Solidarité – Ressources étudiants

La leçon solid’ du coronavirus

Le monde entier est touché depuis des millénaires par des fortes épidémies faisant ainsi des millions de morts. À chaque épidémie une élancé de solidarité est constaté. Aujourd’hui, c’est de nouveau le cas avec le Coronavirus. Un nouvel ennemi commun invisible, sans pitié, et s’attaque au monde entier que l’on soit jeunes, âgés, riches, pauvres… Toutefois, cette solidarité restera-t-elle au sein de la société une fois que l’épidémie disparaitra ?

 

 

Un coronavirus solid’

Aujourd’hui nous sommes confrontés au Coronavirus, qui est une épidémie importante faisant des milliers de morts. C’est une guerre contre un des pires ennemis dont le monde entier doit actuellement faire face. Ainsi, pour la sécurité de tous nous sommes confinés. Petit à petit de nombreux actes de solidarité tout aussi bien qu’envers nos proche mais également envers les inconnus et plus particulièrement envers celles et ceux qui sont les plus faibles et à risques se sont révélé. Cela passe par la bravoure des médecins, pompiers, militaires, policiers et tous ceux qui luttent contre ce virus livrent un combat acharné et le simple fait de rester chez soi pour minimiser un maximum la contamination de ce virus. Mais aussi par les applaudissements le soir afin d’encourager tous ceux qui sont sur la première ligne de front, les courses pour les personnes âgées ou à risques, un partage à travers leur balcon de leur musiques, chants, talents pour en faire profiter à tous, les dons faits pour augmenter le matériel est les avancées médicales.

 

Revenons en arrière

En ce moment face à cette situation : entraide et soutien sont au rendez-vous ! Toutefois, qu’en est-il des autres grandes épidémies que le monde à connue ? Les pestes, les grippes… toutes ces épidémies ont aussi été confronté à des élans de solidarité. Or, suite à chaque épidémie tout est redevenu à la « normale ». C’est-à-dire, une société globalement individualiste. L’Homme vie sa vie de son coté. À chaque épidémie nous ne retenons pas la leçon. Sauf dans les premières années qui suivent, après cela disparait.

 

Solidaire en raison d’instinct de survie

Dans ces moments durs à traverser, nous nous entraidons étant tous concerné. L’Homme se dit que plus nous resterons unis, nombreux d’entre nous resterons en vie. La raison pour laquelle nous n’avons pas retenu la leçon après les anciennes épidémies est que l’Homme se rassure en se disant que « c’est du passé » « maintenant il n’y aura plus de danger » … Alors naturellement l’Homme vit sa vie égoïstement et quand il se passe quelque chose, il redevient solidaire pour survivre. Car en effet, tous ensemble nous pouvons vire, c’est ce que démontre la thèse de Blèze Pascal : Le corps mystique. Selon lui, il y a le corps et les membres, sans les membres le corps ne tient pas debout. Il ne peut pas vivre.
Toutefois, aujourd’hui c’est une épidémie très importante. Celle-ci impact notre quotidien étant en confinement et nous rend plus solidaire que d’habitude. De plus contrairement à beaucoup d’épidémie qu’a connue l’histoire, cela concerne tous milieux sociaux mais aussi grâce aux technologie actuel nous pouvons être informé et donc retenir plus sur la situation et les solidarités. Gardons alors une lueur d’espoir, que cette solidarité reste du fait que nous l’avons tous vécu ensemble séparément dans nos logements.

Soyons, ou sommes-nous solidaires ?

Quand nous avons pris connaissance du Covid-19, quand ce virus est apparu le 17 novembre 2019, nous étions loin d’imaginer la situation actuelle. Loin d’imaginer une telle ampleur. Loin d’imaginer un confinement, qui, depuis, nous a fait réaliser la gravité de cette situation. M.Macron l’a dit : « l’épidémie du COVID-2019 était peut-être pour certains d’entre vous une idée lointaine, elle est devenue une réalité immédiate, pressante. » L’Etat fait donc appel à un comportement des plus considérables de notre part, auquel cas il se verrait renforcer son « côté gendarme ». Toutefois, est-ce à l’Etat de nous dicter notre comportement? La solidarité ne nous est-elle donc pas innée ? Nous avons une conscience, nous sommes donc capables de peser le bien et le mal, et bien agir envers autrui. Pour répondre à ces questions, nous montrerons que certes, l’Etat est là pour nous défendre et nous guider, mais qu’il ne faut pas non plus oublier que ses citoyens sont avant tout des Humains dotés d’une conscience.

 

La vertu citoyenne

Nous faisons face actuellement à une crise sanitaire sans précédent, nous sommes en « guerre ». Nous devons nous attendre à une crise de longue durée, on doit s’y préparer. On doit se protéger et protéger autrui.  Nous devons contrer ce virus. Oui, la première fonction de l’Etat est de nous défendre dans ce genre de situation, afin qu’on puisse vivre en paix et en sécurité. Il se doit d’être là, c’est une certitude. Peu de temps après avoir pris connaissance de l’arrivée de ce virus, l’Etat a pris des mesures pour que nous puissions éviter tout contact avec ce micro-organisme, ou du moins, IL essaye.  Depuis 2 mois, notre mode de vie n’est plus du tout le même qu’à la normale, et ce, pour longtemps encore.  C’est pourquoi, la vertu citoyenne, cette philosophie politique, doit refléter un comportement de vrai citoyen, respectueux, propre à la société civile. L’Etat nous l’ordonne. Comme dit précédemment, la première fonction de l’Etat est la protection envers son territoire, mais il assure également une police au service de tous. Cet Etat gendarme a été renforcé, et nous l’avons remarqué. Certes, le confinement et le respect d’autrui ne seront pas sans querelles. Cependant, concernant la solidarité, qui est un « trait de caractère », est-ce vraiment à l’Etat de nous dire comment agir envers autrui ? Autrement dit, la solidarité ne nous est-elle pas innée ?L’Etat doit-il ordonner à tous ses citoyens d’être solidaires, pour leur donner bonne conscience ?

« L’Homme naît bon, c’est la société qui le corrompt », disait Rousseau. En effet, cela voudrait dire que c’est la société qui fait ressortir le côté mauvais de l’homme.

 

dissimule notre nature

Nous sommes Humains, nous sommes bons, avant tout. Comme dit précédemment, des querelles existent, il y en aura toujours. Cependant, comme dirait Pierre Desproges, « L’homme est un être doué d’intelligence ». C’est un être doté d’une perception émotionnelle, qui est instinctive et inconsciente et fait donc appel à des sentiments, et ceux-ci sont parfois inexplicables. Il est important de ressentir des émotions puisque c’est naturel, celles-ci permettent nos motivations, nos intérêts, et donc de l’entraide envers autrui. Cette nature va nous permettre d’évaluer une situation et nous oblige à réagir, selon celle-ci. De plus, l’homme vit en société, il est habitué à vivre en groupe, l’entraide est donc quelque chose de normal, quelque chose d’évident. Il est donc naturel, que dans une telle situation de crise où l’on ne voit pas encore le bout du tunnel, on s’entraide. Depuis le début de cette crise, partout dans le pays, les Français viennent en aide aux plus vulnérables, ils se mobilisent. Par exemple, dans les immeubles, des mots manuscrits ont été déposés pour proposer différents services, comme la garde d’enfants aux courses. De plus, des dons se font, pour permettre de lutter contre l’exclusion, afin de venir en aide aux personnes qui sont le plus à risque de subir les conséquences cette crise. Par ailleurs, une autre forme de solidarité est née depuis, les personnes soignantes, sont applaudis et encouragées chaque soir, pour leur dévouement. Le gouvernement ne devrait donc pas nous dire comment nous comporter, puisque nous comprenons la situation, et sommes capables d’être solidaires. Le côté bon de l’homme ressort pendant cette crise, même si certaines personnes restent indisciplinées, il y aura toujours des exceptions.

L’Etat influence notre comportement, comme s’il n’avait pas conscience de notre nature…

 

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Le rôle premier de l’Etat est de nous protéger, il est donc tout à fait normal qu’elle dise à ses citoyens d’être solidaires. Cependant, nous l’ordonner, est bien dommage, quand on sait que l’homme n’est pas « stupide » de nature. Nous sommes responsables, nous le savons. Nous savons aussi ce qu’est la discipline, même si certains tendent à rester indisciplinés…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Qu’elle avenir pour notre solidarité.

                 Le monde tout entier doit faire face depuis plusieurs semaines à une pandémie tristement connu sous le nom de COVID-19. C’est une guerre contre un des pires ennemis dont le monde  doit actuellement faire face. Cet ennemi qui est invisible, indolore mais que nous côtoyons peut être tout les jours.  Tout les jours les médecins, pompiers, militaires, policiers, tout ceux qui luttent contre ce virus livrent un combat acharné. Cette crise devenu mondiale a apporté avec elle une solidarité immense envers les personnes de notre cercle proche mais également envers les inconnus. Plus particulièrement pour celles et ceux qui sont les plus faibles et à risques. Mais une question ce pose : « Que deviendra cette solidarité une fois le virus vaincu ? Disparaîtra-t-elle ou perdurera-t-elle ? »

 

Une solidarité en pleine évolution:

               Ces derniers temps nous avons pu prendre part à de nouvelles actions de solidarité, comme par exemple apporter des repas chauds au personnel soignant. Mais également apporter son aide pour les courses aux personnes les plus exposées ou encore aider les producteurs locaux à vendre leurs produits. Toutes ces formes de solidarité avec cette crise mondiale ce sont développées ou ce sont amplifiées. Les Françaises et Français se sont adaptés à la situation et, portés également par un élan de civisme, s’entraident en ces temps de guerre.

