commencer, la forêt est un endroit où vivent des espèces en symbiose ; c’est-à-dire que plusieurs organismes de même espèces ou espèces différentes partagent une association durable et profitable à chacun d’eux. Prenons le cas des arbres. L’arbre fait parti des espèces les plus anciennes que la forêt abrite. On nous a toujours appris que les arbres vivent de compétitions entre eux ; c’est-à-dire  qu’ils poussent de telle sorte à capter le maximum de rayons de solaire qui pénètrent la forêt et aussi qu’ils ont besoin d’espace pour se développer. Mais ce que peu de gens savent, c’est que les arbres sont en réalité des espèces très solidaires entre eux. Partons du haut de l’arbre. Des scientifiques ont découvert que les arbres captaient du CO2 et se l’échangeaient entre eux. Mais pourquoi font-ils cela ? Tout simplement pour aider son voisin. Il peut arriver qu’un arbre ait du mal à se développer contrairement aux autres, donc une croissance ralentie. Les autres l’aiderons à se développer d’avantage afin qu’il puisse survivre. Deux arbres de la même espèce qui poussent cote à cote auront tendance à respecter l’espace de l’autre. Ils développeront leurs racines de telle sorte à ce qu’elles n’iront pas s’entremêler entre elles. Par ailleurs, nous avons le système racinaire des arbres, appelé le cerveau de la forêt par certains scientifiques. On a découvert que les racines des arbres s’entremêlent et connectent entre elles. Certaines souches qui vivent encore sont la preuve que leurs racines sont connectées aux autres arbres. Aussi, les arbres sont des êtres sociaux. Les arbres mère veillent sur leur progéniture. Elles les nourrissent par voie racinaires. Toujours au niveau souterrain, des scientifiques ont découvert qu’une association symbiotique entre champignons et les racines des arbres, formait l’internet de la forêt appelé : Mycorhize. C’est donc grâce à ce mycorhize que les arbres communiquent entre eux.

La forêt peut-être pris comme exemple, un modèle de société solidaire de part son côté instinctif à aider son prochain.

Une société non solidaire et déconnectée

De plus, nous avons les hommes et leur société. Contrairement à la vie forestière, les hommes ne cessent de se faire la guerre. L’homme en générale est assoiffé de pouvoir. Pour lui, aider son prochain n’est pas obligatoire. C’est un sujet qui est abordé dès notre plus jeune âge. Un proverbe Africain dit : « seul on va plus vite, mais à deux on va plus loin ». Mais dans notre société, l’homme en général ne retient qu’une seule partie de se proverbe : « Seul on va plus vite ». Ainsi est formaté le cerveau de l’homme. Il existe donc une sorte de compétitivité instinctive encrer au fond de chaque personne. C’est à ce moment que naît la loi du plus fort ou les plus faible rabaisser, ignorer et voir détruit. C’est le cas de certains pays ou seules les personnes possédant un important pouvoir économique règnent sur la population. Il y a alors un déséquilibre dans la société. On parle alors de différence entre les classes sociales que Karl Marx défendra : Luttes des classes.

 

Enfin, nous pouvons dire que contrairement à la société humaine, la forêt un endroit ou des espèces vivent en symbiose, elles s’entraident entre elles s’en rien attendre en retour. C’est un lieu où chaque espèce peut compter sur l’autre. Il existe alors une forme de solidarité elles. Nous pouvons alors dire que la forêt peut être un modèle de vie solidaire dont nous pouvons inspirer afin de renouer les liens dans notre société comme la vie racinaire.

Les peuples aborigène de l’île de Vancouver disent : tout n’est qu’un.

 

 

Aux arbres citoyens !

Nous vivons dans un monde chaque jour un peu plus en danger. Sous des menaces gigantesques qui nous feraient regretter que la terre ne compte pas plus de David. La Solidarité humaine semble être notre dernier recours et seule porte de sortie. Pas seulement pour nous, mais aussi pour l’ensemble de la vie sur terre. Mais le générations actuelles sont elle vraiment un modèle à suivre que ça ?

