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SMS : une nouvelle communication, des codes plus efficaces

Le  directeur du département Recherche et Développement au New York Times,  Nick Bilton, s’est aperçu qu’aujourd’hui, les mails et SMS sont construits de manière rapide.

Lorsque l’on communique par mail ou SMS, nous mettons en avant deux types de communication, soit à caractère privé,  soit à caractère professionnel. Cette dernière consiste à donner une bonne image de soi. Le temps accordé n’est donc pas importants, les codes utilisés s’inscrivent dans un langage très soutenu en fonction de la personne qui rédige. Cependant, on observe une simplification des formules de politesse généralement placées à la fin du message. L’autre type de communication s’utilise le plus souvent dans les relations proches, c’est-à-dire famille, amis. Le vocabulaire devient tout de suite plus familier et les SMS échangés doivent être courts. Il y a quelques années, des émoticônes sont apparus. Ils permettent d’exprimer un ressenti, une émotion, ou tout autre chose. Il suffit d’insérer au message un de ces petits visages jaunes.

La communication d’aujourd’hui permet d’être plus rapide et ainsi de pouvoir s’extraire de notre réseau personnel perpétuellement connecté.

E-mail,SMS… Rester polis sans (trop) perdre de temps

Valentin DEFORGES, Jeanne FOUILLET

Jeu et littérature

CUGY Jeu 1

J’ai pris cette photo pour représenter mon thème qui est « jeu et littérature ». Ici je me suis orientée vers le théâtre : grâce au jeu des acteurs et à la mise en scène, les textes présents sur le papier sont mis en mouvement, ils prennent vie et tirent bénéfice du jeu de scène auquel ils sont soumis.

Les jeux de cartes

Bandeau de cartes

Dans le cadre de l’ESC nous avons le projet de créer un magazine sur le thème du jeu. Pour ma part, il s’agit des jeux de cartes. Il m’était donc essentiel de créer une photographie avec la présence de cartes.

Quand je pense aux jeux de cartes, je me dis tout de suite qu’il en existe une multitude. J’ai donc voulu présenter cette diversité à l’aide de plusieurs jeux de cartes éparpillés partout. De plus j’ai inséré un totem illustrant le fait que les jeux de cartes ne sont pas forcément constitués que de cartes mais peuvent aussi être accompagnés de divers instruments.

En pensant notamment à ce type de jeux, du fait de sa diversité, il vient à mon esprit que, lorsque nous jouons aux cartes, nous utilisons plusieurs capacités, que nous développons ainsi telles que la logique, l’adresse, la concentration …

J’ai donc été amené à me poser cette question : Est-il possible d’améliorer son moral, sa santé, en jouant aux jeux de cartes ? Et si ces améliorations étaient le résultat des capacités entretenues et développées dans ces jeux ?
En résumé, les jeux de cartes sont-ils bénéfiques ou non pour la santé ?  Et pourquoi ?

L’économie du jeu

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Dans cette photographie, nous pouvons identifier différents types de jeux à gratter tels que le « Parions sport » et « l’Euromillions » (FDJ) ou encore le Quinté + (PMU).  Elle représente donc l’univers de l’économie du Jeu.

En regardant cette photo, je me suis posé la question : « à qui profite le marché du Jeu » ?

Profite-t-il aux joueurs/consommateurs qui peuvent gagner des sommes plus ou moins importantes grâce à la chance ?

Ou profite-t-il à l’industrie du Jeu (FDJ, PMU) qui fait fortune grâce à l’argent dépensé (et peut-être « gaspillé ») par les joueurs/consommateurs ?

La réponse sera dans mon hors-série que je rendrai au mois de Janvier…

Internet de demain

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Aujourd’hui, avec nos smartphones, nous avons  accès à une multitude d’informations. En quelques clics nous savons tout sur tout. Plus besoin d’ouvrir des livres.

Programme d’intelligence artificiel

Aujourd’hui, Snapchat, Instagram, Selfies, les mobinautes ont pris l’habitude de prendre leur quotidien en photo. La Start-up ne va en rester là. Cette mode va s’accroître. Nous pourrons bientôt nous envoyer n’importe quels objets en 3D grâce à notre smartphone. Certains seront même rémunérés pour cela. Cette méthode va révolutionner le monde marketing et le monde de la médecine : des greffons imprimé en 3D serons implanté dans les patients.

