La forêt, une société à part entière

Les forêts couvrent environ 31 % de la surface de la Terre, soit près de 4 milliards d’hectares, et contiennent plus de deux tiers des espèces vivantes terrestres. Les forêts disparaissent parce que leur valeur est sous estimée. Nous avons tous déjà étés dans une forêt mais la connaissons nous vraiment ?Afin de mettre fin à leur destruction, il faut comprendre et connaître tous les services qu’elles nous rendent. Qu’est-ce-qu’une société solidaire ? Une société qui s’appuie sur l’entraide, le partage, les services, à l’image de la forêt.

Une forme d’intelligence chez les arbres ?

En effet, beaucoup d’arbres sont liés les uns aux autres et poussent de façon à ne pas gêner l’autre ; les branches de l’un croissent à l’opposé de l’autre pour ne pas l’empêcher de s’épanouir. Au niveau des racines, elles sont entremêlées. Nous trouvons aussi des « arbres mères » qui nourrissent leurs enfants à travers leurs racines, au bout des racines il y a des terminaisons nerveuses qui permettent de reconnaître les leurs. Ils peuvent même toujours grâce à leurs racines, nourrir les rejets d’un autre.

Les arbres communiques entre eux

Par le biais des filaments blancs que l’on trouve au dos des feuilles mortes, ils échangent des informations, ils sont capables de suivre des stratégies : l’arbre attaqué envoie un signal, grâce aux racines, le message se diffuse aux autres arbres qui fabriquent un tanin amer qui rend les feuilles immangeables. La capacité à communiquer n’est pas inhérente aux Hommes.

L’arbre a aussi un sens de l’adaptation

Les arbres sont dotés d’une sensibilité à commencer par le toucher qui lui permet de savoir si il y a du vent, l’arbre perçoit analyse, calcule et s’adapte. Pour survivre en ville, ils font preuve d’une adaptation hors norme face à la pollution, aux poutres qui les entravent… Dans les profondeurs de la ville les arbres cherchent la moindre goutte d’eau.Les racines sont en connexion avec le voisin qui permettent même à certaines souches de survivre, d’absorber de l’eau, en contrepartie elle livre l’eau qu’elle a absorbée à ses bienfaiteurs. On peut donc parler d’une société de partage. Des scientifiques disent que ces systèmes d’échange sont basés sur des amitiés, des convergences de besoins, de complémentarité.

On peut donc dire qu’il y a davantage d’entraide que de concurrence au sein de la forêt. Dans cette dernière, tout est en communication, même le son des oiseaux ont une incidence sur la croissance des plantes.

Un exemple pour la société

Dans nos sociétés modernes, on oublie trop souvent que l’Homme a vécu depuis des millénaires dans la nature. Vivre en ville demande beaucoup d’adaptation aux arbres mais aussi aux Hommes… Il existe à présent des thérapies forestières (randonnées) pour nous relier à la forêt. On sait aussi que les nerfs et le cerveau réagissent à la simple évocation visuelle ou auditive de la forêt. La forêt amène à nous retrouver nous même, à nous apaiser. L’Homme est aussi capable de redonner aux forêts leur importance. Au Japon par exemple, on est davantage à l’écoute des arbres et en Amazonie certaines communautés ont leur arbre protecteur sacré. Dans certaines forêts on parle d’arbres présidents , qui est le plus haut considéré comme le patriarche.

Pour conclure, les arbres ont encore beaucoup de choses à nous apprendre mais nous avons vu que la forêt a tout d’un modèle de société solidaire. L’arbre le plus vieux du monde a 5000 ans et est source d’un savoir plus grand que le notre.

La Forêt, une solidarité naturelle.

     La notion de solidarité est ancré dans notre société seulement depuis 1821, c’est à travers elle qu’est assuré la stabilité et l’équité. Aujourd’hui notre modèle de société semblerait résidé dans le modèle de la forêt pourquoi ? Tout d’abord au-delà de son extrême complexité dans son mode de fonctionnement, la forêt existe depuis des dizaines de milliers d’années et sera sûrement encore la bien après nous. Nous prenons aussi même exemple sur elle pour cultiver et bien d’autre dont nous traiterons dans cette article.

Si l’on prend la forêt dans ça globalité elle se trouve composée d’une part, d’une flore très importante mais aussi d’autre part d’une faune tout aussi importante.

 

Une flore solidaire entre elle mais aussi envers la faune:

     Au cours des siècles et des évolutions les différentes espèces et essences ont développées de multiples techniques afin de leurs permettre de mieux survivre dans ce milieu. Certaines de ces techniques vont soit venir aider seulement l’arbre concerné ou bien aider tout un groupe d’individus.

     Par exemple on peut qualifier la relation entre un champignon et une algue, comme une symbiose car l’association des deux va permettre au champignon d’avoir à sa disposition plus d’eau et sels minéraux. Tandis que l’algue elle va pouvoir puiser dans les réserves de glucose du champignon pour se développer. Ce type de rapport nous pouvons le retrouver dans nôtre société par exemple quand une personne se retrouve bloquées à cause de la neige sur la route, et que d’autres automobilistes viennent le pousser pour débloquer la voie et faire repartir tout le monde. Cette action va profiter à tout le monde.

     Il en est de même quand nous sommes en pleine hiver qui est ce moment assez triste de l’année, ou la plupart des arbres perdent leurs feuilles, ce phénomène bien que naturel permet aux espèces les plus petites d’être recouvert pour passer l’hiver « au chaud ». En effet en ce formant ce couvert végétal vient en quelque sorte protéger les plus faible et démuni, un peu à la façon de toutes ces personnes venant en aides aux sans abris en leurs offrant une couverture ou un toit.

     Enfin pour ce qui est de la faune, elle aussi va pouvoir profiter également de la forêt pour y trouver un refuge (comme pour la faune chassée par l’homme, elle va pouvoir passer par des endroits pas accessible pour son prédateur et lui échapper), une cache (comme les ronciers qui permet par exemple au lapin de protéger et dissimuler son terrier) ou encore de quoi se nourrir (avec les arbres portants des fruits).

 

Nous pouvons nous apercevoir de certaines similitudes entre notre modèle de société et celui de la forêt. Pour autant la forêt est-elle vraiment profitable à tous ? Encore plus pour les petits êtres et spécimens ? La loi du plus fort n’existerait elle pas aussi au sein de la forêt ?

 

Un manque d’équité malgré tout présent:

     Malgré beaucoup d’entraide présent en forêt ce lieux n’échappe pas à la loi du plus fort. En effet les plus faible ne survivent pas toujours et finissent aussi par se faire manger ou mourir. Comme par exemple quand il s’agit aux arbres de grandir celui qui ne réussira pas à suivre la cadence imposée par les autres arbres se retrouvera privé de lumière et finira par dépérir puis mourir.

  C’est le même cas pour les champignons et les arbres les champignons ne sont pas toujours favorable aux arbres et dans des cas extrême vont finir par tuer l’arbre.

    De même pour le côté nourricier de la forêt elle peut nourrir la faune et même l’Homme mais aussi tuer avec ces cadeaux empoisonner. Il existe beaucoup de fruits, champignons comestibles pour l’homme mais toxique pour certaines espèces et inversement.

 

   Pour autant tout ces défauts nous les retrouvons dans nôtre société actuelle, certaines personnes meurent de faim, ne trouve pas à manger ou n’ont pas les moyens. D’autre vont s’enrichir et en tirer tout les profits dans certaines situations. Et malgré tout beaucoup de personnes de nôtre monde meurent tandis que d’autre naissent. Un peu comme au rythme des saisons.

 

Il existe aucun modèle de société parfait :

     Pour conclure nous trouverons dans ce monde aucun modèle de société parfait pour autant il semblerait bien que celui de la forêt pourrait s’en approcher. Car même si il comporte quelques défauts, il possède malgré tout la plus grande équité. Et dans ce modèle de société chacun peut trouver sa place et avoir sa chance de survivre.

 

        Laissons le mot de la fin à Pindare : « De la nature nous vient tout ce qui est parfait ».

La méditation n’est-elle qu’un repli sur soi ?

Dans un contexte de crise dont persone ne voit le bout, tout le monde cherche un moyen de garder la tête hors de l’eau. Pour cela la méditation est une alternative et c’est gratuit, sans matériel, cela peut se pratiquer à tout moment. Plusieurs études scientifiques montre les bienfaits de la pleine conscience sur le cerveau et sur la santé. La méditation n’est pas qu’un repli sur soi.

Lâcher prise

Si la méditation trouve tant d’adeptes, c’est aussi parce qu’elle s’impose comme un contrepoint au « divertissement » propre à notre époque. Comme remède, la méditation propose un retour radical à ce qui se donne à voir et à ressentir ici et maintenant entre écrans et réseaux sociaux, méditer invite à se « rassembler » en exerçant son esprit à être présent au seul présent. D’où sa promotion auprès des jeunes sujets aux troubles de l’attention.
D’après le philosophe Fabrice Midal : convaincus du pouvoir supérieur de la science et de la raison, nous en sommes venus à nous abstraire du réel pour ne plus le considérer que comme une somme d’objets mesurables. Face à ce fantasme de contrôle, la méditation promeut le lâcher prise et le retour à sa place d’être vivant parmi les autres.
Méditer, c’est d’abord être seul avec soi et ses pensées. Promesse de clairvoyance sur soi et sur le monde, la méditation donne le sentiment d’avoir découvert la vérité.