Un système vivant séculaire …

Il y a 3,5 milliards d’années, la vie est apparue sur terre. Depuis elle s’est développée, organisée. Le cycle de la vie est apparu. Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous. La protection des espaces naturels sensibles peut telle être considérée comme une solidarité avec la nature ou la simple volonté de survivre ? Les fermes à oxygène n’existant pas encore cette question est condamnée a rester sans réponse. Mais la nature possède déjà un système d’entraide mutuelle et différentes symbioses. Certains arbres ont la capacité de signaler un prédateur à leurs voisins. D’autres ont développé des cohabitations et d’entraide avec d’autres espèces, des champignons, des fourmis; où chacun tire une contrepartie de la symbiose. Dans un de ses essais*, Ralph Waldo Emerson décrit la nature comme le lieu privilégié où la conscience de chaque individu entre en communication avec les  »grandes lois universelles ». Il ajoute que cela est rendu possible par la vie au milieu de la nature et en harmonie avec elle. Il décrit ensuite l’homme comme Goliath profitant de cet état et non pas comme un membre de ce milieu harmonieux. Plus de David se reposant leur fonctionnement sur l’intelligence face a la force et à la domination brute nous permettrais d’imiter notre environnement.

… Dont nous ferions mieux de nous inspirer

Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous, et se perpétuera après nous. Les systèmes d’entraides des arbres est admirable. on peut citer en exemple les symbioses existantes dans la nature. Les arbres et la nature sont bien plus solidaires entre que nous ne pourrions jamais l’être. Leur capacité à s’adapter aux bouleversements se pose en exemple. On peut retrouver après un feu de forêt, une flore spécifique (les pyrophytes). Viendrons par la suite, le retour des mousses, herbes, bosquet puis les arbres ferons leur grand retour donnant eux même abris à d’autres plantes. Certes ces  »séries évolutives » sonnent parfois lez glas de certaines plantes, mais ces dernières étaient appelées à disparaître, leur rôle étant rempli. De ce point de vue il parait évident que si les plantes étaient un jour aptes à construire une société, elle nous serait supérieure en bien des points. Si nous, les générations a venir, réussissons à nous inspirer de la nature pour bâtir un modèle de société, un grand pas aura déjà été fait dans la bonne direction.

*Nature parue en 1836

Chris. T

La forêt, modèle d’excellence ?

Et pourquoi pas, ne pas se baser sur la nature qui nous entoure? Pouvons-nous considérer la forêt comme un exemple de société, pour pouvoir nous même nous épanouir à travers l’entraide réciproque ?  

Rien de plus important que d’observer la nature dans laquelle nous vivons, pour pouvoir comprendre notre propre société. Des êtres qui nous paraissent rustiques et non sensibles sont de véritables sources de bien être, et c’est un très bon exemple de vie en société. 

Une symbiose obligatoire pour la survie 

En effet, la forêt n’est pas composée que de 3 ou 4 strates de végétaux, mais regroupe la majorité des différentes familles d’êtres vivants dénombrée sur la planète. Une réelle zone de vie est formée représentant les maillons d’une chaîne. Chacun se tient et se supporte mutuellement. Si par malheur un maillon devait se briser, il manquerait automatiquement aux autres. De part sa présence il apporte ce que l’autre n’a pas, et en retour il reçoit ce qui est nécessaire à sa croissance. C’est ainsi que dans le domaine de la science, on a nommé ces interactions à effets de bénéfices réciproques, des symbioses. L’un ne peux pas vivre sans l’autre, qu’il appartienne à sa famille ou pas. Ainsi nous pouvons prendre comme exemple, le mycélium et l’arbre. Le mycélium est un champignon qui vit sous terre et qui peut se répandre sur plusieurs centaines de kilomètres, et pour vivre il a besoin d’un support dont il s’agit ici des racines des ligneux. Le mycélium apporte des nutriments et de l’humidité, ce qui arrange fortement les arbres notamment en période de sécheresse. En retour, l’arbre prête ses racines pour que les champignons puissent prospérer et s’étendre. Si chacun pouvait apporter ses qualités au service de la société, nous mélangerions alors des connaissances qui bénéficieraient au progrès. Un progrès qui a toujours été source de motivation pour les hommes. Et si nous nous soutenions tous grâce à nos qualités,  nous serions alors une société indestructible. Car c’est en se soutenant les uns les autres, et en partageant nos différences que nous réussirons à devenir une société solidaire, tout comme la forêt.