De plus respecter les règles de confinements imposées aujourd’hui ne sont pas seulement pour protéger les autres mais également par solidarité. On pourrait dire au vu des événements, actions et dévouements que font la majorité des Français que nous sommes aujourd’hui au maximum de ce que peut nous apporter la solidarité.

 

Une solidarité amenée à durer ?

               Malgré tout cette solidarité sera amenée à revenir à sont stade d’avant épidémie, pourquoi ? Car cette solidarité est encouragée par la situation plus qu’exceptionnelle et aussi par civisme et bonne conscience de la population. De plus une fois cette crise mondiale derrière nous, nous reprendrons nos vies, nous n’auront peut être plus le temps pour ces actions de solidarité. Nous voudrons avant tout profiter de la vie car cette événement nous auras appris que la vie peut subitement nous être enlevée. Nous voudrons également revoir nos amis, notre famille, nos collègues de travail et tout simplement profiter de la vie. Les individus auxquels nous seront venu en aide n’auront peut être plus besoin de nous après. Mais dans nos esprits chacun d’entre nous se dira : « J’ai fait ma part des choses ».

 

Une expérience de solidarité inoubliable.

               Même si une grande partie de cette solidarité disparaîtra une partie restera en nous, comme gravée au plus profond de notre conscience. Cette crise d’une ampleur inédite pour ce siècle nous donnera une grande leçon de vie. Elle nous aura montré que malgré toutes nos technologies nous sommes loin d’être supérieur à ce que la nature peut créer et que nous ne pourront pas jouer avec elle encore des décennies.  Mais également elle nous auras appris ce que l’humanité avait à offrir de meilleur non seulement pour la planète mais également pour ceux qui y habites.

Tout ces dons, actions et autres actes de générosité resterons dans les mémoires de celles et ceux qui ont pu être sauvés. De toute celles et ceux qui ont eux ce qu’il fallait pour lutter contre ce virus. De ceux qui ont donné de leur temps, qui ont du faire des sacrifices mais surtout ceux qui auront donné leur vie pour que d’autres puissent être toujours parmi nous. Toutes ces personnes ci nous ne vous oublierons jamais, vous resterez pour nous les héros de cette guerre contre le virus.

 

Enfin, nous devons pas perdre à l’esprit que cette solidarité exceptionnelle à lieu dans des moments exceptionnels. Nous ne devons pas oublier que cette solidarité formidable est née avant tout d’une crise majeur. Même si elle disparaîtra après cette épidémie, nous auront la certitude que la guerre sera gagnée. Pour finir nous sauront toutes et tous que le jour ou nous auront besoin à nouveau d’une solidarité si grande, chacun d’entre nous répondra et jouera son rôle.

La solidarité d’aujourd’hui  : Remède d’une France confilibre

Depuis près d’un siècle, la France n’avait pas connu une crise sanitaire sans précédent. Le 24 Janvier 2020, le coronavirus est recensé en France, l’apparition de 3 cas du COVID-19 est confirmé sur notre territoire. Ce virus encore inconnu de tous et soi-disant moins dangereux qu’une grippe, n’aura pas tardé à faire changer l’avis de nombreuses personnes. En effet, le 14 Mars l’épidémie du virus passe au stade 3 et le 17 Mars, tous les habitants du territoire sont confinés à domicile. Depuis, de nombreuses formes de solidarité sont apparues comme l’aide aux personnes âgées ou fragile, le don de masque d’entreprise aux centres hospitaliers ou encore l’entraide entre personnes dans les grandes villes. Cette solidarité permet à chacun d’avoir un quotidien moins morose et pour d’autres à pouvoir combattre ce virus dans de meilleur conditions. Cependant, la solidarité d’aujourd’hui va t-elle perdurer une fois que tout cela sera fini ?

Agissons-nous par bienveillance ou juste pas ennui ? La solidarité pourra continuer si la vie reprend son cours ? Les différentes formes de solidarité mis en place aujourd’hui vont t-elle perdurer ? Sentez-vous capable d’être solidaire comme vous l’êtes aujourd’hui ?

Nous montrerons que la solidarité d’aujourd’hui s’effacera peu à peu puis que la solidarité actuelle perdura et, pour finir que la solidarité d’aujourd’hui devra être un souvenir fort et gravé

Une solidarité éphémère

« Vivre, c’est survivre » écrivait Andre Tannoy, voici sur quoi est fondé la solidarité aujourd’hui. D’habitude, les hommes exercent de la solidarité par simple intérêt ou pour une cause qu’il souhaite soutenir. Cependant, aujourd’hui la donne n’est pas la même car le monde est confrontés à un danger qu’il ne connaît pas entièrement. Lorsque l’on sait que le principal but de l’Homme, c’est de vivre, certains comportement et agissement changent. Actuellement, certaines personnes n’exercent aucune solidarité envers ces congénères, il préfère penser a eux-mêmes et a ce qui pourrait leur arriver. Pour autant, il voudrait bien que une solidarité soit exercée pour eux. Dans les circonstances actuelle, ils existent 2 formes de solidarité. La première est basée sur un devoir et qui provient des des médecins, des infirmièr(e)s, les soignant(e)s,des militaires ou encore des personnes qui travaillent pour le fonctionnement du pays ( cultivateurs, caissières,…) Toutefois, il existe une deuxième forme de solidarité axé sur l’instinct de survie. Ce sont toutes les personnes qui sont solidaire aujourd’hui car il le faut, ce sont les entreprises qui donnent leurs stocks ou ce sont les autres pays qui fournisse des équipements. Est-ce votre statut ? Chacune de ces formes de solidarité est différentes, pourtant à l’heure actuelle, nous les regroupons pour en formé qu’une seule. De toute évidence, c’est ici que se pose un problème, nous sommes en guerre ! On essaye de montrer qu’une réelle solidarité, qui est pourtant divisé et non unanime. Dans cette sens, il est impossible que la solidarité d’aujourd’hui perdurent si demain tout devait revenir à la normale. Chacun pourra reprendre sa vie comme avant et la solidarité présente ne sera plus qu’une page de notre histoire. Peut-on l’oublier une histoire vécues ?

Une solidarité, l’instant présent

La solidarité actuelle qui c’est installé, est une solidarité forte. Chaque rôle joué par chacun est un acte de solidarité qui peut aider à sauver des vies. Le confinement, qui est plus ou moins respecté, permet de sauver des vies, mais si pour autant on donne toujours le côté négatif des choses. La solidarité actuelle permet aujourd’hui a de nombreuses personnes de ne pas souffrir et d’avoir une meilleure qualité de vie. Cette solidarité est visible partout, dans les médias, sur réseaux sociaux, dans votre immeuble… Elle aide les personnes qui ont le plus besoin à soigner des patients mais aussi à leurs donner de l’espoir. Cette solidarité va rester graver dans les mémoires de chacun. Véritablement, nous vivons l’instant présent et les répercutions de chaque instant que nous vivons sont souvent plus fort que ceux que nous ou d’autres personnes ont vécues. Nous sommes les acteurs de la solidarité. Nous sommes des personnes concernés par ceux qu’il arrive. Nous sommes et nous serons des personnes qui auront vécues cette événement. Comment pourront nous oublier ce que chacun, consciemment ou inconsciemment aura fait pour nous ? Cette solidarité actuelle, ne sera peut-être pas la même que dans l’avenir, mais des séquelles de celle-ci feront surface un jour ou l’autre. La solidarité entre voisins, entre les différents corps de métier ou aussi entre notre propre famille ne s’effacera pas, car nous sommes des acteurs de la situation. Le temps efface des choses, mais il n’efface pas le souvenir.

Une solidarité à immortaliser

Certes, le terme « solidarité » à évoluer dans notre histoire, pourtant dans le fond son sens reste le même. Les exemples de solidarité qui existent dans notre histoire ont permis de faire évoluer ce terme, mais aussi de faire réagir les Hommes. Cependant, la solidarité actuelle n’est pas nouvelle. En 1918, la grippe espagnol a fait son apparition en Europe, souvent comparé au virus actuelle ( COVID-19) car elle aussi était virulente et contagieuse. La solidarité était présente à l’époque, peut-être moins importante qu’aujourd’hui, mais elle a aidé des personnes à combattre cette maladie entre 1918-1919. Actuellement, il y a très peu de récit de cette terrible maladie, ni de récit d’acte de solidarité. C’est donc aujourd’hui qui faut réagir et conserver ce qu’il se passe. Les nouvelles technologies nous le permettent. Il faut absolument pérennisé notre histoire afin d’en laisser une trace pour nous et pour les générations futures.

 

Pour conclure, la solidarité actuelle se base sur l’instinct de survie et sur la volonté. Il ne faut pas oublier les événements que nous vivons, car comme pour nous ou comme pour les prochaines générations, notre histoire reste primordiale. Tout ne peut pas être conservé, tout comme le souvenir.

L’État, prophète de la solidarité

« J’en appelle à votre sens des responsabilités et de la solidarité ». Ces paroles du président, Emmanuel Macron, résonnent encore dans nos esprits. L’État nous encourage à nous entraider pendant cette période de crise. Mais est-ce le rôle de L’État, de nous dire : “Soyez solidaire !” ? Sommes-nous pas assez responsables pour l’être sans cet appel? L’État doit être un pilier pour nous, citoyens, mais nous sommes tous responsables et devons savoir faire nos choix et ce qui est juste envers autrui. Cependant l’État doit rester notre guide dans la vie citoyenne.

