Compassion

Choix du mot

J’ai choisi ce mot car je trouve qu’il me représente et qu’il fait parti de mes qualités comme de mes défauts.

Etymologie du mot

L’étymologie de mot “compassion” vient du latin compassio, souffrance commune, sympathie, compassion, composé de com-, avec et passio, action de supporter, souffrance.

Définitions

1- D‘après CNRTL, c’est un sentiment qui incline à partager les maux et les souffrances d’autrui.

2- D’après le Larousse, c’est un sentiment de pitié qui nous rend sensible aux malheurs d’autrui; pitié, commisération. Lire la suite...

Passion

J’ai choisi ce terme, car sa signification m’était vaguement connu donc j’ai eu la curiosité d’en savoir le sens. On définit souvent la passion avec la souffrance, mais est-ce la vraie signification du mot “Passion” ?

  • Etymologie: Du latin passio issu du verbe patior signifiant “souffrir, éprouver, endurer” autrement dit un ensemble d’états dans lequels un individu est “passif” par opposition aux états dont il est lui-même la cause.
  • Définitions:

D’après le petit Larousse, 1978:

1) Mouvement violent, impétueux, de l’être vers ce qu’il désire: réprimer ses passions

2) Désir très vif qu’on ressent pour une chose quelquonque: avoir la passion du jeu

3) Objet de cette affection: l’étude est sa passion Lire la suite...

Alexithymie

Alexithymie

INTRO

L’alexithymie un si grand mot pour exprimer un si petit rien.  L’alexithymie un mot qu’un si grand nombre ne connait pas. L’alexithymie, un mot que l’on a du mal a expliquer. Mais que veut-dire ce mot ? 

DEFINITION 

  • Déficit de verbalisation des émotions.  (Larousse)
  •  trouble psychologique caractérisé par une difficulté à identifier, exprimer et communiquer ses émotions. (la langue française) 

ETHYMOLOGIE 

Le therme “alexithymie” vient du grec ancien “à”, qui signifie “sans”, “lexis” qui signifie parole” ou “langage”, et “thymos” qui signifie “émotion” ou “humeur”. Ainsi l’alexithymie se réfère à une difficulté à identifier, comprendre et exprimer ses propres émotions. Ce mot à été inventé par deux psychiatre en 1970. Lire la suite...

Antipathie

L’antipathie, ce sentiment d’aversion instinctive qui me saisit parfois face à certaines personnes ou situations, ce sentiment m’accompagne depuis maintenant de nombreuses années . Enfant déjà, je ressentais cette vague de malaise inexplicable devant certains individus, cette sensation de rejet viscéral impossible à ignorer.

Au fil des années, j’ai appris à identifier les déclencheurs de mon antipathie : un ton de voix, une expression faciale, un comportement particulier. Parfois, il s’agit d’une intuition pure, d’un sentiment de malaise inexpliqué qui me pousse à fuir la  situation. Lire la suite...

silencieux

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Le silencieux ne mot-dit mais est maudit par ceux qui ne reconnaissent pas les vertus du silence.

 Les bruits constants étouffent les pensées. Les sons artificiels et permanents polluent l’âme tranquille. C’est pour cela que le sage, le prophète ou le philosophe médite son idée, silencieux en ermite, loin des contrées bruyantes, pour ainsi la faire germer avant de la faire connaitre au monde. Dans ce monde enfant qui est le nôtre, ou seuls crieurs et beaux parleurs sont écoutés et reconnus, je pense qu’il est important de faire l’éloge du silencieux. Lire la suite...

✩Etincelle✩

Un discours peut animer des foules, une action peut faire renaitre l’espoir, un petit pas peut réécrire l’histoire et une étincelle peut allumer un feu. Si petite, si fragile et éphémère, l’étincelle est porteuse d’espoir et de désespoir, elle peut créer et détruire, sauver ou tuer. On la retrouve dans les yeux d’un homme inspiré, dans la lumière d’une étoile, dans le tissus d’un vêtement, dans le climat de notre histoire, mais aussi et surtout au commencement d’un feu. Car c’est ce qu’elle représente ; le commencement ; qu’il soit positif ou négatif une étincelle est à, elle seule, une jolie mélodie prononcée ou écrite pour annoncer un évènement et un changement.

Ce sont ces paradoxes et la magnifique mélodie qui raisonne lors de sa prononciation qui a nourri mon envie d’explorer ce mot et ses significations.

Signification : 

Subst. fem.

1 /Parcelle incandescente qui se détache d’un corps qui brûle ou qui jaillit au contact ou sous le choc de deux corps.

