La réalité augmentée, le marché de l’image futuriste

Magic Leap est une start-up de réalité augmentée financée par Google. Elle vient de publier une vidéo montrant ses prouesses technologiques. En effet cette entreprise développe la réalité augmentée et un programme permettant d’utiliser cette technologie dans la vie de tous les jours. Notamment via des lunettes qui permettront la visualisation d’objet en réalité augmentée.

Cependant, l’article précise que Magic leap n’est pas la seule entreprise à développer cette technologie futuriste. Certains géants de l’informatique sont entrés sur le marché de la réalité augmentée il y a peu. Microsoft ou encore Facebook concurrencent Google, notamment avec le rachat par Marc Zuckerberg ( PDG de Facebook), de l’ancien numéro un du secteur, Oculus.

Microsoft compte commercialiser en 2016, pour les développeurs, dans un premier temps, son casque connecté Hololens.

La réalité augmentée est une technologie d’avenir. La majorité des domaines s’en verront bouleversés, par exemple dans les professions liées à la conception en tout genre. La culture en sera influencée. On peut dès aujourd’hui mesurer l’impact de la réalité augmentée à travers le jeux vidéo ou certaines applications sur smartphone.

Cependant la culture ne s’arrête pas aux jeux ou à l’art en général, les enjeux de cette technologie sont bien plus vastes. Notre économie en sera modifiée, une paire de lunettes connectées remplacera l’achat de plusieurs écrans et impliquera donc une économie pécuniaire certaine. Notre perception de l’espace sera renouvelée par cette avancée.

La relation avec internet est évidente. Il s’agit d’un programme informatique en liaison permanente avec des objets connectés. Ceci implique donc une nouvelle culture liée à internet.

Lien vers l’article : http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2015/10/21/32001-20151021ARTFIG00218-l-incroyable-video-de-magic-leap-start-up-de-realite-augmentee-financee-par-google.php

Julien Bourrigan et Quentin Arnaud

Lire, commenter, ruiner

Internet offre la possibilité de commenter d’innombrables sources d’informations en commençant par les articles. Cependant, comme cette opportunité est accessible à tout le monde, il y a des commentaires qui sont pessimistes voire destructifs…

En effet, dans cet article de « Slate », nous pouvons comprendre qu’un commentaire peut être un moyen d’exprimer son mal-être, de se défouler sur une personne ou un article. Ce sont donc pour la plupart de ces commentaires, des réflexions haineuses. De ce fait, les articles ne sont plus aussi regardés qu’avant ou l’envie de lire un article sur un site est moins attirante car nous pouvons nous attendre à des commentaires cherchant à dévaloriser celui-ci au point d’être très agressif parfois.

Cependant, des solutions existent comme par exemple l’impossibilité de poster des commentaires. Certains sites l’ont mis en place. D’autres sites ont des modérateurs présents pour jouer le rôle d’arbitre ou de « sécurité » mais ils ne peuvent cependant pas pour autant gérer aussi bien que possible la qualité de ces articles.

Actuellement, plusieurs plateformes permettent aux internautes de partager leurs avis. Mais les avis sont de plus en plus négatifs. Il est bien plus facile de crier son mécontentement sur internet car nous sommes cachés par un pseudo, une identité qui ne nous révèle pas entièrement.

Les journalistes et les blogueurs peuvent perdre leur enthousiasme : où serait l’envie de soumettre un article si c’est pour subir des avis négatifs ? Le monde d’internet est vaste et rempli de surprise. Il nous permet de nous exprimer. Bien que nous sommes pour la liberté d’expression, il n’est pas pour autant nécessaire d’être indécent voire méchant sur nos avis. Gardons en tête que ce commentaire peut nuire fortement aux créateurs, rédacteurs de ces plateformes numérique.

Lire l’article : http://www.slate.fr/story/88227/commentaires-articles-ruinent-medias

Magic Leap, une nouvelle culture ?

Magic Leap, ce sont des lunettes cherchant à augmenter la réalité virtuelle inscrivant des objets virtuels en prenant en compte les éléments réels.