Le pilier de notre existence citoyenne…

Aujourd’hui, nous devons faire face à une crise sans précédent dans notre histoire : une crise sanitaire contre le Covid-19. Ce virus chamboule tous nos principes et notre mode de vie, pour cela un principal acteur doit être présent : l’État. Je veux bien y convenir, écouter le gouvernement, n’est pas dans nos habitudes, nous, Français. Cependant, en temps de « guerre », l’État est là pour nous guider, et nous conseiller sur les meilleurs gestes à prendre pour protéger tout le monde. Un État, par son principe, désigne l’ensemble des institutions et des services qui permettent de gouverner et d’administrer un pays. Nous devons l’écouter et obéir. Cependant, en ce qui concerne nos sentiments, est-ce à lui de nous dire comment réagir? Est-ce à lui de nous faire prendre conscience de ce qui nous entoure? Est-ce à lui de guider notre solidarité envers autrui? L’Homme est capable de réfléchir par lui-même, c’est d’ailleurs un de nos principaux caractéristiques.

…pour devenir responsable…

En effet, l’Homme est responsable, c’est un être  vivant en société, caractérisé par une intelligence développée et un langage articulé. Nous pouvons prendre des décisions, seul, sans aucune personne morale ou physique, pour nous dicter nos actions et nos choix. De plus, naturellement la solidarité est présente dans notre ADN. Naturellement nous sommes constitués de sentiments empathique et altruiste. Naturellement, face à une crise, nous allons nous entraider. En tant que citoyen, nous avons des devoirs et des droits à respecter. L’entraide face aux pauvres, face aux plus démunis, face aux plus malheureux, cela n’est qu’une forme de solidarité dans la vie de tous les jours. Aujourd’hui, une nouvelle forme se met en place, une aide envers les aides soignants, envers les médecins, envers les travailleurs, envers les malades. Le gouvernement ne devrait pas nous dire d’être solidaire, nous le sommes déjà. Alors, pourquoi le président nous interpelle sur ce sujet? Voit-il les choses sous un autre angle de vue?

…et messager de notre union

La devise française est « liberté, égalité, fraternité ». Trois mots ayant du pouvoir. Trois mots pour décrire la nation. Trois mots qui veulent tous dire. Le gouvernement doit être le messager de ces trois mots, c’est un devoir, un principe, une responsabilité. Le gouvernement nous dit pas « soyez solidaire » mais nous encourage à être solidaire les uns envers les autres. C’est son devoir de nous guider comme un prophète vers la cohésion de la nation.

Pour conclure, l’État fait parti de nos vies à part entière. Il n’est pas simplement là pour faire suivre les règles de la nation, mais pour nous unir dans les moments difficiles. Nous sommes responsable et capable de réfléchir par nous même. Cependant, le gouvernement nous donne des conseils pour être plus proche les uns des autres. L’État a un rôle important, celui de nous unir, de nous guider, de nous s’entraider et ainsi être solidaire tous ensemble.

Une solidarité temporaire ?

Depuis la crise sanitaire que nous connaissons aujourd’hui avec le covid-19, le confinement et tout le problème économique que cela a engendré un nouvel élan de solidarité comme par exemple les applaudissements en soutient avec le personnel médical. Ce qui nous mène à la question suivante : « La solidarité d’aujourd’hui va-t-elle perdurer une fois que tout cela sera fini ? ». Car, étant étudiants,  on se demande si cette solidarité disparaîtra lorsque l’on annoncera la fin de la pandémie. Nous verrons que ce moment de solidarité est de passage, qu’il est néanmoins nécessaire et peut perdurer sous plusieurs formes et enfin que cette solidarité passagère a créé quelque chose de nouveaux.

 

Une solidarité éphémère

 

Tout d’abord, cet élan de solidarité soudain de la part de toute la population envers ceux qui nous permettent de continuer à vivre pendant cette crise ne saurait tardé de disparaître lorsque celle-ci aura prit fin. En effet, l’homme nous a déjà montrer par le passé que tout mouvement prend fin à un moment ou à un autre et le plus souvent à la même vitesse avec laquelle il est apparu (les mouvements politiques comme par exemple les gilets jaunes). Il est vrai de ce demander à quoi servirait de continuer à applaudir ou à soutenir que ce soit par des dons ou tout autre forme les gens qui nous permettent de vivre, de nous soigner, de ne pas rencontrer la grande faucheuse ? A quoi bon aider ceux qui nous sont indispensables ?

 

La population est atteinte de solidarité aiguë

 

Ensuite, oui les applaudissements aux balcons vont disparaître mais ce réveil de solidarité chez les citoyens pourront faire naître ou renaître d’autres mouvements solidaires dans plusieurs milieux. Par exemple pendant l’épidémie, les gens se tournent de plus en plus vers des petits producteurs locaux qui préparent ou livrent des paniers de produits de saison. Le tout est à la fois une sécurité sanitaire sur le fait qu’il n’y a aucun grand regroupement de personne pour faire ses courses, un contact direct (mais au minimum de 2 mètres) avec le producteur et l’argent donné revient en intégralité au producteur, ce qui lui permet de vivre. On pourra citer d’autres mouvements solidaires comme le regroupement des courses entre voisins, l’aide aux personnes isolées encore une fois pour faire leurs courses ou autres besoins…

 

Une solidarité en pleine métamorphose

 

Donc, la forme de solidarité que nous connaissons aujourd’hui avec des dons et des applaudissements va disparaître dans quelques temps mais cela n’empêche pas que celle-ci prenne une autre forme. En effet nous avions tendance à vouloir ce qui est à l’autre bout du monde alors que maintenant on doit faire avec ce qu’on a au près de nous. Avec ce périmètre beaucoup plus restreint nous avons du nous adapter et donc faire tout ce qu’il faut pour le lieu où nous sommes soit le mieux possible en nous entraidant, en nous connaissant mieux. Cette solidarité a créé ou nous a rappelé quelque chose qui était perdue.

L’histoire de la solidarité… ou de l’égoïsme…

Le monde entier est actuellement cristallisé par une pandémie, le coronavirus. Comme le disent si biens nos gouverneurs, « Nous sommes en guerre ». Mais cette guerre est extrêmement effrayante, en effet, notre ennemi est invisible, sans pitié, et s’attaque au monde entier. Riches, pauvres, jeunes, âgés… toutes personnes y sont confrontées. Le coronavirus, comme nous le prénommons a engendré une guerre sans règle. C’est donc pour cela que nous allons voir, peuple français, qu’une nouvelle forme de solidarité s’est créée, elle constitue notre unique arme pour vaincre ce virus meurtrier. Cette même solidarité d’aujourd’hui va-t-elle perdurer une fois que tout cela sera fini ? Nous montrerons ici que cette entraide ne défendra pas les mêmes valeurs entre aujourd’hui et demain.

  • Une omniprésence de la solidarité

Tout d’abord, je tiens à vous préciser que la solidarité constitue un pilier pour nous, population française. Et ce depuis un grand nombre d’année. Il est donc important de nous remettre dans le contexte, la solidarité a été et sera omniprésente tout au long du règne humain. Ce n’est en conséquence pas une création récente mais une sorte de mutation, d’évolution en accords avec les évènements actuels. C’est donc pourquoi je vais vous montrer que cette nouvelle forme de solidarité ne perdurera pas à la fin de cette crise.

  • La solidarité d’aujourd’hui

Maintenant, parlons présent. Il est vrai que nous avons mis au point une nouvelle forme de solidarité exemplaire. Celle-ci se dirige envers les malades atteints du COVID-19 et tous les corps de métiers qui permettent de maintenir en vie ces souffrants ainsi que notre pays. Cette solidarité prend différentes formes tels que le simple fait de rester chez-soi pour minimiser un maximum l’expansion de ce virus ou encore, les dons faits pour augmenter le matériel est les avancées médicales. Il est donc important de souligné que nous, peuple français, sommes soudés pour faire face à cette atrocité.

  • La solidarité de demain

Malheureusement, une question s’impose : cette solidarité n’est-elle pas née d’un égoïsme ? En effet, est-ce que rester chez-soi ne se fait pas par peur d’être contaminer ? Est-ce que faire des dons n’est pas simplement un acte de protection ? Car comme dit auparavant, même les personnes aisées sont touchées par cette guerre, elles se sentent donc vulnérables et les dons forment pour eux un bouclier virtuel contre ce virus. Il faut donc s’interroger sur le fait que si cette pandémie n’affectait que la classe moyenne, est-ce que les plus riches d’entre nous participeraient à cette solidarité ?

Ensuite, je pense que cette nouvelle forme d’entraide sera remise en cause à la fin de cet évènement selon plusieurs critères. Politique : étant impliqué à 100% dans cette guerre, lorsque celle-ci sera close, les politiciens devront faire des choix qui vont sans aucun doute fracturer cette solidarité. Economique : la perte conséquente d’argent lors de la pandémie aura de lourdes répercutions sur la conjoncture française. Social : en ces temps difficiles, nous sommes tous soudés, nous formons un seul corps. Mais, selon moi, ces liens entre nous, français, sont fragiles et vont se détruire par la suite.

  • Une solidarité fragmentée

Enfin, je tiens à préciser que je ne véhicule pas le fait que la solidarité en général sera anéanti. Je prône plus précisément qu’elle sera différente à la suite de notre combat. Celle-ci sera fragmentée, c’est-à-dire qu’elle sera répartie dans les entre les corps de métier. Par exemple, le corps médical va se battre de leur côté pour toucher leurs primes. D’un autre côté, les entreprises qui ont fait faillite durant cet évènement vont eux aussi remuer corps et âmes pour faire appliquer ce que notre président avait dit : « nous ferons tout pour qu’aucune structure ne fasse faillite ».

