Justice

JUSTIFICATION :

Durant notre vie il nous arrive de faire ce que nous n’avons pas le droit de faire: traverser en dehors des passages piétons, dépasser un autre véhicule sur une ligne blanche, griller un feu rouge… Nous sommes conscient que nous n’en n’avons pas le droit, mais cela peut-être justifié. Par exemple, je n’ai pas le droit de griller un feu rouge, mais c’est juste puisque la nuit est déserte et que j’ai une urgence. C’est pourquoi certaines situations peuvent nous paraitre injuste, cependant la justice ne peut pas satisfaire chaque individu. Lire la suite...

SOS Bescherelle !

Il ne m’est pas possible de corriger très vite vos articles, car je ne dois pas forcer sur mes yeux. En attendant les commentaires vous recommandant des améliorations, je vous incite à corriger la grammaire de vos travaux. Aucun besoin d’un rappel de ma part pour aller vérifier chaque verbe sur le conjugueur. Pensez aussi à faire des phrases simples, ponctuées, reliées les unes aux autres par des connecteurs logiques.

Inspirez-vous des textes philosophiques du manuel, ou bien de ce type de texte : Denis Ramond, La bave du crapaud, Paris, Editions de l’observatoire, 2018 Lire la suite...

Combat

“Combat” , ce mot peut paraître inadapté dans beaucoup de situations mais réellement sans s’en rendre compte, nous l’utilisons chaque jour sous des formes différentes comme par exemple : le combat du stress face à un contrôle, le combat de nos idées contre quelqu’un que ce soit en politique ou à l’école ou même à la maison,etc. Nous pouvons l’utiliser dans des situations extrêmes tel que le combat d’une maladie comme par exemple le cancer où chaque jour pour faire face on lutte. En effet, il n’est pas question de renoncer mais plutôt de se battre pour rester avec sa famille, voir grandir ses enfants et tout simplement vivre. Le “combat” c’est une action qui généralement se fait entre deux partis, dans l’exemple précédent on a l’humain contre la maladie. Ainsi, nous pouvons l’utiliser en petite ou grande quantité mais toujours il sera fort et signifiera quelque chose. Lire la suite...

Force

La Force

-Une des qualifications qu’on me donne souvent est que je suis une force tranquille, pour le fait que je sois grand et imposant mais à la fois calme, posé, réfléchis et discret. La force est selon moi un atout comme une faiblesse, un mot qui peut avoir plusieurs connotations, tels que la force physique, la force morale ou encore la force dans le domaine des sciences physiques. Elle est souvent une caractéristique majeure d’un athlète, d’un philosophe, ou d’un intellectuel. Il est important de savoir employer et définir ce mot si utilisé dans le langage courant. Lire la suite...

Solidarité

Solidarité

Justification :

Selon moi, la solidarité évoque l’union d’un groupe d’individus. Elle est également à l’origine d’une entraide. Or dans un monde touché par une pandémie, il est essentiel d’être unis et de s’entraider pour faire face aux difficultés et surmonter nos peines, nos peurs, nos incertitudes. En l’absence de solidarité, la division prend forme. Or il est toujours plus difficile d’affronter seul les épreuves que nous rencontrons. Il est nécessaire de connaître la notion de solidarité pour ne jamais l’oublier tout au long de notre vie, même lorsque nous avons surmonté les difficultés rencontrées.

Étymologie :

Le nom “solidarité” est un dérivé de l’adjectif “solidaire” (avec l’ajout du suffixe -ité) qui est lui-même dérivé du nom “solide” (avec l’ajout du suffixe -aire) qui vient du latinsolidus“, signifiant entier, consistant.

Le suffixe -ité sert à former un nom à partir d’un adjectif tandis que le suffixe -aire permet la construction d’un adjectif à partir d’un nom.

Définitions :

Le terme de solidarité est tout d’abord apparu dans le Droit romain qui est l’un des premiers systèmes juridiques. En français, ce terme est apparu au XVème siècle également dans le domaine juridique. Peu à peu il s’est généralisé dans de nombreux domaines comme la biologie, le travail ou la sociologie.