Qu’est ce que c’est ?
Cet objet a été développé par une start-up américaine située à Miami. Restée longtemps secrète du fait des composants et aux techniques utilisés, elle fut dévoilée au grand jour en 2015.
Cet objet peut être commercialisé pour un prix de 1000 à 2000 euros
Cette entreprise réalise un capital de deux milliards de dollars dont un demi-million délivré par Google.

En effet, dans ce secteur d’activité, les grandes firmes (Facebook, Microsoft, Google…) se sont lancées dans la course au développement du virtuel.
La vison 3D est déjà présente dans nos vies, notamment dans le visionnage de films. Mais nous sommes passifs envers ce qui nous est projeté. Grâce à ces lunettes, vous devenez acteurs Vous pouvez travailler à partir d’éléments en trois dimensions pouvant ainsi toucher tous les corps de métier et surtout celui de l’enseignement, de l’éducation et de l’éveil.
En effet, grâce à cette nouvelle technologie, nous pouvons nous permettre de penser que dès la commercialisation, ces lunettes impacteront la culture numérique. D’une part, en favorisant la fracture numérique (due à son prix élevé). Mais d’autre part, en permettant à l’homme de se projeter dans un monde imaginaire, utopique ou dans un but de l’apprentissage de différentes choses nécessitant la trois dimensions.
Cette technique paraît formidable, mais pourrait-elle être la cause de renfermement de certaines personnes ? Ou bien pourrait-elle influencer les enfants sur la vision du monde puisqu’ils n’ont pas encore clairement établi de barrière entre réel et imaginaire ?

Le lexique d’un nouveau langage SMS des ados 

Depuis quelques années, nous avons observé l’apparition d’un nouveau type d’expression numérique dit «les écrits SMS». Leur apparition a débuté lors d’une lettre d’information dans les pays anglophones durant les années 1989.

 

metronews.fr

Avant l’arrivée des téléphones intelligents, les abréviations étaient constamment utilisées par les jeunes afin de réduire la longueur de leur message et ainsi éviter le dépassement des 160 caractères autorisés. Ces raccourcis permettaient de conserver au maximum leur forfait en utilisant les chiffres afin de remplacer certains mots, ou certaines phrases tout en préservant une certaine compréhension dans le message comme «Quoi de neuf?» dit dans un message normal dit «Koi 2 9?» dans un message abrégé ou «J’en peux plus» dit «Jpp»

Ce langage a perduré pendant plusieurs années. Cependant, on constate qu’il perdure toujours malgré l’apparition de smartphone possédant des claviers AZERTY, ce qui devrait rendre plus facile le fait d’envoyer des messages. De plus, de nouvelles fonctionnalités apparaissent comme le correcteur automatique qui suggère des mots une fois le message commencé. On pourrait croire qu’avec toutes ces technologies, le langage SMS aurait été éradiqué chez les jeunes, mais au contraire, il ne fait que s’améliorer, car de plus en plus, on voit apparaître de nouvelles expressions. Ces expressions qui donnent aux jeunes l’impression d’être cool et ainsi d’être proclamés nouvelle génération…. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’a pas fini d’entendre parler d’expressions, car chaque jour de nouvelles  voient le jour et sont utilisées dans la langue française.

Lien vers l’article: http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2015/06/19/32001-20150619ARTFIG00150-oklm-msk-jpp-petit-lexique-du-nouveau-langage-sms-des-ados.php

