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Liberté, égalité, solidarité

L’État est l’autorité souveraine qui s’exerce sur un peuple et un territoire déterminé. Il doit assurer plusieurs missions et rôles  différents comme la défense de son territoire, la sécurité de son peuple ou encore la justice par exemple. Mais, est-ce son rôle de nous dire « soyez solidaire » ?

 

La mission première de l’État: l’exercice de la souveraineté

L’État n’est pas une personne morale de droit public comme une autre. En effet, c’est le dépositaire de la souveraineté. C’est pourquoi parmi ses missions, il doit établir les différentes règles au sein de son pays qui s’imposent au corps social (sa population) et à lui-même. En ce sens, il doit également instaurer une force publique dans le but de faire respecter ses règles et ainsi garantir les droits et libertés de chacun. Lorsque les règles ne sont pas respectées, l’État se doit également de mettre en place une justice. Enfin, parmi ces rôles primordiales,  l’État doit pouvoir défendre son pays et donc organiser une armée pour d’éventuelles opérations militaires. Aucun de ces rôles n’a pour but de de dire « soyez solidaire », cependant certain peuvent le faire et transmettre cette valeur. En effet, l’État peut  mettre en place des règles ponctuelles. Par exemple le confinement obligatoire pour chacun a pour but de limiter l’expansion du virus covid-19, mais c’est également une sorte de solidarité envers le personnel soignant qui œuvre chaque jour pour sauver des vies.

l’État: le porte-parole de l’intérêt général

En plus d’être le dépositaire de la souveraineté et instrument du pouvoir politique, l’État est également le porte-parole de l’intérêt général ou du bien commun. L’intérêt général correspondant à l’ensemble des individus qui forment le peuple, c’est donc la somme des intérêts particuliers de chacun. C’est dans ce cadre que l’État va pouvoir instaurer des nouvelles règles (voir exemple ci-dessus) et donc forcer son peuple à exercer une certaine forme de solidarité. Cependant, attention l’État ne doit pas abuser de ce rôle car il ne possède pas de caractère moral en effet, il laisse ouverte la question de savoir en quoi consiste l’intérêt particulier hors, à chacun de déterminer le sien.

 

Pour conclure, même si ce n’est pas son rôle premier, dans le cadre de l’intérêt public, c’est du droit de l’État de dire à son peuple « soyez solidaire ». Cependant l’État doit tout de même veiller à ne pas abuser de ce rôle afin de remplir ses missions premières.

Le vélo Electrique est-il innovant ?

Marché du vélo électrique

L’engouement pour le vélo se confirme et le marché du cycle ne cesse de progresser : plus de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires (+ 2,3 %) et plus de 2,7 millions de vélos vendus en 2018. Une croissance de plus en plus portée par le vélo à assistance électrique (VAE). Après un bond inédit en 2017, l’année 2018 a démontré que cette tendance était tout sauf un effet de mode : avec une progression de 21 % et 338 000 unités vendues, le marché du vélo à assistance électrique (VAE) consolide sa croissance, atteignant désormais 40 % du chiffre d’affaires des ventes totales de vélos.

 

La société forestière : mythe ou réalité?

« L’arbre du silence porte les fruits de la paix », ce proverbe Arabe veut démontrer qu’une société, où les préjugés et les guerres sont bannis et où la solidarité et la paix sont prescrit, est une société type qu’il faudrait suivre à tout prix. La question qui se pose aujourd’hui est : La forêt pourrait-elle devenir un exemple de société solidaire? Nous montrerons que la forêt, sous son apparence de société idéale, nous cache une anarchie dévastatrice.

Un havre de paix pour les hêtres vivants

Une société heureuse, c’est une société stable. En effet, la forêt est la dernière phase de la transformation du paysage. Elle a dû passer par une phase de développement intense afin de trouver un équilibre. Elle est donc stable et ce depuis plusieurs décennies ou siècle si cette forêt est vieille. Elle ne se développe plus. Ses échanges continus suffisent au bon fonctionnement de l’écosystème. Par exemple le cycle de l’eau n’a pas évolué depuis des milliers d’années. L’eau va, en effet, alimenter la forêt par des précipitations, qui vice versa, va la rejeter via l’évapotranspiration, dans le but de recevoir à nouveau de l’eau. Cette technique satisfait les besoins de la forêt et contribue à sa stabilité. Par conséquent, on pourrait imaginer que l’équilibre des échanges et de l’écosystème, au détriment du développement et du progrès, pourrait être un exemple type de société solidaire.

On s’y sent si saule…

La forêt, milieu de faune et de flore, créée une forme de multiples échanges qui pourrait donner une attribution de « société solidaire verte ». Le fait que des végétaux s’accumulent dans un ensemble dit : la forêt n’est pas due à des communications internes mais à un environnement propice à l’accès en lumière, en sels minéraux et en eau. Les végétaux seraient donc peut-être plus égoïste qu’on ne le pense. L’indépendance des végétaux influe aussi sur la possibilité d’espèces qui prolifèrent à l’insu d’autres. Prenons l’exemple d’une plante invasive qui fera tout son possible pour s’étendre et prendre un maximum d’espace au préjudice d’autres espèces. Peut-on vraiment appeler cela de la solidarité?
De même pour la faune. On observe une absence de mixité entre espèces. En d’autres termes, tous les types d’animaux ne vivent qu’entre-eux et essayent d’éviter les individus étrangers, faute de connaissance d’autrui. Cette faune se regroupe et forme des clans inséparables, symbole de solidarité. C’est ce qui peut s’apparenter aujourd’hui, dans notre société, aux préjugés qui empêche la mixité sociale pouvant aller jusqu’à la guerre de clans. Une nouvelle fois, zst-ce vraiment ce qu’une société voudrait pour se baser sur la solidarité?

On a encore du bouleau…

Le biomimétisme consiste a copier la nature dans ses processus ou matériaux. Ici, si la société actuelle était un calque de l’écosystème qu’est la forêt, la loi du plus fort s’appliquerait. Le plus fort n’impose sa domination au plus faible qu’aussi longtemps qu’il est le plus fort. C’est un jeu de force qui obéit à une loi naturelle. Ainsi la force ne peut s’exercer que dans l’actualité de sa puissance. Nul relâchement ne lui est permis car celui qui la subit reprendrait le dessus. Le rapport de force est donc menacé de renversement permanent. Il n’a pas la stabilité du rapport politique, ce qui va à l’encontre de l’équilibre de la forêt. Faire une copie conforme de cette société solidaire serait donc impossible à réaliser. Cependant, de nombreux points dans cet écosystème devraient inspirer notre société actuelle. En effet, la solidarité est tout de même présente entre les différents végétaux. Prenons l’exemple de la symbiose qui permet à 2 plantes de s’entraider tout en subvenant aux besoins de chacun, ou tout simplement de la nourriture que peut donner les végétaux à la faune. Cela d’apparente à une solidarité gratuite, sans rien attendu en retour. Le souhait d’une société stable.

Société Forestière: La nature une valeur sûre

La solidarité est un moyen de garantir la stabilité d’une société. Tout comme l’Homme, la forêt est un écosystème où l’on retrouve la notion de solidarité. Cependant actuellement nous être humain, recherchons une société dite solidaire afin de garantir une société stable et de limiter les inégalités sociales. La forêt est-elle un exemple parfait ? Quelle sont ces qualités?, mais chers confrères dans cet article je vise principalement les citoyens passionnés par la lecture nous allons voir si « une société solidaire peut être représentée par une forêt en bonne santé ».