  • D’après le dictionnaire Larousse, la solidarité est le “sentiment d’un devoir moral envers les autres membres d’un groupe, fondé sur l’identité de situation, d’intérêts”. Autrement dit, c’est une obligation nécessaire que chacun doit respecter pour vivre en communauté.
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    Douleur

    Lorsque l’on prononce le mot douleur, on pense très rapidement à une ou plusieurs choses. On repense à un évènement qui nous est arrivé, à quelqu’un, au deuil, à un accident, à une période de la vie… On peut même penser à une couleur, une image, un son… La douleur touche tous nos sens. Que ce soit physique ou psychologique ce mot nous évoque une sensation négative qui peut être simplement désagréable ou insupportable. Il est très intéressant de définir ce mot, de comprendre d’où il vient pour pouvoir l’apprivoiser.

    D’après le dictionnaire de l’académie française, le mot douleur vient du onzième siècle., du latin dolor, ‑oris, qui signifie « douleur, souffrance physique ou morale ».

    D’après le dictionnaire Gallica d’Antoine Furetière, la douleur est “un sentiment triste et fâcheux qui blesse quelque partie du corps et est ennemie de la nature : ce qui arrive par l’altération subite de la partie, ou par solution de continuité. Le péché de la femme a été puni par les douleurs de l’enfantement. Un stoïque dit qu’il n’y a point de douleur (voir l’article ataraxie qui définit la théorie des stoïciens). Douleur se dit aussi de toutes les passions de l’âme. L’affliction d’esprit égale les plus grandes douleurs. Il faut qu’un pénitent ait une vive douleur, une componction de ses fautes.  On dit en proverbe, pour un plaisir mille douleurs, pour dire qu’il y a bien plus de maux que de plaisirs en ce monde. On dit aussi, à la chandeleur la grande douleur, pour dire, la grande froidure.”

    Selon la définition officielle de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), “la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans ces termes”.

    D’après le CNRTL, il existe la “douleur dans le domaine de la

    vie physique (Souffrance plus ou moins vive, produite par une blessure, une brûlure, une lésion ou toute autre cause, qui manifeste une rupture du bien-être, de l’équilibre de la santé, la perte ou la diminution de l’intégrité physique), dans le domaine de la vie psychique (Souffrance de l’âme, produite par une déception, un deuil, un chagrin, une peine, qui compromet plus ou moins gravement la quiétude, le goût, le bonheur de vivre) et la souffrance affectant le corps et l’âme (Douleur affreuse, immense)”. Lire la suite...

    Journal du philosophe Roger-Pol Droit, “Entre parenthèses – semaine 9”

     

    Imaginer des mondes sans…

    Matériel : sans rien

    Durée : sans fin

    Effet : sans égal

    Depuis peu se remarquent des pénuries partielles, éphémères. Il manque ici de la farine, là des yaourts. Ailleurs du gel hydro-alcoolique. On s’habitue à faire sans.

    Le confinement a fait découvrir la vie sans écoles, les repas sans restaurants, les films sans cinémas, les soirs sans matches de foot, les déplacements sans avions, etc.

    Chacun complétera la liste.

    Depuis longtemps, nous connaissions le shampooing sans paraben, les plats sans conservateur, les sirops sans colorant, les bières sans alcool, les pâtes à tartiner sans huile de palme.

    Ces moins étaient des plus. Dans ces produits, la soustraction était supposée améliorer – pas forcément le goût ni l’apparence, mais l’innocuité, le respect de la santé ou de l’environnement.

    Maintenant, il s’agit de poursuivre. De chercher si, vraiment, moins est mieux. Dans quels cas,  à quelles conditions.

    On peut imaginer des mondes où manque quelque chose, définitivement.

    Pour commencer facilement, on pourra s’inventer, par exemple, un monde sans fourchette ou sans brosse à dents, un peu différent du nôtre, mais à peine.