Lauranne Cordemy

Axel Migny

L’arrivée du roman en GIF

Avec les nouvelles technologies, la littérature a décidé de s’y mêler en joignant les GIF (Graphique Interchange Format) et les romans. En effet, le GIF est une succession d’image qui laisse penser à une vidéo. Dans l’article publié par Rue89, on apprend comment est arrivé cette nouvelle mode, en pleine expansion aujourd’hui. Elle a commencé par de simples disquettes pour ensuite basculer sur le téléphone portable et finir sur internet en GIF. On découvre un auteur reconnu en Amérique qui a testé cette nouvelle aventure, il se nomme Dennis Cooper. L’univers de l’auteur est assez délirant et on s’en aperçoit quand on voit sa dernière oeuvre numérique nommée « Zac’s Haunted House » visible sur internet ou en téléchargement pour l’emmener partout. Pour finir, on apprend qu’il n’existe pas que des romans en GIF animé, mais aussi des BD et on nous dit même qu’elles seraient plus adaptées à cette nouvelle mode, alors on nous présente une bande dessinée d’un Français Stéphane Vuillemin qui propose «Schoolgirls ».giphy

Exemple de GIF

Avec cette nouvelle arrivée de GIF qui ne cesse de fructifier sur le web, on imagine un futur assez bizarre où l’on voit nos enfants étonnés lorsqu’ils découvrent une image figée. Une image qui ne bouge pas ne sera plus considérée comme une image pour eux. Mais c’est aussi la première fois que l’on remplace l’image par le texte. Alors, des émotions différentes apparaissent car, sur le roman composé de textes, on imagine le paysage, les personnages… Avec un roman composé de GIF, on doit imaginer ce que veut dire l’auteur à travers cette image, on a le décor, les personnages, mais il nous manque le texte. Avec ces précisions, je pense que l’on peut dire que ces romans en GIF sont bien une nouvelle culture et vont modifier la vie des lecteurs.

Lien de l’article : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/02/25/litterature-comme-ailleurs-premiere-fois-est-rarement-meilleure-257900

CAP Odyssey – un jeu sérieux sur la politique agricole commune

Bon, je n’ai pas joué mais voici  un lien pour le trouver et à lire en dessous  une rapide présentation de  ce que c’est:

Disponible en trois langues (français, allemand, anglais) et en accès libre sur internet, « Cap Odyssey » (« L’Odyssée de la PAC », en référence à l’acronyme anglais de la PAC « common agricultural policy ») invite le joueur à incarner un conseiller agricole et à aider le maire de la petite ville d’Abondance à nourrir sa population.

Le jeu commence avant la mise en place de la PAC et permet de se familiariser en douceur avec les fondements de l’économie agricole : production, vente, évolution des prix… Mais gare ! Des aléas climatiques surgissent et fragilisent les exploitations ! Vous contenterez-vous de drainer les champs ou allez-vous acheter une moissonneuse pour améliorer la productivité ?

« CAP Odyssey » met le joueur au défi d’une gestion durable et économiquement viable de son exploitation, à la lumière des évolutions réglementaires de l’Union européenne. Sécurité alimentaire, revenu des agriculteurs, gestion des ressources naturelles, changement climatique, volatilité des prix, maintien de l’activité dans les espaces ruraux…les chantiers de la PAC sont nombreux et en constante adaptation aux besoins et attentes des peuples européens. Des préoccupations de l’agriculteur aux outils de régulation de l’Union européenne, le joueur plonge ainsi au cœur des enjeux d’une politique qui a su évoluer avec son temps.

Par sa simplicité d’utilisation, le jeu s’adresse en priorité aux non-spécialistes de la PAC, en particulier le jeune public urbain de l’Union européenne.

En prime la bande annonce du jeu:

Internet : le bouleversement de notre lecture

Cet article de Laura Buratti, paru dans le journal Le Monde le 24 septembre 2014, est un recueil de propos de Madame Sylvie Octobre, chargée de recherche au ministère de la culture. Elle a notamment publié un livre intitulé Deux pouces et deux neurones, où elle décrypte les usages des 15-29 ans en matière culturelle, très différents de ceux de leurs parents au même âge. Elle constate également plusieurs choses. Tout d’abord, que les jeunes lisent moins de livres, et moins pour le plaisir. En effet, il y a un glissement de notre société de ce qu’on appelle les humanités vers le technico-commercial : le français devient petit à petit secondaire par rapport aux mathématiques. Mme Sylvie Octobre constate également que le numérique a changé notre façon de lire. Nos séquences de lecture sont plus courtes et très liées à la sociabilité ;  les 15-29 ans n’ont jamais autant lu mais le goût pour la lecture littéraire baisse, avec notamment l’arrivée de nouveaux outils informatiques permettant d’augmenter notre capacité de lecture (mails, commentaires, twitts, …).
Pour résumer, cet article permet de mettre en évidence que l’arrivée d’Internet bouleverse nos cultures, notamment au niveau de notre façon de lire, et que les 15-29 ans sont les plus touchés par ce phénomène.