Une forêt en bonne santé représente une société

Premièrement la forêt est un écosystème où l’on retrouve une diversité d’espèces floristiques et faunistiques. Ces espèces sont en permanence étroitement associées les uns avec les autres. L’interaction entre ses différentes espèces dans une forêt forme des associations car chacun possède des caractères bénéfiques pour l’un et l’autre des partenaires. Autrement dit dans la forêt, il existe une forme de solidarité qu’on appelle la vie en symbiose. Cette vie en symbiose permet aux espèces de vivre ensemble et d’améliorer leur cycle de vie, par exemple la vie en symbiose entre les fourmis qui protège les arbres contre les défoliateurs et les arbres qui sont des habitats pour les fourmis.

Une forêt en bonne santé n’est pas forcément une société solidaire

Néanmoins dans la forêt il existe une forme d’égoïsme, il existe une compétition entre certaines espèces qui ne vivent pas en symbiose que l’on appelle les parasites. Autrement dit une espèce qui tire profit d’une autre espèce en s’y nourrissant, s’abritant où se reproduisant ce qui pourrait provoquer la mort de certaines espèces. Prenons l’exemple du champignon qu’on appelle la chalarose du frêne qui attaque les arbres et provoque, parfois, leur mort sur pied.

Pour conclure Il est évident que la foret et un exemple pour représenter une société solidaire. Cependant il n’est pas négligeable de savoir  que les espèces pensent en priorité à leur survie avant leur communauté, donc cela représente bien cette égoïsme permanent dans le monde végétal  et animal.

La Forêt, une solidarité naturelle.

     La notion de solidarité est ancré dans notre société seulement depuis 1821, c’est à travers elle qu’est assuré la stabilité et l’équité. Aujourd’hui notre modèle de société semblerait résidé dans le modèle de la forêt pourquoi ? Tout d’abord au-delà de son extrême complexité dans son mode de fonctionnement, la forêt existe depuis des dizaines de milliers d’années et sera sûrement encore la bien après nous. Nous prenons aussi même exemple sur elle pour cultiver et bien d’autre dont nous traiterons dans cette article.

Si l’on prend la forêt dans ça globalité elle se trouve composée d’une part, d’une flore très importante mais aussi d’autre part d’une faune tout aussi importante.

 

Une flore solidaire entre elle mais aussi envers la faune:

     Au cours des siècles et des évolutions les différentes espèces et essences ont développées de multiples techniques afin de leurs permettre de mieux survivre dans ce milieu. Certaines de ces techniques vont soit venir aider seulement l’arbre concerné ou bien aider tout un groupe d’individus.

     Par exemple on peut qualifier la relation entre un champignon et une algue, comme une symbiose car l’association des deux va permettre au champignon d’avoir à sa disposition plus d’eau et sels minéraux. Tandis que l’algue elle va pouvoir puiser dans les réserves de glucose du champignon pour se développer. Ce type de rapport nous pouvons le retrouver dans nôtre société par exemple quand une personne se retrouve bloquées à cause de la neige sur la route, et que d’autres automobilistes viennent le pousser pour débloquer la voie et faire repartir tout le monde. Cette action va profiter à tout le monde.

     Il en est de même quand nous sommes en pleine hiver qui est ce moment assez triste de l’année, ou la plupart des arbres perdent leurs feuilles, ce phénomène bien que naturel permet aux espèces les plus petites d’être recouvert pour passer l’hiver « au chaud ». En effet en ce formant ce couvert végétal vient en quelque sorte protéger les plus faible et démuni, un peu à la façon de toutes ces personnes venant en aides aux sans abris en leurs offrant une couverture ou un toit.

     Enfin pour ce qui est de la faune, elle aussi va pouvoir profiter également de la forêt pour y trouver un refuge (comme pour la faune chassée par l’homme, elle va pouvoir passer par des endroits pas accessible pour son prédateur et lui échapper), une cache (comme les ronciers qui permet par exemple au lapin de protéger et dissimuler son terrier) ou encore de quoi se nourrir (avec les arbres portants des fruits).

 

Nous pouvons nous apercevoir de certaines similitudes entre notre modèle de société et celui de la forêt. Pour autant la forêt est-elle vraiment profitable à tous ? Encore plus pour les petits êtres et spécimens ? La loi du plus fort n’existerait elle pas aussi au sein de la forêt ?

 

Un manque d’équité malgré tout présent:

     Malgré beaucoup d’entraide présent en forêt ce lieux n’échappe pas à la loi du plus fort. En effet les plus faible ne survivent pas toujours et finissent aussi par se faire manger ou mourir. Comme par exemple quand il s’agit aux arbres de grandir celui qui ne réussira pas à suivre la cadence imposée par les autres arbres se retrouvera privé de lumière et finira par dépérir puis mourir.

  C’est le même cas pour les champignons et les arbres les champignons ne sont pas toujours favorable aux arbres et dans des cas extrême vont finir par tuer l’arbre.

    De même pour le côté nourricier de la forêt elle peut nourrir la faune et même l’Homme mais aussi tuer avec ces cadeaux empoisonner. Il existe beaucoup de fruits, champignons comestibles pour l’homme mais toxique pour certaines espèces et inversement.

 

   Pour autant tout ces défauts nous les retrouvons dans nôtre société actuelle, certaines personnes meurent de faim, ne trouve pas à manger ou n’ont pas les moyens. D’autre vont s’enrichir et en tirer tout les profits dans certaines situations. Et malgré tout beaucoup de personnes de nôtre monde meurent tandis que d’autre naissent. Un peu comme au rythme des saisons.

 

Il existe aucun modèle de société parfait :

     Pour conclure nous trouverons dans ce monde aucun modèle de société parfait pour autant il semblerait bien que celui de la forêt pourrait s’en approcher. Car même si il comporte quelques défauts, il possède malgré tout la plus grande équité. Et dans ce modèle de société chacun peut trouver sa place et avoir sa chance de survivre.

 

        Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ».

La solidarité forestière, un modèle impossible pour notre société

Le terme de solidarité, (du latin « solidus » qui signifie : entier, consistant, lien unissant entre eux les débiteurs d’une somme) est souvent utilisée pour décrire une société modèle, en effet pour beaucoup d’hommes une société parfaite serait une société dans laquelle tous les individus ne feraient qu’un et où chacun serait uni afin de promouvoir l’entraide. Dans les forêts, il existe surement une certaine forme de solidarité mais laquelle ? Et est-elle compatible avec notre société, afin de s’en servir comme un modèle ? 

 

La symbiose :

Dans les forêts, il existe une forme de solidarité notamment entre les différents végétaux c’est ce qu’on appelle une symbiose. Cette symbiose permet à différentes espèces de vivre ensemble.

Dans les forêts, il existe par exemple des symbioses mycorhiziennes, c’est-à-dire une symbiose entre des plantes et des champignons. En effet, les plantes coopèrent avec les champignons en s’échangeant des éléments nutritifs nécessaires pour leurs croissances. La plante propose des sucres aux champignons en échange de nutriments comme le phosphore ou l’azote de la part de ce dernier. Ce type de coopération est donc bénéfique à chacun.