Remise en question

Si la pratique est simple, elle n’est pas facile. Dans le silence de l’assise, les pensées et les jugements sur soi peuvent être très envahissants, sans parler de l’inconfort physique. D’après le bouddhisme, ce sont là des manifestations de l’ego qui ne supporte pas d’être réduit au silence. Ainsi, loin de nous aider à fuir nos difficultés, la méditation oblige à s’y confronter. Par le recul qu’elle offre sur les choses, la médiation permet de comprendre que certaines habitudes ancrées en nous sont sans fondements. Grâce à elle, nous pouvons amener plus de justesse et d’intégrité dans nos choix du quotidien.

Les bienfaits

La méditation tourne beaucoup autour de la notion de gratitude. Elle apprend à se satisfaire de ce que l’on a plutôt que d’espérer après des choses. Elle ne nous change pas mais elle fait évoluer. Nous nous sentons plus libérée de cette question du temps. Une chose est sûre : la méditation aide dans la vie personnelle mais aussi fait évoluer la vie professionnelle. On “voit” mieux les gens. Et on sombre moins dans la panique et on se prend moins au sérieux. Surtout, on redécouvre le plaisir de travailler “ensemble”, en valorisant les talents et les compétences de ceux qui nous entourent. Il nous arrive toujours de nous mettre en colère mais la méditation permet de connaitre ses signes avant-coureurs et d’arriver à desserrer l’emprise mentale qu’elle pouvait avoir. Surtout, la méditation permet de mieux s’accepter. Et donc de mieux accepter l’autre, tel qu’il se présente à nous. La méditation, c’est comme l’orgasme : compliqué à expliquer car cela se vit.

Une société verte, libre et connectée : La forêt

Il existe une société où vivent des êtres vivants solidaires tous les uns envers les autres. C’est une société très connectée, certes pas visible à l’œil nu, ou encore en surface, mais plutôt d’un point de vue souterrain. C’est à travers cette connexion, ce réseau, que ces êtres vivants communiquent, s’entraident ou encore développent leur société tout en restant solidaire: la forêt.

Premièrement, nous vivons dans un monde en pleine croissance. Un monde qui ne cesse d’évoluer. Un monde qui, de jour en jour, continu de s’agrandir. Le monde dans lequel nous vivons, existe des différents groupes de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture, et qui interagissent  en coopération pour former un groupe social ou une communauté. C’est ce qu’on appel : une société. Toutes les sociétés sont-elles solidaires? Qu’est-ce qu’une société solidaire? Peut-on être solidaire sans avoir de parole?                                                                                                         En effet, dans cette société, ne règne pas toujours l’entente entre tous; c’est-à-dire, la plus part des personnes ne pensent qu’à elles même, préfèrent avancer en fonction de leur intérêt, plutôt que d’aider son prochain. Pour ce groupe de personne, la loi du plus fort est au dessus de tout. D’autres personnes se servent du mot solidarité pour imposer ou encore accroître leur pouvoir. En outre, existent toujours dans cette même société, d’autres personnes agissant contrairement à ces comportements et qui pour eux, vivre en coopération, aider son prochain, unir nos forces, contribuera à la naissance d’une société meilleur ; c’est-à-dire une société plus soudée, plus forte ou encore plus résistante ; donc une société solidaire.                                                  Mais, Existe-t-il, quelque part dans le monde une société ou les individus s’entraident de façon instinctive ? Une société où aider son prochain ne signifie pas attendre quelque chose en retour ? Certaines personnes comparent notre société actuelle et le fonctionnement de la forêt en général car les espèces qui y vivent, vivent en harmonie.        Pourrait-on qualifier la forêt comme étant un excellent modèle de solidarité ?

Une solidarité pas totalement visuelle, mais existante : libre et connectée

Pour commencer, la forêt est un endroit où vivent des espèces en symbiose ; c’est-à-dire que plusieurs organismes de même espèces ou espèces différentes partagent une association durable et profitable à chacun d’eux. Prenons le cas des arbres. L’arbre fait parti des espèces les plus anciennes que la forêt abrite. On nous a toujours appris que les arbres vivent de compétitions entre eux ; c’est-à-dire  qu’ils poussent de telle sorte à capter le maximum de rayons de solaire qui pénètrent la forêt et aussi qu’ils ont besoin d’espace pour se développer. Mais ce que peu de gens savent, c’est que les arbres sont en réalité des espèces très solidaires entre eux. Partons du haut de l’arbre. Des scientifiques ont découvert que les arbres captaient du CO2 et se l’échangeaient entre eux. Mais pourquoi font-ils cela ? Tout simplement pour aider son voisin. Il peut arriver qu’un arbre ait du mal à se développer contrairement aux autres, donc une croissance ralentie. Les autres l’aiderons à se développer d’avantage afin qu’il puisse survivre. Deux arbres de la même espèce qui poussent cote à cote auront tendance à respecter l’espace de l’autre. Ils développeront leurs racines de telle sorte à ce qu’elles n’iront pas s’entremêler entre elles. Par ailleurs, nous avons le système racinaire des arbres, appelé le cerveau de la forêt par certains scientifiques. On a découvert que les racines des arbres s’entremêlent et connectent entre elles. Certaines souches qui vivent encore sont la preuve que leurs racines sont connectées aux autres arbres. Aussi, les arbres sont des êtres sociaux. Les arbres mère veillent sur leur progéniture. Elles les nourrissent par voie racinaires. Toujours au niveau souterrain, des scientifiques ont découvert qu’une association symbiotique entre champignons et les racines des arbres, formait l’internet de la forêt appelé : Mycorhize. C’est donc grâce à ce mycorhize que les arbres communiquent entre eux.

La forêt peut-être pris comme exemple, un modèle de société solidaire de part son côté instinctif à aider son prochain.

Une société non solidaire et déconnectée

De plus, nous avons les hommes et leur société. Contrairement à la vie forestière, les hommes ne cessent de se faire la guerre. L’homme en générale est assoiffé de pouvoir. Pour lui, aider son prochain n’est pas obligatoire. C’est un sujet qui est abordé dès notre plus jeune âge. Un proverbe Africain dit : « seul on va plus vite, mais à deux on va plus loin ». Mais dans notre société, l’homme en général ne retient qu’une seule partie de se proverbe : « Seul on va plus vite ». Ainsi est formaté le cerveau de l’homme. Il existe donc une sorte de compétitivité instinctive encrer au fond de chaque personne. C’est à ce moment que naît la loi du plus fort ou les plus faible rabaisser, ignorer et voir détruit. C’est le cas de certains pays ou seules les personnes possédant un important pouvoir économique règnent sur la population. Il y a alors un déséquilibre dans la société. On parle alors de différence entre les classes sociales que Karl Marx défendra : Luttes des classes.

 

Enfin, nous pouvons dire que contrairement à la société humaine, la forêt un endroit ou des espèces vivent en symbiose, elles s’entraident entre elles s’en rien attendre en retour. C’est un lieu où chaque espèce peut compter sur l’autre. Il existe alors une forme de solidarité elles. Nous pouvons alors dire que la forêt peut être un modèle de vie solidaire dont nous pouvons inspirer afin de renouer les liens dans notre société comme la vie racinaire.

Les peuples aborigène de l’île de Vancouver disent : tout n’est qu’un.

 

 

Aux arbres citoyens !

Nous vivons dans un monde chaque jour un peu plus en danger. Sous des menaces gigantesques qui nous feraient regretter que la terre ne compte pas plus de David. La Solidarité humaine semble être notre dernier recours et seule porte de sortie. Pas seulement pour nous, mais aussi pour l’ensemble de la vie sur terre. Mais le générations actuelles sont elle vraiment un modèle à suivre que ça ?

Un système vivant séculaire …

Il y a 3,5 milliards d’années, la vie est apparue sur terre. Depuis elle s’est développée, organisée. Le cycle de la vie est apparu. Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous. La protection des espaces naturels sensibles peut telle être considérée comme une solidarité avec la nature ou la simple volonté de survivre ? Les fermes à oxygène n’existant pas encore cette question est condamnée a rester sans réponse. Mais la nature possède déjà un système d’entraide mutuelle et différentes symbioses. Certains arbres ont la capacité de signaler un prédateur à leurs voisins. D’autres ont développé des cohabitations et d’entraide avec d’autres espèces, des champignons, des fourmis; où chacun tire une contrepartie de la symbiose. Dans un de ses essais*, Ralph Waldo Emerson décrit la nature comme le lieu privilégié où la conscience de chaque individu entre en communication avec les  »grandes lois universelles ». Il ajoute que cela est rendu possible par la vie au milieu de la nature et en harmonie avec elle. Il décrit ensuite l’homme comme Goliath profitant de cet état et non pas comme un membre de ce milieu harmonieux. Plus de David se reposant leur fonctionnement sur l’intelligence face a la force et à la domination brute nous permettrais d’imiter notre environnement.

… Dont nous ferions mieux de nous inspirer

Ce cycle a pris place avant nous, continue avec nous, et se perpétuera après nous. Les systèmes d’entraides des arbres est admirable. on peut citer en exemple les symbioses existantes dans la nature. Les arbres et la nature sont bien plus solidaires entre que nous ne pourrions jamais l’être. Leur capacité à s’adapter aux bouleversements se pose en exemple. On peut retrouver après un feu de forêt, une flore spécifique (les pyrophytes). Viendrons par la suite, le retour des mousses, herbes, bosquet puis les arbres ferons leur grand retour donnant eux même abris à d’autres plantes. Certes ces  »séries évolutives » sonnent parfois lez glas de certaines plantes, mais ces dernières étaient appelées à disparaître, leur rôle étant rempli. De ce point de vue il parait évident que si les plantes étaient un jour aptes à construire une société, elle nous serait supérieure en bien des points. Si nous, les générations a venir, réussissons à nous inspirer de la nature pour bâtir un modèle de société, un grand pas aura déjà été fait dans la bonne direction.