Pour lire l’article, c’est par là que ça se passe :  http://www.lemonde.fr/campus/article/2014/09/24/les-jeunes-lisent-toujours-mais-pas-des-livres_4491903_4401467.html

 

Cet exemple témoigne-t-il d’une nouvelle culture liée à Internet ?

L’arrivée d’Internet a bouleversé nos modes de vie et a notamment créé de nouvelles cultures. Ces dernières sont apparues grâce à la numérisation de nos vies. En effet, grâce à Internet, il devient de plus en plus facile de se rassembler autour d’un point de vue, d’un hobby ou d’une envie. Une nouvelle génération est apparue, cette génération est la nôtre. Internet est un moyen de se cultiver : 96 % de la population française dispose d’un accès. Le développement des Smartphones et des tablettes numériques facilitent encore plus la capacité d’Internet d’avoir accès à la culture. En effet, il permet le rassemblement d’une base de données tellement importante que nous disposons d’un accès illimité à la découverte de cultures. D’ailleurs, le phénomène de sérendipité augmente de plus en plus. La sérendipité sur Internet est le fait de trouver par hasard une information que l’on ne cherchait pas. Enfin, il s’est avéré que depuis l’apparition du net notre façon de lire a complètement changé. Nous ne lisons pas moins mais nous lisons différemment. Par exemple, nous avons tendance à lire moins de choses au format papier mais nous consommons de plus en plus de lecture sur Internet : mails, blogs, commentaires, twitts, …
Cet exemple témoigne donc d’une nouvelle culture liée à Internet, celle d’une modification de notre lecture.

Clément RIAUD
Jacques OLIVIER

 

 

 

Comment faisaient les gens avant Google?

Papier de question

Rue89 a publié en décembre 2014 un article intitulé  » Quand on n’avait pas Google pour répondre à nos questions tordues ».

On a  découvert, à la New York Public Library, un carton rempli de papiers sur lesquels sont notées des questions diverses, datant des années 40 aux années 80. En effet, avant la naissance de Google, en 1998, les gens se posaient déjà de drôles de questions. Mais au lieu de les poser à leur ordinateur, ils interrogeaient les bibliothécaires. Ceux-ci retranscrivaient sur un bout de papier certaines de ces questions.

En voici un exemple :

« Papier peint. 9 décembre 45.

Comment je pose mon papier peint ? J’ai le papier peint, j’ai la colle. Qu’est-ce que je fais maintenant ? Est-ce que la colle se met sur le mur ou sur le papier peint ? J’ai essayé les deux mais ça n’a pas l’air de marcher. »

La pratique fut en partie abandonnée avec l’arrivé de Google. Néanmoins la  New York Public Library déclare recevoir encore 1700 questions par an.

Le fait de ne plus passer par un intermédiaire humain, la bibliothécaire, mais par la machine dénote d’une nouvelle pratique culturelle.

Les gens ont pris l’habitude de taper leur recherche sur internet plutôt que de se déplacer à la bibliothèque ou de consulter les encyclopédies.

Cette nouvelle pratique offre un accès plus rapide et plus large à la culture. Avec toutefois un soucis, le programme ne comprend pas toujours toute la subtilité d’une demande, et nous présente souvent une grande quantité de réponses non adaptées à notre questionnement.

Sur internet, l’enjeu n’est plus d’avoir accès à la connaissance mais de savoir faire le tri et d’organiser ces connaissances en fonction de leur intérêt par rapport au sujet.