La symbiose est donc un type de solidarité car elle permet d’aider d’autres êtres vivants cependant, elle a lieu seulement car chacun en tire un profit. Dans notre société, il est évidemment souhaitable que ce type d’entraide est lieu car il n’y a aucun perdant. Mais c’est malheureusement presque impossible, en effet il y a aura toujours des personnes plus favorisés que d’autres.

 

 Des relations parfois égoïstes entre végétaux :

Cependant, il faut nuancer en effet certain végétaux ne fonctionnent pas en symbiose mais au contraire en compétition. En effet, dans une forêt chaque arbre va chercher à être plus haut que les autres afin de capter un maximum de lumière ce qui est totalement contraire à une idée de solidarité.

Un autre exemple contraire à la solidarité est par exemple le lierre grimpant. Très présent en forêt, il s’agrippe et grimpe aux arbres ce qui au bout d’un certain temps les étouffe et va donc les condamner.

Attention tout de même, il faut nuancer cette notion d’égoïsme chez les végétaux. En effet contrairement à l’homme, les végétaux agissent de telle manière afin de survivre contrairement aux hommes qui sont généralement égoïste par mépris des autres.

 

Pour conclure…

Il existe donc bien une forme de solidarité dans les forêts avec les symbioses existantes entre différentes espèces, cependant c’est une sorte de solidarité particulière et différente de la solidarité humaine. Les 2 partis sont gagnants et donc cela peut être comparé à une solidarité hypocrite comme dans notre société. De plus il y a également des relations très égoïstes entre les végétaux et notamment entre les grands arbres. Pour ces différentes raisons, la société forestière n’est pas compatible avec notre société, l’homme est en effet trop différent du végétal.

Solidaires dans la fin

Nous connaissons tous la forêt, mais chacun de nous en à une vision différentes. Nous pouvons la comparer à l’humanité, en effet, elle est composée d’êtres vivants, qui, comme les êtres humains, ont tous leurs particularités (couleurs, formes, type de feuillages, etc.). Pour beaucoup la forêt est un lieu paisible qui permet de se ressourcer et d’évacuer les problèmes du quotidien. Cependant, cette possible harmonie que nous voyons, nous permet-elle de dire que cet écosystème est semblable à une société solidaire? En y regardant de plus près, les interactions de certains êtres vivants dans un tel milieu ne sont pas si innocentes. Leurs façons de vivre pouvant s’apparenter à nos propres actions et mentalités, il est aisé d’imaginer qu’il puisse y avoir des actes et des liens entre les végétaux qui correspondent aux mêmes actions de solidarités visibles chez les humains. Toutefois de tels actions restent trop rares pour affirmer qu’un lieu aussi cruel puisse être considéré comme une société solidaire

La loi du plus fort

Beaucoup d’entre nous pensons que l’humanité est d’ores et déjà dans un tel schéma individualiste, semblable à la forêt, lieu de conflits, depuis des millénaires. Dans cet environnement, beaucoup d’espèces se plient à la loi de la survie, autrement dit la loi du plus fort. Pour comprendre, il faut connaître leur raison de vivre : perpétuer l’espèce. Pour cela il faut subsister. Avec un tel objectif, se crée une forte concurrence entre les espèces, les moins résistantes ne pourrons alors que périr. On peut considérer que le type de société qui compose les forêts correspond à un modèle dit archaïque. Celui-ci permettant de régler les conflits par le combat, aboutissant le plus souvent au trépas de l’un des protagonistes. Un voisin, dans ce monde végétal peut devenir soit un obstacle soit un repas. C’est ainsi que les arbres, en monopolisant la lumière du soleil, condamnent les autres êtres vivants poussant à leurs pieds, à rester rachitiques. D’autres tels que les champignons, se nourrissent en se greffant à d’autres végétaux, drainant à leur insus les substances nécessaires à leur survie. Où est donc la solidarité ?

A deux nous sommes plus fort

Face à une telle description il est logique de croire que dans la forêt tous luttent afin survivre. Mais les « miracles de la natures » font que tout est possible. On peut voir alors ce miracle de la solidarité naître entre certains êtres vivants. Deux espèces, qui peuvent ne rien avoir en commun, vont parfois s’entraider pour mieux résister aux éléments extérieurs. Chacun va alors apporter une chose indispensable que l’autre n’a pas, se complétant pour assurer leur survie. Une longue solidarité se met en place entre les deux protagonistes. Elle peut apparaître pour de nombreuses raisons telles que: la résistance aux conditions climatique, l’apport de nutriment, la protection contre une autre espèce. C’est ainsi que se crée le lichen, mutualisme entre un champignon et une algue. L’un ne peut vivre sans l’autre, parfait exemple de solidarité. 

L’Homme et l’incompréhension

‘’Ce qui reste éternellement incompréhensible dans la nature, c’est qu’on puisse la comprendre’’ Albert Einstein 

Si l’on reprend les propos d’Albert Einstein, il est donc peu logique que l’homme cherche à expliquer les phénomènes liés à la nature. Une question se pose, l’homme ne tente t-il pas d’expliquer ce qu’il ne peut comprendre en cherchant une réponse dans la société qu’il a lui même créée? Pourquoi essayons-nous d’appliquer ces notions sur quelque chose que nous n’avons pas inventé ? 

La nature, une entité qui nous dépasse dans bien des domaines, n’a certainement aucune notion concernant ces idées humaine que sont la solidarité, et la société. 

Même si la forêt est vaste et que de nombreuses choses y sont possibles, la majeure partie des êtres vivants n’en sont pas moins des prédateurs. Peu nombreuses sont les espèces qui se tournent vers cette idée de solidarité. La forêt s’apparente plus à une champs de bataille, ou seule les espèces les plus fortes peuvent survivre. Nous sommes bien loin de cette idée de société solidaire.  

 

 

 

La forêt, modèle d’excellence ?

Et pourquoi pas, ne pas se baser sur la nature qui nous entoure? Pouvons-nous considérer la forêt comme un exemple de société, pour pouvoir nous même nous épanouir à travers l’entraide réciproque ?  

Rien de plus important que d’observer la nature dans laquelle nous vivons, pour pouvoir comprendre notre propre société. Des êtres qui nous paraissent rustiques et non sensibles sont de véritables sources de bien être, et c’est un très bon exemple de vie en société. 

Une symbiose obligatoire pour la survie 

En effet, la forêt n’est pas composée que de 3 ou 4 strates de végétaux, mais regroupe la majorité des différentes familles d’êtres vivants dénombrée sur la planète. Une réelle zone de vie est formée représentant les maillons d’une chaîne. Chacun se tient et se supporte mutuellement. Si par malheur un maillon devait se briser, il manquerait automatiquement aux autres. De part sa présence il apporte ce que l’autre n’a pas, et en retour il reçoit ce qui est nécessaire à sa croissance. C’est ainsi que dans le domaine de la science, on a nommé ces interactions à effets de bénéfices réciproques, des symbioses. L’un ne peux pas vivre sans l’autre, qu’il appartienne à sa famille ou pas. Ainsi nous pouvons prendre comme exemple, le mycélium et l’arbre. Le mycélium est un champignon qui vit sous terre et qui peut se répandre sur plusieurs centaines de kilomètres, et pour vivre il a besoin d’un support dont il s’agit ici des racines des ligneux. Le mycélium apporte des nutriments et de l’humidité, ce qui arrange fortement les arbres notamment en période de sécheresse. En retour, l’arbre prête ses racines pour que les champignons puissent prospérer et s’étendre. Si chacun pouvait apporter ses qualités au service de la société, nous mélangerions alors des connaissances qui bénéficieraient au progrès. Un progrès qui a toujours été source de motivation pour les hommes. Et si nous nous soutenions tous grâce à nos qualités,  nous serions alors une société indestructible. Car c’est en se soutenant les uns les autres, et en partageant nos différences que nous réussirons à devenir une société solidaire, tout comme la forêt.