*Nature parue en 1836

Chris. T

La solidarité forestière, un modèle impossible pour notre société

Le terme de solidarité, (du latin « solidus » qui signifie : entier, consistant, lien unissant entre eux les débiteurs d’une somme) est souvent utilisée pour décrire une société modèle, en effet pour beaucoup d’hommes une société parfaite serait une société dans laquelle tous les individus ne feraient qu’un et où chacun serait uni afin de promouvoir l’entraide. Dans les forêts, il existe surement une certaine forme de solidarité mais laquelle ? Et est-elle compatible avec notre société, afin de s’en servir comme un modèle ? 

 

La symbiose :

Dans les forêts, il existe une forme de solidarité notamment entre les différents végétaux c’est ce qu’on appelle une symbiose. Cette symbiose permet à différentes espèces de vivre ensemble.

Dans les forêts, il existe par exemple des symbioses mycorhiziennes, c’est-à-dire une symbiose entre des plantes et des champignons. En effet, les plantes coopèrent avec les champignons en s’échangeant des éléments nutritifs nécessaires pour leurs croissances. La plante propose des sucres aux champignons en échange de nutriments comme le phosphore ou l’azote de la part de ce dernier. Ce type de coopération est donc bénéfique à chacun.

La symbiose est donc un type de solidarité car elle permet d’aider d’autres êtres vivants cependant, elle a lieu seulement car chacun en tire un profit. Dans notre société, il est évidemment souhaitable que ce type d’entraide est lieu car il n’y a aucun perdant. Mais c’est malheureusement presque impossible, en effet il y a aura toujours des personnes plus favorisés que d’autres.

 

 Des relations parfois égoïstes entre végétaux :

Cependant, il faut nuancer en effet certain végétaux ne fonctionnent pas en symbiose mais au contraire en compétition. En effet, dans une forêt chaque arbre va chercher à être plus haut que les autres afin de capter un maximum de lumière ce qui est totalement contraire à une idée de solidarité.

Un autre exemple contraire à la solidarité est par exemple le lierre grimpant. Très présent en forêt, il s’agrippe et grimpe aux arbres ce qui au bout d’un certain temps les étouffe et va donc les condamner.

Attention tout de même, il faut nuancer cette notion d’égoïsme chez les végétaux. En effet contrairement à l’homme, les végétaux agissent de telle manière afin de survivre contrairement aux hommes qui sont généralement égoïste par mépris des autres.

 

Pour conclure…

Il existe donc bien une forme de solidarité dans les forêts avec les symbioses existantes entre différentes espèces, cependant c’est une sorte de solidarité particulière et différente de la solidarité humaine. Les 2 partis sont gagnants et donc cela peut être comparé à une solidarité hypocrite comme dans notre société. De plus il y a également des relations très égoïstes entre les végétaux et notamment entre les grands arbres. Pour ces différentes raisons, la société forestière n’est pas compatible avec notre société, l’homme est en effet trop différent du végétal.

Solidaires dans la fin

Nous connaissons tous la forêt, mais chacun de nous en à une vision différentes. Nous pouvons la comparer à l’humanité, en effet, elle est composée d’êtres vivants, qui, comme les êtres humains, ont tous leurs particularités (couleurs, formes, type de feuillages, etc.). Pour beaucoup la forêt est un lieu paisible qui permet de se ressourcer et d’évacuer les problèmes du quotidien. Cependant, cette possible harmonie que nous voyons, nous permet-elle de dire que cet écosystème est semblable à une société solidaire? En y regardant de plus près, les interactions de certains êtres vivants dans un tel milieu ne sont pas si innocentes. Leurs façons de vivre pouvant s’apparenter à nos propres actions et mentalités, il est aisé d’imaginer qu’il puisse y avoir des actes et des liens entre les végétaux qui correspondent aux mêmes actions de solidarités visibles chez les humains. Toutefois de tels actions restent trop rares pour affirmer qu’un lieu aussi cruel puisse être considéré comme une société solidaire

La loi du plus fort

Beaucoup d’entre nous pensons que l’humanité est d’ores et déjà dans un tel schéma individualiste, semblable à la forêt, lieu de conflits, depuis des millénaires. Dans cet environnement, beaucoup d’espèces se plient à la loi de la survie, autrement dit la loi du plus fort. Pour comprendre, il faut connaître leur raison de vivre : perpétuer l’espèce. Pour cela il faut subsister. Avec un tel objectif, se crée une forte concurrence entre les espèces, les moins résistantes ne pourrons alors que périr. On peut considérer que le type de société qui compose les forêts correspond à un modèle dit archaïque. Celui-ci permettant de régler les conflits par le combat, aboutissant le plus souvent au trépas de l’un des protagonistes. Un voisin, dans ce monde végétal peut devenir soit un obstacle soit un repas. C’est ainsi que les arbres, en monopolisant la lumière du soleil, condamnent les autres êtres vivants poussant à leurs pieds, à rester rachitiques. D’autres tels que les champignons, se nourrissent en se greffant à d’autres végétaux, drainant à leur insus les substances nécessaires à leur survie. Où est donc la solidarité ?

A deux nous sommes plus fort

Face à une telle description il est logique de croire que dans la forêt tous luttent afin survivre. Mais les « miracles de la natures » font que tout est possible. On peut voir alors ce miracle de la solidarité naître entre certains êtres vivants. Deux espèces, qui peuvent ne rien avoir en commun, vont parfois s’entraider pour mieux résister aux éléments extérieurs. Chacun va alors apporter une chose indispensable que l’autre n’a pas, se complétant pour assurer leur survie. Une longue solidarité se met en place entre les deux protagonistes. Elle peut apparaître pour de nombreuses raisons telles que: la résistance aux conditions climatique, l’apport de nutriment, la protection contre une autre espèce. C’est ainsi que se crée le lichen, mutualisme entre un champignon et une algue. L’un ne peut vivre sans l’autre, parfait exemple de solidarité. 

L’Homme et l’incompréhension

‘’Ce qui reste éternellement incompréhensible dans la nature, c’est qu’on puisse la comprendre’’ Albert Einstein 

Si l’on reprend les propos d’Albert Einstein, il est donc peu logique que l’homme cherche à expliquer les phénomènes liés à la nature. Une question se pose, l’homme ne tente t-il pas d’expliquer ce qu’il ne peut comprendre en cherchant une réponse dans la société qu’il a lui même créée? Pourquoi essayons-nous d’appliquer ces notions sur quelque chose que nous n’avons pas inventé ? 

La nature, une entité qui nous dépasse dans bien des domaines, n’a certainement aucune notion concernant ces idées humaine que sont la solidarité, et la société. 

Même si la forêt est vaste et que de nombreuses choses y sont possibles, la majeure partie des êtres vivants n’en sont pas moins des prédateurs. Peu nombreuses sont les espèces qui se tournent vers cette idée de solidarité. La forêt s’apparente plus à une champs de bataille, ou seule les espèces les plus fortes peuvent survivre. Nous sommes bien loin de cette idée de société solidaire.  

 

 

 

Comme une feuille bercée par le vent, chaque arbre ne trouve pas sa place

«  Seuls, nous pouvons faire si peu ; ensemble, nous pouvons faire beaucoup », écrivait Helen Keller. Vous élèves de BTS, nous vivons dans une société ou l’homme a besoin de la solidarité. Plus qu’un besoin, Plus qu’une condition, plus qu’une exigence, elle est indispensable, sans celle-ci, nous serions dans une société dictée par la loi du plus fort, ou les plus faibles seraient en bas de l’échelle. Nombreux sont les exemples de solidarité qui existent à travers notre société, ils apportent un équilibre, de la stabilité dans un monde où tout pourrait changer rapidement. La solidarité est aussi la base de la vie d’un groupe et un fondamental d’une société qui souhaite vivre sereinement et en paix. Nonobstant, notre société moderne n’est absolument pas solidaire, certaines personnes ou groupe de personnes brident celle-ci pour leurs simples intérêts personnels, par malveillance ou par inconscience. Demeure-t-il pas une société harmonieuse et respectueuse où tous les individus sont solidaires entre eux ?  Que pensez-vous de la forêt ? On affirme fréquemment qu’elle est calme, harmonieuse, du fait de ces arbres qui sont là depuis longtemps et qui ont l’air de vivre paisiblement, sans encombre. De même, pour les animaux qui ont l’air de l’épanouir et de vivre leur vie dans un lieu unique en son genre. Peut-on calquer la forêt comme un idéal modèle réduit d’une société solidaire ? Nous allons montrer que la forêt solidaire peut être une maquette de notre société malgré qu’il ne faut pas entièrement l’imiter

La forêt  « solidaire » a son charme,…

Tout d’abord, la forêt est un lieu important, où des milliers d’espèces  vivent. Elles sont les rescapés de plusieurs milliers d’années parfois, tout ça grâce à la solidarité. Le saviez-vous ? Un arbre a besoin de place pour se développer et capter le maximum de lumière, sauf que cette règle immuable est maquillée. En réalité les arbres ont besoin d’être bien entourés. Grâce à  leurs racines, les arbres ne captent pas uniquement l’eau du sol, ils communiquent de quoi se nourrir, s’échangent des informations les uns entre les autres. Ensemble, ils savent qu’ils seront plus forts pour faire face aux intempéries par exemple. D’autre part, contre les attaques d’insecte, les arbres émettent des gaz pour les faire fuir, si les arbres voisins ont le même problème, ils vont l’imiter pour se défendre de la même façon. C’est une belle preuve de solidarité, ils ne sont pas les seuls végétaux forestiers à faire ceci : les champignons jouent aussi un grand rôle dans cette transmission, c’est un peu la fibre internet de la forêt.  De sorte, la communication est essentielle ; c’est faire connaître quelques choses ou faire passer d’une personne à une autre. Dans les forêts, les végétaux ne sont pas les seuls à prospérer et à vivre ensemble.  Les animaux sont moins représentés mais, font vivre une forêt. De la même façon que les végétaux, les animaux sont solidaires entre eux. Ayant une communication différente que les arbres, ils arrivent à correspondre, à s’aider, à survivre. Notamment, les écureuils vivent la plupart du temps seul la journée, mais lorsqu’il faut surmonter un obstacle comme l’hiver : un prédateur comme les martes, où des carences comme des stocks de noisettes, ils se regroupent et font face à leurs problèmes. De cela naissent des idées d’harmonies, de vie paisible, de solidarité… Mais ces idées ne cachent-elles pas le vrai visage de la forêt ?

