Le livre de la semaine

Pour cette dernière semaine de juillet, voici un auteur de théâtre et de poésie qui pratique le paradoxe à toutes les lignes, nous incitant à méditer ses textes :

“J’ai toujours pratiqué la littérature non comme un exercice intelligent mais comme une cure d’idiotie. Je m’y livre laborieusement, méthodiquement, quotidiennement, comme à une science d’ignorance : descendre, faire le vide, chercher à en savoir, tous les jours, un peu moins que les machines”.

Valère NOVARINA, Devant la parole.

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