Solidarité, bienfait indispensable pour toute société

De plus les êtres vivants se soutiennent entre eux. En effet, quand des parasites se jettent sur eux pour les attaquer, ceux-ci vont libérer des particules dans l’air afin de prévenir leurs congénères . Ainsi, les êtres vivants avertis vont pouvoir sécréter des substances qui leurs seront ensuite bénéfiques pour leur protection. Une population d’arbres dans une forêt est un très bon exemple, si l’arbre attaqué n’avertissait pas les autres la totalité de la communauté serait attaquée, dévastée puis morte. Ainsi le soutient mutuel participe à une vie commune. De plus, en ce qui concerne les végétaux, lorsque l’un d’eux tombe malade les autres autour le soulagent en lui apportant tout ce dont il a besoin pour sa guérison. Nous pouvons observer dans nos sociétés actuelles que, naturellement l’être humain possède un côté sensible, et qu’il est doté d’une moralité. En fonction de sa culture et de son éducation, il va agir différemment face à autrui, car il aura développer des sensibilités différentes. Le fait de se baser sur la forêt, nous pouvons remarquer qu’il n’y a pas de rejets entre espèces différentes lorsqu’il s’agit de la survie. Chacun restent présent pour les autres, car il en dépend malgré lui. Sans les autres il ne peut s’épanouir. Et cela pourrait s’appliquer dans nos sociétés actuelles mais avec beaucoup d’efforts..

Plus que parfait !

Et enfin, la forêt qui est avant tout un écosystème, reste un élément parfaitement structuré dans sa composition. En effet, quel est l’élément le plus parfait observable dans notre monde ? La nature vient de toute évidence, aux premières loges. Aucune lacune n’est recensée. Ainsi de par à cette perfection celle-ci est automatiquement régulée d’elle même. Il n’y a pas plus grand comme mode de vie en commun que la nature, et ici en l’occurrence la forêt. C’est un endroit magnifique où se mélange tous les éléments, et où cohabitent des milliers et des milliers d’espèces différentes.

Alors oui bien sûr, la forêt peut être le modèle d’une société solidaire, car c’est un écosystème où de nombreuses espèces arrivent à partager leur mode de vie, en s’adaptant aux niches écologiques des autres. Si nous nous basions sur ce type de société solidaire en toute modestie et humilité, nous arriverions à atteindre, à notre rythme, un but presque parfait.

La forêt : société idéale ou écran de fumée

On observe aujourd’hui dans notre société un écart de plus en plus grand du niveau de vie dans le monde entier. Et si nous prenions exemple sur le mode de fonctionnement de la forêt ? Après tout quoi de mieux que ce milieu de plus en plus précieux dans notre monde, un milieu qui s’auto-régule, est en constante évolution de quoi en faire un idéal d’où ma question : La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Nous verrons, vous jeunes gens et moi,  que en effet celle-ci possède de nombreuses interactions apparentées à de la solidarité telle que le mutualisme mais que, à l’inverse, y règne aussi un système de loi du plus fort.

Bien plus qu’une solidarité, une symbiose

Tout d’abords, on nous dit souvent que la forêt est un lieu paisible où l’on va pour se reconnecter avec soi, avec le monde; que c’est un milieu sain. On nous dit moins souvent qu’il y règne des interactions spécifiques telles que le mutualisme qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui s’échangent des nutriments par exemple ou bien la symbiose qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui sont indispensables l’un pour l’autre afin de pouvoir vivre. Cette dernière est bien plus fort que ce qu’est pour nous la solidarité, en effet si l’on prend pour exemple les champignons qui se trouvent sur les racines des arbres ( mycorhizes ) et bien sans eux les arbres auraient des carences nutritives et donc mourir; cela est une question de survie plus que d’une simple aide.

L’anarchie animale et végétale

En suite, tout en étant un milieu de vie qui peut sembler des plus calmes et paisibles, la forêt est le lieu d’un parasitisme. En effet, en marchant dans les hautes herbes se trouvant aux abords des forêts on peux avoir la mauvaise surprise de repartir avec plus de monde que ce qu’on est arrivé. En retrouvant par exemple des petites tiques qui en plus de se nourrir de notre sang pourraient nous offrir en cadeau la maladie de Lyme rien que ça. On retrouve aussi la prédation en forêt avec le pauvre petit lièvre qui se fait dévorer par le vicieux renard, ou encore la compétition pour un même milieu entre deux individus comme par exemple entre deux végétaux : pour la lumière, l’eau ou les nutriments du sol, elle existe aussi chez les animaux.

Donc, la forêt n’est pas le modèle d’une société solidaire car même si certaines relations peuvent être bénéfiques pour chaque partie d’autres ne le sont pas. La forêt est comme le disait Foucault « Là où le désordre fait scintiller les fragments d’un grand nombre d’ordres possibles » une composition hétéroclite. Michel Foucault ayant connu la seconde guerre mondiale. De ce fait la forêt peut nous paraître un désordre où le pouvoir est déconcentré.

Le chant de la forêt : une chanson solidaire ?

« Un peuple qui ne connaît pas son passé, ses origines et sa culture ressemble à un arbre sans racines. » Cette citation de Marcus Garvey résume bien le fait qu’une société se doit d’être soudée pour fonctionner. La société actuelle est elle solidaire ? Malgré toutes les associations qui viennent en aide aux personnes en difficulté et l’entraide dont la population fait preuve, nous pouvons dire que la société aujourd’hui est solidaire. Cependant, elle a encore des progrès à faire, notamment du point de vu de la compétition entre les individus. Mais qu’en est-il de la forêt ? On dit souvent que les arbres communiquent entre eux et s’entraident. Est ce le même cas pour une société humaine?  Nous montrerons que la forêt n’est pas le modèle parfait pour une société solidaire .

Tout d’abord, pouvons nous confirmer qu’une forêt et les individus qui la composent s’apparentent à une société ? A partir du moment où les animaux et les végétaux d’une forêt communiquent entre eux de différentes manières, nous pouvons approuver le fait qu’une forêt peut être comparée à une société humaine. Maintenant, il nous reste à étudier le caractère solidaire d’une société de la forêt.

Une faune individualiste

Nous pouvons affirmer que la faune est solidaire, seulement elle l’est uniquement envers les membres de son espèce. Prenons l’exemple d’un animal comme le renard. Les renards feront tout pour subvenir aux besoins de leurs petits renardeaux.  C’est en cela que l’on peut dire que la faune forestière est solidaire.  Cependant lorsque l’on parle d’entraide entre les différentes espèces, on se rend compte que celle ci  n’existe pas. Elles s’entre-tuent afin de pouvoir survivre et font donc preuve d’individualisme.  Elles sont solidaires exclusivement envers leurs semblables.

Mais la faune n’est pas l’élément central de la forêt…..