Cependant, beaucoup d’interrogation persistent.

Le risque du burn-out est très présent. D’après M. Lévy, le niveau de stress collectif va encore augmenter et une utilisation profane peut poser problème. « La révolution numérique transforme le monde en données qui permettent de modéliser les espaces, le corps et même nos comportements, » dit M. Lévy

La multiplication des données, leur traitement et leur diffusion rends la société transparente et sous surveillance.

Lien vers l’article : http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/03/25/l-internet-de-demain-entre-enthousiasme-et-inquietudes_4389255_3234.html

 

L’embauche se médiatise

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Les entreprises s’intéressent de plus en plus à l’image virtuelle des demandeurs d’emplois. Par exemple en 2014, le groupe l’Oréal a effectué un quar tdu recrutement par les réseaux sociaux.

Selon une enquête du RegionJob, environ 56% des recruteurs se servent des réseaux sociaux tels que VIADEO ou LINKEDIN pour recruter leur employés dans tous les secteurs différents. Ces réseaux peuvent aussi vous ouvrir des portes sur d’autres entreprises que vous ne recherchiez pas mais pour qui vous êtes une recrue potentiellement intéressante. D’après Pascal Baumeister « Il s’agit de se connaître pour se faire connaître afin de se faire reconnaître ». Au-delà de la formule, cela revient à appliquer les outils du marketing et de la communication à la personne et à ses compétences.

Aujourd’hui on peut s’inscrire dans des réseaux sociaux pour professionnels. Plus notre profil sera complet et sérieux, plus on aura de chances de trouver du travail. Pour se faire remarquer, le demandeur d’emploi peut apparaître dans des forums sérieux. Selon Hervé Bouche, responsable du recrutement chez Poclain Hydraulics : « Avant, on sélectionnait passivement des candidats en recherche active. Aujourd’hui, on sélectionne activement des candidats en recherche passive ».

Comme le suggère l’article, pour être plus susceptible de trouver du travail dans une entreprise, on peut la suivre via le réseau social qu’elle utilise.

Tiré de l’article de Christophe BYS dans « l’usine digitale »

Lien vers l’article :

http://www.usine-digitale.fr/article/recrutement-les-reseaux-sociaux-meilleurs-amis-des-drh.N305903

Réalité virtuelle : La forêt a des yeux !

Aujourd’hui les technologies font partie de notre quotidien, c’est pour cela que l’évolution numérique est toujours plus grande. On a pu en avoir la preuve en apprenant l’existence d’un casque qui vous permet de voir la nature sous toutes ses formes.

Début 2015, dans la forêt de Grizedale, a été organisé un festival d’art numérique : « Abandon Normal Devices ». C’est une activité qui a retenu l’attention du plus grand nombre, il s’agit de « In The Eyes Of The Animales ». L’intérêt est de pouvoir voir la nature à travers le regard de trois animaux différents, la chouette, la grenouille, et la libellule.

Cette œuvre d’art a été réalisée par un groupe de jeunes londoniens les Marshmallow Laser Fest.

On commence par s’affubler d’un casque qui vous permet de voir le paysage en 3D en ayant l’impression d’y être immergé. Pour favoriser cette situation d’immersion, les personnes portent aussi une sorte de sac à dos qui vrombit, cela donne l’impression d’être l’animal lui même.

Cette exposition est un bon exemple de réalité virtuelle car elle met en relation le monde qui nous entoure (la nature) et les nouvelles technologies qui deviennent une nécessité dans la plupart des régions du monde. C’est pour cela que nous pouvons parler de l’apparition d’une nouvelle culture car le monde virtuel en trois dimensions fait déjà partie de notre quotidien (le cinéma ou les attractions de grands parcs connus). C’est aussi une nouvelle forme d’art et d’expression.