…ne pas la pousser,…

A priori, la forêt semble être l’exemple parfait d’un regroupement d’individus jouant de la solidarité pour vivre. Malheureusement, tous les êtres vivants n’ont pas la même mentalité et si on s’avance d’un peu plus près, c’est la loi du plus fort et chacun pour soi. Une société solidaire ne peut pas être créée avec ses caractéristiques pourtant, il y a des oppositions, des guerres puis des morts… Évoquons, les plantes envahissantes qui empêchent les autres de pousser, un lapin attrapé par un renard ou encore un chêne attaqué par un champignon qui provoque la mort d’un d’entre eux. Assurément, c’est cette image que l’on devrait avoir de la forêt, et où est la solidarité la dedans ? « La solidarité, c’est aidé chacun à porter le poids de la vie et à la rendre plus facile » écrivait Henri- Frederick Amiel. C’est-à-dire, que chaque être vivant devrait être respectueux envers l’autre et vivre en symbiose. Symbiose signifiant une association durable et réciproque entre deux individus. En somme,  si cela devait définir la solidarité, on ne pourrait pas qualifier la forêt de solidaire : si les individus s’opposent on ne rend pas la vie facile à son opposant. Tout comme pour le poids de la vie, pour les animaux, les végétaux connaissent-ils la réponse ? Sommes-nous les mêmes, alors pourquoi les copier ?

…à devenir ce que l’on doit hêtre

Certes, la forêt est un endroit avec plein d’enseignements à tirer et peu ne pourront dire le contraire, mais s’il fallait imiter la forêt pour avoir une société solidaire, nous reviendrions à un état beaucoup plus primaire. En outre, il ne faut pas douter de la force et l’intelligence de la faune et de la flore, or nous ne vivons pas dans le même monde, ils sont différents dans plein de domaines. Nous sommes plus développés qu’eux, même si parfois nous revenons à la base. Si nous venons à changer les règles, la société sera différente et peut-être pas « meilleure » qu’elle n’était avant. Il faut pour cela trouver un point d’équilibre entre les personnes : une vraie société solidaire pourrait se dessiner. On peut copier, imiter, reproduire quelqu’un ou quelques choses : rien ne l’interdit, il faut absolument que ce choix soit logique et raisonné en contrepartie. Seules ces options feront avancer notre société vers une solidarité encore plus forte, pensez-vous que chaque individu pourrait le faire ? Etes-vous le premier ?

Pour conclure, la forêt est jonchée de nombreux exemples de solidarité, même si comme nous, des éléments perturbent celle-ci. La vie est différente dans les deux cas et n’est pas comparable, copier ceci doit être superficiel. Il ne faudrait pas avoir une base commune, mais seulement avoir chacun un exemple de solidarité qui soit pensé et réfléchi pour faire avancer notre société. Les plus petits sont la plupart du temps, l’exemple des plus grands…

 

L’éco de la forêt: cette société solidaire

La forêt est aussi étrange que sublime par son modèle de vie et la diversité des individus qui s’y trouvent. C’est elle a qui vu naître la vie, et qui nous permet de la poursuivre en tant que première source mondiale de dioxygène. Elle propose un modèle de société stable, dont les éléments collaborent entre eux plutôt que de se détruire mutuellement. La forêt a également développé la capacité de s’auto-protéger grâce, par exemple, à un phénomène naturel : le mulching forestier. A la lumière de ces éléments, nous pouvons alors nous demander s’il existe une forme de solidarité au sein des fôrets. Nous montrerons donc dans quelle mesure la fôret peut être considérée comme un modèle de société solidaire .

La forêt :  un modèle à suivre …. 

La forêt, grâce à différents systèmes ( comme par exemple la régénération naturelle ou encore en laissant tomber ses graines ), peut s’auto-préserver. En effet, la forêt a su se développer bien avant nous comme par exemple avec les prêles qui ont évolué afin de pouvoir résister au mieux aux intempéries et à leur environnement. De plus, les arbres entre eux peuvent se protéger grâce au mulching forestier qui se fait naturellement avec les feuilles et débris qui tombent des arbres formant un couvre-sol. Cela permet aux arbres d’être nourris et protégés constamment. Ils sont également capables de s’entraider puisque les arbres les plus vieux et les plus grand nourrissent les plus jeunes grâce à une collaboration symbiotique avec des mycorhizes se trouvant au niveau de leurs racines.  Les grands arbres ont donc un rôle maternel puisque ce sont le plus souvent leurs graines qui se développent à leurs pieds. Enfin, la faune et la flore d’une forêt lui permettent de vivre en autarcie et apportent à tous les êtres qui s’y trouvent les ressources nécessaires à leur bon développement et leur survie.

…Mis en danger par l’être humain

De nos jours, la protection des forêts devient un sujet prédominant dans la société. Des décennies d’exploitation humaine ont ravagé un nombre considérable d’hectares de forêts, sans prendre en compte les conséquences dramatiques sur l’environnement. Dès la préhistoire,  les premiers hommes utilisaient le bois comme combustible, outil, ou encore pour se protéger. Avec l’arrivée des progrès et des machines, la puissance destructrice humaine s’est amplifiée, laissant peu de chances aux végétaux. A présent, l’Homme prend peu à peu conscience des dégâts qu’il a pu engendrer à des fins de développement et d’économie et cherche des solutions durables afin de limiter son impact. Des protections de certaines espèces et lieux ont été mises en place et plusieurs associations ont élaboré des projets de reforestation.

Un retour à une société solidaire 

De plus en plus de personnes envisagent un retour à la nature et choisissent de modifier entièrement leur mode de vie pour vivre en autarcie en forêt. Par exemple, Emma Orbach, une femme âgée de 62 ans, vivant depuis 17 ans en forêt, mais ce phénomène touche aussi de plus jeunes générations, comme Alicia, 26 ans. La capacité de la forêt à subvenir aux besoins de ses habitants montre une fois de plus la solidarité dont elle peut faire preuve et est une source d’inspiration pour les générations futures.

Pour conclure , on peut dire que la fôret est un modèle solidaire grâce à ses moyens de protection et de prolifération, mais également grâce à cette solidarité qu’elle met en place pour survire aux différentes épreuves qu’elle doit affronter .

 

 

 

 

 

La forêt, modèle d’excellence ?

Et pourquoi pas, ne pas se baser sur la nature qui nous entoure? Pouvons-nous considérer la forêt comme un exemple de société, pour pouvoir nous même nous épanouir à travers l’entraide réciproque ?  

Rien de plus important que d’observer la nature dans laquelle nous vivons, pour pouvoir comprendre notre propre société. Des êtres qui nous paraissent rustiques et non sensibles sont de véritables sources de bien être, et c’est un très bon exemple de vie en société. 

Une symbiose obligatoire pour la survie 

En effet, la forêt n’est pas composée que de 3 ou 4 strates de végétaux, mais regroupe la majorité des différentes familles d’êtres vivants dénombrée sur la planète. Une réelle zone de vie est formée représentant les maillons d’une chaîne. Chacun se tient et se supporte mutuellement. Si par malheur un maillon devait se briser, il manquerait automatiquement aux autres. De part sa présence il apporte ce que l’autre n’a pas, et en retour il reçoit ce qui est nécessaire à sa croissance. C’est ainsi que dans le domaine de la science, on a nommé ces interactions à effets de bénéfices réciproques, des symbioses. L’un ne peux pas vivre sans l’autre, qu’il appartienne à sa famille ou pas. Ainsi nous pouvons prendre comme exemple, le mycélium et l’arbre. Le mycélium est un champignon qui vit sous terre et qui peut se répandre sur plusieurs centaines de kilomètres, et pour vivre il a besoin d’un support dont il s’agit ici des racines des ligneux. Le mycélium apporte des nutriments et de l’humidité, ce qui arrange fortement les arbres notamment en période de sécheresse. En retour, l’arbre prête ses racines pour que les champignons puissent prospérer et s’étendre. Si chacun pouvait apporter ses qualités au service de la société, nous mélangerions alors des connaissances qui bénéficieraient au progrès. Un progrès qui a toujours été source de motivation pour les hommes. Et si nous nous soutenions tous grâce à nos qualités,  nous serions alors une société indestructible. Car c’est en se soutenant les uns les autres, et en partageant nos différences que nous réussirons à devenir une société solidaire, tout comme la forêt.