2/Point brillant ; Reflet

3/Une étincelle de raison, de courage, un petit peu.                                   Le Robert collège 2017

1/Parcelle incandescente qui se détache d’un corps enflammé ou qui jaillit du frottement de deux corps

2/Petit incident, faible cause qui produit un effet important

3/Point, reflet brillant

4/Manifestation vive, soudaine et de peu de durée de quelque chose. Larousse

1/Parcelle incandescente projetée avec force d’un corps enflammé duquel elle se détache ou produite par le choc ou le frottement de deux corps

2/Manifestation, apparence éclatante, vive et brève.

3/Principe, germe de quelque chose

4/Cause immédiate d’un grand effet à portée imprévisible.       CNRTL

En parcourant les différents dictionnaires numériques et papiers nous pouvons voir que le sens premier du mot est toujours le même. En effet le sens premier du mot est associé à la réaction d’une action physique « frottement, choc » qui entraine la création d’une « parcelle incandescente », autrement dit à la création d’un fragment de matière. De plus nous retrouvons un autre sens qui fait référence au reflet et à l’aspect d’un objet ou d’une matière :« point brillant, reflet » ; ici ce n’est pas la matière elle-même qui est évoquée mais son aspect et sa projection.  Enfin nous avons aussi deux sens plus figurés de ce mot qui ressortent « germe de quelque chose, petit peu, petit incident » qui exprime une petite chose qui émerge ; mais aussi l’évocation de la manifestation de quelque chose de vif et de succinct qui a un impact important et imprévisible. On parle ici d’une action, d’un événement ou d’une pensée.

Synonyme :

Eclair : Manifestation soudaine et fugitive.

Interprétation: Nous retrouvons l’idée d’une apparition brève et éphémère mais vive. Cependant il n’est pas question de laisser de trace ou d’impacter un espace ou un moment comme avec une étincelle, l’éclair apparait et disparait instantanément.

Flamme : Gaz incandescent produit par une matière en combustion.

Interprétation: La flamme est un synonyme du caractère physique de l’étincelle, on y retrouve aussi une idée de réaction chimique et physique mais il n’y a pas de notion d’apparition vive ou de jaillissement. La flamme dure dans le temps.

Ardeur : Chaleur très vive- Vivacité ou vigueur que l’on apporte à faire quelque chose- Désir violent de quelque chose/passion

Interprétation: On retrouve ici aussi la réaction chimique avec cette sensation de chaleur, mais aussi le caractère vif, important et crucial du sens figuré de l’étincelle. Cependant l’ardeur est définie comme un besoin ou une chaleur plus forte et violente que l’étincelle qui est plutôt définit comme une petite germe.

Antonyme :

Cendre : Poudre résultant de la combustion complète de certaines matières.

Interprétation: J’ai eu une certaine difficulté à trouver un antonyme pour se mot qui pourtant avait de nombreux synonymes mais je suis tombée sur cendre. La cendre est -comme l’étincelle- le résultat d’une combustion et d’une réaction physique et chimique cependant elle est marquée par la fin et la disparition totale de sa matière. On comprend donc que contrairement à l’étincelle, la cendre n’a pas pour objectif d’annoncer le commencement d’un événement mais plutôt au contraire de l’achever, de le faire disparaitre. La cendre à une connotation plus négative que l’étincelle, elle évoque une totale destruction.

Terne: Qui est sans éclat, sans luminosité. Qui manque de vivacité, de relief, d’originalité.  Se dit d’un regard sans expression.

Interprétation: Pour cette antonyme je suis partie du sens de l’étincelle qui évoquait sa brillance et son éclat. En effet on retrouve bien l’idée qu’un regard peut avoir une certaine teinte et peut partager une émotion ou une expression ainsi que le caractère vif d’une étincelle qui est, ici, absent.

Citation :

Le Cardinal de Richelieu (1585 à 1642) était un célèbre ministre du roi Louis XIII et principal défenseur d’un Etat centralisé. Il a plusieurs fois durant sa carrière politique utilisé cette phrase pour mettre en lumière les luttes de pouvoir entre la monarchie, la noblesse et l’Église qui faisaient rage en France au  XVIIe siècle, et l’importance d’un petit geste et d’une action minime pouvant changer et modeler l’histoire :

“Les grands embrasements naissent de petites étincelles.”        Cardinal de Richelieu