Retrouver l’article sur : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/09/23/frontieres-reel-vivre-foret-a-travers-les-yeux-dun-animal-261325

Fanny Jouan et Etienne Billard

Google : une alternative aux bibliothécaires

Comment était-ce avant internet pour répondre à nos questions ? C’est aux bibliothécaires que l’on pouvait les poser. La plus grande bibliothèque de New York recevait beaucoup d’interrogations, allant des plus sérieuses aux plus déconcertantes comme : « Pourquoi trouve-t-on autant d’écureuils dans les peintures anglaises du 18éme siècle, et comment les apprivoisaient-ils pour qu’ils ne mordent pas les peintres ?  »

Au final les bibliothécaires ont vite été remplacés par les forums, les réseaux sociaux puis Wikipédia.

Mais la suite de l’article nous apprend que ce système de questions / réponses existe toujours. En effet, le New York Public Library a su s’adapter avec l’ouverture d’un bureau d’informations sur Instagram.

En quoi cet article a-t-il un rapport avec les nouvelles cultures liées à internet, nous direz-vous?

Tout d’abord, c’est un changement d’habitude de notre part mais également un changement du moyen de diffusion de l’information. Cependant, on ne trouve pas toujours des réponses précises et fiables à nos questions sur internet, l’internaute doit donc faire des choix sous ce flux de réponses. Le papier et l’être humain resteront des sources sûres de l’information, comparées à internet.

En lien l’article de rue 89 :

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/12/29/quand-navait-google-repondre-a-questions-tordues-256800

Arnoux Caroline – Michaud Quentin

 

La politique de lutte contre le Harcèlement par TWITTER

Le monde a publié un article le 24 mars qui aborde le harcèlement sur le réseau social Twitter.  En vue des nombreux Tweets contenant des menaces, des propos offensants ou insultants, des contenus dupliqués, ou qui sont envoyés par des comptes suspects, Twitter est en train développer un filtre qui vise à protéger ses utilisateurs contre ces mauvaises notifications. Le site ne permet pas encore à tous les utilisateurs de bénéficier de cette protection, cet outil ne reste disponible que pour certaines personnes disposant d’un compte vérifié et utilisant iOS. Le site n’offrait pas cette sécurité auparavant et cela a entraîné des dérives.

Ce nouveaux système est révolutionnaire pour les utilisateurs de réseaux sociaux, comme Twitter.  En effet les vengeances en tout genre peuvent éclore sur le net et mettre une vie en danger, créer un mal-être psychologique, du harcèlement. L’article du site Le monde parle également du Revenge Porn, qui consiste à dévoiler des photos ou des vidéos des ébats sexuels de leurs anciens partenaires. Le but de cette pratique est de se venger.

Ce filtre permettra donc de protéger les utilisateurs et offre une meilleur fiabilité du site et par conséquent plus d’utilisateurs devraient être attirés par les services proposés par Twitter .

Le filtre n’est pour l’instant qu’en phase de de test, mais si il est efficace, il  serait mis totalement à disposition .

Liens du site : http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/03/24/twitter-experimente-un-filtre-contre-le-harcelement_4599928_4408996.html
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L’aquaponie, nos futures cultures

 

Aujourd’hui la population mondiale ne cesse d’augmenter, il y a toujours plus de personnes à nourrir. L’agriculture intensive a montré ses limites, et la chimie avec les OGM ne sont pas une solution alternative et durable. Les problèmes liés à ces pratiques sont nombreux (algues vertes, scandale sanitaire, …), c’est pourquoi, dans le cadre du PIC ( Projet Initiative et Communication) nous proposons de faire découvrir à des jeunes (qui  sont susceptibles de devenir exploitants agricoles ou en maraîchage) un nouveau mode de production.

L’aquaponie est  un système  très peu connu et qui mérite d’être développé partout dans le monde. Il est écologique, durable et très rentable pour les agriculteurs qui l’utilisent car il permet de produire des légumes et d’élever des poissons jusqu’à leur maturité. Il y a donc deux productions en une, ce qui avantage le producteur.  Dans les années à venir, ce système pourra intégrer nos foyers sans difficulté et de manière esthétique. 

Prenez le train en marche et venez en apprendre davantage sur la solution d’avenir qu’est l’aquaponie, lors d’une conférence en salle bleu le 26 Novembre de 14 h à 16 h !  