Solidarité, bienfait indispensable pour toute société

De plus les êtres vivants se soutiennent entre eux. En effet, quand des parasites se jettent sur eux pour les attaquer, ceux-ci vont libérer des particules dans l’air afin de prévenir leurs congénères . Ainsi, les êtres vivants avertis vont pouvoir sécréter des substances qui leurs seront ensuite bénéfiques pour leur protection. Une population d’arbres dans une forêt est un très bon exemple, si l’arbre attaqué n’avertissait pas les autres la totalité de la communauté serait attaquée, dévastée puis morte. Ainsi le soutient mutuel participe à une vie commune. De plus, en ce qui concerne les végétaux, lorsque l’un d’eux tombe malade les autres autour le soulagent en lui apportant tout ce dont il a besoin pour sa guérison. Nous pouvons observer dans nos sociétés actuelles que, naturellement l’être humain possède un côté sensible, et qu’il est doté d’une moralité. En fonction de sa culture et de son éducation, il va agir différemment face à autrui, car il aura développer des sensibilités différentes. Le fait de se baser sur la forêt, nous pouvons remarquer qu’il n’y a pas de rejets entre espèces différentes lorsqu’il s’agit de la survie. Chacun restent présent pour les autres, car il en dépend malgré lui. Sans les autres il ne peut s’épanouir. Et cela pourrait s’appliquer dans nos sociétés actuelles mais avec beaucoup d’efforts..

Plus que parfait !

Et enfin, la forêt qui est avant tout un écosystème, reste un élément parfaitement structuré dans sa composition. En effet, quel est l’élément le plus parfait observable dans notre monde ? La nature vient de toute évidence, aux premières loges. Aucune lacune n’est recensée. Ainsi de par à cette perfection celle-ci est automatiquement régulée d’elle même. Il n’y a pas plus grand comme mode de vie en commun que la nature, et ici en l’occurrence la forêt. C’est un endroit magnifique où se mélange tous les éléments, et où cohabitent des milliers et des milliers d’espèces différentes.

Alors oui bien sûr, la forêt peut être le modèle d’une société solidaire, car c’est un écosystème où de nombreuses espèces arrivent à partager leur mode de vie, en s’adaptant aux niches écologiques des autres. Si nous nous basions sur ce type de société solidaire en toute modestie et humilité, nous arriverions à atteindre, à notre rythme, un but presque parfait.

La solidarité du bois… c’est béton !

La notion de la solidarité est pour l’homme, au sein de la société, très importante. Cette valeur est même souvent à l’origine de toute vie en société. La solidarité y est comme un pilier qui lui apporte équilibre et sérénité.

On savait que d’autres espèces animales vivaient aussi de la solidarité mais de récentes découvertes nous interrogent aussi sur la solidarité vécue par des espèces végétales. Ainsi, les arbres seraient-ils capables de solidarité ? et d’une solidarité moins « égoïste » que la nôtre ?

Nous verrons ici que les relations entre l’homme et les arbres sont plutôt complexes mais aussi les raisons pour lesquelles nous affirmons que ce sont des êtres solidaires.

La relation entre ces deux êtres

Depuis des millénaires, l’homme et les arbres partagent une longue histoire commune.

Les arbres sont des êtres vivants remarquables. Présents sur Terre depuis au moins 370 millions d’années, l’Archaeopteris, premier arbre connu, date du Dévonien (de -418 à -359 million d’années). Aujourd’hui, on compte environ 3 000 milliards d’arbres sur Terre appartenant à 60 000 espèces différentes.

Outre cette grande diversité, ils jouent aussi un rôle très important dans l’équilibre écologique de la planète. Ils stockent le carbone et rejette de l’oxygène, nécessaire à la vie. Ils ont aussi un rôle dans le cycle de l’eau et constitue les écosystèmes des forêts, refuges de biodiversité.

L’homme est lui aussi un être vivant mais sa présence sur Terre date seulement d’environ 2 millions d’années et la population mondiale n’est que de 7,7 milliards (soit une personne pour 400 arbres).

Pour l’homme, les arbres ont toujours représenté une ressource essentielle, lui permettant à la fois de construire son habitat, de se chauffer et de se nourrir (grâce à leurs fruits). Toutefois, se considérant comme « supérieur », il a donc exploité cette ressource jusqu’à l’excès. On pourrait citer notamment l’exploitation « sauvage » qui se fait actuellement en Amazonie et qui va jusqu’à détruire son environnement.

La relation entre l’homme et l’arbre n’a pourtant pas été toujours aussi tendu. A une époque, les arbres ont même été divinisés par des religions antiques et à l’origine de nombreux cultes. On en retrouve aussi trace plus récemment avec le culte des « arbres de la Liberté » plantés lors de la Révolution française et tout au long du XIXe siècle. Nos pièces françaises de 1 et 2 euros en sont encore les témoins.

La forêt : une communauté solidaire

« La forêt est une communauté solidaire » : voilà ce qui a été prouvé grâce à des études faites par des botanistes de l’université de Bâle, des recherches scientifiques de Nouvelle-Zélande ainsi que l’ingénieur forestier Peter Wollheben.

Ainsi, les études menées par les botanistes de l’université de Bâle, nous apprennent que les arbres s’échangent du carbone. En effet, l’arbre va prélever du dioxyde de carbone dans l’atmosphère grâce à la photosynthèse. Ce carbone va d’abord lui servir pour sa consommation personnelle, mais l’étude a montré qu’il va aussi le partager avec les arbres voisins. Pour cela, il utilise des réseaux de champignons souterrains et son système racinaire. Les réseaux relit chaque individus, les uns avec les autres. Ce qui nous conforme dans l’idée de la solidarité puisqu’ils sont unis par ce lien. Pour les hommes c’est « main dans la main », pour les arbres c’est « racines dans racines ».

Une étude scientifique, menée en Nouvelle Zélande, sur de très vieilles souches d’arbre Kauri a aussi montré une certaine forme de solidarité entre les arbres : quand un arbre a été coupé et qu’il n’en reste qu’une souche, ses voisins le maintiennent en vie par leurs racines en lui envoyant des nutriments. Avant cette étude, on pensait plutôt que les arbres voisins auraient profité des éléments laissés par la décomposition de l’arbre mort.

De même, lorsqu’un arbre est malade, ces voisins lui envoient des nutriments par leurs racines pour l’aider à retrouver de l’énergie. Il s’agit d’un système de redistribution des ressources, un peu comparable à nos systèmes d’aide sociale, qui permet aux individus moins favorisés, de se développer. De la même façon, dans une forêt, alors qu’ils ne reçoivent pas tous la même quantité de lumière, il existe un système de rééquilibrage souterrain par le biais des racines.

Dans son livre « La vie secrète des arbres », l’ingénieur forestier Peter Wollheben a aussi montré qu’en cas de danger, les arbres communiquent entre eux et s’envoient des messages d’alerte afin de pouvoir se défendre face à des prédateurs. Face à un prédateur qui mange ses feuilles, on savait que l’arbre allait modifier sa composition chimique pour repousser l’animal en vaporisant des tanins amers et toxiques ou en émettant des substances odorantes afin d’attirer des auxiliaires. Mais les études ont aussi montré qu’il est aussi capable d’envoyer un signal en utilisant ses racines, via des réseaux de champignons, afin d’alerter ses proches d’un danger. Cela leur permet ainsi de mieux se défendre lors de l’attaque.

C’est une sorte de langage chimique. Les végétaux échangent ainsi de nombreuses informations toute la journée. Cette communication peut aussi se faire par le canal des airs via les feuilles.

La forêt, modèle de société solidaire ?

D’autres études nous confirment que les arbres sont des êtres sensibles à la douleur, qu’ils sont dotés d’une mémoire et peuvent communiquer entre eux et s’entraider.

Ainsi, grâce à ces études, l’homme a une meilleure compréhension des arbres et de leurs « relations sociales » au sein d’une forêt : l’arbre « s’humanise » devenant plus qu’un simple bout de bois. L’homme fait en sorte de ne plus maltraiter les arbres inutilement. Par exemple, la pratique de retirer les écorces des arbres pour les supprimer prend une autre dimension : cette action pourrait être comparer à un acte de torture, comme si l’on écorchait à vif un être-humain.

En se basant uniquement sur les études présentées ci-dessus, on pourrait être tenté de conclure que les arbres sont des êtres solidaires et que cette solidarité est gratuite et sans retour. Les arbres seraient-ils plus généreux que nous ?

Le fait de prendre soin de la santé de ses voisins est-il un acte gratuit, ou est-ce dans l’unique but d’améliorer ses chances de survie ? On comprend facilement que si des arbres meurent, cela provoquera des brèches dans la forêt et exposera ainsi l’ensemble du groupe aux vents violents. Il s’agit donc peut-être d’une simple stratégie de survie collective…

Peut-on considérer la forêt comme « société parfaite », comme définie par la métaphore du corps mystique de Blaise Pascal ? Dans ce modèle, la forêt représenterait le corps et les arbres en seraient les membres. En effet, dans la forêt, lorsqu’un membre souffre, c’est l’ensemble du corps qui souffre avec lui et chacun est nécessaire pour la vie de l’ensemble. C’est bien l’entraide entre les arbres, même de différentes espèces qui fait vivre cette « société sylvestre » tout comme dans notre « société humaine ».

Il est donc clairement établi que les arbres communiquent entre eux, s’entraident face aux prédateurs et s’échangent de l’énergie sous différentes formes. La forêt se comporte donc comme une véritable société solidaire. Dans la société humaine, certains membres sont solidaires par nécessité, d’autres le sont par altruisme. Les études sur les forêts sont encore trop récentes. Nous ne pouvons pas savoir à quelle catégorie de solidarité associer les arbres : altruisme ou nécessité ?