Pour conclure, vous l’aurez donc compris, la solidarité s’adapte aux évènements, ces deux termes sont pour moi liés. Cette même solidarité est en constante évolution c’est donc pourquoi la solidarité d’aujourd’hui ne perdurera pas une fois que tout cela sera fini.

La solidarité et son avenir incertain.

Le monde entier se bat actuellement contre un nuisible invisible, nommé le Coronavirus. En effet, cette bactérie nous met à rude épreuve…. La solidarité est plus que nécessaire en cette époque, et il est de notre devoir à tous de faire en sorte que cette crise mondiale se termine le plus rapidement possible. En lien avec la période que nous vivons, nous pouvons nous demander : « Où en est la solidarité aujourd’hui ? Va t-elle perdurer à la suite du confinement? ».  Nous montrerons que même si cette entraide est aujourd’hui présente, il y a peu de chance pour cela se poursuive.

 

Une solidarité mise à l’épreuve.

Suite à une crise économique et à la perte de confiance envers les partis politiques, la solidarité a connu un déclin au cours de ces dernières années. En effet, un tel contexte n’appelle pas à la l’entraide, mais plutôt à une individualisation, où chacun fait au mieux pour sauver sa peau. Cependant, dans une situation pareille, il est plus que primordiale que la solidarité soit remise au goût du jour. Elle est d’ailleurs très simple à exercée, puisqu’il suffit seulement de rester chez nous, et d’appliquer les règles d’hygiène imposées par l’Etat.  Aujourd’hui, le simple fait de respecter ces règles fait acte de solidarité. De plus, tout le personnel hospitalier, ainsi que les personnes continuant à travailler malgré ses conditions participent tout particulièrement à cette entraide. De nombreux dons sont également effectués pour venir en aide aux hôpitaux en difficulté. En additionnant ces différents facteurs, nous pouvons prétendre que la solidarité est aujourd’hui à son apogée.

 

Une solidarité pourtant éphémère.

Malgré une solidarité prépondérante sur l’ensemble de la planète, nous pouvons déjà dire qu’elle n’est pas égale pour tous. En effet, même si il s’agit d’une minorité, certaines personnes n’ont aucun scrupule à sortir de chez eux sans raison valable, sans penser aux conséquences, de manière égoïste. Nous payons tous les frais de ses sorties provoquant la prolongation de ce confinement. Nous pouvons donc en déduire que l’entraide n’est pas solide et pas totalement encrée. Nous pouvons alors nous poser des questions quant à l’avenir de celle ci. Va t-elle perdurer dans le temps ? Si on en croit les faits historiques, les chances sont très faibles…. Par exemple, si on se réfère aux différentes Guerre Mondiales qui ont eu lieu au cours de l’histoire, durant les quelles la solidarité était plus que présente, qu’en est-il aujourd’hui ? Nous pouvons penser qu’à partir du moment où chacun retrouve sont train de vie habituel, la solidarité risque fortement de se retrouver en arrière plan, comme elle l’était avant cette crise mondiale.

Pour conclure sur ce sujet, nous pouvons dire que malgré une solidarité à son apogée, elle a de grande chance d’être remise en cause suite à cette période si particulière que nous vivons aujourd’hui.  Mais avant de penser à son futur, il faut se concentrer sur la solidarité et son présent. En effet, nous devons nous efforcer de continuer de respecter les règles fixées par l’Etat afin de sortir de cette bataille contre l’invisible au plus vite.

 

Liberté, égalité, solidarité

L’État est l’autorité souveraine qui s’exerce sur un peuple et un territoire déterminé. Il doit assurer plusieurs missions et rôles  différents comme la défense de son territoire, la sécurité de son peuple ou encore la justice par exemple. Mais, est-ce son rôle de nous dire « soyez solidaire » ?

 

La mission première de l’État: l’exercice de la souveraineté

L’État n’est pas une personne morale de droit public comme une autre. En effet, c’est le dépositaire de la souveraineté. C’est pourquoi parmi ses missions, il doit établir les différentes règles au sein de son pays qui s’imposent au corps social (sa population) et à lui-même. En ce sens, il doit également instaurer une force publique dans le but de faire respecter ses règles et ainsi garantir les droits et libertés de chacun. Lorsque les règles ne sont pas respectées, l’État se doit également de mettre en place une justice. Enfin, parmi ces rôles primordiales,  l’État doit pouvoir défendre son pays et donc organiser une armée pour d’éventuelles opérations militaires. Aucun de ces rôles n’a pour but de de dire « soyez solidaire », cependant certain peuvent le faire et transmettre cette valeur. En effet, l’État peut  mettre en place des règles ponctuelles. Par exemple le confinement obligatoire pour chacun a pour but de limiter l’expansion du virus covid-19, mais c’est également une sorte de solidarité envers le personnel soignant qui œuvre chaque jour pour sauver des vies.

l’État: le porte-parole de l’intérêt général

En plus d’être le dépositaire de la souveraineté et instrument du pouvoir politique, l’État est également le porte-parole de l’intérêt général ou du bien commun. L’intérêt général correspondant à l’ensemble des individus qui forment le peuple, c’est donc la somme des intérêts particuliers de chacun. C’est dans ce cadre que l’État va pouvoir instaurer des nouvelles règles (voir exemple ci-dessus) et donc forcer son peuple à exercer une certaine forme de solidarité. Cependant, attention l’État ne doit pas abuser de ce rôle car il ne possède pas de caractère moral en effet, il laisse ouverte la question de savoir en quoi consiste l’intérêt particulier hors, à chacun de déterminer le sien.

 

Pour conclure, même si ce n’est pas son rôle premier, dans le cadre de l’intérêt public, c’est du droit de l’État de dire à son peuple « soyez solidaire ». Cependant l’État doit tout de même veiller à ne pas abuser de ce rôle afin de remplir ses missions premières.

Le féminisme, une solidarité égoïste

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit, il était grand temps d’aborder ces questions de société. Mais est-ce que cela est fait de la bonne manière ? Officialisée en 1977, mais existant depuis 1909, la journée internationale de la femme est célébrée chaque 8 mars. Cet événement est révélateur de l’ampleur du mouvement que ce soit de ses bons côtés comme des plus… discutables.

Un mouvement omniprésent dans la société

L’égalité des sexes est importante. Dites ces mots dans n’importe quelle discussion et vous passerez assurément pour un individu tolérant et progressiste. L’égalité en droit des individus est essentielle. Mais la solidarité qui lie la cause est encore plus incroyable qu’elle est la raison de sa réussite.

Évidemment toute la première révolution des droits de la femme était plus qu’indispensable. La liberté financière, le droit de vote, de travail, sont des éléments fondamentaux pour une société égalitaire qu’est la nôtre et plusieurs femmes se sont battues pour obtenir une égalité dans la loi. De nos jours, un grand reproche qui est fait, en plus du harcèlement de rue et l’oppression sociale, est la différence salariale. En effet selon plusieurs études, le salaire moyen des femmes en France est de 10 à 25 % inférieur selon les sources au salaire moyen des hommes. Les termes sont ici choisis avec précaution.

Le féminisme revendique donc une inégalité non légale entre les hommes et les femmes, cette dernière n’étant pas à l’origine définie par un texte de loi, ce qui était avant le cas. Certaines parlent d’héritage social du patriarcat, d’autres gardent une vision marxiste de la société (basée sur des relations oppresseurs, oppressé). Ce qu’il faut ici retenir, c’est que le débat est autant fermé qu’omniprésent. Les avis, bien que marqués, sont relativement unilatéraux à mon grand regret. Après tout l’intérêt d’un débat n’est-il pas d’avoir un opposant ? On voit donc arriver sous la pression médiatique des procès de « justice sociale » qui se contentent d’ergoter sur des nuances. Bref le débat est partout, dans les maisons, dans la rue, dans les écoles et les bureaux pour la parité (donc un 50/50).

Harceler : soumettre quelqu’un, un groupe à d’incessantes petites attaques.

Mais qui peut prendre des formes indésirables

Que l’on ne m’accuse pas de discours sexiste. Le terme sexisme se définit par l’action de séparer deux êtres à partir de caractères distinctifs ; ici le sexe. Je tiens donc un discours sexiste par la seule mention du mot « femme ». Comme tout le monde, car c’est une distinction entre le sexe de deux personnes. J’évite donc le fameux : « tu es un homme donc tu m’oppresses » ; un argument bien trop utilisé a mon goût par des gens peu intéressés par le fait de tenir un dialogue raisonnable. Ceci étant dit, nous pouvons commencer.

La parité à un problème, son manque de considération pour certains critères. Reprenons l’exemple de notre écart des moyennes salariales, beaucoup d’éléments ne sont pas reflétés, car il s’agit de moyenne des temps pleins. Le magasin propose une explication de cet écart (au-delà du fait qu’il s’agisse d’une analyse non pertinente, car les deux catégories ne sont pas équivalentes). Ces résultats sont très utilisés malgré leurs manques de pertinence pour justifier une parité. Le problème est que cette parité réclame une égalité en termes de proportion et donc une discrimination positive.

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un énorme crachat au visage de toutes les femmes qui ont réussi à obtenir ce poste par leur travail, la discrimination positive est une abomination et ne résout aucun problème. Pourquoi sacrifier la compétence sur l’autel de la parité ? Cela veut dire que certains métiers (pompier, militaire, paysage…) devraient considérer comme « normale » une absence de parité ? De plus, cette discrimination ne peut avoir placé que dans un cas de CV égal, un cas techniquement impossible. Cela revient à nier les individus et à ne plus regarder que les capacités, mais les quotas.

En plus de détruire la compétitivité dans le monde du travail, cela annihile la visibilité d’autres associations ou événements solidaires. Chaque jour, le mot féminisme est aussi recherché que le mot solidarité (Google trend).