Une flore solidaire

Tout d’abord, il faut savoir que les arbres communiquent entre eux, grâce à leur racines, et plus particulièrement grâce à un champignon, sous forme de millions de petits filaments blancs, qui relient tout les arbres entres eux. Il faut savoir que la communication consiste en l’échange d’informations entre différents individus.

On parle d’un véritable réseau à travers lequel les arbres reçoivent différentes informations. Mais de quelles informations s’agit il ? La plupart du temps, il est question de message d’alerte. Les arbres sont capables d’établir une réelle stratégie pour pallier à un danger. Par exemple, lorsqu’un animal vient grignoter les feuilles d’un arbres, l’arbre va directement envoyé un message d’alerte aux arbres environnants, ce qui va les permettre de se protéger. En effet, les arbres vont grâce à ce message fabriquer des anticorps, qui rend leur propres feuilles immangeables pour les animaux.

 

De plus, quand un arbre est malade, en situation de détresse, voir proche de la mort, les autres arbres vont alors se mobiliser et donner les nutriments nécessaires à l’arbre malade grâce à leurs racines.

Nous pouvons donc confirmer par ses deux points que les arbres d’une forêt sont solidaires entre eux.

Pour conclure, nous pouvons donc dire que la forêt constitue une société solidaire. Néanmoins, il y a une limite à affirmer que la forêt soit un modèle à suivre pour la société humaine. En effet, une entraide à lieu, mais uniquement entre les individus d’une seule et même espèce. Dans le cadre d’une société humaine, aucune différenciation ne devrait avoir lieu.

Entre la loi de la nature et la vie en société humaine, un écart se creuse ….

Société : Écosystème de demain !

Beaucoup le disent et pensent, nous vivons dans un monde individualiste où les liens sociaux et les liens liés aux solidarités de classes et d’appartenance religieuse et sociale semblent disparaître. Alors pourquoi ne pas prendre exemple sur des sujets tels que les arbres ainsi que les organismes formant une forêt car, nous le savons tous, ils communiquent entre eux, mais sont aussi solidaires les uns envers les autres en s’entraidant.  Alors la question serait, la forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ?

Je vais tenter d’y répondre en expliquant, les similitudes de la société et du système forestier en passant par la théorie de Darwin et de ses controverses. Mais  avant toutes choses, par quel facteur et comment les organismes se maintiennent en vie ensemble .

 

Du vivant grâce aux coopérations !

La forêt est un écosystème complexe mais qui fonctionne avec le principe de la symbiose. C’est-à-dire qu’il existe un lien qui réunit tous les organismes entre eux et qui leur permet de vivre indépendamment des autres mais avec leurs aides. Chaque organisme va survivre en puisant la faiblesse d’un autre organisme pour un faire une force. À travers ce principe symbiotique, d’autres interactions prennent place en parallèle, telles que le mutualisme dans laquelle les deux organismes retirent un avantage à l’association ; le commensalisme, dans lequel un des deux organismes retire un avantage l’autre organisme n’a aucun avantage ni désavantage.

Toutes ces relations montrent que la forêt n’est pas juste une succession d’individus, mais un seul et immense organisme, en effet le système forestier implique une entraide des organismes entre eux et la survie de chacun dépend indépendamment des autres organismes qui l’entourent en utilisant la faiblesse de chacun pour l’optimiser en force.

 

Société : Calque du système forestier ?

La société actuelle tend à nous rendre solidaires les uns envers les autres avec de nouveaux principes de partage bilatéral tel que le covoiturage qui permet à plusieurs personnes tierces de voyager ensemble le temps d’un trajet afin de contrer le prix des transports conventionnels comme le train par exemple ; ou encore les mutuelles de santé, basé sur la solidarité des cotisations, le financement de la couverture sociale complémentaire.

Ce sont des exemples parmi tant d’autres qui laissent penser que la société veut créer des liens entre les Hommes semblables à ceux qui existent entre les organismes du système forestier où chacun va utiliser la faiblesse d’un autre pour en faire une force afin de former un seul groupe et d’avancer ensemble, thèse qui se rapproche de l’idée défendue dans l’ouvrage « du contrat social» de ROUSSEAU ou il met en avant que les individus se rapprochent pour s’assurer une vie pérenne. Les individus s’arrangent entre eux pour vivre en toute sécurité et c’est ce rapprochement qui permet de former une société.

 

Illusion face aux relations ?

Malgré le fait qu’on aurait tendance à croire que la société ait toujours fonctionné avec le principe de solidarité entre individus, que ce sont ces relations qui ont permis l’existence de l’espèce humaine, la théorie du darwinisme vient corrompre cette idée ; la survie de l’espèce humaine serait dû à la compétition entre les individus. Selon la théorie de Darwin la survie des Hommes est principalement liée à la « loi du plus fort ».   En effet Lamarque et Darwin défendent l’idée que la lutte pour la vie entre les Hommes représente la sélection naturelle et qu’elle serait la source fondamentale du progrès et de l’amélioration de l’espèce humaine qui a permis d’aboutir à l’élimination des moins aptes à la survie des plus aptes.

 

Théorie démentie !

La théorie du darwinisme social, bien que fondée, est source de nombreuses contestations. Plusieurs philosophes viennent réfuter l’idée selon laquelle la survie de l’espèce humaine serait due à la compétition entre les individus. André-Comte Sponville est l’un d’eux, et il met en avant dans sa chronique égoïsme et altruisme dans les médias Le Monde, le fait que ce sont les relations d’entraide solidaire qui sont nécessaires à la survie de l’espèce humaine et non, des relations conflictuelles ; « dans la lutte pour la vie, une certaine proportion d’altruisme, de la part des individus, est un avantage sélectif, pour l’espèce : au sein d’un groupe capable de solidarité, d’entraide, de compassion, chaque individu a davantage des chances de survivre, donc de transmettre ses gènes, que dans une horde qui ne connaîtrait que l’égoïsme, la violence et la rivalité. »

 

La forêt peut être considérée comme un modèle de société solidaire, et la société actuelle s’aligne sur certains grands principes du système forestier, cependant malgré le fait qu’il peut servir de modèle, il ne peut être calqué. Les relations entre les organismes de la forêt sont à l’échelle du système forestier et que s’il venait à être reproduit à échelle humaine, c’est tout le système politique qu’il faudrait revoir et changer.

La forêt : preuve d’une solidarité innée.

La forêt représente une surface très importante de la Terre, c’est un milieu naturel où cohabitent beaucoup d’espèces animales et végétales.  Elle incarne les poumons du globe terrestre. Fâcheusement, beaucoup d’incidents font que celle-ci disparaît peu à peu. Certains pensent qu’elle est indispensable seulement pour notre survie alors qu’elle est également nécessaire pour nous montrer le droit chemin. C’est une sorte d’indicatrice qui nous fait part de la santé de notre planète. C’est donc pour cela qui nous devons en prendre soin voir la prendre comme modèle. Mais peut-elle être le modèle d’une société solidaire ?