Nous pouvons voir que cette citation arrive subtilement à regrouper plusieurs sens de l’étincelle. En effet avec l’utilisation du groupe de mot « grands embrasements », nous retrouvons son sens primaire avec l’évocation d’une réaction chimique et physique mais aussi le caractère important et dangereux d’une étincelle qui est à l’initiative du feu. C’est d’ailleurs ce que l’on retrouve par la suite avec l’évocation de la création et de la naissance de fragments fragiles et insignifiants. De plus, en étudiant cette citation, nous pouvons voir qu’il y a un paradoxe entre « les petites étincelles » qui créées de « grands embrasement ». Comment une chose si petite, si fragile et si insignifiante peut-être être à l’origine de si grands dégâts ? Et d’ailleurs nous pouvons nous demander si Richelieu évoque, ici, des impacts positifs ou négatifs car un embrasement nous renvoie à la fois à une destruction mais aussi à une ardeur, une ferveur, qui permet parfois la création de grandes choses. C’est à mon sens, tout l’objectif de cette citation ; elle révèle la puissance de petites actions, manifestations, qui sont à l’origine de grandes choses, et met en garde subtilement sur l’impact qu’elles peuvent avoir (positifs ou négatifs) et sur les traces qu’elles peuvent laisser. C’est pourquoi je l’ai choisie ; elle laisse un message d’espoir pour les optimistes et met en garde les défaitistes.

Interprétation personnelles :

En conclusion une étincelle est un mot polysémique qui peut-être définit à l’état de manière, à un fragment que l’on peut toucher, qui peut nous réchauffer mais aussi nous bruler ; il est le résultat d’une réaction chimique et physique. On retrouve d’ailleurs cette réaction lors de l’utilisation de la flamme, l’un de ses synonymes, qui est la suite directe de l’apparition de cette étincelle; cela nous renvoie à la notion de durer et de pérennité ; mais aussi avec son antonyme : cendre qui évoque la fin de cette réaction et donc l’extinction d’une idée ou d’une action.

De plus l’étincelle peut aussi sublimer, illuminer et raviver une matière, elle prend alors un aspect positifs et merveilleux que l’on retrouve souvent dans les description en littérature « la robe étincelait de mille feux », mais aussi lorsque que nous parlons de l’intensité d’un regard. Cela suppose qu’elle permet la transcription et le partage d’émotion positive et éclairante.

Cependant en approfondissant nos recherches, l’étincelle au sens figuré est la métaphore qui reflète le commencement et le point de départ dans la création de grande chose ; comme nous avons pu le voir avec la citation de Richelieu. Qu’elle soit négative ou positive, l’étincelle est l’élément précurseur, le fondement d’un événement ou d’une action.

Qu’importe le sens et la connotation que l’on utilise pour parler d’une étincelle, elle est toujours représentée comme quelque chose de vif, petit, et à l’allure inoffensive que ce soit lors de sa définition ou dans son attribution de synonyme (ardeur). C’est d’ailleurs de là qu’elle puisse sa force. Car qui remarque ou porte attention à une chose à l’allure insignifiante ? Seule les personnes étant attentives, ayant la foi ou nourrissant l’espoir peuvent la discerner et la faire prospérer. Cependant c’est en portant attention à son synonyme le plus proche; l’éclair; que nous pouvons entrevoir la dangerosité et la brutalité d’une étincelle.

Enfin, le caractère vif et la fulgurance de l’étincelle suppose aussi l’apparition, le surgissement d’une idée dans notre tête.

J’aime ce mot pour sa beauté, aussi bien dans sa prononciation que dans la forme et dans le sens qu’elle peut prendre. Elle a une force et un pouvoir imprévisible qui offre des possibilités infinis, elle peut bruler ou illuminer selon la perspective, construire ou détruire.

L’étincelle à son image :

PHOTOGRAPHIE DE CENTRAL PRESS, GETTY 28 août 1963

Cette photographie de Martin Luther King saluant la foule lors de son célèbre discours « I have a dream » prise par Getty, au Lincoln Memorial, à Washington D.C. ; est la représentation du pouvoir d’une étincelle.

En effet, tout d’abord nous retrouvons l’étincelle dans le regard de cet homme ; défenseur pour la reconnaissance des droits civiques et contre la ségrégation des noirs ; dans sa façon de saluer le publique, à sa place au centre et au vu de tous. De plus le photographe à réussi à retransmettre la diffusion de cette étincelle à l’échelle universelle grâce au grand angle qui permet la vue de la foule unie et infini qui s’étend au delà du champ et des lignes de forces.  Enfin son discours « I have a dream » ainsi que le symbole de sa personne sont la représentation de l’espoir ; c’est l’étincelle qui permettra l’unification et l’égalité entre tous les américains. Cela montre qu’il ne faut pas sous-estimer le pouvoir d’un seul Homme et d’une seule voix. Sur cette photographie, l’artiste à capturer la représentation de Martin Luther King qui étincelle et qui EST l’étincelle pour le peuple afro-américain.