La forêt : société idéale ou écran de fumée

On observe aujourd’hui dans notre société un écart de plus en plus grand du niveau de vie dans le monde entier. Et si nous prenions exemple sur le mode de fonctionnement de la forêt ? Après tout quoi de mieux que ce milieu de plus en plus précieux dans notre monde, un milieu qui s’auto-régule, est en constante évolution de quoi en faire un idéal d’où ma question : La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Nous verrons, vous jeunes gens et moi,  que en effet celle-ci possède de nombreuses interactions apparentées à de la solidarité telle que le mutualisme mais que, à l’inverse, y règne aussi un système de loi du plus fort.

Bien plus qu’une solidarité, une symbiose

Tout d’abords, on nous dit souvent que la forêt est un lieu paisible où l’on va pour se reconnecter avec soi, avec le monde; que c’est un milieu sain. On nous dit moins souvent qu’il y règne des interactions spécifiques telles que le mutualisme qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui s’échangent des nutriments par exemple ou bien la symbiose qui est le fait que deux organismes d’espèces différentes qui sont indispensables l’un pour l’autre afin de pouvoir vivre. Cette dernière est bien plus fort que ce qu’est pour nous la solidarité, en effet si l’on prend pour exemple les champignons qui se trouvent sur les racines des arbres ( mycorhizes ) et bien sans eux les arbres auraient des carences nutritives et donc mourir; cela est une question de survie plus que d’une simple aide.

L’anarchie animale et végétale

En suite, tout en étant un milieu de vie qui peut sembler des plus calmes et paisibles, la forêt est le lieu d’un parasitisme. En effet, en marchant dans les hautes herbes se trouvant aux abords des forêts on peux avoir la mauvaise surprise de repartir avec plus de monde que ce qu’on est arrivé. En retrouvant par exemple des petites tiques qui en plus de se nourrir de notre sang pourraient nous offrir en cadeau la maladie de Lyme rien que ça. On retrouve aussi la prédation en forêt avec le pauvre petit lièvre qui se fait dévorer par le vicieux renard, ou encore la compétition pour un même milieu entre deux individus comme par exemple entre deux végétaux : pour la lumière, l’eau ou les nutriments du sol, elle existe aussi chez les animaux.

Donc, la forêt n’est pas le modèle d’une société solidaire car même si certaines relations peuvent être bénéfiques pour chaque partie d’autres ne le sont pas. La forêt est comme le disait Foucault « Là où le désordre fait scintiller les fragments d’un grand nombre d’ordres possibles » une composition hétéroclite. Michel Foucault ayant connu la seconde guerre mondiale. De ce fait la forêt peut nous paraître un désordre où le pouvoir est déconcentré.

Le chant de la forêt : une chanson solidaire ?

« Un peuple qui ne connaît pas son passé, ses origines et sa culture ressemble à un arbre sans racines. » Cette citation de Marcus Garvey résume bien le fait qu’une société se doit d’être soudée pour fonctionner. La société actuelle est elle solidaire ? Malgré toutes les associations qui viennent en aide aux personnes en difficulté et l’entraide dont la population fait preuve, nous pouvons dire que la société aujourd’hui est solidaire. Cependant, elle a encore des progrès à faire, notamment du point de vu de la compétition entre les individus. Mais qu’en est-il de la forêt ? On dit souvent que les arbres communiquent entre eux et s’entraident. Est ce le même cas pour une société humaine?  Nous montrerons que la forêt n’est pas le modèle parfait pour une société solidaire .

Tout d’abord, pouvons nous confirmer qu’une forêt et les individus qui la composent s’apparentent à une société ? A partir du moment où les animaux et les végétaux d’une forêt communiquent entre eux de différentes manières, nous pouvons approuver le fait qu’une forêt peut être comparée à une société humaine. Maintenant, il nous reste à étudier le caractère solidaire d’une société de la forêt.

Une faune individualiste

Nous pouvons affirmer que la faune est solidaire, seulement elle l’est uniquement envers les membres de son espèce. Prenons l’exemple d’un animal comme le renard. Les renards feront tout pour subvenir aux besoins de leurs petits renardeaux.  C’est en cela que l’on peut dire que la faune forestière est solidaire.  Cependant lorsque l’on parle d’entraide entre les différentes espèces, on se rend compte que celle ci  n’existe pas. Elles s’entre-tuent afin de pouvoir survivre et font donc preuve d’individualisme.  Elles sont solidaires exclusivement envers leurs semblables.

Mais la faune n’est pas l’élément central de la forêt…..

Une flore solidaire

Tout d’abord, il faut savoir que les arbres communiquent entre eux, grâce à leur racines, et plus particulièrement grâce à un champignon, sous forme de millions de petits filaments blancs, qui relient tout les arbres entres eux. Il faut savoir que la communication consiste en l’échange d’informations entre différents individus.

On parle d’un véritable réseau à travers lequel les arbres reçoivent différentes informations. Mais de quelles informations s’agit il ? La plupart du temps, il est question de message d’alerte. Les arbres sont capables d’établir une réelle stratégie pour pallier à un danger. Par exemple, lorsqu’un animal vient grignoter les feuilles d’un arbres, l’arbre va directement envoyé un message d’alerte aux arbres environnants, ce qui va les permettre de se protéger. En effet, les arbres vont grâce à ce message fabriquer des anticorps, qui rend leur propres feuilles immangeables pour les animaux.

 

De plus, quand un arbre est malade, en situation de détresse, voir proche de la mort, les autres arbres vont alors se mobiliser et donner les nutriments nécessaires à l’arbre malade grâce à leurs racines.

Nous pouvons donc confirmer par ses deux points que les arbres d’une forêt sont solidaires entre eux.

Pour conclure, nous pouvons donc dire que la forêt constitue une société solidaire. Néanmoins, il y a une limite à affirmer que la forêt soit un modèle à suivre pour la société humaine. En effet, une entraide à lieu, mais uniquement entre les individus d’une seule et même espèce. Dans le cadre d’une société humaine, aucune différenciation ne devrait avoir lieu.

Entre la loi de la nature et la vie en société humaine, un écart se creuse ….

La forêt : entre harmonie et individualisme

« Quand un arbre tombe, on l’entend; quand la forêt pousse, pas un bruit ». Ce proverbe africain défini ce que l’on recherche au sein d’une forêt : la tranquillité, le répit, la paix. Nous avons à l’esprit que la forêt abrite de nombreux être vivants et qu’ils parviennent à cohabiter dans une atmosphère d’harmonie. Cependant, cela ne serait-il pas qu’une illusion? Une image pour rendre la forêt plus attractive, plus envieuse? Vous cher citoyens de ce monde, pensez-vous que la forêt peut être le modèle d’une société solidaire? Nous montrerons l’égoïsme de la forêt, qui peut, néanmoins, entrainer l’esprit de solidarité, mais cependant chaque être vivant est seul.

La loi du plus fort …

          La forêt est un endroit paisible de loin, mais dès que l’on s’en rapproche nous nous apercevons qu’il n’y a qu’une seule loi : la force et le chacun pour soi. Il existe une hiérarchie, les plus forts sont rois et les plus faibles s’abaissent. Cela est l’inverse même de la solidarité. La forêt est un endroit vaste, elle n’abrite pas seulement des arbres mais, de multiples espèces d’êtres vivants. La présence de nombreux individus amplifie la difficulté à la réalisation d’une société solidaire. Nous savons qu’il y a dans le monde, de plus en plus, de différents conflits, guerres entre les individus. Prenons comme exemple un loup et une biche, ou encore, un arbre et un champignon dévastateur. Il y a un conflit qui finit par la mort, seul, d’un individu. Où est la solidarité dans tout cela? La biche n’a-t-elle pas l’aide de ses congénères? Ne voyons-nous ,donc pas, un ralliement entre les plus faibles? Une idée d’entraide ne se développerait-elle pas dans l’esprit des martyrs? Comme on dit, ensemble on est plus fort, beaucoup d’espèces devraient alors être solidaire entre eux, se soutenir pour faire face aux plus forts? Donc, la forêt n’aurait-elle pas un modèle de solidarité bien présent?

… entraîne un esprit de solidarité …

          En effet, la forêt est un endroit de symbiose, dans les deux sens. D’une part, l’association biologique, durable et réciproquement profitable, entre deux organismes vivants, et d’autre part, l’étroite union entre les individus. L’entraide est présente entre petits animaux ou encore entre plantes. Nous pouvons ressentir cette communion lorsque l’on est en forêt. Ce calme, cette tranquillité et cette confiance en soi. Les arbres sont souvent rois dans une forêt. Ils sont impressionnants, grandioses et majestueux. Dans une forêt, nous pensons, principalement, qu’elle est composé d’arbres. Cette pensée amplifie l’idée des arbres souverains. Cependant, nous pouvons voir l’union qu’ils ont avec les autres espèces. D’autres diront, qu’un arbre, c’est solitaire, mais lorsqu’il héberge en son tronc de nombreux animaux comme des oiseaux, des insectes. Peut-on dire que c’est un arbre sans aucune solidarité? Prenons d’autres exemples, comme la solidarité au sein des espèces. Les sangliers, les chevreuils, ne se déplacent rarement tout seul, ou juste pour chasser. Nous pouvons donc, voir cette cohésion entre les espèces. La forêt est assez grande pour pouvoir accueillir tout le monde, créer un univers de prospérité et d’entraide. Donc certes, il y a sûrement un modèle de société solidaire. Mais est-il pour autant exemplaire? Devrons-nous imiter ce type de modèle? N’a-t-il pas une part d’égoïsme, comme tout ce qui nous entoure?