 

La cathédrale de Strasbourg couve-t-elle sa ville ?

547x365xIMAGE_20141204_26624922-644x365.jpg.pagespeed.ic.r8vlgNJfsbStrasbourg, ville historique tant dans son image que dans sa culture, souhaite depuis plusieurs siècles maintenir son architecture spécifique. Suite à la création de l’œuvre Notre-Dame, des artisans sont engagés afin de reconstruire et maintenir le bâtiment mythique de son histoire. Les financements sont fournis par ses habitants et des donateurs. Mais est-ce que cela suffit pour permettre à une ville de garder ses bâtiments et son passé à travers les âges ?

Je ne crois pas, je pense que plus que d’être une simple cathédrale, c’est la fierté de sa population, une tour qui veille sur son peuple en les enlaçant, leur rappelant tout ce qu’elle a traversé.

Après avoir eu l’idée de créer une nouvelle tour et de remplacer les pierres, les artisans ont étudié ses matériaux, sa polychromie afin de préserver la splendeur de cette mère protectrice.
Voyageant à travers l’Alsace et l’Allemagne pour trouver les pierres identiques à l’architecture d’origine la cathédrale, les artisans se sont rendus compte que les parties à restaurer sont souvent celles déjà reconstruites. Car la qualité des grès de l’époque était bien supérieure à celle de nos jours. Ces artisans veulent aussi transmettre un savoir-faire aux nouvelles générations afin que jamais la cathédrale de Strasbourg ne perde de sa magnificence.

Cette rénovation interroge la place du patrimoine dans sa ville. Une ville peut-elle vivre sans ses bâtiments, sa culture, son histoire ?
Une ville doit avoir une mémoire, transmise de génération en génération car malgré son changement de rôle symbolique en décor de cinéma et de beauté, on doit continuer à honorer cet espace en la sauvegardant comme une poule avec ses œufs afin que dans 300 ans, ses habitants soient toujours aussi heureux et fiers de faire visiter leur ville et son patrimoine.

Lien : http://www.lemoniteur.fr/article/millenaire-de-la-cathedrale-de-strasbourg-les-trois-chantiers-marquants-26624934

LANG Lorine

Quels réseaux sociaux pour ta classe sociale ?

 

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Une étude publié par un Think tank dans un article internet sur le Figaro.fr, menée auprès des 13-17ans prouve que les réseaux sociaux sont fréquentés plus par certaines classes sociales que par d’autres.

L’étude a d’abord voulu définir la fréquence d’utilisation des réseaux sociaux par les adolescents. Elle démontre que plus de 90% des jeunes se connectent au moins une fois par jour sur un réseau social. Dans ces 90%, on constate que Facebook est le plus utilisé , à l’opposé, Twitter remporte le moins de succès.

Cette étude démontre aussi que Instagram est le plus utilisé par des enfants de parents à hauts revenus, ce réseau social permettant d’étaler leur richesse au monde entier en envoyant de photos d’eux en voiture de luxe et en soirée arrosé de champagne …

Les Américains ont poussé leur étude et démontrent que la gente féminine préfère de loin des réseaux sociaux visuels, avec photo comme Snapchat, Instagram …  Alors que la gente masculine se contente de papillonner sur Facebook.

http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/les-adolescents-pauvres-sont-sur-facebook-les-riches-sur-instagram-13317/[huge_it_gallery id= »4″]

Les données personnelles des Européens sont mal protégées sur les réseaux sociaux

Dans une génération où pratiquement tout le monde se trouve sur les réseaux sociaux; comment être sur qu’on ne peut pas obtenir des données personnelles sur vous ?

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C’est ce que l’Autrichien Max Schrems a voulu vérifier… Et il s’est aperçu que le réseau social Facebook contenait une quantité faramineuse d’informations personnelles sur lui ! C’est pourquoi il leur a fait un procès qui dure depuis plusieurs années. Cette plainte est « un test grandeur nature » pour le Safe Harbour, qui se doit de protéger les données des citoyens européens.