Chris T.

Crédit bannière : Hexoa.fr

Sources : Wikipedia ; Google trend

La solidarité contre Coca-Cola

Le tribunal du commerce a condamné Coca-Cola à reprendre ses livraisons pour le groupement Intermaché, livraisons qu’il refusait d’effectuer depuis le début du mois de janvier. Mais quelle est l’origine de cette affaire ?

A l’origine, une volonté de consommer mieux

Depuis mars 2017, avec son nouveau genre de campagne de pub : L’Amour ( visionnable ici ), Intermarché s’est placé en faveur du manger mieux et plus local. Depuis, ces publicités se sont développées et sont aujourd’hui imitées, mais rarement égalées.

Depuis, le groupement affiche ouvertement sa volonté de changer les modes de consommation. C’est dans le courant de cette démarche que s’inscrit leur volonté de proposer des sodas moins sucrés et plus locaux dans ses rayons. A la fois dans un intérêt de santé publique, mais aussi pour une solidarité avec les producteurs locaux et les PME. Ce qui n’est pas pour plaire à Coca-Cola.

Coca-Cola, un gigantesque monopole

Aujourd’hui, l’enseigne détient entre 75% et 90% du marché des sodas dans le monde ( liste des marques ici ). Il s’agit d’un monopole hallucinant; a lui tout seul, Coca-Cola occupe pas moins de 4 produits sur 5 dans les rayons de vos grandes surfaces. Avec, on le sait, des problèmes de bouteilles peu recyclables et des produits discutables, point sur lequel ils assurent effectuer des progrès. Il reste cependant parfois concurrencé par des marques locales, Breizh-cola par exemple, à forcé la firme à réaliser une campagne seulement pour une région au lieu d’un pays entier. C’est sans précédent ! ( article source ici )

Mais suite à l’annonce de retirer certains produits de ses rayons, notamment les références redondantes. Coca-Cola a menacé d’arrêter de livrer tous les Intermarché et Netto, menaces qu’il a mises à exécution début janvier. Durant 10 jours, les antennes du groupement n’ont plus reçu aucune livraison de produits appartenant à Coca-Cola.

Intermarché saisit le tribunal

Suite à cela, le groupement Intermarché demande gain de cause et demande justice, qu’il obtiendra le 14 janvier. Le groupe Coca-cola est obligé de livrer l’enseigne française pour cause de « d’une rupture abusive et d’un abus de position dominante ». C’est un événement rare de voir un grand groupe international forcé à plier face à une enseigne nationale.

Si les menaces entraînent un retard du retour à la normale, Coca-Cola sera condamnée à payer 460 000€ par jour de non-livraison… pour une entreprise dotée d »un capital de 200 milliards de dollars, des pénalités donc ridicules mais réelles. Les deux partis ont jusqu’au 1 mars 2020 pour parvenir à un accord. De son côté, Coca-Cola annonce l’investissement d’un million d’euros en 5 ans en France pour améliorer la recyclabilité de leurs bouteilles et lancer de nouvelles boisons.

Chris T.

La forêt : une société plus solidaire que la notre ?

Aujourd’hui, beaucoup de personnes se posent la question : « est ce que la forêt est un modèle de société solidaire ? »

Et si cela était vrai, nous pourrions apprendre énormément de cette foret que l’on connaît et qui reste pourtant un grand mystère en terme de développement. Mais aujourd’hui la forêt accueille de nombreuses espèces de la faune et de la flore, et permet à ces derniers de vivre au dépend les uns des autres, un peu comme une symbiose. Et tout cela en harmonie. Peut être qu’elle représente plus que ce que nous pensons ? c’est ce que nous allons essayer de voir.

 

  • Une faune et une flore qui se complète

 

Nous pouvons nous rendre compte que dans la forêt, il y a une harmonie entre les différentes espèces qui y vivent. Certaines plantes servent pour nourrir la faune présente, et ces derniers leur rendent en semant des graines grâce à leur déjection et donc un développement a plusieurs endroit dans la foret. Certaines plantes ont aussi besoin d’autres espèces pour vivre. Prenons l’exemple de certains champignons qui ont besoin d’une autre espèce pour leur apporter certains des nutriments qui lui manque. Le champignon lui donnera en échange des nutriment a la plante ou arbuste qui en a besoin . c’est une sorte de symbiose, ou un échange de bon compromis. Cela leur convient et leur permet à tous les deux de se développer. C’est une forme de solidarité indirecte des deux êtres.

On peut dire aussi que tous les êtres vivants dans la foret s’entendent. Ils vivent ensemble, s’entraident par moment, et peuvent pour le plupart communiquer entre eux. Cela permet un meilleur soutien et peut être un meilleur développement  au sein de cette communauté.

 

  • Et si les espèces communiquaient ensemble ?

 

Nous n’y pensons pas assez mais si la forêt est aussi belle et développé aujourd’hui, c’est peut-être parce qu’elle les différents individus qui la composent communiquent entre eux.

D’après un écrivain et ancien professeur d’aménagement paysager, les arbres sont capable de communiquer entre eux. Pour le démontrer, il évoqua le fait que lorsque qu’un arbre était mal en point, les autres arbres le savaient grâce, notamment a une communication entre eux. Ils pouvaient même s’entraider par moment contre d’autres espèces, souvent invasives.

Nous pouvons aussi évoquer le cas des animaux qui s’entraident quelque que soit leur espèces. Pareil pour les insectes.

 

En conclusion, nous pouvons dire que les foret est une société qui est particulièrement solidaire, qu’importe les espèces qui s’y trouvent. Si elles peuvent s’entraider pour mieux se développer par la suite, elles le font. Elles peuvent aussi communiquer pour se protéger et ou pour s’aider comme elles peuvent. Nous pourrions apprendre beaucoup de cette société car elle pourrait être un modèle pour nous tous et pour notre mode de vie.

La société forestière : mythe ou réalité?

« L’arbre du silence porte les fruits de la paix », ce proverbe Arabe veut démontrer qu’une société, où les préjugés et les guerres sont bannis et où la solidarité et la paix sont prescrit, est une société type qu’il faudrait suivre à tout prix. La question qui se pose aujourd’hui est : La forêt pourrait-elle devenir un exemple de société solidaire? Nous montrerons que la forêt, sous son apparence de société idéale, nous cache une anarchie dévastatrice.

Un havre de paix pour les hêtres vivants

Une société heureuse, c’est une société stable. En effet, la forêt est la dernière phase de la transformation du paysage. Elle a dû passer par une phase de développement intense afin de trouver un équilibre. Elle est donc stable et ce depuis plusieurs décennies ou siècle si cette forêt est vieille. Elle ne se développe plus. Ses échanges continus suffisent au bon fonctionnement de l’écosystème. Par exemple le cycle de l’eau n’a pas évolué depuis des milliers d’années. L’eau va, en effet, alimenter la forêt par des précipitations, qui vice versa, va la rejeter via l’évapotranspiration, dans le but de recevoir à nouveau de l’eau. Cette technique satisfait les besoins de la forêt et contribue à sa stabilité. Par conséquent, on pourrait imaginer que l’équilibre des échanges et de l’écosystème, au détriment du développement et du progrès, pourrait être un exemple type de société solidaire.

On s’y sent si saule…

La forêt, milieu de faune et de flore, créée une forme de multiples échanges qui pourrait donner une attribution de « société solidaire verte ». Le fait que des végétaux s’accumulent dans un ensemble dit : la forêt n’est pas due à des communications internes mais à un environnement propice à l’accès en lumière, en sels minéraux et en eau. Les végétaux seraient donc peut-être plus égoïste qu’on ne le pense. L’indépendance des végétaux influe aussi sur la possibilité d’espèces qui prolifèrent à l’insu d’autres. Prenons l’exemple d’une plante invasive qui fera tout son possible pour s’étendre et prendre un maximum d’espace au préjudice d’autres espèces. Peut-on vraiment appeler cela de la solidarité?
De même pour la faune. On observe une absence de mixité entre espèces. En d’autres termes, tous les types d’animaux ne vivent qu’entre-eux et essayent d’éviter les individus étrangers, faute de connaissance d’autrui. Cette faune se regroupe et forme des clans inséparables, symbole de solidarité. C’est ce qui peut s’apparenter aujourd’hui, dans notre société, aux préjugés qui empêche la mixité sociale pouvant aller jusqu’à la guerre de clans. Une nouvelle fois, zst-ce vraiment ce qu’une société voudrait pour se baser sur la solidarité?

On a encore du bouleau…

Le biomimétisme consiste a copier la nature dans ses processus ou matériaux. Ici, si la société actuelle était un calque de l’écosystème qu’est la forêt, la loi du plus fort s’appliquerait. Le plus fort n’impose sa domination au plus faible qu’aussi longtemps qu’il est le plus fort. C’est un jeu de force qui obéit à une loi naturelle. Ainsi la force ne peut s’exercer que dans l’actualité de sa puissance. Nul relâchement ne lui est permis car celui qui la subit reprendrait le dessus. Le rapport de force est donc menacé de renversement permanent. Il n’a pas la stabilité du rapport politique, ce qui va à l’encontre de l’équilibre de la forêt. Faire une copie conforme de cette société solidaire serait donc impossible à réaliser. Cependant, de nombreux points dans cet écosystème devraient inspirer notre société actuelle. En effet, la solidarité est tout de même présente entre les différents végétaux. Prenons l’exemple de la symbiose qui permet à 2 plantes de s’entraider tout en subvenant aux besoins de chacun, ou tout simplement de la nourriture que peut donner les végétaux à la faune. Cela d’apparente à une solidarité gratuite, sans rien attendu en retour. Le souhait d’une société stable.