La forêt est basée sur l'(entr)aide 

Une forêt peut se caractériser par plusieurs termes qui témoignent d’une solidarité. Tout d’abords, le concept d’habitats est très présent dans les forêts. Certaines espèces vivent sous terre, en haut des arbres, ou même dans les arbres. Tous ces habitats montrent une entraide car c’est un lieu de vie qui a pour fonction la protection contre les intempéries de la nature. Donc le fait qu’un arbre accueille dans son écorce une espèce montre une entraide, une solidarité entre l’arbre et la population vivant dans celui-ci. Dans ce cas, l’arbre n’attend pas forcément un retour de la population vivant à l’intérieur de lui. Premièrement, une société devrait donc prendre modèle sur la forêt pour comprendre le terme solidarité. En effet, tous les humains doivent savoir qu’il ne faut pas forcément attendre un retour lorsqu’une personne est dite gentille avec une autre. Tant qu’ils n’auront pas compris cela, des dysfonctionnements seront toujours visibles dans une société. De plus, pour qu’une forêt soit en bonne santé, il existe la symbiose. C’est une association entre deux organismes qui a pour but d’améliorer leur condition de vie. C’est donc pour cela qu’une société devrait utiliser la symbiose : pour améliorer le cadre, les conditions de vie au sein d’une population et le bien-être.

La forêt : une société utopique

Avez-vous déjà vu un dysfonctionnement dans une forêt ? Et bien malheureusement oui, mais tous ces problèmes naissent à cause de l’homme. Si l’homme n’intervenait pas, la végétation s’étendrait dans toutes les zones ou elle n’est pas présente car elle se sentirait encore mieux. Dans une forêt, chaque arbres ou arbustes sont à leur place et respectent celle des autres. La cohabitation est donc agréable et  évite des problèmes entre la végétation. C’est donc pour cela que les humains devraient prendre exemple sur la forêt pour dynamiser une société et donc la rendre solidaire. De plus, le fait de calquer le système de la forêt permettrais de diminuer fortement les conflits et donc améliorer la sérénité de chacun.

Personne n’est parfait… 

Certains ont trouvé une limite à cette société utopique : la compétitivité. En effet, tous les végétaux ne peuvent cohabiter ensemble : par exemple, quelques-uns nécessitent plus d’espace que d’autres pour développer leur système racinaire. D’autres ont besoins d’une luminosité importante contrairement à certains qui se plaisent plus en zone ombragée. En raison de tous ces facteurs, les végétaux ont donc mis au point des stratagèmes pour surpasser la nuisance des autres. Regrettablement, cette compétition joue sur l’état de santé des forêts. C’est donc pourquoi, pour une minorité de la population humaine, il est préférable de ne pas prendre exemple sur ce modèle car cela pourrait engendrer des mésententes dans la société.

Pour conclure, l’homme a créé des sociétés en s’inspirant des forêts mais en exagérant des aspects ce qui entraîne des dysfonctionnements. Ces derniers sont dus aux prises d’initiatives humaines. Mais comme le dis Blazac : « Inventer en toute chose, c’est vouloir mourir à petit feu ; copier, c’est vivre ». La forêt est donc un modèle pour les humains. La société humaine devrait prendre exemple sur les forêts pour améliorer les conditions de vie.  La société humaine devrait mieux s’informer sur les forêts pour mieux calquer. La société humaine devrait changer de méthode de fonctionnement, créer une société basée sur l’entraide et la solidarité.

Et si l’homme avait des racines ?

Qui dit symbiose, dit « vivre ensemble » ; mais visiblement, cette harmonie n’est évidente que pour le cosmos floristique. Le terme de symbiose traduit une association biologique durable et réciproquement profitable entre des organismes. Cependant, quand on évoque le sujet de la société humaine, il est difficile d’en extraire que du positif quand on distingue sans difficulté les deux faces de l’homme : l’altruisme, mais aussi l’égoïsme. Aujourd’hui, ce dernier en ressort davantage, d’autant plus qu’il fait l’objet d’une problématique existentielle. De la sorte, au vu du manque de cohésion chez les hommes, devrions-nous conformer notre attitude à celle des arbres afin d’apaiser les tensions ? Nous allons démontrer ici que les exceptions subsistent malgré tout et que cette solidarité verdoyante devrait être plus considérée. 

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Ici, la société humaine…

Avant toute chose, parlons de la compétition. Cette dernière nous est instaurée sans le vouloir dès notre plus jeune âge. L’envie de réussir, telle que scolairement, professionnellement, financièrement ou encore socialement, semble finalement nuisible, au vu des conséquences de nos actes ( scélératesse, autolâtrie ). On peut comparer cela à un combat entre les plus forts contre les plus faibles. Thomas Hobbes l’a dit : « Nous trouvons dans la nature humaine, les principales causes de discorde : tout d’abord la Compétition, en second lieu, la Défiance, et en troisième lieu, la Gloire« . Ici, la compétition force les hommes à se faire la guerre en vue du gain. Elle fait de l’homme quelqu’un de violent, pour se montrer plus fort que les autres. Quant à la défiance, celle-ci se fait pour la sécurité, pour se défendre. Tandis que la gloire se fait pour la réputation. Elle est là pour se donner bonne conscience, pour un sourire.

Cette compétition nous est tant ancrée, qu’elle va même jusqu’à être associée à l’économie, en provoquant ainsi des guerres économiques. Cette compétition économique cherche à produire pour avoir ou vendre plus que les autres. La guerre, quant à elle, sert à dominer, tant les gens que les territoires en vue d’une autorité durable. La guerre se fait pour avoir la paix, mais comment l’avoir vraiment puisqu’il faudra constamment se développer, faire des profits et gagner des marchés ? Cependant, la compétition a malgré tout, des aspects positifs, car sans elle, pourrait-on imaginer une société évoluée et progressive ? Néanmoins, c’est cette société compétitrice qui a suscité l’égoïsme.

On traite souvent d’égoïste celui qui n’a pas pensé à nous, et donc celui qui n’a pensé qu’à lui. « L’égoïste est celui qui n’emploie pas toutes les minutes de sa vie à assurer le bonheur de tous les autres égoïstes », d’après Lucien Guitry. En effet, il, veut dire que tous les hommes sont égoïstes, et qu’ils ne perdent pas leur temps pour aider les autres, qui, eux aussi, sont égoïstes. Cela serait source de conflits. Cet état d’esprit hyperindividualiste, est très majoritaire dans notre société actuelle. Bien sûr, ce trait de caractère ne concerne pas tout le monde. Seulement, quand on parle d’égoïsme, ce n’est qu’une globalité.  Mais derrière ces actes égoïstes, n’y aurait-il pas un soupçon de générosité ?   

Individuellement, l’homme n’est pas forcément égoïste, il y a toujours du bon et du mauvais. Précédemment, nous parlions d’exception, plus particulièrement de la société en elle-même qui pose problème. Par exemple, les conflits d’intérêts ne découlent pas que de l’attitude des personnes. Ils résultent également des circonstances : la faim n’est source de conflits que s’il n’y a pas assez de nourriture pour tout le monde. L’homme est capable d’amour, d’amitié et de bienveillance. Contrairement à ce que tout le monde pense, l’homme ne serait pas fondamentalement égoïste, ne pouvant être rendu sociable que par la culture et les institutions.  L’homme est pourvu de générosité. Comme par exemple : garder les animaux de notre famille ou de nos amis lorsqu’ils partent en vacances, rendre service à un ami, aider à rentrer le bois pour l’hiver, accompagner une personne perdue jusqu’à tel endroit, ou encore pardonner à l’autre pour une phrase maladroite…Toutes ces choses futiles qui font l’objet de services rendus, résument cette solidarité.