Facebook n’a pas souhaité réagir à cette audience, bizarrement… Le géant des réseaux sociaux aurait-il des choses à cacher ?

Affaire à suivre.

Source : http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/03/27/reseaux-sociaux-les-donnees-personnelles-des-europeens-sont-mal-protegees_4602537_4408996.htm

Charlène Godin et Léa Antoine.

Les jeunes utilisent de plus en plus les réseaux sociaux

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Pew Research Center, un think thank américain indépendant et non partisan, vient de mettre en ligne une étude très documentée sur le sujet. L’étude porte sur plus de 1000 jeunes âgés de 13 à 17 ans aux États-Unis.

Les personnes qui sont les plus connectées représentent 56% pour ceux qui sont en ligne plusieurs fois par jour. Et, 12% y vont seulement 1 fois par jour . Cependant, 6% des internautes y vont seulement quelques fois par semaine . Les réseaux sociaux les plus utilisés par les jeunes de 13-17 ans sont Facebook, à 71%, loin devant Instagram à 52%, Snapchat à 41 % et Twitter à 33% .
Majoritairement, ce sont les jeunes issues de familles ayant des revenus aisées ou très aisées qui sont connectés sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Twitter, etc…

Cependant, si l’on se penche de plus près sur le sujet, on peut s’apercevoir, que sur certain réseaux sociaux, les filles sont plus présentes que les garçons.
Deux exemples flagrants peuvent être cités, Instagram avec une fréquentation de 61% et seulement de 44% pour les hommes ou encore Snapchat dont 51 % des utilisateurs sont des filles et seulement 31% des hommes.
Mais, on peut constater l’inverse sur d’autres types de réseaux sociaux, notamment sur les jeux vidéo en ligne, es hommes sont bien plus présents que les filles.
Source : http://www.blogdumoderateur.com/etude-13-17-ans-reseaux-sociaux/

 

Nouveauté Facebook : le transfert d’argent

Mark Zuckerberg ne cesse de perfectionner les fonctionnalités de son réseau et de créer des nouveautés. Après « Facebook credit », «  Facebook gifts » et «  Facebook Store », le créateur du réseau a récemment lancé une nouvelle application permettant aux utilisateurs de Facebook Messenger de s’envoyer de l’argent.
Ce service gratuit est, pour l’instant, réservé aux utilisateurs américains, de plus de 18 ans, de Facebook Messenger. Cependant, ce service simple et rapide pose la question de la sécurité puisqu’il suffit simplement de renseigner le numéro de carte bancaire pour procéder au transfert. Cette nouvelle application est donc encore à améliorer.

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Lien vers l’article : http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0204236491560-pourquoi-le-transfert-dargent-seduit-les-reseaux-sociaux-1103327.php

Steven Heliere et Adélie Picaud

Internet est-il néfaste sur notre mémoire ?

Une équipe de psychologues américains a montré que les gens retenaient moins bien les informations qu’ils pouvaient retrouver facilement sur leur ordinateur. Internet a révolutionné notre façon de voir les choses. Aujourd’hui dès que l’on est en difficulté, que l’on ne sait pas quelque chose, on l’écrit sur notre ordinateur ou notre smartphone et nous avons la définition dans la seconde. Le développement des technologies posent de nombreuses questions. Internet change-t-il notre façon de penser? Nous rend-il idiot ? Plus intelligent ? Est-ce une chance ou une menace? Des psychologues américains ouvrent le débat sur le fait que notre mémoire serait déjà sous l’influence des nouvelles technologies.

Des cobayes sont confrontés à des questions difficiles et dès lors qu’il ne savent pas la réponse ils pensent à la « recherche Google ».
Ils retiennent souvent très bien l’endroit ou le fichier avec des informations enregistrées et stockées mais pas son contenu.
Les différentes expériences menées par les trois chercheurs des universités Columbia, Harvard et du Wisconsin, montrent bien qu’Internet change notre façon d’utiliser notre mémoire.