La forêt, cette fausse société.

La forêt, cette fausse société

C’est en voyant la destruction de nos paysages, des différents écosystèmes et de la nature que l’Homme s’intéresse enfin a l’importance de cette dernière dans nos sociétés. Sociétés que certains auront tendance à comparer à celle de la forêt en ce demandant si elle ne serait pas un modèle de société solidaire. Mais alors, peut-on réellement comparer l’Homme à un arbre ? La forêt est-elle vraiment solidaire ou n’est-elle pas seulement juste dépendante pour survivre ? Vous, étudiant, vous êtes humain, vous n’êtes pas un arbre.

 

La forêt peut être qualifiée de société solidaire…

          Par définition, une société est un ensemble d’individus entretenant des rapports d’interdépendance réglés exprimables sous la forme de règles naturelles ou conventionnelles. Le mot solidarité provient quand à lui du latin solidum signifiant « un tout » et représentant des liens d’assistance mutuelle entre différents individus.

Mais alors que comprend ces « différents individus » ? En écologie, lorsque l’on parle de forêt, on parle en réalité d’écosystème. Un écosystème est définit par un endroit où s’échange des espèces, des habitats et des gènes. Ainsi, contrairement à ce que l’on pourrait croire, la forêt n’est pas seulement définit par les arbres mais également par l’ensemble des êtres vivant qui y agissent. Par exemple n’importe quelle espèces d’herbacées ou des mousses, mais également la faune y vivant. Dans ce lieu, chaque individus procèdent à des échanges profitables et utile avec d’autres  du même lieu, c’est ce qu’on appelle la symbiose.

Si l’on prend l’exemple d’une famille des plantes, les epiphytes. C’est une catégorie de plantes qui se servent d’autres plantes comme supports pour se développer.
De même, à l’interieur du sol, même si les arbres sont nombreux, le puisement des sels minéraux sont équitablement puiser par les différentes plantes. Enfin, les arbres servent d’abris à la faune, faune pouvant de temps en temps faire preuve d’entraide pour évoluer.

Si l’on se repenche sur les arbres, P. Wohlleden a édité son livre « la vie secrète des arbres » traitant des relations et sentiments que ces derniers peuvent avoir. Thèse absurde lorsque l’on sait qu’un arbre n’est qu’un être fixe, non doté de conscience.

… mais elle n’est pas doté de conscience …

En effet, peut-on réellement parler de modèle lorsque l’on compare une forêt à la complexité du genre humain ? Peut-on seulement même parler de société étant donné que les individus ne sont même pas conscient de leur existence.

Parler de modèle, de société revient à faire une comparaison envers notre société humaine. Cependant, la définition de la société évoque aussi le fait d’avoir des liens organisés par des institutions mais également des liens sociaux, propre à l’Homme. Alors peut-on parler de société quand il s’agit d’espèces n’étant pas capable de s’exprimer, certaines même inerte et qui ne sont pas doté de conscience ? En effet, en ce qui concerne les végétaux, il n’ont pas de conscience, comment peuvent donc t’il être solidaire ? Les epiphytes ou même les mousses ne vont pas demander l’avis à leurs hôtes pour s’y fixer afin de se développer. Elles vont s’y attacher car elles dépendent de ces espèces. Les arbres, végétaux, ne sont pas solidaire entre eux ils interdependent juste les uns des autres.

La question qui nous est ici posée est ainsi paradoxale puisqu’elle réside en la personnification de la forêt.

… et reste un modèle privé de liberté…

Peut-on être un modèle si le propre de ce modèle réside en l’abolition de mes liberté ?

Si l’on reconnaît la forêt comme modèle d’une société solidaire, chaque sociétés doit par définition l’imiter. Mais comme on l’a vu précédemment, de part leur manque de conscience, les individus qui composent la forêt ne sont pas libre de leur identité. En France, notre devise est pourtant basé sur trois grands points: l’egalite, la fraternité (solidarité) et la liberté. La liberté de conscience, liberté d’opinion, liberté de mouvement, liberté de culte.

Ainsi, si on suit le type de solidarité mis en place par la forêt, cela sous entend de laisser d’autres personnes s’agripper à nous comme une algues à son rochers ? De laisser nos libertés au profit du développement d’autrui, sans avoir de liberté de mouvement… De partager tout avec autrui comme si rien ne nous appartenait, alors que l’Homme agit déjà par solidarité uniquement dans un but individuel.

Et toi, étudiant, es tu prêt à sacrifier toutes tes libertés afin de suivre le modèle social, si nous pouvons encore utiliser ce terme, de vulgaires arbres.

… ou les plus faibles n’ont pas leur place.

Enfin, il est évident que tu as déjà entendu parler de la loi du plus fort, ou autrement dit la loi de la jungle. La jungle est tout simplement une veste forêt tropicale. Cette signification signifiant « chacun pour soi » ou alors « tuer ou etre tué », montre que dans une forêt, les plus fort s’en sorte, survivre, et les plus faible, meurt. Cette expression est principalement désigné pour parler de la faune, constituant la forêt.
Alors oui, établissons, pour l’Homme, un état sans lois ou tout est permis. Mais, vas tu survivre dans cette diversité individuelle ?

De même, si l’on prend l’exemple d’arbres; une espèce qui sera en nombre inférieur, ou moins acclimatée à son milieu disparaîtra au profit de la colonisation des espèces existantes. Dans certaines forêts, on peut même voir que rien ne pousse sous des grands arbres puisqu’ils cachent l’arrivé du soleil empêchant les éventuelles petites plantes de faire la photosynthèse.

La solidarité est inexistante dans un lieu comme celui ci où la diversité et l’aide au plus faible n’est pas optimal.

Pour conclure, c’est à nous d’être solidaire envers la nature.

Comme vous l’a montré notre argumentaire, la forêt n’est en rien un modèle de société solidaire. L’Homme vit dans sa propre société solidaire bien que s’individualisant de plus en plus. L’Homme à la chance de posséder une conscience lui permettant liberté et réflexion. Alors ce n’est pas grave si la forêt, ou même la nature n’est pas un modèle de société solidaire, car un modèle universel n’existe pas non plus. Mais alors prouvons à cette nature notre solidarité et notre dépendance à son égard en favorisant la biodiversité et sa protection, car l’Homme, différemment de la forêt est conscient, libre et égalitaire.

La méditation, un acte solitaire

La méditation, un acte solitaire 

 La méditation, très ancrée dans certaines cultures, compte un nombre indéniable de pratiquant dans le monde . Mais permets elle de venir en aide aux autres ou de partager avec autrui ? Rechercher la paix intérieure par la méditation, est-ce juste un repli sur soi ?  Dans cet article, je vais m’expliquer en trois parties : face à face avec Dieu, la communion collective et la dimension spirituelle et physique . 

FACE À FACE AVEC DIEU …

Le but de la méditation dans l’islam est de rentrer en connexion avec Dieu . Mais ce processus se fait individuellement . Que croyez-vous que l’être humain demande en premier à un être qu’il imaginent  tout-puissant et avec le pouvoir réaliser tout leur vœux ? Ils auront forcément une pensée égoïste et c’est tout à fait normal , c’est dans sa nature, dans son instinct primitif comme la si bien dit Rousseau “ Il faut donc que nous nous aimions pour nous conserver, il faut que nous nous aimions plus que toute chose “  J-J Rousseau, Emile ou de l’éducation, livre IV   (1762) . Je n’exclus pas le fait qu’ils peuvent aussi souhaiter la paix dans le monde ou la fin de la famine mais ce serait dans un second temps  . Kahina Bahloul, première femme Imane en France affirme que l’on peut méditer seul ou à plusieurs . Mais si cette pratique peut se pratiquer seul, pourquoi se réunir et la faire ensemble ? C’est connu et reconnu, la dynamique de groupe motive l’Homme . Plus vous êtes nombreux plus vous serez motivé . Mais le nombre de pratiquants ne change rien au but de la méditation qui reste très individuel .Le lieu préconisé est aussi un indicateur, un lieu isolé, dans la pénombre . Ce lieu permet de se concentrer exclusivement sur la méditation, de s’isoler du monde et des autres. Mais alors ou est le partage ? Il y en a pas . En tout cas pas pendant la méditation qui reste une discussion entre deux entités .

… COMMUNION COLLECTIVE … 

 La méditation est une pratique qui date de plusieurs milliers d’années avec ses codes et son protocole. Pour la méditation on doit reproduire à l’identique les comportements de nos ancêtres mais la reproduction ne mène pas au changement . Et sans changement, les hommes n’évolue pas  . Peut-on croire que ca marcherai avec toute la population, peut-on créer une communion collective avec des individus de genre ou d’origine différente ? Non . Car si l’on reproduit les comportements de nos prédécesseurs, nous ne pouvons prôner la tolérance, ni la communion universelle . Dans ce cadre , la méditation n’y changera rien . Nos ancêtres ne sont pas tout blancs et innocents en tout point . Il suffit d’ouvrir un livre d’histoire, nous avons l’embarra du choix : entre les massacres, génocides, les guerres, l’esclavage .La reproduction du comportement des hommes ayant participé à ces atrocités ne permet pas de s’élever. Oui, vous pourriez me dire que ça fait partie du passé et que maintenant les hommes sont différents mais prenons un exemple qui défraie l’actualité en ce moment et qui est malheureusement entré dans notre quotidien. Les féminicides. Si un homme en ménage ne peut même plus vivre en harmonie avec sa  femme et en vient à la tuer, comment pourrait-il être en harmonie avec le reste du monde ? La méditation ne peut changer l’homme avec un tel protocole, elle ne fait que recentrer l’homme sur lui-même .