 

Pour plus d’informations :

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/12/29/quand-navait-google-repondre-a-questions-tordues-256800

 

SMS : une nouvelle communication, des codes plus efficaces

Le  directeur du département Recherche et Développement au New York Times,  Nick Bilton, s’est aperçu qu’aujourd’hui, les mails et SMS sont construits de manière rapide.

Lorsque l’on communique par mail ou SMS, nous mettons en avant deux types de communication, soit à caractère privé,  soit à caractère professionnel. Cette dernière consiste à donner une bonne image de soi. Le temps accordé n’est donc pas importants, les codes utilisés s’inscrivent dans un langage très soutenu en fonction de la personne qui rédige. Cependant, on observe une simplification des formules de politesse généralement placées à la fin du message. L’autre type de communication s’utilise le plus souvent dans les relations proches, c’est-à-dire famille, amis. Le vocabulaire devient tout de suite plus familier et les SMS échangés doivent être courts. Il y a quelques années, des émoticônes sont apparus. Ils permettent d’exprimer un ressenti, une émotion, ou tout autre chose. Il suffit d’insérer au message un de ces petits visages jaunes.

La communication d’aujourd’hui permet d’être plus rapide et ainsi de pouvoir s’extraire de notre réseau personnel perpétuellement connecté.

E-mail,SMS… Rester polis sans (trop) perdre de temps

Valentin DEFORGES, Jeanne FOUILLET

Agôn, aléa, mimicri, ilynx : le classement des jeux par Roger Caillois

Article_typologie jeux Caillois

Typologies de jeux

Roger Caillois était agrégé de grammaire, devenu membre de l’Académie française. Il a développé une pensée très originale, nourrie de sociologie et d’anthropologie, vouée notamment à l’exploration du sacré et à celle des mondes poétiques de l’imaginaire et du fantastique. Il a notamment écrit un essai sur les jeux en 1957 (révisé en 1967), qui sert encore aujourd’hui de référence.

Les quatre catégories du jeu

  • L’Agôn, ou la compétition
  • L’Aléa, ou le hasard
  • Le Mimicri, ou le simulacre
  • L’Ilinx, ou le vertige

« Tous les internets » ou comment Internet change la vie dans le monde

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Chaque mercredi, Arte diffuse un entretien vidéo qui témoigne de des usages d’internet dans le monde.

Cette semaine, un Ougandais raconte son engagement. Depuis Londres où il vit depuis 2001, il milite activement dans le parti d’opposition au président Museveni “Forum for Democratic change” : Le président Museveni est au pouvoir en Ouganda depuis 1986. Les internautes font assaut d’imagination pour inverser la vapeur lors des élections du 18 février 2016.

Lien vers l’interview :

http://touslesinternets.arte.tv/1986pictures-30-ans-au-pouvoir-ca-suffit/

Les semaines précédentes, c’était Taïwan et l’Arabie Saoudite qui étaient à l’honneur avec ses militants de la démocratie.

Internet apparaît comme un moyen de s’emparer de la politique et d’échapper – au moins en partie – au contrôle des Etats.

Les semaines précédentes, vous pouvez retrouver Anatole qui témoigne de sa première conférence sur internet en 1983 ou l’organisation Sound and Pictures, un collectif syrien qui a organisé un réseau d’informations pour lutter contre Daesh.

Des entretiens à ne pas manquer.

Lien vers le site :

http://touslesinternets.arte.tv/

 

Jeu et littérature

CUGY Jeu 1

J’ai pris cette photo pour représenter mon thème qui est « jeu et littérature ». Ici je me suis orientée vers le théâtre : grâce au jeu des acteurs et à la mise en scène, les textes présents sur le papier sont mis en mouvement, ils prennent vie et tirent bénéfice du jeu de scène auquel ils sont soumis.

Les jeux de cartes

Bandeau de cartes

Dans le cadre de l’ESC nous avons le projet de créer un magazine sur le thème du jeu. Pour ma part, il s’agit des jeux de cartes. Il m’était donc essentiel de créer une photographie avec la présence de cartes.