Après avoir lu les études faites sur les cobayes, Emmanuel Sander, responsable de l’équipe de recherche «Compréhension, Raisonnement et Acquisition de Connaissances» de l’université Paris 8, confirme ce qu’il pensait : «Plutôt que de retenir tous les numéros de téléphones par cœur, les gens préfèrent se rappeler où est rangé l’annuaire. Avec Internet, c’est un peu la même chose, mais à une échelle plus importante», explique-t-il. Cette démarche est appelée «mémoire transactive». Pour Besty Sparrox, auteur principale de l’étude, Internet a remplacé les livres et les amis.

Les découvertes restent quand même encore floues : «Nous n’avons encore aucun protocole qui nous permette de mesurer l’impact de ces changements sur le développement de notre esprit», relève Emmanuel Sander.
Le savoir n’est pas une simple accumulation de connaissances rangées dans des tiroirs à portée de main. L’intelligence tient à la capacité à lier les faits entre eux, à leur donner du sens. «Si vous avez acquis de grandes capacités d’analyse, Internet peut vous apporter énormément. Sinon, vous êtes simplement submergé de données», résume le chercheur.

Pour finir ces études nous apportent une question qui se posent beaucoup actuellement : les procédures d’apprentissage actuelles fournissent-elles aux élèves les meilleurs outils pour se servir intelligemment d’Internet ? Savoir « par cœur » a t-il toujours un sens aujourd’hui  ? Tous les scientifiques ne sont pas d’accord sur les mêmes points. Si l’utilisation des calculatrices nous on fait oublier les fastidieuses tables logarithmiques, il n’a cependant jamais remis en cause l’intérêt pédagogique des tables de multiplication.
A sa manière, Internet a déjà bouleversé notre rapport au savoir. Reste à déterminer comment nous allons pouvoir en tirer le meilleur parti dans l’éducation des nouvelles générations.

Lien vers l’article :

http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/07/15/01008-20110715ARTFIG00340-internet-change-notre-facon-d-utiliser-notre-memoire.php :  Article écrit par Tristan Vey  le 15/07/2011

Pour résumer, l’article nous raconte que des scientifiques ont fait des expériences sur des personnes pour savoir comme fonctionne notre mémoire aujourd’hui avec les nouvelles technologies. Elles nous posent la questions de savoir si pour l’éducation et le savoir, Internet peut enrichir nos connaissances ou au contraire nous faire oublier des choses essentiels.
J’ai choisi cette article car on est tous confronté aujourd’hui au développement des nouvelles technologies.  De nos jours, dès que l’on ne sait pas quelque chose, on va aller sur l’ordinateur au lieu du dictionnaire par exemple et en faisant cela, il est vrai que l’on retient beaucoup moins bien les informations que l’on va avoir. Cet article date de 2011 mais je trouve qu’il toujours d’actualité car on n’a toujours pas trouvé de réponse à la fameuse question qui est de savoir si  oui ou non Internet change t-il vraiment notre façon de mémoriser les informations ? Internet menace t-il  notre savoir ? Internet et les nouvelles technologies changent notre façon de faire et cela ne va pas s’arrêter aujourd’hui.

Politique de la ville : quarante ans d’échecs

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Depuis la mise en place de la politique de la ville en 1970,  et après des milliards d’euros dépensés,  les inégalités subsistent toujours. Comment expliquer cet échec ?

En quarante ans, la politique de la ville s’est institutionnalisée. Entre collectivités territoriales, associations, ministères,  il y a de quoi s’y perdre.  Et ces institutions ont un coût. Si l’on prend uniquement en compte le budget consacré à la politique de la ville décrit dans le projet de loi de finances, il s’élèvera en 2015 à 450 millions d’euros. Mais cette politique urbaine regroupe tellement de thèmes qu’il est très complexe de suivre son budget. Ce dernier évolue également en fonction de l’actualité. En effet, suite aux émeutes de 2005, les crédits du programme « politique de la ville » ont augmenté de façon significative.

Le maillage des territoires visé par ces politiques est également flou :  jusqu’en 2014, près de 2500 quartiers bénéficiaient de contrats de cohésions sociales. Depuis 1300 quartiers ont été ciblé en fonction du revenu par habitant. Cette baisse significative est justifiée par une simplification des relations entre l’État et les collectivités chargées d’appliquer les politiques de la ville.