Janelle Denis

FLAMBOYANT

Que l’on parle d’une œuvre d’art, d’une idée ou d’une personne quand on l’associe a une chose cela rajoute toujours une touche de dynamisme et de puissance. Il évoque la vivacité, que ce soit d’une émotion ou d’une couleur mais aussi leur force et leur ampleur. Cela nous focalise sur l’intensité et la beauté du sujet.

Ce mot peut faire briller tout ce qu’il touche.

ÉTYMOLOGIE

( XII e siècle) flanboiant ; participe présent de flamboier (« flamboyer »).

DÉFINITIONS

Flamboyant, adj.

1. Qui flamboie; qui produit une vive lumière, de l’éclat; d’un rouge vif.     2. Gothique flamboyant (style d’architecture avec des formes ondulée).      (Le Robert)

1. Littéraire. Qui flamboie.      2. Familier. Qui est d’un éclat trop brillant, tapageur.       3. Se dit d’un style propre à la dernière période de l’art gothique.        (Larousse)

Qui jette des flammes, ou qui esclatte comme la flamme. Les esclairs estoient si frequents, pendant cette tempeste, que le ciel paroissoit tout flamboyant. Et cela se dit encore plus ordinairement des meteores enflammez. On dit aussi, une espée flamboyante, & particulierement celle qu’avoit l’Ange commis à la garde du Paradis Terrestre.    (Furetière, 1690)

On peut remarquer qu’il y a une vraie différence entre les définitions du Robert et Larousse face à celle du Furetière. On peut donc supposer que le mot a évoluer dans son sens dans le temps. On peut lire que la définition du Furetière est principalement basée sur l’image qu’on se fait du mot et également qu’elle est renvoyé à la religion, avec à la mention de l’Ange et du Paradis Terrestre. Cette vision du mot est très différente comparée à celles plus récentes, qui en l’occurrence, sont assez similaires. On distingue sur les deux définitions que l’adjectif renvoie directement au verbe flamboyer. De plus, les deux définitions mentionne le style d’architecture.

CITATION
«Un idéal n’est souvent qu’une vision flamboyante de la réalité.»

Joseph Conrad (1857-1924)- Fortune, 1913.

Cette citation apparait dans Fortune, un roman écrit par Joseph CONRAD. C’est un écrivain polonais et britannique. Il est né en Ukraine en 1857 et meurt en 1924 en Angleterre.

Fortune est donc un roman paru en premier lieu, en feuilleton de janvier à juin 1912 puis édité chez Methuen en 1913. Le roman raconte l’histoire d’une fille d’un financier qui devient pauvre puis qui épouse un capitaine de navire. On suit alors la vision du capitaine tout au long du récit.

La citation est une phrase courte. Joseph Conrad met en opposition l’idéal et la réalité en faisant une connexion entre les deux mots avec le mot «vision» qui renvoie à la notion de conception et de perception.

Ici, Joseph Conrad énonce une vérité générale. Les notions d’idéal et de réalité sont des contraires. En effet, l’idéal symbolise toute la perfection que l’on peut souhaiter, cependant la perfection n’existe pas, cela ne peut donc que rester dans l’imaginaire et les souhaits d’un individu. Cependant, la réalité symbolise tout ce qui est vrai, selon des faits. On comprend donc bien le rôle du mot «vision» il met en lien les deux notions pourtant contraire. Enfin, le mot «flamboyant

» amplifie le sens d’idéal comme étant purement possible dans l’imaginaire. Le mot, ici, renvoie à quelque chose de parfait, de brillant, voire impressionnant. Il prend donc tout son sens dans cette citation. Lire la suite...

Aimer

AIMER. Un mot, cinq lettre, mais pourtant une multitude de sentiments. Aimer peut se caractériser de différentes façons. On aime notre famille, des amis, notre compagnon, nos passe-temps, ou tous simplement ces moments simples de la vie… Aimer est donner à tout le monde sans exception. On aime, ce gâteau qu’on a de cesse de manger , on aime notre passe-temps, on aime rigoler avec cette personne, ou encore on aime aller voir notre famille… C’est pour cela que j’ai décidé de choisir ce mot. Lire la suite...