    Un monde sans table devient déjà plus singulier. Il faudra manger et travailler au sol, ou bien au lit. Encore possible… Des maisons sans portes, des habitats sans murs… Beaucoup moins.

    La difficulté s’accroît quand on imagine un monde sans couleurs, une vie en noir et blanc, ou bien, pire encore, un monde sans musiques, sans paroles, sans un bruit.

    Parmi ces mondes de cauchemar, on évitera le monde sans sourires, sans orgasmes, sans peaux à toucher.

    Rien n’empêche de faire de beaux rêves, d’imaginer des paradis. Celui du monde sans colère, ou du monde sans violence. Ou sans douleur, ou sans tristesse. Ou encore sans argent, sans interdits, sans mélancolie.

    Mais vous buterez vite sur des difficultés, en découvrant aussi leurs inconvénients, dès que vous y penserez un peu plus.

    Assez vite, vous distinguerez aisément les mondes où un petit manque ne change presque rien (sans tapioca, sans litchis ou sans essence d’eucalyptus…) et ceux où des catastrophes commencent (sans ours polaires, sans éléphants, sans abeilles …).

    Enfin, vous tomberez sur des mondes qui donnent, vraiment, du fil à retordre quand on veut discerner s’ils sont mieux, moins bien, ou simplement concevables – par exemple, des mondes sans illusion, sans espoir, sans désir, ou encore sans aucun avenir….

    Cette dernière catégorie de mondes est celle dont s’occupe la philosophie.

    Si elle vous intéresse, vous ne pourrez plus imaginer le monde sans.

    Source : http://rpdroit.com/2020/05/11/entre-parentheses-semaine-9/

    Questions sur le texte de Pascal

    Justice, force.

    Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi.Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi.La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique. La justice sans la force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants. La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.La justice est sujette à dispute. La force est très reconnaissable et sans dispute. Aussi on n’a pu donner la force à la justice, parce que la force a contredit la justice et a dit qu’elle était injuste, et a dit que c’était elle qui était juste.
    Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste.

     

    Manuscrit des
    Questions :

    1) Allez sur le site des Pensées​.
    Chercher le texte du Mémorial​.
    Combien en trouvez-vous de versions, en naviguant sur le site ? Quelle est la date de ce
    texte ?

    2) Lire le texte “Justice, force”. Quelles sont les différentes étapes du texte ?

    3) Pascal justifie-t-il la violence ?

    4) Quelles sont les réflexions que ce texte vous inspire ? Etes-vous d’accord avec ce
    texte ? Le trouvez-vous d’actualité ? Illustre-t-il, d’après vous, la façon de vivre des
    hommes ?

    vote

    Vote

     

     

     

    AMORCE :

    Le vote c’est le premier droit qui est reconnu à une personne qui devient majeur. Aussi mieux comprendre le sens de ce mot est important pour mieux comprendre l’importance de cet acte.

     

    ÉTYMOLOGIE :

    Le mot vote est dérivé de l’anglais vote, provenant du latin « votum » signifiant « vœu ».

     

    DÉFINITIONS :

    Dictionnaire de Larousse :

    Nom Masculin

    Manifestation de volonté, individuelle ou globale, à l’occasion d’une élection ou prise de décision. (En principe, le vote est secret [enveloppe, isoloir, absence de signes sur les bulletins], égal [un votant, une voix], personnel et libre.)

     

    Dictionnaire CNRTL :

    Opinion exprimée dans une assemblée délibérante ou un corps, en vue d’un choix, d’une élection, d’une décision.

     

    Wikipédia :

    Le vote désigne une méthode permettant à un groupe une prise de décision commune.

     

    SYNONYMES :

    Voix : Ce mot a un sens plus large car il désigne d’abord le son produit par la bouche et donc il désigne aussi la voix qui s’exprime.

     

    ANTONYMES :

    Abstention : ce mot signifie le fait de s’interdire d’agir et dans le cas du vote de s’interdire d’utiliser un droit.