Solidarité, bienfait indispensable pour toute société

De plus les êtres vivants se soutiennent entre eux. En effet, quand des parasites se jettent sur eux pour les attaquer, ceux-ci vont libérer des particules dans l’air afin de prévenir leurs congénères . Ainsi, les êtres vivants avertis vont pouvoir sécréter des substances qui leurs seront ensuite bénéfiques pour leur protection. Une population d’arbres dans une forêt est un très bon exemple, si l’arbre attaqué n’avertissait pas les autres la totalité de la communauté serait attaquée, dévastée puis morte. Ainsi le soutient mutuel participe à une vie commune. De plus, en ce qui concerne les végétaux, lorsque l’un d’eux tombe malade les autres autour le soulagent en lui apportant tout ce dont il a besoin pour sa guérison. Nous pouvons observer dans nos sociétés actuelles que, naturellement l’être humain possède un côté sensible, et qu’il est doté d’une moralité. En fonction de sa culture et de son éducation, il va agir différemment face à autrui, car il aura développer des sensibilités différentes. Le fait de se baser sur la forêt, nous pouvons remarquer qu’il n’y a pas de rejets entre espèces différentes lorsqu’il s’agit de la survie. Chacun restent présent pour les autres, car il en dépend malgré lui. Sans les autres il ne peut s’épanouir. Et cela pourrait s’appliquer dans nos sociétés actuelles mais avec beaucoup d’efforts..

Plus que parfait !

Et enfin, la forêt qui est avant tout un écosystème, reste un élément parfaitement structuré dans sa composition. En effet, quel est l’élément le plus parfait observable dans notre monde ? La nature vient de toute évidence, aux premières loges. Aucune lacune n’est recensée. Ainsi de par à cette perfection celle-ci est automatiquement régulée d’elle même. Il n’y a pas plus grand comme mode de vie en commun que la nature, et ici en l’occurrence la forêt. C’est un endroit magnifique où se mélange tous les éléments, et où cohabitent des milliers et des milliers d’espèces différentes.

Alors oui bien sûr, la forêt peut être le modèle d’une société solidaire, car c’est un écosystème où de nombreuses espèces arrivent à partager leur mode de vie, en s’adaptant aux niches écologiques des autres. Si nous nous basions sur ce type de société solidaire en toute modestie et humilité, nous arriverions à atteindre, à notre rythme, un but presque parfait.

La forêt : société idéale ou écran de fumée

On observe aujourd’hui dans notre société un écart de plus en plus grand du niveau de vie dans le monde entier. Et si nous prenions exemple sur le mode de fonctionnement de la forêt ? Après tout quoi de mieux que ce milieu de plus en plus précieux dans notre monde, un milieu qui s’auto-régule, est en constante évolution de quoi en faire un idéal d’où ma question : La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Nous verrons, vous jeunes gens et moi,  que en effet celle-ci possède de nombreuses interactions apparentées à de la solidarité telle que le mutualisme mais que, à l’inverse, y règne aussi un système de loi du plus fort.