Depuis la loi Borloo en 2003, pour la rénovation urbaine, les écarts se sont considérablement accrus en terme de développement entre les quartiers sensibles et le reste du territoire. En moins de 10 ans, le taux de chômage a augmenté de 17 à 21 % avec près d’un tiers des habitants vivant avec moins de 954 euros par mois en 2009.

Lien vers l’article :

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/02/05/politique-de-la-ville-quarante-ans-d-echecs_4569855_4355770.html

L’éco-quartier Vauban, un exemple européen qui se discute

Panneaux solaires

L’éco-quartier allemand est depuis 1995 un exemple positif pour toute l’Europe.  Tout fonctionne parfaitement et les voitures ont laissé place aux enfants dans les rues. Les logement produisent leur propre énergie qu’ils consomment et certains sont même devenus positifs et produisent plus qu’ils ne consomment. Le quartier idéal ! Crée en  concertation avec des habitants de la ville, ce quartier avait tout pour réussir et pourtant il n’y règne aucune mixité sociale.

Mais une ville peut-elle être durable sans mixité sociale? La mixité sociale ne serait-elle un idéal irréalisable ?
Lien vers l’article :
http://www.bastamag.net/Vauban-l-ecoquartier-du-futur

 

 

La suède veut combiner écologie et croissance !

La Suède un exemple à suivre :  depuis 2005 grâce à ses politiques volontaristes en matière d’écologie, la Suède devient une experte concernant l’écologie. Elle annonce pour 2020 que la part des énergies renouvelables sera à 50% de l’énergie consommée sans parler de sa totale neutralité carbone prévu pour 2050.

Cela peut paraître difficile à croire pour nous, mais détrompez-vous car il ne s’agit pas d’une ambition inatteignable. Aujourd’hui, 30% de l’énergie consommée par les Suédois est d’origine durable. Elle provient aussi bien des éoliennes que des déchets ou encore de la géothermie. Comparé à la France qui se trouve elle à seulement à 13%.

Mais l’ambition de ce pays est grande et la Suède souhaite encore aller plus loin notamment en voulant diminuer sa consommation en énergie fossile, avec une avance impressionnante concernant une augmentation massive d’écoquartiers.

En voyant de telles prouesses, on peut alors se demander « Et pourquoi pas nous ? »

Malgré les efforts effectués par les citoyens et la politique française, les gestes écologiques sont encore à travailler car ceux-ci restent encore insuffisants.

Si la Suède est aujourd’hui proclamée comme le pays le plus écologique d’Europe, c’est que ce pays n’a pas connu « de trente glorieuses à la française », c’est à dire un changement radical des comportements concernant l’utilisation des produits chimiques, l’agriculture intensive ou encore la consommation de masse.

De plus, l’IDH n’est pas révélateur de cet exploit car si l’on compare l’Australie à la Suède. Ces deux pays possèdent un niveau de bien être similaire, on ne retrouve pas de similitude concernant le respect de l’environnement. Et pour poursuivre avec les contre-exemples, il en va de même concernant la densité de population au kilomètre carré car le Québec prend moins à cœur le respect de la nature alors que ce pays compte moins d’habitants au kilomètre carré..

La politique en vigueur et la conscience de la population jouent beaucoup. Il y a eu en Suède ces dernières années de grands changements de mentalité concernant le respect et la préservation de la nature, ce qui n’est pas le cas dans les autres pays. Mais il n’est pas trop tard pour se mettre au vert et avec un esprit collectif, nous y arriverons peut être aussi.

Les déchets, point important dans l’écologie, représentent pour une multitude de pays un inconvénient voir un calvaire. La Suède a su palier ce handicap et les déchets sont devenus pour elle une importante richesse. Chez les Suédois seuls 4 % des déchets finissent en décharge et tout le reste est recyclé. Ainsi les précieux incinérateurs qui fournissent de l’électricité à plus 205 000 foyers sont sous utilisés. Mais la Suède a trouvé la parade en faisant importer des déchets qui sont au passage facturés au prix fort.

Lien vers l’article :

http://www.tantmieux.fr/la-suede-un-paradis-ecologie/