.… LA DIMENSION SPIRITUELLE ET PHYSIQUE 

Comme dit précédemment, la méditation repli les hommes sur eux-mêmes mais cela n’a pas forcément qu’un aspect négatif .La méditation a forcément un bienfait sinon pourquoi autant de ces personnes la pratique ?  Même si l’effet de mode est à prendre en compte . Cela permet à un individu de mieux se connaître, de gagner en assurance ou même d’être apaisé . Mais pour cela , il ne faut pas que ce soit un ressassement d’erreur permanent . Mais malheureusement nous restons dans le cercle vicieux de l’égoïsme ( moi je ,moi je ) qui reste essentiel pour l’épanouissement personnel .

CONCLUSION

Pour conclure , la méditation apaise les hommes ,c’est indéniable, mais ne les change pas . En tout cas pas avec la méditation pratiqué de nos jours basé sur les anciens et l’égoïsme . Elle n’engendre ni le partage ni la communion mais seulement la paix intérieure . C’est déjà bien, non ?

 

Société Forestière: La nature une valeur sûre

La solidarité est un moyen de garantir la stabilité d’une société. Tout comme l’Homme, la forêt est un écosystème où l’on retrouve la notion de solidarité. Cependant actuellement nous être humain, recherchons une société dite solidaire afin de garantir une société stable et de limiter les inégalités sociales. La forêt est-elle un exemple parfait ? Quelle sont ces qualités?, mais chers confrères dans cet article je vise principalement les citoyens passionnés par la lecture nous allons voir si « une société solidaire peut être représentée par une forêt en bonne santé ».


Une forêt en bonne santé représente une société

Premièrement la forêt est un écosystème où l’on retrouve une diversité d’espèces floristiques et faunistiques. Ces espèces sont en permanence étroitement associées les uns avec les autres. L’interaction entre ses différentes espèces dans une forêt forme des associations car chacun possède des caractères bénéfiques pour l’un et l’autre des partenaires. Autrement dit dans la forêt, il existe une forme de solidarité qu’on appelle la vie en symbiose. Cette vie en symbiose permet aux espèces de vivre ensemble et d’améliorer leur cycle de vie, par exemple la vie en symbiose entre les fourmis qui protège les arbres contre les défoliateurs et les arbres qui sont des habitats pour les fourmis.

Une forêt en bonne santé n’est pas forcément une société solidaire

Néanmoins dans la forêt il existe une forme d’égoïsme, il existe une compétition entre certaines espèces qui ne vivent pas en symbiose que l’on appelle les parasites. Autrement dit une espèce qui tire profit d’une autre espèce en s’y nourrissant, s’abritant où se reproduisant ce qui pourrait provoquer la mort de certaines espèces. Prenons l’exemple du champignon qu’on appelle la chalarose du frêne qui attaque les arbres et provoque, parfois, leur mort sur pied.

Pour conclure Il est évident que la foret et un exemple pour représenter une société solidaire. Cependant il n’est pas négligeable de savoir  que les espèces pensent en priorité à leur survie avant leur communauté, donc cela représente bien cette égoïsme permanent dans le monde végétal  et animal.

La forêt, une société à part entière

Les forêts couvrent environ 31 % de la surface de la Terre, soit près de 4 milliards d’hectares, et contiennent plus de deux tiers des espèces vivantes terrestres. Les forêts disparaissent parce que leur valeur est sous estimée. Nous avons tous déjà étés dans une forêt mais la connaissons nous vraiment ?Afin de mettre fin à leur destruction, il faut comprendre et connaître tous les services qu’elles nous rendent. Qu’est-ce-qu’une société solidaire ? Une société qui s’appuie sur l’entraide, le partage, les services, à l’image de la forêt.

Une forme d’intelligence chez les arbres ?

En effet, beaucoup d’arbres sont liés les uns aux autres et poussent de façon à ne pas gêner l’autre ; les branches de l’un croissent à l’opposé de l’autre pour ne pas l’empêcher de s’épanouir. Au niveau des racines, elles sont entremêlées. Nous trouvons aussi des « arbres mères » qui nourrissent leurs enfants à travers leurs racines, au bout des racines il y a des terminaisons nerveuses qui permettent de reconnaître les leurs. Ils peuvent même toujours grâce à leurs racines, nourrir les rejets d’un autre.

Les arbres communiques entre eux

Par le biais des filaments blancs que l’on trouve au dos des feuilles mortes, ils échangent des informations, ils sont capables de suivre des stratégies : l’arbre attaqué envoie un signal, grâce aux racines, le message se diffuse aux autres arbres qui fabriquent un tanin amer qui rend les feuilles immangeables. La capacité à communiquer n’est pas inhérente aux Hommes.

L’arbre a aussi un sens de l’adaptation

Les arbres sont dotés d’une sensibilité à commencer par le toucher qui lui permet de savoir si il y a du vent, l’arbre perçoit analyse, calcule et s’adapte. Pour survivre en ville, ils font preuve d’une adaptation hors norme face à la pollution, aux poutres qui les entravent… Dans les profondeurs de la ville les arbres cherchent la moindre goutte d’eau.Les racines sont en connexion avec le voisin qui permettent même à certaines souches de survivre, d’absorber de l’eau, en contrepartie elle livre l’eau qu’elle a absorbée à ses bienfaiteurs. On peut donc parler d’une société de partage. Des scientifiques disent que ces systèmes d’échange sont basés sur des amitiés, des convergences de besoins, de complémentarité.

On peut donc dire qu’il y a davantage d’entraide que de concurrence au sein de la forêt. Dans cette dernière, tout est en communication, même le son des oiseaux ont une incidence sur la croissance des plantes.

Un exemple pour la société

Dans nos sociétés modernes, on oublie trop souvent que l’Homme a vécu depuis des millénaires dans la nature. Vivre en ville demande beaucoup d’adaptation aux arbres mais aussi aux Hommes… Il existe à présent des thérapies forestières (randonnées) pour nous relier à la forêt. On sait aussi que les nerfs et le cerveau réagissent à la simple évocation visuelle ou auditive de la forêt. La forêt amène à nous retrouver nous même, à nous apaiser. L’Homme est aussi capable de redonner aux forêts leur importance. Au Japon par exemple, on est davantage à l’écoute des arbres et en Amazonie certaines communautés ont leur arbre protecteur sacré. Dans certaines forêts on parle d’arbres présidents , qui est le plus haut considéré comme le patriarche.

Pour conclure, les arbres ont encore beaucoup de choses à nous apprendre mais nous avons vu que la forêt a tout d’un modèle de société solidaire. L’arbre le plus vieux du monde a 5000 ans et est source d’un savoir plus grand que le notre.

La Forêt, une solidarité naturelle.

     La notion de solidarité est ancré dans notre société seulement depuis 1821, c’est à travers elle qu’est assuré la stabilité et l’équité. Aujourd’hui notre modèle de société semblerait résidé dans le modèle de la forêt pourquoi ? Tout d’abord au-delà de son extrême complexité dans son mode de fonctionnement, la forêt existe depuis des dizaines de milliers d’années et sera sûrement encore la bien après nous. Nous prenons aussi même exemple sur elle pour cultiver et bien d’autre dont nous traiterons dans cette article.

Si l’on prend la forêt dans ça globalité elle se trouve composée d’une part, d’une flore très importante mais aussi d’autre part d’une faune tout aussi importante.

 

Une flore solidaire entre elle mais aussi envers la faune:

     Au cours des siècles et des évolutions les différentes espèces et essences ont développées de multiples techniques afin de leurs permettre de mieux survivre dans ce milieu. Certaines de ces techniques vont soit venir aider seulement l’arbre concerné ou bien aider tout un groupe d’individus.

     Par exemple on peut qualifier la relation entre un champignon et une algue, comme une symbiose car l’association des deux va permettre au champignon d’avoir à sa disposition plus d’eau et sels minéraux. Tandis que l’algue elle va pouvoir puiser dans les réserves de glucose du champignon pour se développer. Ce type de rapport nous pouvons le retrouver dans nôtre société par exemple quand une personne se retrouve bloquées à cause de la neige sur la route, et que d’autres automobilistes viennent le pousser pour débloquer la voie et faire repartir tout le monde. Cette action va profiter à tout le monde.

     Il en est de même quand nous sommes en pleine hiver qui est ce moment assez triste de l’année, ou la plupart des arbres perdent leurs feuilles, ce phénomène bien que naturel permet aux espèces les plus petites d’être recouvert pour passer l’hiver « au chaud ». En effet en ce formant ce couvert végétal vient en quelque sorte protéger les plus faible et démuni, un peu à la façon de toutes ces personnes venant en aides aux sans abris en leurs offrant une couverture ou un toit.

     Enfin pour ce qui est de la faune, elle aussi va pouvoir profiter également de la forêt pour y trouver un refuge (comme pour la faune chassée par l’homme, elle va pouvoir passer par des endroits pas accessible pour son prédateur et lui échapper), une cache (comme les ronciers qui permet par exemple au lapin de protéger et dissimuler son terrier) ou encore de quoi se nourrir (avec les arbres portants des fruits).

 

Nous pouvons nous apercevoir de certaines similitudes entre notre modèle de société et celui de la forêt. Pour autant la forêt est-elle vraiment profitable à tous ? Encore plus pour les petits êtres et spécimens ? La loi du plus fort n’existerait elle pas aussi au sein de la forêt ?

 

Un manque d’équité malgré tout présent:

     Malgré beaucoup d’entraide présent en forêt ce lieux n’échappe pas à la loi du plus fort. En effet les plus faible ne survivent pas toujours et finissent aussi par se faire manger ou mourir. Comme par exemple quand il s’agit aux arbres de grandir celui qui ne réussira pas à suivre la cadence imposée par les autres arbres se retrouvera privé de lumière et finira par dépérir puis mourir.