Mais pourtant, si nous parlons de nos ancêtres préhistoriques, il y avait cette notion d’équipe, d’entraide. En effet, ils n’avaient pas cette notion d’existence humaine à l’échelle planétaire. Alors que nous, nous l’avons, et ce qui en résulte, est notre destruction mutuelle. Dès lors, si l’homme avait des racines aujourd’hui, on le saurait…

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…alors que la société forestière…

D’un autre côté, il y a les forêts, une société pleine de solidarité encore aujourd’hui trop méconnue. Même si les arbres peuvent s’avérer compétiteurs entre eux, pour capter les rayons lumineux par exemple, ils sont surtout partageurs. Des botanistes de l’université de Bâle, ont découvert que les arbres s’échangent du carbone, y compris entre différentes espèces. C’est ce que l’on appelle la symbiose du type mutualiste.  Les arbres prélèvent le CO2 non pas seulement pour eux, mais aussi pour les arbres voisins. Jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Ce sont les réseaux de champignons souterrains qui permettent cet échange de carbone.

En outre, les arbres se parlent, s’entraident, s’adaptent. Leur mode de vie est presque une ignorance totale. Ils font preuve de relation intime, de solidarité, et même d’intelligence. Les liens entre les arbres sont si surprenants, qu’on pourrait parler de personnes. Par exemple, deux arbres côte à côte prennent soin l’un de l’autre, ils poussent de façon à ne pas se gêner. Les branches les plus imposantes ne vont pas pousser vers le voisin, mais à l’opposé, comme s’il respectait l’espace vital de l’autre. À l’inverse, au niveau des racines, ils sont complètement entrelacés, comme s’ils ne formaient qu’un. Et si l’un des arbres venait à tomber, l’autre mourra à son tour. Les arbres forment un ensemble vivant, une petite société, avec ses couples, ses amis et ses familles. Nous savons depuis vingt ans environ qu’il y a des arbres « mères » et que ces derniers nourrissent carrément les plus jeunes, grâce à leurs racines qui leur donnent du sucre. Par ailleurs, les arbres « mères » ne nourrissent pas n’importe quels arbres, ils reconnaissent leurs petits grâce à leurs racines. De plus, les arbres communiquent également sur de grandes distances grâce à un vaste réseau. Ce réseau est constitué de champignons qui permettent de relier les arbres entre eux et grâce à cela, ils s’échangent des informations qui leur permettent de se préparer en cas d’attaque, et encore bien d’autres choses. « La forêt est plus que la somme de ses arbres ». De par sa citation, Christien Körner l’a dit : jusqu’à 40 % du carbone qui se trouve dans les fines racines d’un arbre peut provenir de la photosynthèse d’un voisin. Donc la somme des arbres importe peu, c’est l’ensemble des arbres qui constitue une forêt pleine de coopération !

Les arbres ne se font pas la guerre, ils s’entraident. 

Pourquoi ne pas y prendre exemple ?

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…devrait être une leçon

Pour conclure, si ce n’est qu’elle fait tout en silence, cette société ressemble étrangement à la nôtre, mais seulement sur quelques points : les hommes peuvent s’entraider; ils éduquent et nourrissent leurs enfants, ils protègent leur famille, leurs amis, et font preuve de bien d’autres actes solidaires. Tout comme les arbres.

Mais les arbres, eux, ne se font pas la guerre pour différentes choses comme le fait constamment la population humaine. Ils ne se détruisent pas entre eux. Au contraire, ils s’entraident, même entre différentes espèces, alors que chez nous, persiste le racisme, l’insensibilité aux conséquences de nos actes (comme le réchauffement climatique), ou encore notre esprit compétitif.

Chaque maillon des chaînes alimentaires est nécessaire au bon fonctionnement de tous les écosystèmes. Si un maillon disparaît, tout est perturbé. Mais si l’homme disparaît, la nature ne pourra que renaître de ses cendres.

 

Économie et innovation : les enjeux

Il s’agit de l’article de David Encaoua, Dominique Foray, Armand Hatuhuel et de Jacques Mairesse à propos des travaux du programme du CNRS. Ce programme a permis de stimuler les recherches sur l’innovation en France. L’objectif de ce programme est d’analyser la nature de l’innovation et ses effets sur les performances économiques et sociales.

Les économistes mettent en avant différentes représentations de l’innovation comme la représentation macroéconomique et microéconomique. Ils mettent aussi en avant les questions qui traitent de la recherche, le croissance et l’emploi en lien avec l’innovation. Les économistes parlent aussi de la gestion de l’innovation ainsi que la théorie de la firme innovante. Pour cela, ils font une relecture de la notion d’innovation avec ses variétés notamment dans le monde de l’entreprise avec les interrelations entre les innovations.

De plus, le sujet de l’économie et de la sociologie de la Science est traité ainsi que les politiques publiques en faveur de l’innovation.

 

https://www.cairn.info/revue-d-economie-politique-2004-2-page-133.htm#

La forêt, les racines de la solidarité

« La solidité maximale d’une chaîne est celle de son maillon le plus faible », voilà un vieil adage qui s’applique bien au cas de la forêt, et c’est ce que nous allons étudier dans cet article. Dans une société ou le chacun pour soi est devenu le leitmotiv de notre quotidien, ne serait-il pas préférable de revenir aux fondamentaux de ce qui fait l’essence de la société : la solidarité ? Quelle solidarité me direz-vous ? Celle qui nous entoure, celle que tout le monde voit sans même la connaître : la solidarité de la forêt. Oui, les arbres communiquent entre eux et s’entraident. Alors, qu’attendez-vous, vous lycéens, étudiants, apprentis  pour prendre exemple sur ces êtres incroyables, pour enfin créer une véritable société solidaire?

La loi du plus fort, remise en cause ?

« Seuls les plus forts survivent », c’est ce que défend Darwin dans sa théorie de l’évolution. Selon lui, les individus faibles sont éliminés naturellement, car ils sont plus vulnérables face aux dangers et menaces. Ils se reproduisent donc moins entre eux, et les individus forts persistent dans le temps. Ceci permet alors aux espèces de se perfectionner de générations en générations. Ne serait-il pas dépassé de raisonner encore ainsi ?

En effet, il semblerait bien que la forêt remette en cause cette théorie désormais approuvée par l’ensemble de la communauté scientifique.  Dans le livre La vie secrète de arbres, Peter Wolleben nous apprend comment s’organise la société des arbres : comment ils communiquent, ce qu’ils ressentent, mais aussi la façon dont ils s’entraident en cas de danger. On découvre alors que la forêt est une véritable organisation basée sur la solidarité entre individus.

« Un arbre n’est pas une forêt, il ne peut à lui seul créer des conditions climatiques équilibrées, […]. A plusieurs, en revanche, les arbres forment un écosystème qui modère les températures extrêmes, […]. Dans un tel environnement, les arbres peuvent vivre en sécurité et connaître une grande longévité. » 

Chaque arbre a donc besoin des autres, y compris des plus faibles, pour se protéger des conditions climatiques et affronter les dangers. Pour cela, les arbres ont mis en place divers systèmes de communication et d’échange afin de s’entraider. Il a notamment été prouvé qu’il existe des échanges de nutriments entre les les individus via les racines, ce qui permet une répartition équitable des ressources, et augmente ainsi leurs chances de survie.

La forêt : des arbres, une force

La société des arbres est donc plus proche d’une organisation ou chaque individu a un rôle a jouer dans la survie de l’ensemble de la forêt, que d’une organisation ou règne la loi du plus fort. Chaque arbre pourrait être le membre d’un corps mystique, comme le disait Pascal dans Pensées : chacun indispensable et indissosiable des autres. Les plus forts aident les plus faibles en leur apportant des ressources nutritives, et les plus faibles les protègent des intempéries.

