Voici des conseils d’améliorations pour les deux derniers articles publiés. Un rappel, de façon générale : je ne corrigerai rien. Si vous voulez être pris au sérieux par vos lecteurs, je vous recommande donc de faire une relecture attentive, en corrigeant les erreurs de grammaire. Les articles seront notés le mercredi 27 à partir de 00h01. Faites de votre mieux, comme certain.e.s ont su le faire lors du bac blanc ! Objectif : le 20/20 : relevez le défi !

tristesse : faites bien la distinction entre l’amorce (pourquoi avoir choisi ce mot) et l’argumentaire (le raisonnement sur ce mot). De qui est la citation donnée en amorce ? On dirait une variation sur “entre nous et l’enfer ou le ciel, il n’y a que la vie entre deux, qui est la chose au monde la plus fragile”, obsédante pensée pascalienne… Je ne suis pas d’accord sur la difficulté à basculer de la tristesse au bonheur. Ecoutez Barbara (jusqu’au bout de la chanson, s’il vous plaît…) :

et l’analyse de Cyrulnik (avec la métaphore de la perle de Nietzsche) :

 

Sélectionnez davantage les définitions, et si vous faites des liens interactifs, faites-les à l’intérieur de notre blog abécédaire, s’il vous plaît. La comparaison est pertinente. – Pourquoi la citation de Spinoza n’est-elle pas entre guillemets ? L’interprétation est assez bizarre… à revoir. – Comparer tristesse et mélancolie, tristesse et un autre nom (“triste” est un adjectif, ce n’est donc pas un synonyme). Cela vous permettra de faire des nuances dans vos raisonnements. – Approfondir l’argumentaire, qui est intéressant. Posez des questions, partez de l’entretien de Cyrulnik ci-dessus, par exemple (ou de ses livres sur la résilience, que je vous recommande). – Il faut donner les sources de votre illustration : adresse URL, nom d’auteur, date… Analyser les couleurs. – Bon travail !