  C’est le même cas pour les champignons et les arbres les champignons ne sont pas toujours favorable aux arbres et dans des cas extrême vont finir par tuer l’arbre.

    De même pour le côté nourricier de la forêt elle peut nourrir la faune et même l’Homme mais aussi tuer avec ces cadeaux empoisonner. Il existe beaucoup de fruits, champignons comestibles pour l’homme mais toxique pour certaines espèces et inversement.

 

   Pour autant tout ces défauts nous les retrouvons dans nôtre société actuelle, certaines personnes meurent de faim, ne trouve pas à manger ou n’ont pas les moyens. D’autre vont s’enrichir et en tirer tout les profits dans certaines situations. Et malgré tout beaucoup de personnes de nôtre monde meurent tandis que d’autre naissent. Un peu comme au rythme des saisons.

 

Il existe aucun modèle de société parfait :

     Pour conclure nous trouverons dans ce monde aucun modèle de société parfait pour autant il semblerait bien que celui de la forêt pourrait s’en approcher. Car même si il comporte quelques défauts, il possède malgré tout la plus grande équité. Et dans ce modèle de société chacun peut trouver sa place et avoir sa chance de survivre.

 

        Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ».

Une société verte, libre et connectée : La forêt

Il existe une société où vivent des êtres vivants solidaires tous les uns envers les autres. C’est une société très connectée, certes pas visible à l’œil nu, ou encore en surface, mais plutôt d’un point de vue souterrain. C’est à travers cette connexion, ce réseau, que ces êtres vivants communiquent, s’entraident ou encore développent leur société tout en restant solidaire: la forêt.

Premièrement, nous vivons dans un monde en pleine croissance. Un monde qui ne cesse d’évoluer. Un monde qui, de jour en jour, continu de s’agrandir. Le monde dans lequel nous vivons, existe des différents groupes de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent  en coopération pour former un groupe social ou une communauté. C’est ce qu’on appel : une société. Toutes les sociétés sont-elles solidaires? Qu’est-ce qu’une société solidaire? Peut-on être solidaire sans avoir de parole?                                                                                                         En effet, dans cette société, ne règne pas toujours l’entente entre tous; c’est-à-dire, la plus part des personnes ne pensent qu’à elles même, préfèrent avancer en fonction de leur intérêt, plutôt que d’aider son prochain. Pour ce groupe de personne, la loi du plus fort est au dessus de tout. D’autres personnes se servent du mot solidarité pour imposer ou encore accroître leur pouvoir. En outre, existent toujours dans cette même société, d’autres personnes agissant contrairement à ces comportements et qui pour eux, vivre en coopération, aider son prochain, unir nos forces, contribuera à la naissance d’une société meilleur ; c’est-à-dire une société plus soudée, plus forte ou encore plus résistante ; donc une société solidaire.                                                  Mais, Existe-t-il, quelque part dans le monde une société ou les individus s’entraident de façon instinctive ? Une société où aider son prochain ne signifie pas attendre quelque chose en retour ? Certaines personnes comparent notre société actuelle et le fonctionnement de la forêt en général car les espèces qui y vivent, vivent en harmonie.        Pourrait-on qualifier la forêt comme étant un excellent modèle de solidarité ?

Une solidarité pas totalement visuelle, mais existante : libre et connectée

Pour commencer, la forêt est un endroit où vivent des espèces en symbiose ; c’est-à-dire que plusieurs organismes de même espèces ou espèces différentes partagent une association durable et profitable à chacun d’eux. Prenons le cas des arbres. L’arbre fait parti des espèces les plus anciennes que la forêt abrite. On nous a toujours appris que les arbres vivent de compétitions entre eux ; c’est-à-dire  qu’ils poussent de telle sorte à capter le maximum de rayons de solaire qui pénètrent la forêt et aussi qu’ils ont besoin d’espace pour se développer. Mais ce que peu de gens savent, c’est que les arbres sont en réalité des espèces très solidaires entre eux. Partons du haut de l’arbre. Des scientifiques ont découvert que les arbres captaient du CO2 et se l’échangeaient entre eux. Mais pourquoi font-ils cela ? Tout simplement pour aider son voisin. Il peut arriver qu’un arbre ait du mal à se développer contrairement aux autres, donc une croissance ralentie. Les autres l’aiderons à se développer d’avantage afin qu’il puisse survivre. Deux arbres de la même espèce qui poussent cote à cote auront tendance à respecter l’espace de l’autre. Ils développeront leurs racines de telle sorte à ce qu’elles n’iront pas s’entremêler entre elles. Par ailleurs, nous avons le système racinaire des arbres, appelé le cerveau de la forêt par certains scientifiques. On a découvert que les racines des arbres s’entremêlent et connectent entre elles. Certaines souches qui vivent encore sont la preuve que leurs racines sont connectées aux autres arbres. Aussi, les arbres sont des êtres sociaux. Les arbres mère veillent sur leur progéniture. Elles les nourrissent par voie racinaires. Toujours au niveau souterrain, des scientifiques ont découvert qu’une association symbiotique entre champignons et les racines des arbres, formait l’internet de la forêt appelé : Mycorhize. C’est donc grâce à ce mycorhize que les arbres communiquent entre eux.

La forêt peut-être pris comme exemple, un modèle de société solidaire de part son côté instinctif à aider son prochain.

Une société non solidaire et déconnectée

De plus, nous avons les hommes et leur société. Contrairement à la vie forestière, les hommes ne cessent de se faire la guerre. L’homme en générale est assoiffé de pouvoir. Pour lui, aider son prochain n’est pas obligatoire. C’est un sujet qui est abordé dès notre plus jeune âge. Un proverbe Africain dit : « seul on va plus vite, mais à deux on va plus loin ». Mais dans notre société, l’homme en général ne retient qu’une seule partie de se proverbe : « Seul on va plus vite ». Ainsi est formaté le cerveau de l’homme. Il existe donc une sorte de compétitivité instinctive encrer au fond de chaque personne. C’est à ce moment que naît la loi du plus fort ou les plus faible rabaisser, ignorer et voir détruit. C’est le cas de certains pays ou seules les personnes possédant un important pouvoir économique règnent sur la population. Il y a alors un déséquilibre dans la société. On parle alors de différence entre les classes sociales que Karl Marx défendra : Luttes des classes.

 

Enfin, nous pouvons dire que contrairement à la société humaine, la forêt un endroit ou des espèces vivent en symbiose, elles s’entraident entre elles s’en rien attendre en retour. C’est un lieu où chaque espèce peut compter sur l’autre. Il existe alors une forme de solidarité elles. Nous pouvons alors dire que la forêt peut être un modèle de vie solidaire dont nous pouvons inspirer afin de renouer les liens dans notre société comme la vie racinaire.

Les peuples aborigène de l’île de Vancouver disent : tout n’est qu’un.

 

 

Aux arbres citoyens !

Nous vivons dans un monde chaque jour un peu plus en danger. Sous des menaces gigantesques qui nous feraient regretter que la terre ne compte pas plus de David. La Solidarité humaine semble être notre dernier recours et seule porte de sortie. Pas seulement pour nous, mais aussi pour l’ensemble de la vie sur terre. Mais le générations actuelles sont elle vraiment un modèle à suivre que ça ?

Un système vivant séculaire …

Il y a 3,5 milliards d’années, la vie est apparue sur terre. Depuis elle s’est développée, organisée. Le cycle de la vie est apparu. Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous. La protection des espaces naturels sensibles peut telle être considérée comme une solidarité avec la nature ou la simple volonté de survivre ? Les fermes à oxygène n’existant pas encore cette question est condamnée a rester sans réponse. Mais la nature possède déjà un système d’entraide mutuelle et différentes symbioses. Certains arbres ont la capacité de signaler un prédateur à leurs voisins. D’autres ont développé des cohabitations et d’entraide avec d’autres espèces, des champignons, des fourmis; où chacun tire une contrepartie de la symbiose. Dans un de ses essais*, Ralph Waldo Emerson décrit la nature comme le lieu privilégié où la conscience de chaque individu entre en communication avec les  »grandes lois universelles ». Il ajoute que cela est rendu possible par la vie au milieu de la nature et en harmonie avec elle. Il décrit ensuite l’homme comme Goliath profitant de cet état et non pas comme un membre de ce milieu harmonieux. Plus de David se reposant leur fonctionnement sur l’intelligence face a la force et à la domination brute nous permettrais d’imiter notre environnement.

… Dont nous ferions mieux de nous inspirer

Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous, et se perpétuera après nous. Les systèmes d’entraides des arbres est admirable. on peut citer en exemple les symbioses existantes dans la nature. Les arbres et la nature sont bien plus solidaires entre que nous ne pourrions jamais l’être. Leur capacité à s’adapter aux bouleversements se pose en exemple. On peut retrouver après un feu de forêt, une flore spécifique (les pyrophytes). Viendrons par la suite, le retour des mousses, herbes, bosquet puis les arbres ferons leur grand retour donnant eux même abris à d’autres plantes. Certes ces  »séries évolutives » sonnent parfois lez glas de certaines plantes, mais ces dernières étaient appelées à disparaître, leur rôle étant rempli. De ce point de vue il parait évident que si les plantes étaient un jour aptes à construire une société, elle nous serait supérieure en bien des points. Si nous, les générations a venir, réussissons à nous inspirer de la nature pour bâtir un modèle de société, un grand pas aura déjà été fait dans la bonne direction.

*Nature parue en 1836

Chris. T