Bien plus qu’une solidarité, une symbiose

Tout d’abords, on nous dit souvent que la forêt est un lieu paisible où l’on va pour se reconnecter avec soi, avec le monde; que c’est un milieu sain. On nous dit moins souvent qu’il y règne des interactions spécifiques telles que le mutualisme qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui s’échangent des nutriments par exemple ou bien la symbiose qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui sont indispensables l’un pour l’autre afin de pouvoir vivre. Cette dernière est bien plus fort que ce qu’est pour nous la solidarité, en effet si l’on prend pour exemple les champignons qui se trouvent sur les racines des arbres ( mycorhizes ) et bien sans eux les arbres auraient des carences nutritives et donc mourir; cela est une question de survie plus que d’une simple aide.

L’anarchie animale et végétale

En suite, tout en étant un milieu de vie qui peut sembler des plus calmes et paisibles, la forêt est le lieu d’un parasitisme. En effet, en marchant dans les hautes herbes se trouvant aux abords des forêts on peux avoir la mauvaise surprise de repartir avec plus de monde que ce qu’on est arrivé. En retrouvant par exemple des petites tiques qui en plus de se nourrir de notre sang pourraient nous offrir en cadeau la maladie de Lyme rien que ça. On retrouve aussi la prédation en forêt avec le pauvre petit lièvre qui se fait dévorer par le vicieux renard, ou encore la compétition pour un même milieu entre deux individus comme par exemple entre deux végétaux : pour la lumière, l’eau ou les nutriments du sol, elle existe aussi chez les animaux.

Donc, la forêt n’est pas le modèle d’une société solidaire car même si certaines relations peuvent être bénéfiques pour chaque partie d’autres ne le sont pas. La forêt est comme le disait Foucault « Là où le désordre fait scintiller les fragments d’un grand nombre d’ordres possibles » une composition hétéroclite. Michel Foucault ayant connu la seconde guerre mondiale. De ce fait la forêt peut nous paraître un désordre où le pouvoir est déconcentré.

La fascination absurde de l’humain envers la faune forestière

La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Ou… Qu’est ce qu’une société solidaire ? Est-ce possible qu’une telle société existe réellement sans nuances ? Que savons-nous de la forêt ? Voilà donc, chers lecteurs, un bon nombre de question qui peuvent apparaître comme pertinentes lorsque l’on lit la première.

Suite à cette question des plus absurdes, qui pourtant n’en est pas moins intéressante, il convient certainement de définir plusieurs choses indispensables à la compréhension du sujet. Tout d’abord, qu’est ce qu’une société comme on l’entend chez nous (êtres humains) ? Il semblerait qu’une société soit « un ensemble de personnes entre lesquelles, existent des rapports durables et organisés (avec des institutions, etc.) ». Ensuite, prenons la première définition que nous pouvons trouver pour la forêt, c’est à dire : « Vaste étendue de terrain couverte d’arbres ; ensemble de ces arbres. ». Oublions donc ce lien quelque peu inexistant entre ces deux termes et gardons, dans la définition de société, ce qui peut nous intéresser. En reformulant la définition de société dans le but de s’adapter au système de cohabitation faunistique et floristique d’une forêt, cela donnerait : « un ensemble d’être vivant entre lesquelles existent des rapports parfois organisés (sans institutions bien évidemment). ». Cela nous amène donc à imaginer une comparaison entre une société humaine et la possible société forestière que l’on pourrait imaginer.

DEUX MODELES DE SOCIETE

En effet, plusieurs comparaisons peuvent apparaître chez ces deux modèles de société.