… mais la solitude l’emporte

          Malgré les liens entre êtres vivants, chacun reste seul dans une forêt. L’arbre est imposant et ne laisse aucune place aux autres plantes pour se développer. Les insectes, même s’ils habitent dans l’arbre vont manger ses feuilles, le détruire petit à petit. Nous pouvons donc, nous apercevoir que chaque individu à une part d’égoïsme au fond de soi. Une forêt ne peut pas être le modèle de solidarité à suivre. Quand on se retrouve dans une forêt il n’y a souvent aucun bruit. Vous, lecteurs et citoyens de demain, sentez-vous solidaires face à cette solitude? Une union devrait se voir à l’instant même où nous rentrons dans une forêt. Mais le seul aspect que l’on perçoit est l’abandon. Peut-on être solidaire, uni, lorsqu’on ne ressent aucun lien dans un endroit?

Pour conclure, la forêt peut être un lieu de solidarité, de symbiose entre individus. Cependant, ce n’est pas un modèle de société solidaire. La solidarité est l’entraide et le fait de pouvoir compter sur les autres. Or si on se sent seul, comment pourrions-nous construire une société solidaire exemplaire? La forêt a des liens forts mais seulement dans l’intérêt d’un individu. Nous faisons donc face à une forêt individualisme, égocentriste.

Société : Écosystème de demain !

Beaucoup le disent et pensent, nous vivons dans un monde individualiste où les liens sociaux et les liens liés aux solidarités de classes et d’appartenance religieuse et sociale semblent disparaître. Alors pourquoi ne pas prendre exemple sur des sujets tels que les arbres ainsi que les organismes formant une forêt car, nous le savons tous, ils communiquent entre eux, mais sont aussi solidaires les uns envers les autres en s’entraidant.  Alors la question serait, la forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ?

Je vais tenter d’y répondre en expliquant, les similitudes de la société et du système forestier en passant par la théorie de Darwin et de ses controverses. Mais  avant toutes choses, par quel facteur et comment les organismes se maintiennent en vie ensemble .

 

Du vivant grâce aux coopérations !

La forêt est un écosystème complexe mais qui fonctionne avec le principe de la symbiose. C’est-à-dire qu’il existe un lien qui réunit tous les organismes entre eux et qui leur permet de vivre indépendamment des autres mais avec leurs aides. Chaque organisme va survivre en puisant la faiblesse d’un autre organisme pour un faire une force. À travers ce principe symbiotique, d’autres interactions prennent place en parallèle, telles que le mutualisme dans laquelle les deux organismes retirent un avantage à l’association ; le commensalisme, dans lequel un des deux organismes retire un avantage l’autre organisme n’a aucun avantage ni désavantage.

Toutes ces relations montrent que la forêt n’est pas juste une succession d’individus, mais un seul et immense organisme, en effet le système forestier implique une entraide des organismes entre eux et la survie de chacun dépend indépendamment des autres organismes qui l’entourent en utilisant la faiblesse de chacun pour l’optimiser en force.

 

Société : Calque du système forestier ?

La société actuelle tend à nous rendre solidaires les uns envers les autres avec de nouveaux principes de partage bilatéral tel que le covoiturage qui permet à plusieurs personnes tierces de voyager ensemble le temps d’un trajet afin de contrer le prix des transports conventionnels comme le train par exemple ; ou encore les mutuelles de santé, basé sur la solidarité des cotisations, le financement de la couverture sociale complémentaire.

Ce sont des exemples parmi tant d’autres qui laissent penser que la société veut créer des liens entre les Hommes semblables à ceux qui existent entre les organismes du système forestier où chacun va utiliser la faiblesse d’un autre pour en faire une force afin de former un seul groupe et d’avancer ensemble, thèse qui se rapproche de l’idée défendue dans l’ouvrage « du contrat social» de ROUSSEAU ou il met en avant que les individus se rapprochent pour s’assurer une vie pérenne. Les individus s’arrangent entre eux pour vivre en toute sécurité et c’est ce rapprochement qui permet de former une société.

 

Illusion face aux relations ?

Malgré le fait qu’on aurait tendance à croire que la société ait toujours fonctionné avec le principe de solidarité entre individus, que ce sont ces relations qui ont permis l’existence de l’espèce humaine, la théorie du darwinisme vient corrompre cette idée ; la survie de l’espèce humaine serait dû à la compétition entre les individus. Selon la théorie de Darwin la survie des Hommes est principalement liée à la « loi du plus fort ».   En effet Lamarque et Darwin défendent l’idée que la lutte pour la vie entre les Hommes représente la sélection naturelle et qu’elle serait la source fondamentale du progrès et de l’amélioration de l’espèce humaine qui a permis d’aboutir à l’élimination des moins aptes à la survie des plus aptes.

 

Théorie démentie !

La théorie du darwinisme social, bien que fondée, est source de nombreuses contestations. Plusieurs philosophes viennent réfuter l’idée selon laquelle la survie de l’espèce humaine serait due à la compétition entre les individus. André-Comte Sponville est l’un d’eux, et il met en avant dans sa chronique égoïsme et altruisme dans les médias Le Monde, le fait que ce sont les relations d’entraide solidaire qui sont nécessaires à la survie de l’espèce humaine et non, des relations conflictuelles ; « dans la lutte pour la vie, une certaine proportion d’altruisme, de la part des individus, est un avantage sélectif, pour l’espèce : au sein d’un groupe capable de solidarité, d’entraide, de compassion, chaque individu a davantage des chances de survivre, donc de transmettre ses gènes, que dans une horde qui ne connaîtrait que l’égoïsme, la violence et la rivalité. »

 

La forêt peut être considérée comme un modèle de société solidaire, et la société actuelle s’aligne sur certains grands principes du système forestier, cependant malgré le fait qu’il peut servir de modèle, il ne peut être calqué. Les relations entre les organismes de la forêt sont à l’échelle du système forestier et que s’il venait à être reproduit à échelle humaine, c’est tout le système politique qu’il faudrait revoir et changer.

La fascination absurde de l’humain envers la faune forestière

La forêt peut-elle être le modèle d’une société solidaire ? Ou… Qu’est ce qu’une société solidaire ? Est-ce possible qu’une telle société existe réellement sans nuances ? Que savons-nous de la forêt ? Voilà donc, chers lecteurs, un bon nombre de question qui peuvent apparaître comme pertinentes lorsque l’on lit la première.

Suite à cette question des plus absurdes, qui pourtant n’en est pas moins intéressante, il convient certainement de définir plusieurs choses indispensables à la compréhension du sujet. Tout d’abord, qu’est ce qu’une société comme on l’entend chez nous (êtres humains) ? Il semblerait qu’une société soit « un ensemble de personnes entre lesquelles, existent des rapports durables et organisés (avec des institutions, etc.) ». Ensuite, prenons la première définition que nous pouvons trouver pour la forêt, c’est à dire : « Vaste étendue de terrain couverte d’arbres ; ensemble de ces arbres. ». Oublions donc ce lien quelque peu inexistant entre ces deux termes et gardons, dans la définition de société, ce qui peut nous intéresser. En reformulant la définition de société dans le but de s’adapter au système de cohabitation faunistique et floristique d’une forêt, cela donnerait : « un ensemble d’être vivant entre lesquelles existent des rapports parfois organisés (sans institutions bien évidemment). ». Cela nous amène donc à imaginer une comparaison entre une société humaine et la possible société forestière que l’on pourrait imaginer.

DEUX MODELES DE SOCIETE

En effet, plusieurs comparaisons peuvent apparaître chez ces deux modèles de société.

Premièrement, il y a l’entraide. Chez l’humain, l’entraide est quelque chose d’assez naturel comme chez certains animaux. Cependant, lorsque l’on amène ce sujet dans notre modèle de société, on peut voir l’entraide comme un fonctionnement de « dominant-dominé ». En effet, imaginons l’action d’un premier homme (« dominant »), approchant un deuxième homme qui, lui, est dans le besoin (« dominé »). Le premier aura deux choix dans sa position de dominant, aider ou ne rien faire. Si celui-ci aide, cela aura certainement pour but, malgré la bonne action, de flatter son ego, tandis que s’il ne fait rien, il ne sera effectivement pas décrété comme solidaire (dans la situation présente). Ce qui nous amène aux animaux, et là, beaucoup offriront à débattre lorsqu’ils liront ce qui va suivre : « les fourmis ». L’entraide chez les fourmis. Existe-il quelque chose de plus fascinant ? Ce à quoi je répondrai : « Oui très certainement ». Dans ce cas-ci, comme dans le cas de l’humain, il existe la situation de dominant-dominé. Ce n’est cependant pas ce qui gène le plus dans l’idée d’une société solidaire basée sur le fonctionnement de celle des fourmis. En effet, celles-ci collaborent sans cesse. Mais dans quel but ? La survie. Pourtant, cette utopie qu’est la société solidaire est très certainement apportée par une population qui ne se préoccupe certainement pas de sa survie. C’est pourquoi on pourrait dire qu’il est plus qu’absurde de baser son raisonnement sur une société qui ne correspond absolument pas à celle que nous voulons faire évoluer. Nous cherchons une vie agréable lorsque nous parlons de société solidaire. Les fourmis n’agissent que pour la survie. Ce qui nous amène à la deuxième comparaison possible entre humains et animaux. 

