Lorsque je me promène dans un endroit que je connais très peu et que 2 chemins surviennent devant moi, je m’arrête et prend un temps pour réfléchir. C’est là que, à l’intérieur de moi quelque chose ou quelqu’un me dit où aller : c’est l’instinct. En continuant vers la direction que m’avait indiqué mon instinct, j’ai par la suite aperçu une boulangerie dans laquelle j’ai acheté un cookie car j’avais faim. Mon instinct m’a donc été d’une grande aide. Cependant, on m’a souvent dit de suivre mon instinct. Or je n’ai jamais su si l’instinct était réellement une bonne chose car il est considéré comme l’antonyme de la raison. Parfois, il m’est arrivée de faire appel à mon instinct dans certains de mes choix qui font de moi la personne que je suis aujourd’hui. De plus, il est employé pour aborder des sujet qui me semble intéressants tels que l’intuition, l’intelligence mais aussi la conscience et la raison. C’est donc pourquoi j’ai décidé de l’étudier.
ÉTYMOLOGIE :
Au XVe siècle, instincte (instinct en latin), est emprunté du latin instinctus, « instigation, excitation, impulsion » et dérivé avec un prefixe in- provenant de stinguere de même radical que le grec στίζειν, piquer. Étymologiquement parlant, l’instinct est « ce qui pique ou anime le for intérieur »
(source la langue française .com)
DÉFINITIONS :
A. Part héréditaire et innée des tendances comportementales de l’homme et des animaux : Instinct de survie.
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