Premièrement, il y a l’entraide. Chez l’humain, l’entraide est quelque chose d’assez naturel comme chez certains animaux. Cependant, lorsque l’on amène ce sujet dans notre modèle de société, on peut voir l’entraide comme un fonctionnement de « dominant-dominé ». En effet, imaginons l’action d’un premier homme (« dominant »), approchant un deuxième homme qui, lui, est dans le besoin (« dominé »). Le premier aura deux choix dans sa position de dominant, aider ou ne rien faire. Si celui-ci aide, cela aura certainement pour but, malgré la bonne action, de flatter son ego, tandis que s’il ne fait rien, il ne sera effectivement pas décrété comme solidaire (dans la situation présente). Ce qui nous amène aux animaux, et là, beaucoup offriront à débattre lorsqu’ils liront ce qui va suivre : « les fourmis ». L’entraide chez les fourmis. Existe-il quelque chose de plus fascinant ? Ce à quoi je répondrai : « Oui très certainement ». Dans ce cas-ci, comme dans le cas de l’humain, il existe la situation de dominant-dominé. Ce n’est cependant pas ce qui gène le plus dans l’idée d’une société solidaire basée sur le fonctionnement de celle des fourmis. En effet, celles-ci collaborent sans cesse. Mais dans quel but ? La survie. Pourtant, cette utopie qu’est la société solidaire est très certainement apportée par une population qui ne se préoccupe certainement pas de sa survie. C’est pourquoi on pourrait dire qu’il est plus qu’absurde de baser son raisonnement sur une société qui ne correspond absolument pas à celle que nous voulons faire évoluer. Nous cherchons une vie agréable lorsque nous parlons de société solidaire. Les fourmis n’agissent que pour la survie. Ce qui nous amène à la deuxième comparaison possible entre humains et animaux. 

Le fonctionnement psychologique entre différents individus, chez l’homme ou chez les animaux, n’est effectivement pas comparable ; en tout cas, selon nos connaissances. Chez l’humain, nous appelons cela la communication (directe ou indirecte). Celle-ci prend en compte plusieurs indicateurs. Tout d’abord, il semble qu’elle soit dirigée par l’émotion. Nous agissons selon nos besoins d’émotions ou celles déjà présentes. Ensuite, chez l’Homme, existe la présence de jugements, d’envies matérielles et plus ou moins réfléchies qui ne sont pas présentes chez les animaux. En effet, ceux ci agissent à notre connaissance à l’instinct dans le but de se nourrir, de se protéger ou même dans un but de séduction. Ce qui crée une interdépendance des animaux par la chaîne alimentaire, métaphoriquement ennemie du concept de solidarité. En effet ce système d’interdépendance ne peut s’appliquer aux êtres doués de raison ou de conscience. 

UNE FASCINATION ABSURDE

La nature est certainement un fonctionnement mathématique probablement basé sur un équilibre nécessaire à la survie de la planète. L’humain, lui, serait un animal à l’ego sur-dimensionné se croyant capable de s’identifier aux autres animaux car il n’a pas compris qu’il était, comme chaque espèce, différent du reste du règne animal, comme le veut la nature pour son équilibre. Comment l’humain voit la nature ? Comme un idéal.

En effet, la nature possède un équilibre indispensable à sa survie. L’humain ne l’a pas compris, il cherche constamment à évoluer, à s’adapter et en l’occurence à s’identifier. Cependant chaque espèce à son propre rôle et son propre fonctionnement. La logique mathématique de la nature viserait à dire que les animaux agissent selon leur capacité à survivre dans notre monde. C’est pourquoi l’humain ne peut s’identifier à une espèce qui agit pour sa survie. Chercher à adapter son mode de vie en calquant ses actions sur celles de la faune et de la flore est probablement une erreur. Le fonctionnement biologique de chaque espèce influence les actions de celles-ci, l’humain ne peut s’imaginer parfaire sa façon de vivre en imitant les relations internes aux espèces. Par exemple, la symbiose des arbres, symbole indirecte de la solidarité floristique, serait parfait pour démontrer que l’humain ne peut s’en inspirer. Effectivement, la communication entre chaque arbre est biologiquement inimitable pour l’humain. La symbiose fonctionne sur l’idée d’une communication par les racines entre chaque arbre. 