 

Quand entraide rime avec survie

La solidarité permettrai donc à l’ensemble des individus de la communauté d’assurer sa propre survie. C’est d’ailleurs ce qu’avait observé Kropotkine chez certains insectes sociaux comme les abeilles ou les fourmis.

Alors pourquoi ce type d’organisation, qui fonctionne aussi bien pour les arbres que chez certaines espèces animales, ne pourrait-il pas s’appliquer à notre société humaine ? Ne vivrait-on pas mieux en étant plus solidaires ? Si on observe nos mode de vie, on peut avoir une réelle impression de chacun pour soi : chacun est en quête de son propre bonheur, assouvi ses propres désirs en ignorant ceux des personnes qui l’entourent.

On en est tout de même arrivés à un point où l’on ne connaît plus ces voisins, ce qui montre le peu d’empathie et de considération que l’on a pour les autres. Il faut donc recréer les liens et les échanges entre individus. Il ne faut pas se contenter de pseudo-actes de solidarité qui nous donnent soit disant bonne conscience. Ceux-ci mettent plus en évidence notre hypocrisie que notre altruisme. Il faut revenir aux racines de la solidarité : des actes qui aident, qui sauvent et qui nous rendent tous plus forts les uns, les autres.

 

Innovation : les salariés ont la solution !

[…] Car c’est bien l’innovation qui permet aux entreprises de maintenir leur compétitivité. Introduction de nouveaux produits, amélioration de l’expérience client, digitalisation, tout doit être revu et à un rythme de plus en plus rapide. On forme au design thinking, la direction de l’innovation multiplie les hackathons et les learning expéditions, après avoir communiqué sur l’accélérateur de startup, la direction met en avant l’incubateur interne, bref, tout le monde doit être mobilisé. […]

J’ai choisi cet article, car je le trouve très intéressant. Il montre clairement que les innovations ont des limites et sur le long terme peuvent devenir néfastes. La créations L’utilisation de nouvelles technologies fait perdre des emplois et en créer crée . Elles engendrent de nouveaux emplois « intelligents » mais on remarque également l’apparition d’emploi stérile. Plus il y a de nouvelles technologies plus il faut en créer. Voici le lien de l’articlehttps://www.journaldunet.com/management/expert/71596/innovation—les-salaries-ont-la-solution.shtml

Impôt et solidarité – le site qui vous explique…

Voila, je viens de faire ma déclaration en ligne… et je trouve en bas de page le lien suivant: https://www.aquoiserventmesimpots.gouv.fr/

4 items:

  • Ressources publiques : d’où vient l’argent ?
  • Dépenses publiques : où va l’argent ?
  • La redistribution : comment ça marche ?
  • Services publics : combien ça coûte ?

Sinon, vous pouvez lire cette thèse ;)))

 

Acteurs et spectateurs, une connexion entre tous

Les premières pièces de théâtre furent jouées pendant l’antiquité, en Grèce au Vème siècle avant J-.C, lors des fêtes de Dionysos. Se sont alors des sortes de divertissement ayant un enjeu religieux, social et éducatif.  Le Théâtre est une forme littéraire bien précise : il est ce que l’on appelle un genre et se distingue des deux autres grands genres, le roman et la poésie. Le théâtre est aussi un art. Mais comparé aux autres arts qui existent, il est un art vivant et se différencie ainsi d’autres disciplines artistiques telle que : la littérature, la musique, la danse, l’architecture, la peinture… De nos jours, la majorité des pièces de théâtre sont jouées dans de grande salle, pouvant ainsi rassembler un grand nombre de personne. C’est le théâtre moderne. Est-il alors possible d’unir différents individus afin de créer un peuple ?

 

Le divertissement, la clé de la connaissance

 

Effectivement, Le théâtre a toujours été perçu comme ne forme de divertissement. En effet cette vision du théâtre est dû à ses nombreuses représentations servant à faire rire principalement le public. Rousseau, disait que le théâtre n’est pas un endroit pour unir les peuples, mais plutôt pour le divertir. Pour appuyer la thèse de Rousseau, plusieurs pièces de théâtre prouvent que c’est un lieu de divertissement et non un lieu servant à unir un peuple. Nous avons les précieuses ridicules (1664) écrites par Molière de sont vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, qui est un auteur de comédies françaises qui sont la peinture de son époque. Dans cette pièce de théâtre comique, Molière met bien avant le ridicule ; ce que dénonce Rousseau. Mais il n’existe pas que des pièces comiques. Nous avons aussi des pièces éprouvant de la tristesse dans la lesquelles certains spectateurs se retrouvent en ce mettant dans la peau des personnages. On parle de Drame, qui est genre théâtral comportant des pièces dont l’action généralement tragique, pathétique, s’accompagne d’éléments réalistes : Les Misérables, de Victor Hugo (1862). Mais pour Diderot, le fait de divertir le public permet de captiver au mieux leur intention. Le théâtre pour lui est un très bon moyen de transmettre un message à travers plusieurs situations. En effet, plus la pièce est intéressante, plus est elle est captivante. Pour Diderot alors, le divertissement attire l’attention du public et peut-être instructif.

 

Un lieu d’union

 

Cependant, on constate que les pièces de théâtres ressemblent de plus en plus à la réalité. En d’autre therme, elles reflètent la société d’aujourd’hui. Ainsi, le fait de reproduire certaines pièces à travers société actuelle et le fait de se reconnaître dans la peau d’un personnage jouant une pièce ne crée-t-elle pas une sorte de complicité entre le public et les acteurs ? Soulignant que les lieux où se déroulent ces pièces de théâtre sont des lieux pouvant accueillir un grand nombre de personne. Les gens ne viennent-ils pas regarder les pièces de théâtre ensemble ? Ne s’apprécient-ils pas tous ensemble en se divertissant ? Ne découvrent-ils pas de nouvelles personnes en ces lieux ? Le fait de rassembler un grand nombre de personne en un seul lieu, cela ne forme-t-il pas un seul et même public et solidaire ? Et dans cette vision, ne sont-ils pas tous unie ?

 

Enfin, le théâtre est donc un lieu de partage, de connexion, de divertissement, où l’on peut s’instruire : c’est un donc un lieu d’union. Il permet d’unir les différents individus afin de former un seul et même peuple ?

Etat, solidarité et revenu de base

Dans la revue « Alternatives économiques » de mars 2019, à la page 38, vous apprendrez que la Finlande expérimente auprès de 2000 finlandais le revenu universel (pour eux c’est le revenu de base). L’expérience ne semble par remplir les espoirs de l’état finlandais. Ceci dit, et c’est la raison de cet article, à la page 39 du même magasine, je vois un encadré qui nous invite à voir une série documentaire interactive sur notre relation au travail et à l’argent!

Le lien est derrière l’image;)

Vous savez maintenant ce qu’est un web documentaire interactif

  • Web car sur la toile
  • Documentaire car film présentant des faits authentiques
  • Interactif car en fonction de vos réponses aux questions, vous enchaînez les films selon un parcours qui vous est propre…

Bon, reste à lire aussi la page 38 au CDI, et pour ceux qui tentent l’aventure, je fais partie des 13%…