Quand je pense aux jeux de cartes, je me dis tout de suite qu’il en existe une multitude. J’ai donc voulu présenter cette diversité à l’aide de plusieurs jeux de cartes éparpillés partout. De plus j’ai inséré un totem illustrant le fait que les jeux de cartes ne sont pas forcément constitués que de cartes mais peuvent aussi être accompagnés de divers instruments.

En pensant notamment à ce type de jeux, du fait de sa diversité, il vient à mon esprit que, lorsque nous jouons aux cartes, nous utilisons plusieurs capacités, que nous développons ainsi telles que la logique, l’adresse, la concentration …

J’ai donc été amené à me poser cette question : Est-il possible d’améliorer son moral, sa santé, en jouant aux jeux de cartes ? Et si ces améliorations étaient le résultat des capacités entretenues et développées dans ces jeux ?
En résumé, les jeux de cartes sont-ils bénéfiques ou non pour la santé ?  Et pourquoi ?

L’économie du jeu

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Dans cette photographie, nous pouvons identifier différents types de jeux à gratter tels que le « Parions sport » et « l’Euromillions » (FDJ) ou encore le Quinté + (PMU).  Elle représente donc l’univers de l’économie du Jeu.

En regardant cette photo, je me suis posé la question : « à qui profite le marché du Jeu » ?

Profite-t-il aux joueurs/consommateurs qui peuvent gagner des sommes plus ou moins importantes grâce à la chance ?

Ou profite-t-il à l’industrie du Jeu (FDJ, PMU) qui fait fortune grâce à l’argent dépensé (et peut-être « gaspillé ») par les joueurs/consommateurs ?

La réponse sera dans mon hors-série que je rendrai au mois de Janvier…

Internet de demain

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Aujourd’hui, avec nos smartphones, nous avons  accès à une multitude d’informations. En quelques clics nous savons tout sur tout. Plus besoin d’ouvrir des livres.

Programme d’intelligence artificiel

Aujourd’hui, Snapchat, Instagram, Selfies, les mobinautes ont pris l’habitude de prendre leur quotidien en photo. La Start-up ne va en rester là. Cette mode va s’accroître. Nous pourrons bientôt nous envoyer n’importe quels objets en 3D grâce à notre smartphone. Certains seront même rémunérés pour cela. Cette méthode va révolutionner le monde marketing et le monde de la médecine : des greffons imprimé en 3D serons implanté dans les patients.

Cependant, beaucoup d’interrogation persistent.

Le risque du burn-out est très présent. D’après M. Lévy, le niveau de stress collectif va encore augmenter et une utilisation profane peut poser problème. « La révolution numérique transforme le monde en données qui permettent de modéliser les espaces, le corps et même nos comportements, » dit M. Lévy

La multiplication des données, leur traitement et leur diffusion rends la société transparente et sous surveillance.

Lien vers l’article : http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/03/25/l-internet-de-demain-entre-enthousiasme-et-inquietudes_4389255_3234.html

 

L’embauche se médiatise

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Les entreprises s’intéressent de plus en plus à l’image virtuelle des demandeurs d’emplois. Par exemple en 2014, le groupe l’Oréal a effectué un quar tdu recrutement par les réseaux sociaux.

Selon une enquête du RegionJob, environ 56% des recruteurs se servent des réseaux sociaux tels que VIADEO ou LINKEDIN pour recruter leur employés dans tous les secteurs différents. Ces réseaux peuvent aussi vous ouvrir des portes sur d’autres entreprises que vous ne recherchiez pas mais pour qui vous êtes une recrue potentiellement intéressante. D’après Pascal Baumeister « Il s’agit de se connaître pour se faire connaître afin de se faire reconnaître ». Au-delà de la formule, cela revient à appliquer les outils du marketing et de la communication à la personne et à ses compétences.

