J’ai choisi ce terme car la conscience est une faculté qu’a notre esprit de saisir tout ce qui se passe en nous et hors de nous, la conscience dite « psychologique » se prolonge en conscience morale, quand nos jugeons la valeur morale de ses propres intentions ou de ses propres actes, ce terme est très intéressant.
Étymologie :
Le mot conscience signifie « savoir ensemble », « savoir rassemblé » (cum scientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « connaissance»).
Justification du terme:
J’ai choisi ce terme car il s’agit d’un mode de gouvernance utilisé par les régimes politiques. De plus dans notre cours sur l’Etat et la société nous avons mis en relation différents modes de gouvernance afin de mettre en évidence les arguments que chacun a. Il est important de connaitre les différents types de regimes qui gouvernent le monde pour mieux comprendre ce qu’ils exposent.
Etymologie:
– Mot dérivé de “total”: ici régime totalitaire=la totalité des pouvoirs réunis pour une seule personne.
Pour le groupe du Struthof, rappel des tâches à réaliser avant le 10 mai :
Notre fil directeur pour l’exposition : On a souvent dit que les mots étaient insuffisants pour nommer l’impensable : ce qui s’est passé dans les camps de concentration. En quoi les mots disent-ils les faits ? Ne peuvent-ils pas, au contraire, à certains moments, servir pour les camoufler ? L’idéologie nazie nous renvoie à un rapport particulier non seulement au monde et aux relations humaines, mais aussi aux mots qui disent ces relations. Nous étudierons le lien entre le langage et les actes autour de cette visite du Struthof.
Ce terme prend une plus grande place au sein de notre société. De plus en plus, les personnes ont un besoin d’enrichissement personnel. Mais cet enrichissement est seulement réalisé pour assouvir un plaisir personnel et non en vue d’une autre fin. On peut dire que ceci est une conséquence de la séparation des êtres humains. Les personnes préfèrent assouvir leur bien être personnel plutôt que le bien être général.
Étymologie
Le mot chrématistique provient du grec ancien « khrematistikón » qui signifie « art de gagner de l’argent ».
Ouvrier
Un ouvrier est une personne qui en contrepartie de recevoir une rémunération, effectue un travail manuel pour son patron, plus particulièrement dans le monde agricole (mécanicien d’engin agricole) ou de l’industrie (à l’usine) mais aussi de l’artisanat (ébéniste) ou du bâtiment (charpentier). Tout salarié obtenant une rémunération à chaque fin de mois n’est pas un ouvrier obligatoirement.
La notion d’ouvrier se caractérise par plusieurs critères comme tout d’abord par un faible pouvoir de décision au sein de l’entreprise (l’entreprise dépend du rendement de l’ouvrier mais c’est l’ouvrier qui est au service de l’entreprise), des conditions de travail parfois difficiles (certains ouvriers comme les maçons travaillent dehors en hiver avec le froid comme en été avec la chaleur), des tâches techniques de production et parfois pour quelques un, peu de diplôme.
Étymologie et définition :
Luxe vient du latin « luxus » que l’on emploie à propos de quelque chose présentant une somptuosité excessive, ostentatoire, quelque chose de mauvais goût. Le mot luxe peut également vouloir dire «profusion » ou encore « abondance » comme dans l’expression «un luxe de précautions ». Vu sous cette lumière (qui se dit lux en latin), le luxe est ce qui est « trop », le surplus, ce qui est au-delà du nécessaire.
La nécessité vient du latin nécessitas et définit le caractère de
ce dont on ne peut se passer, à considérer comme indispensable voire vital.
Antagonisme
C’est un dérivé de l’opposition mais qui ne signifie pas pour autant qu’il est impossible de travailler ensemble. Ce sont deux opposés mais complémentaires. Par exemple un monde qu’avec des patrons, cela ne peut pas fonctionner car il faut une main-d’œuvre ouvrière pour travailler. Mais un monde qu’avec des ouvriers , je ne pense pas que cela puisse fonctionner non plus. Il faut toujours un chef de file pour prendre des directives, des risques. Bref, le patronat et le salariat sont deux mondes complétement différents avec des états d’esprits en aucun cas identique, donc antagonistes par définition et pourtant complémentaires, car l’un ne peut pas fonctionner sans l’autre.
Ce terme prend un peu plus importance qu’auparavant dans la société qui est la nôtre aujourd’hui. De plus en plus, les personnes se laissent guider par leurs choix, leurs envies à la place de suivre une certaine morale et de laisser un gouvernement, un patron ou un père décider pour elles. De nos jours, les êtres humains préfèrent se faire une opinion par eux-même plutôt que de faire la différence entre le bien et le mal et de s’empêcher de vivre. On peut dire que ceci peut être une des conséquences de la crise financières, où depuis, les personnes n’accordent plus leur confiance si facilement et préfèrent se faire une idée par eux-même au lieu de suivre des voies toutes tracées. Néanmoins, le nombre d’individus amoraux n’est pas très élevé puisque le concept de “pensée unique” domine notre société d’aujourd’hui.
Lorsque nous abordons certains sujets, il arrive que certains sortent leur révolver tandis que d’autres tirent les plans sur la comète. Il est pourtant vrai que le monde est chargé de vertus et de malentendus. Étant donné que la situation politique actuelle soit ambiguë, chacun d’entre nous posséde son propre mode de pensée. Bon nombre d’entre nous a tendance à s’orienter vers une politique autarcique.
Nous pouvons également placer ce mot dans l’économie. Tout le monde est conscient de la crise que la France a eu à traverser et le mal qu’elle a pour s’en sortir. C’est pourquoi de nombreux foyers français se sont mis à consommer leur propre production. Dans ce cas, nous parlons alors d’autarcie économique, plus souvent appelée économie domestique.
Étymologie:
Ce mot vient du latin populaire “tripalium” qui désignait un instrument d’immobilisation et, éventuellement, de torture à trois pieux afin de punir les esclaves au Moyen-âge. On appelle encore “travail” un appareil servant à immobiliser les chevaux rétifs pour les ferrer ou les soigner. Autrefois, ce mot désignait l’état d’une personne qui souffre (ce sens est toujours utilisé en obstétrique). Il a été étendu ensuite aux occupations nécessitant des efforts pénibles, celles des “hommes de peine”, puis à toutes les activités de production.