L’ego de l’humain le pousse à vouloir imiter ce qui lui parait le plus pertinent pour son confort. Or, il imagine une société solidaire en sachant pertinemment qu’il ne peut l’atteindre. Il sait que la société solidaire n’existe pas, car comme dans la nature, il y a un équilibre obligatoire, une histoire de nuances. C’est pourquoi, à travers cette idée d’équilibre, l’Homme a peut être déjà inconsciemment copié un certain modèle sociétal dans la nature. 

QUOD ERAT DEMONSTRANDUM

Pour résumer, imiter le modèle sociétal d’une forêt ou d’une ou plusieurs espèces animales ou végétales est selon moi assez absurde. L’humain n’a pas la capacité, ni biologique ni psychologique, à adapter son modèle de vie à celui d’une espèce qui ne lui ressemble que très peu.

 

Cet homme a nettoyé son lac!

L’homme que vous voyez en photo ci-dessus se nomme Marino Morikawa, il s’efforce de résoudre un  problème parmi les plus difficiles du monde : La pollution de l’eau

En se basant sur les chiffres, c’est le cas pour 40% des lacs et rivières du monde entier!

Donc quand le lac d’enfance de Marino a aussi été contaminé il s’est dit qu’il fallait faire quelque chose.

Le scientifique, détenteur d’un PhD  d’une université Japonaise (ce qui équivaut à un doctorat)  a pris un congé de l’école, s’est rendu à la banque, a pris un prêt, et a dédié son temps à résoudre le problème de son lac.

Son travail aboutit par la création  d’une solution unique; on met cette solution dans l’eau sale du lac et la magie opère, la solution attire les particules contaminées à la surface et les fait flotter par la suite, cette solution est faite pour ne nuire en aucun cas à l’environnement , vous pouvez même la manger car c’est 100% organique.

Après 15 minutes vous pouvez voir la différence entre une eau propre et une eau polluée.

« si je peux nettoyer ce verre alors je peux nettoyer mon lac en entier! » Marino

Il retourna donc à son lac d’enfance et y déversa une tonne de sa solution , traitée avec des bio-filtres et la nanotechnologie. Après seulement quelques mois, il fut capable de transformer son lac.

A Man From Peru Has Found an Ingenious Way to Clean Lakes, and It’s a Breakthrough the Earth Was Crying For

Son prochain projet est de nettoyer le plus grand lac au Pérou, celui-ci débutera en 2020!

Voici les différents liens pour accéder à son travail.

https://brightside.me/wonder-people/a-man-from-peru-has-found-an-ingenious-way-to-clean-lakes-and-its-a-breakthrough-the-earth-was-crying-for-719560/

 https://www.instagram.com/marino.morikawa/

Une piste cyclable permet de produire de l’énergie solaire!

En 2016 a été inaugurer(é) une nouvelle piste cyclable un peu spéciale. En effet cette piste cyclable construite à Bobigny a remplacé le pavé par des dalles solaires ce qui permet d’intégrer des panneaux photovoltaïques dans le décor de façon plus discrète.

Le but de cette installation était de pouvoir éclairer un passage sous un pont non loin de là. Ils ont aussi pensé à mettre un panneau indiquant la production d’électricité en kilowatts/heure. Au total, c’est quasiment 3000 kilowatts produit(S) en une heure soit la consommation d’un foyer pour 440 jours. D’autres projets de ce type devraient voir le jour.

https://www.20minutes.fr/planete/2605667-20190917-bobigny-piste-cyclable-permet-aussi-produire-energie-solaire-eclairer

Deux photos, deux bonheurs

Photo 1 :

Photo de l’étang de la Gournerie au format paysage en noir et blanc.
Le soleil ce lève, la lumière ce reflète dans l’eau. Les reflets dans l’eau nous laisse imaginer ou est situé le soleil dans le ciel.
Pour moi cette photo représente le bonheur car ont y voit la nature, l’eau le soleil qui sont des élément joyeux, positifs.