Le fonctionnement psychologique entre différents individus, chez l’homme ou chez les animaux, n’est effectivement pas comparable ; en tout cas, selon nos connaissances. Chez l’humain, nous appelons cela la communication (directe ou indirecte). Celle-ci prend en compte plusieurs indicateurs. Tout d’abord, il semble qu’elle soit dirigée par l’émotion. Nous agissons selon nos besoins d’émotions ou celles déjà présentes. Ensuite, chez l’Homme, existe la présence de jugements, d’envies matérielles et plus ou moins réfléchies qui ne sont pas présentes chez les animaux. En effet, ceux ci agissent à notre connaissance à l’instinct dans le but de se nourrir, de se protéger ou même dans un but de séduction. Ce qui crée une interdépendance des animaux par la chaîne alimentaire, métaphoriquement ennemie du concept de solidarité. En effet ce système d’interdépendance ne peut s’appliquer aux êtres doués de raison ou de conscience. 

UNE FASCINATION ABSURDE

La nature est certainement un fonctionnement mathématique probablement basé sur un équilibre nécessaire à la survie de la planète. L’humain, lui, serait un animal à l’ego sur-dimensionné se croyant capable de s’identifier aux autres animaux car il n’a pas compris qu’il était, comme chaque espèce, différent du reste du règne animal, comme le veut la nature pour son équilibre. Comment l’humain voit la nature ? Comme un idéal.

En effet, la nature possède un équilibre indispensable à sa survie. L’humain ne l’a pas compris, il cherche constamment à évoluer, à s’adapter et en l’occurence à s’identifier. Cependant chaque espèce à son propre rôle et son propre fonctionnement. La logique mathématique de la nature viserait à dire que les animaux agissent selon leur capacité à survivre dans notre monde. C’est pourquoi l’humain ne peut s’identifier à une espèce qui agit pour sa survie. Chercher à adapter son mode de vie en calquant ses actions sur celles de la faune et de la flore est probablement une erreur. Le fonctionnement biologique de chaque espèce influence les actions de celles-ci, l’humain ne peut s’imaginer parfaire sa façon de vivre en imitant les relations internes aux espèces. Par exemple, la symbiose des arbres, symbole indirecte de la solidarité floristique, serait parfait pour démontrer que l’humain ne peut s’en inspirer. Effectivement, la communication entre chaque arbre est biologiquement inimitable pour l’humain. La symbiose fonctionne sur l’idée d’une communication par les racines entre chaque arbre. 

L’ego de l’humain le pousse à vouloir imiter ce qui lui parait le plus pertinent pour son confort. Or, il imagine une société solidaire en sachant pertinemment qu’il ne peut l’atteindre. Il sait que la société solidaire n’existe pas, car comme dans la nature, il y a un équilibre obligatoire, une histoire de nuances. C’est pourquoi, à travers cette idée d’équilibre, l’Homme a peut être déjà inconsciemment copié un certain modèle sociétal dans la nature. 

QUOD ERAT DEMONSTRANDUM

Pour résumer, imiter le modèle sociétal d’une forêt ou d’une ou plusieurs espèces animales ou végétales est selon moi assez absurde. L’humain n’a pas la capacité, ni biologique ni psychologique, à adapter son modèle de vie à celui d’une espèce qui ne lui ressemble que très peu.

 

Nantes et le commerce maritime au 21ème siècle

Un an après son appel d’offre international, Neoline a choisi Neopolia pour construire son premier cargo à voile. La start-up nantaise signera une lettre d’intention de commande vendredi 5 juillet. Le cargo sera construit à 50% à Saint-Nazaire par des entreprise adhérentes du réseau Neopolia.

Le Neoliner est un cargo roulier dit « ro-ro » à propulsion principale vélique et à propulsion auxiliaire diesel-électrique. Long de 136m, il pourra emporter l’équivalent de 280 conteneurs.

Ses 4 200 m² de voiles lui permettront de naviguer à une vitesse commerciale de 11 noeuds, là où un navire à moteur navigue à 15 noeuds, mais cela permettra d’économiser 80%  à 90% de carburant.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/imagine-nantes-neoline-premier-cargo-voile-sera-construit-partie-saint-nazaire-grace-neopolia-1693772.html

 

La forêt : preuve d’une solidarité innée.

La forêt représente une surface très importante de la Terre, c’est un milieu naturel où cohabitent beaucoup d’espèces animales et végétales.  Elle incarne les poumons du globe terrestre. Fâcheusement, beaucoup d’incidents font que celle-ci disparaît peu à peu. Certains pensent qu’elle est indispensable seulement pour notre survie alors qu’elle est également nécessaire pour nous montrer le droit chemin. C’est une sorte d’indicatrice qui nous fait part de la santé de notre planète. C’est donc pour cela qui nous devons en prendre soin voir la prendre comme modèle. Mais peut-elle être le modèle d’une société solidaire ?

La forêt est basée sur l'(entr)aide 

Une forêt peut se caractériser par plusieurs termes qui témoignent d’une solidarité. Tout d’abords, le concept d’habitats est très présent dans les forêts. Certaines espèces vivent sous terre, en haut des arbres, ou même dans les arbres. Tous ces habitats montrent une entraide car c’est un lieu de vie qui a pour fonction la protection contre les intempéries de la nature. Donc le fait qu’un arbre accueille dans son écorce une espèce montre une entraide, une solidarité entre l’arbre et la population vivant dans celui-ci. Dans ce cas, l’arbre n’attend pas forcément un retour de la population vivant à l’intérieur de lui. Premièrement, une société devrait donc prendre modèle sur la forêt pour comprendre le terme solidarité. En effet, tous les humains doivent savoir qu’il ne faut pas forcément attendre un retour lorsqu’une personne est dite gentille avec une autre. Tant qu’ils n’auront pas compris cela, des dysfonctionnements seront toujours visibles dans une société. De plus, pour qu’une forêt soit en bonne santé, il existe la symbiose. C’est une association entre deux organismes qui a pour but d’améliorer leur condition de vie. C’est donc pour cela qu’une société devrait utiliser la symbiose : pour améliorer le cadre, les conditions de vie au sein d’une population et le bien-être.

La forêt : une société utopique

Avez-vous déjà vu un dysfonctionnement dans une forêt ? Et bien malheureusement oui, mais tous ces problèmes naissent à cause de l’homme. Si l’homme n’intervenait pas, la végétation s’étendrait dans toutes les zones ou elle n’est pas présente car elle se sentirait encore mieux. Dans une forêt, chaque arbres ou arbustes sont à leur place et respectent celle des autres. La cohabitation est donc agréable et  évite des problèmes entre la végétation. C’est donc pour cela que les humains devraient prendre exemple sur la forêt pour dynamiser une société et donc la rendre solidaire. De plus, le fait de calquer le système de la forêt permettrais de diminuer fortement les conflits et donc améliorer la sérénité de chacun.

Personne n’est parfait… 

Certains ont trouvé une limite à cette société utopique : la compétitivité. En effet, tous les végétaux ne peuvent cohabiter ensemble : par exemple, quelques-uns nécessitent plus d’espace que d’autres pour développer leur système racinaire. D’autres ont besoins d’une luminosité importante contrairement à certains qui se plaisent plus en zone ombragée. En raison de tous ces facteurs, les végétaux ont donc mis au point des stratagèmes pour surpasser la nuisance des autres. Regrettablement, cette compétition joue sur l’état de santé des forêts. C’est donc pourquoi, pour une minorité de la population humaine, il est préférable de ne pas prendre exemple sur ce modèle car cela pourrait engendrer des mésententes dans la société.

Pour conclure, l’homme a créé des sociétés en s’inspirant des forêts mais en exagérant des aspects ce qui entraîne des dysfonctionnements. Ces derniers sont dus aux prises d’initiatives humaines. Mais comme le dis Blazac : « Inventer en toute chose, c’est vouloir mourir à petit feu ; copier, c’est vivre ». La forêt est donc un modèle pour les humains. La société humaine devrait prendre exemple sur les forêts pour améliorer les conditions de vie.  La société humaine devrait mieux s’informer sur les forêts pour mieux calquer. La société humaine devrait changer de méthode de fonctionnement, créer une société basée sur l’entraide et la solidarité.

Des algues dans nos maisons ?

Actuellement vous pensez que l’écologie et l’énergie sont deux secteurs opposés, mais saviez-vous que de plus en plus de projets énergétiques inspirés par la nature voient le jour.
L’une des pistes de réflexion les plus exploitée est celle des micro-algues.

Avec la nouvelle réglementation thermique 2020, elle imposera à cette date que tous les nouveaux bâtiments aient un bilan d’énergie positif, c’est-à-dire qu’ils doivent produire au moins autant d’énergie qu’ils en consomment. C’est pour cela que dès aujourd’hui, les professionnels du BTP réfléchissent à la façon de procéder.

Grâce à des photobioréacteurs, un système assurant la production de micro-organismes photosynthétiques en suspension dans l’eau, qui permettent de produire de l’énergie et améliorer le bilan carbone des bâtiments.

Par exemple des aquariums, installés sur les toits et les façades, peuvent rendre un bâtiment autosuffisant en énergie et même recycler l’eau.
Le principe est simple : conduire des eaux usées (celle des toilettes, par exemple) dans un bassin où croissent des micro-algues , qui se serviront de la matière organique comme nutriments.

Ce bloom (amas gluant) est valorisable de plusieurs manières. La fermentation de ces micro-algues permet de produire du biogaz utilisable comme carburant pour les véhicules verts. Une fois séchées, les micro-algues peuvent également être exploitées en biomasse.Tout au long de leur cycle de vie, les micro-algues peuvent être exploitées.
De plus ces micro-algues sont naturellement dépolluantes : elles aspirent et capturent le CO2 pour ensuite rejeter de l’oxygène.