Aujourd’hui on peut s’inscrire dans des réseaux sociaux pour professionnels. Plus notre profil sera complet et sérieux, plus on aura de chances de trouver du travail. Pour se faire remarquer, le demandeur d’emploi peut apparaître dans des forums sérieux. Selon Hervé Bouche, responsable du recrutement chez Poclain Hydraulics : « Avant, on sélectionnait passivement des candidats en recherche active. Aujourd’hui, on sélectionne activement des candidats en recherche passive ».

Comme le suggère l’article, pour être plus susceptible de trouver du travail dans une entreprise, on peut la suivre via le réseau social qu’elle utilise.

Tiré de l’article de Christophe BYS dans « l’usine digitale »

Lien vers l’article :

http://www.usine-digitale.fr/article/recrutement-les-reseaux-sociaux-meilleurs-amis-des-drh.N305903

Réalité virtuelle : La forêt a des yeux !

Aujourd’hui les technologies font partie de notre quotidien, c’est pour cela que l’évolution numérique est toujours plus grande. On a pu en avoir la preuve en apprenant l’existence d’un casque qui vous permet de voir la nature sous toutes ses formes.

Début 2015, dans la forêt de Grizedale, a été organisé un festival d’art numérique : « Abandon Normal Devices ». C’est une activité qui a retenu l’attention du plus grand nombre, il s’agit de « In The Eyes Of The Animales ». L’intérêt est de pouvoir voir la nature à travers le regard de trois animaux différents, la chouette, la grenouille, et la libellule.

Cette œuvre d’art a été réalisée par un groupe de jeunes londoniens les Marshmallow Laser Fest.

On commence par s’affubler d’un casque qui vous permet de voir le paysage en 3D en ayant l’impression d’y être immergé. Pour favoriser cette situation d’immersion, les personnes portent aussi une sorte de sac à dos qui vrombit, cela donne l’impression d’être l’animal lui même.

Cette exposition est un bon exemple de réalité virtuelle car elle met en relation le monde qui nous entoure (la nature) et les nouvelles technologies qui deviennent une nécessité dans la plupart des régions du monde. C’est pour cela que nous pouvons parler de l’apparition d’une nouvelle culture car le monde virtuel en trois dimensions fait déjà partie de notre quotidien (le cinéma ou les attractions de grands parcs connus). C’est aussi une nouvelle forme d’art et d’expression.

Retrouver l’article sur : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/09/23/frontieres-reel-vivre-foret-a-travers-les-yeux-dun-animal-261325

Fanny Jouan et Etienne Billard

Google : une alternative aux bibliothécaires

Comment était-ce avant internet pour répondre à nos questions ? C’est aux bibliothécaires que l’on pouvait les poser. La plus grande bibliothèque de New York recevait beaucoup d’interrogations, allant des plus sérieuses aux plus déconcertantes comme : « Pourquoi trouve-t-on autant d’écureuils dans les peintures anglaises du 18éme siècle, et comment les apprivoisaient-ils pour qu’ils ne mordent pas les peintres ?  »

Au final les bibliothécaires ont vite été remplacés par les forums, les réseaux sociaux puis Wikipédia.

Mais la suite de l’article nous apprend que ce système de questions / réponses existe toujours. En effet, le New York Public Library a su s’adapter avec l’ouverture d’un bureau d’informations sur Instagram.

En quoi cet article a-t-il un rapport avec les nouvelles cultures liées à internet, nous direz-vous?

Tout d’abord, c’est un changement d’habitude de notre part mais également un changement du moyen de diffusion de l’information. Cependant, on ne trouve pas toujours des réponses précises et fiables à nos questions sur internet, l’internaute doit donc faire des choix sous ce flux de réponses. Le papier et l’être humain resteront des sources sûres de l’information, comparées à internet.

En lien l’article de rue 89 :

http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/12/29/quand-navait-google-repondre-a-questions-tordues-256800

Arnoux Caroline – Michaud Quentin

 

Site collaboratif des BTSa sur les thèmes culturels de l'épreuve ET1