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Photo 2 :

Photo au plan large et avec la date d’obtention de mon bac permettant de certifier que celle-ci est récente. Mon diplôme est posé sur la vitre ce qui donne l’impression qu’il est en dehors du bâtiment au premier regard, ont voit ensuite un reflet ou bien quelques taches sur la vitre.
Pour moi cette photo représente le bonheur car c’est mon bac et je suis heureux de l’avoir.

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Le Bonheur et le Paysage


Analyse de l’illustration 

Tout d’abord cette photographie représente un paysage, et en particulier un paysage de campagne car nous pouvons remarquer de vastes prairies, ou la verdure domine. Cependant nous pouvons apercevoir aussi un paysage qui semble être urbain avec la présence d’immeubles.Cette image est composée de 3 plans ; en premier lieu, la clôture et les quelques passants (2 sujets); en deuxième lieu, la vaste prairie et les arbres et enfin en troisième plan les immeubles et le ciel bleu.

Ce paysage est donc composé d’éléments importants ; les éléments naturels qui sont dominants(prairie,végétation…) ; et les lieux d’habitations(immeubles). De plus ce paysage est composé de nombreuse lignes ; verticales (le long chemins entre les clôtures) ce qui donne un aspect de profondeur à l’image. Mais il y a aussi des lignes horizontales(les arbres, les immeubles) qui donnent par la suites des lignes d’horizon qui sont une limite de ce que l’on peut apercevoir. Ensuite les masses et les volumes, sont remarquables en particulier les masses végétales (groupement d’arbre en second plan) Ces volumes créer des reliefs.

Les couleurs et les contrastes sont importants pour différencier les éléments du paysage. Ici les contrastes sont peu importants mais les couleurs sont très présentes. Le sol (la verdure) et le ciel ressorte de ce paysage et apporte de la vivacité et du caractère à la photographie et les immeubles eux semblent apporter de la lumière au paysage.

Les éléments du paysage sont peu nombreux, de même couleur, de texture uniforme, plutôt ordonnés, et le regard parcourt lentement le paysage duquel se dégage une impression de sérénité. Enfin les facteurs humains sont présent du fait que l’homme à façonné ce paysage (les immeubles en 3 ème plan).

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Nantes-Quartier Malakoff-La petite Amazonie-28/10/2016-11:01

Ma vision du bonheur :

Pour moi l’aspect visuel joue beaucoup sur le bonheur. Tout dépend ensuite du point de vue de la personne, si il préfère un paysage urbain ou bien paysage de campagne. De plus les couleurs, la lumière sont synonyme de bonheur et apporte souvent la bonne humeur. Cette photographie le représente parfaitement avec sa grande luminosité et son ciel bleu.

Cette image représente tout le coté positif d’un paysage, la clarté, la simplicité, le beau temps. Ce dernier est un facteur important du bonheur qui donne une impression de gaieté, tout dépend du moment présent de l’instant ou à été prise la photographie car le temps est souvent changeant.

Le bonheur et le paysage

Première image :

Au premier plan, un aménagement style japonais réalisé durant mon stage.

Au second plan, la route, une maison, des arbres et le ciel composé de quelques nuages.

J’ai choisis cette photo car pour moi le bonheur doit être partagé avant tout. C’est notamment en réalisant ce genre d’aménagement que l’on transmet du bonheur aux gens. De plus, la verdure, que l’on ne voit pas forcément sur cette photo (noir et blanc), est un élément incontournable pour rendre un paysage attractif, joyeux ou positif. C’est un élément clé qui, pour moi, apporte de la bonne humeur ou du bonheur, tout simplement.image-1

Deuxième image :

Au premier plan, une fleur d’un bleu éclatant, photo prise lors de la sortie avec les AP2 le 6 octobre.

Au second plan, d’autre fleurs plus fades, des feuilles et l’herbe.