     

    CITATION :

    « Un bulletin de vote est plus fort qu’une balle de fusil. »

    Extrait du discours du 29 mai 1856 de Abraham Lincoln (Speech to the first Republican state convention of Illinois, Bloomington, Illinois).

     

    Cette utilisation du mot vote pour le comparer à une balle de fusil met en avant la force de cette action du vote même face à la violence et à la répression. Cette phrase est un symbole fort surtout à cette époque du milieu du XIXième siècle où il y avait très peu de démocratie dans le monde. On comprend dans cette phrase que la force du vote est surtout lié à l’expression du choix de la majorité des individus qui ne peut pas être abattue par une balle de fusil.

     

    ILLUSTRATION :

    Cette illustration du vote montre bien que c’est d’abord un acte individuel mais qui n’a de sens et de force que dans une démarche collective.

     

    ARGUMENTAIRE :

    Le vote peut être l’expression d’une décision ou d’un choix simple : Oui ou Non pour un projet ou une proposition. C’est le cas des referendums, mais dans ce cas si la réponse semble simple elle est liée à la façon dont la question est posée et avec quels arguments. Le cas le plus récent est celui du BREXIT ou 3 ans après le vote, la décision ne paraît pas encore très claire.

     

    Mais le vote c’est aussi le choix d’un programme d’un homme politique. Un programme qui peut être plus ou moins compliqué à comprendre. La facilité alors est de se contenter de réponses simples à des questions compliquées car c’est alors souvent la porte ouverte à la démagogie ou dans certains cas à la dictature.

     

    On peut aussi considérer le vote comme inutile car les choix sont faits d’avance dans la plupart des cas ou alors souhaiter faire un vote blanc pour exprimer seulement qu’on n’est pas d’accord.

     

    Dans tous les cas le vote est un acte important ne serait-ce que parce que dans beaucoup de pays cette possibilité n’est pas donnée alors que le peuple la souhaiterait.

     

     

     

    Lucas taillandier

    Tempête

     

    Tsunami by hokusai 19th century.jpg

    La Grande Vague de Kanagawa” de Hokusai

    J’ai choisi le mot tempête car c’est un mot qui regroupe plusieurs sens, tout d’abord un phénomène météorologique qui représente la puissance de la nature qui est le sens concret mais tout de même un sens physique assez abstrait, et la tempête psychologique et mental qui représente un état dans lequel de nombreuses émotions peuvent se confronter tel que la colère, la tristesse…

    L’illustration si dessus nous désigne un caractère dramatique de la tempête, une tempête destructrice emportant les hommes, fragiles et impuissants face à la puissance de la nature. Cependant, cette tempête ne semble pas provoquer une catastrophe, les hommes dans les bateaux semblent habitués, bercés et ne font finalement qu’un avec la vague. En se déchaînant, la nature reprend ses droits mais crée également un certain équilibre avec le mont Fudji, représenté à l’arrière plan représentant la terre et sa sérénité.

    Un certain calme plane sur la peinture contrairement à l’angoisse souvent mise en lien avec la tempête. Le contraste est présent entre le ciel, calme et chaleureux et la tempête qui déchaîne la mer, l’accalmie et l’agitation peuvent finalement cohabiter.

     

    Définitions de tempête :

    L’internaute :

    • sens 1 : Violente perturbation atmosphérique.
    • sens 2 : Agitation soudaine explosion violente.

    Futura Sciences:

    • La tempête correspond à un événement météorologique violent. Elle est caractérisée par des vents forts, souvent accompagnés de précipitations intenses. La tempête est distribuée sur une zone de plusieurs centaines de kilomètres de diamètre.

    Météo France :

  • Une tempête est une zone étendue de vents violents générés aux moyennes latitudes par un système de basses pressions (dépression). Pour caractériser la sévérité d’une tempête, on prend donc en compte les valeurs de rafales de vent maximales enregistrées mais aussi la durée de l’événement et la surface de la zone affectée par les vents les plus forts (rafales supérieures à 100 km/h ou plus).
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