J’ai choisis cette photo car je trouve que la fleur bleu, qui rayonne énormément au milieu des autres fleurs plus ternes, expose parfaitement le fait que le bonheur peut-être extrait de n’importe quel endroit. De plus, l’étincelance de la couleur de la fleur est telle, qu’elle apporte de la bonne humeur, de l’apaisement et un brin de chaleur.image-2

Offre moi cet horizon

anne-nivol-bonheur

A travers cette photo on sent la sensation de liberté, d’épanouissement, sur la route vers d’autres horizons…

Au premier plan nous retrouvons l’attrape rêve puis au deuxième plan le camion qui sont pour moi des éléments centraux qui attestent quelque chose de plus à la photo sur la notion de voyage et de rêve.

De plus on peut dire que le camion est le point de fuite de la photo et l’angle de prise de vue se fait sur ces deux éléments centraux, pour ainsi pouvoir porter notre regard dessus instantanément.

Ils donnent aussi un effet très esthétique avec une jolie route bordée par la nature.

La photo est très lumineuse et claire car c’était l’été sous un soleil de plomb.

Le noir et blanc apporte la nostalgie et le souvenir que représente cette photo pour moi.

Cette photo représente le bonheur à travers le voyage.

Vivre en totale autarcie, vivre heureux ?

Vivre en totale autarcie, c’est ce que fait Emma Orbach depuis 17 ans, qui s’est complètement éloigné de la civilisation. Emma a déjà vécu en communauté mais a décidé d’aller encore plus loin dans son expérience de l’auto-suffisance, et a décidé de s’installer toute seule dans la nature, coupée du réseau électrique et de l’eau courante. Elle vit totalement dans l’autonomie et cela attire et inspire évidemment. Sa maison est construite à partir de matériaux naturels provenant de la forêt (bois, terre) et se nourrit de la nature en vivant au rythme du soleil. Elle est heureuse avec le minimum, « vivre simplement avec ce que la nature donne permet d’accéder à beaucoup de joie et de paix » dit-elle.


07_vie_alternative_maison

Changer totalement de mode de vie pourrait aussi être un moyen de s’épanouir et de fuir le quotidien et le stress de la société actuelle. Emma Orbach ne regrette pas du tout son choix et espère en inspirer d’autres qui n’aurait pas forcément ce même courage. De plus en plus de personnes ne se sentent plus s’épanouir dans la société, et un changement de mode vie peut permettre de redonner un sens à notre existence. Certaines personnes créent même leur propre métier. Des alternatives existent, alors n’hésitez pas!

https://mrmondialisation.org/elle-vit-comme-un-hobbit/

Un village nature !

Le Groupe Euro Disney S.C.A. (« Euro Disney ») et le Groupe Pierre & Vacances Center Parcs (« Pierre & Vacances ») dévoilent aujourd’hui (2010) leur nouveau concept de destination touristique fondée sur la quête d’harmonie entre l’Homme et la Nature. Celle‐ci constituera, dans son concept comme dans son exploitation, un modèle de développement durable inédit en matière de tourisme à cette échelle :
Les Villages Nature de Val d’Europe (« Villages Nature »).

  • La recherche d’harmonie entre l’Homme et la Nature
  • Un projet partagé
  • Un engagement en matière de développement durable
  • Investissement pour les institutionnels et les particuliers
  • Un projet économique impliquant les acteurs locaux

Vous retrouverez un explication sommaire du but du projet grâce à ce lien (fichier pdf) :

http://corporate.disneylandparis.fr/CORP/FR/Neutral/Images/fr-2010-11-24-villages-nature.pdf

Mais aussi sur le site de « Village Nature » :

http://www.villagesnature.com/

Et une petite vidéo you tube présentant le projet avec des très bon graphisme :

Est ce que vous allez répondre à l’appel d’offre lancé par « village nature » ? A vous de voir …